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egucha

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Tout ce qui a été posté par egucha

  1. Des cadres peu puissants pas lourds il n'y en a pas beaucoup et ils sont souvent très élitistes. En plus notre ami sort des balles avec une 6.1 team La puissance de la raquette ce n'est pas pour avoir une puissance de feu, c'est pour ne pas trop galérer en contre sur des balles un peu lourdes. Après c'est sûr il faut pouvoir garder la balle dans le court mais là c'est au niveau technique que ça se passe, il faut tout de même savoir passer ce cap là de mettre un peu d'intensité dans le lift !
  2. En tournoi à un niveau amateur il faut privilégier la facilité et donc choisir des raquettes qui sont tolérantes, assez puissantes; ceci d'autant plus qu'on a des améliorations à faire au niveau du jeu de jambes. Même si tu as joué en petits tamis il faut oublier ça à mon avis et te tourner vers du 645 cm2 ou plus. Tu n'y trouveras que des avantages. Il y a pléthore de cadres faciles à jouer mais suffisamment bons pour jouer avec en compétition. N'importe quelle raquette conviendra à priori, si elle a un équilibre à peu près neutre, est moyennement puissante et pas trop lourde (285 g non cordée me semble un bon repère à ne pas trop dépasser).
  3. Bonjour, pour moi ça me semble un peu tôt de choisir des raquettes typées comme la blade ou autre 6.1 team. Peut-être conviendrait-il de choisir une raquette polyvalente et tolérante, assez puissante, pour évaluer ton potentiel sur une saison. Car 35 ans de tennis, et victoire à 30/3, c'est la moindre des choses je dirais... Je pense qu'on n'a pas assez d'élément sur ton jeu et ton potentiel pour te conseiller judicieusement sur une raquette typée.
  4. Ce qui est incorrect c'est de penser que je voulais dire qu'il fallait tirer la raquette plus loin que les épaules. Non, ce n'est pas ce que j'ai dit. Alors on peut préférer tourner la phrase dans un sens ou dans l'autre, bref, ça ne change rien au fait qu'on veut parler ici de "unit turn" comme disent les anglophones. Ensuite on peut dire "non ce ne sont pas les épaules qui initient le mouvement, c'est la main sur la raquette". Peu importe comment on sent le geste, pourvu qu'on le réalise correctement. On peut tourner d'un bloc en sentant que c'est la main qui guide ou bien l'épaule. Ça dépend des personnes. En ce qui me concerne je pense plutôt à mes mains au coeur qu'à mon épaule pour la mise de profil, et l'inverse pour la frappe. D'autres font le contraire.
  5. Tu gagnes en puissance (du fait des autres caractéristiques qui accompagnent généralement les grands tamis) / tolérance, tu perds en précision / toucher.
  6. ATTENTION ! CE CONTENU EST INTERDIT. VOUS VOUS EXPOSEZ A DES POURSUITES ET DES PEINES DE PRISONS POUVANT ALLER JUSQU’À 5 ANS FERMES. VOUS RISQUEZ EN OUTRE LA SUSPENSION DE VOTRE LICENCE A VIE.
  7. La PK Q15 réunit tout ça, la tolérance en plus.
  8. egucha

    Saison 2014: match 1.

    Dans mon avant-dernier match de la saison j'ai eu un type qui m'a contesté carrément le gain d'un jeu complet, sous prétexte qu'il n'avait pas bien compris mon annonce deux point avant. Je pars m'asseoir et là il me sort un score impossible vu le côté auquel il avait fini de servir. Bref prise de tête, au bout d'un moment je lui dis "écoute on reprend au moment où on est d'accord sur le score et basta". Donc on repart à 15 A. Je perds le jeu. Bref, pas grave, c'était genre le troisième jeu du match et on se prenait déjà la tête ! Il me dit "oui tu comprends je ne suis pas procédurier mais il faut faire les annonces clairement." Du coup à chaque point j'annonçais ostensiblement haut et fort le score (je le fais toujours de toute façon mais pas forcément ostensiblement). Quand il s'apprêtait à servir et qu'il n'avait pas annoncé le score, je levais la main en le regardant avec insistance jusqu'à ce qu'il fasse l'annonce. Au moins qu'il assume ses dire. Il y a eu une dizaine de fois où je l'ai forcé à faire l'annonce, j'ai senti que ça l'agaçait, il ne pouvait contester aucun score. Au final je l'ai emporté assez facilement au troisième set après avoir été englué dans sa bave de limace pendant deux sets. Bêtement j'ai attendu qu'il me paye à boire, alors que c'était à moi de le faire évidemment. Il y a eu un blanc dans le club house, je me demandais pourquoi. Donc je lui dit "bon alors tu ne payes même pas un coup ?". Et là juste après je me rends compte de mon erreur et je lui dis : "ah non mais n'importe que quoi, je suis à la rue c'est à moi de payer un coup excuse moi !". Et il me répond "non mais de toute façon le côté amical est parti depuis longtemps alors je ne veux pas". Bref. Une ambiance pourrie durant tout le match, et n'importe quoi après ! Bon je m'en foutais j'avais gagné mais parfois, on passe des heures vraiment étranges sur le court ! Hein ? Mon premier match 2014 ? Ah oui... bof
  9. +1 Un footing ou deux maxi par semaine à 45 balais. J'ai repris le foooting en septembre en n'ayant j'amais arrêté le tennis et la première fois au bout de 10 minutes j'étais cuit. La semaine suivante idem. Au bout de trois fois j'ai réussi à choper les 15 minutes. Maintenant c'est assez facile de courir 15 minutes après 5 ou 6 sessions. Surtout ne pas faire l'erreur de vouloir progresser trop vite. Ca va venir de toute façon. L'an dernier j'en avais trop fait (pourtant si peu) et je m'étais blessé à un quadriceps ce qui m'a pourri une bonne partie de la saison. Là en étant patient au bout d'un mois et demi j'en vois les effets et j'ai déjà le niveau suffisant pour tenir un match sans effort et sans être dans le rouge.
  10. Ce n'est pas la panacée mais moi qui ai testé toute sorte de cadres, des légers aux lourds (jusqu'à 340 g cordé), sans technique, puis avec une technique et un relâchement corrects, sur au moins six mois, je sais que 340 g ne m'apportent en définitive pas grand chose vu mon niveau, et que plus léger me permet une plus grande vitesse de tête de raquette et accessoirement de pouvoir jouer tout une saison. Car à 340 g je peux jouer, même gagner à mon niveau, mais pas pendant 6 mois car sinon mon épaule morfle. Alors oui je préfère intrinsèquement jouer avec 340 g, c'est stable, c'est puissant tout en pouvant être hyper contrôle, mais au final je ne joue pas mieux voire moins bien qu'avec du léger. Et en plus je ne peux pas jouer longtemps. c'est une réalité de beaucoup de joueurs amateurs (donc jusqu'à 2de série). Les tendons ne résistent pas à 6 mois de 340 g (à partir d'un certain âge). Et avant, le tennis s'appelait tennis mais ce n'était pas le même sport du tout.
  11. et de sa résistance physique sur le moyen terme. On peut pouvoir emmener un cadre lourd sans souci sur un match mais pas sur une demi-saison ou une saison complète. (pouvoir pouvoir... c'est voulu)
  12. Déjà passe la corde au-dessus du galet et non en dessous; et ensuite, utilise tes doigts pour pousser les mors vers la raquette après avoir inséré la corde pour initier leur fermeture avant d'appuyer sur le bouton de mise en tension. Et reconnecte ton fil blanc
  13. Mais là ça ne se tient pas physiquement. Si on considère que le "poids" d'une balle, qui ne serait pas sa vitesse linéaire, résulte de son effet, de sa rotation donc, il ne peut pas être possible de communiquer plus de poids à une balle avec une raquette plus lourde car il est plus difficile de lui imprimer de la vitesse de tête de raquette qu'à une raquette plus légère. Si tu n'as pas un bras très rapide, ta balle tournera d'autant moins. Ce n'est pas la masse de la raquette qui va y suppléer, la masse n'apportera qu'un gain d'énergie cinétique si tu es capable de l'emmener et donc juste de la vitesse. Je pense que la sensation de lourdeur (côté joueur qui tient la raquette) apportée par une raquette plus lourde vient de la grande stabilité et du fait que la balle repart comme elle est venue sans qu'on sente grand chose en retour dans la main et le bras; côté joueur qui reçoit, cette sensation de lourdeur supplémentaire ne peut venir que d'une vitesse accrue (plus d'énergie cinétique) à mon sens et non d'un supplément de rotation. Il est possible qu'il y ait un petit effet de rotation supplémentaire, donc de lourdeur accrue, du fait de l'orientation du tamis etc.. qui va faire en sorte qu'une partie de l'énergie cinétique en plus va partir dans la rotation, mais à mon avis, c'est bien moins que ce qui pourrait y partir avec juste plus de vitesse de tête de raquette, ce que peut t'apporter facilement une raquette plus légère. Bon et puis il suffit de voit yusuke à 5/6 et sa raquette de 260 g pour avoir la preuve que c'est possible; je ne crois pas que yusuke se fatigue tellement que ça sur chaque balle (alors il veut changer aussi pour plus lourd mais à mon avis c'est une erreur venant de si bas s'il dépasse 280 nc)
  14. Ca se tient dans la mesure où seuls les cadres de 340g cordés minimum offrent de vraies sensations de stabilité et permettent d'annuler le poids d'à peu près n'importe quelle frappe. Mais même à 3/6 je ne crois pas que les balles aillent aussi vite et aient autant de poids qu'il faille ce genre de cadre pour être à la hauteur. Ca reste des specs de pros. C'est comme soutenir qu'il n'y a rien de mieux qu'une F1 comme bagnole, ce qui se tient intrinsèquement, et d'adopter à ce motif le comportement d'aligner une F1 dans une course de karts où on n'aura jamais besoin d'exploiter la F1 au maximum de ses capacités, tout en subissant sa dangerosité.
  15. Travailles ça au mur, c'est mieux ! Pour changer de prise, il faut immobiliser la raquette dans la bonne position pour la frappe avec la main haute au coeur lors du tiré de la raquette quand tu armes le coup, et ajuster la prise autour du manche avec l'autre main.
  16. egucha

    début!

    Et la Microgel Mojo ça donne quoi ?
  17. egucha

    La "Zone"

    En même temps, tout est à base de transmission électro-chimique dans le corps et tout n'est cependant pas de l'ordre du réflexe ou de la réaction. Si je sens la peur venir en pensant à une situation angoissante je peux contrôler à temps les messages qui vont serrer mon estomac en inspirant profondément et ainsi annuler la sensation désagréable qui va se produire. Certains yogi parviennent à ralentir leur cœur et leur métabolisme d'une façon qui paraît impossible. Le fait que ce soit des hormones, des protéines ou des molécules ne présume pas du fait qu'il est impossible de contrôler ces messagers. Par exemple des femmes vivant ensemble finissent par synchroniser leurs cycles alors qu'il s'agit également d'hormones. Bref tout n'est pas si simple ni manichéen.
  18. Tu dois confondre poignet (principalement extension / flexion) et avant-bras (supination - passage sous la balle / pronation)
  19. Bloqué dans quelle position ?
  20. egucha

    La "Zone"

    Il y a autre chose derrière ceux qui parlent de la zone, car ils englobent les états mentaux qu'on peut expérimenter lors de la méditation par exemple, et ça n'a que peu de rapport avec la sécrétion d'hormones. Sans vouloir défendre "la zone" en tant que concept crédible et avéré tant que ça reste de l'absolutisme de quelque chose, je pense qu'on peut tout de même néanmoins avec une agrégation d'attitudes mentales et physiques diverses approcher d'un état de maîtrise maximale. Reste maintenant à définir les attitudes mentales à adopter et comment les mettre en pratique, comment s'exercer à les rendre simultanées avec la pratique physique. Est-ce que la posture mentale de méditation peut apporter quelque chose par exemple, je n'en sais rien, sans doute en ce qui concerne le détachement que cela induit; mais si oui, alors comment transposer ça et le rendre disponible rapidement et sur commande lors d'un exercice physique, peut devenir un objet d'étude. Quid d'autres postures mentales, etc...
  21. egucha

    La "Zone"

    Isolement est mal choisi en effet. Je voulais dire plutôt : filtrage et abstraction. Par exemple, faire abstraction des hurlements du public, etc... et ne conserver dans la décision que les stimuli qui concernent l'activité en cours. Le problème de la méditation c'est que cela repose sur des techniques qui sont difficilement applicables à la pratique sportive (immobilité, respiration lente, ralentissement du rythme cardiaque, etc....). Il faudrait pouvoir définir des techniques mentales spécifiques à la pratique du tennis par exemple, pour pouvoir observer ce qu'il se passe avec ou sans leur mise en application sur un nombre suffisamment élevé de sujets. Je pense l'avoir déjà éprouvé pour d'autre chose que le tennis. Quand j'étais jeune je jouais beaucoup au babyfoot à un bon niveau (je jouais de temps en temps contre des personnes qui avaient gagné le championnat de France de baby et j'étais à la hauteur) et cela m'arrivait de passer deux ou trois heures de suite sur le baby sans jamais m'en faire éjecter par les prétendants autour. La différence avec eux était que j'étais dans une bulle de concentration inébranlable, à la Nadal un peu, que ce soit pendant ou hors des instants de jeu, et que toutes les actions étaient précises, ma vision de l'aire de jeu totale, mes gestes simples. Je ne ratais quasiment rien. En parallèle avec ça j’avais développé une très bonne technique du jeu. Effectivement les sensations sont particulières, un sentiment d’invincibilité, de lucidité et une activité qui laisse en souvenir plutôt une trace d'état mental que de film de ce qui s'est réellement passé, mais je ne dirais pas que cela est autre chose que de la concentration maintenue + de la lucidité. Ce qui demandait le plus d'énergie c'était le maintien de la concentration, comme un fil qui ne doit pas se rompre. Il faut en effet rester dans cet état mental sans jamais en sortir, même hors des instants où on doit l'utiliser. Le problème c'est qu'on peut toujours dire : "mais non tu n'étais pas en zone" etc... alors que seul un appareillage d'imagerie pourrait éventuellement conclure si deux sujets présentent ou non une activité cérébrale similaire. L'un appellerait ça "zone" et l'autre "hyper concentration". Ca reste subjectif et personne ne sait vraiment de quoi l'autre parle, ce qui rend difficile la communication sur le sujet.
  22. egucha

    La "Zone"

    A-t-on des études sérieuses qui montrent ça ? Déjà on ne connaît pas le fonctionnement du cerveau dans sa totalité, c'est peu de le dire. Dire par exemple on utilise 10% de notre cerveau, etc... c'est une légende qui ne repose sur rien (et qui reposait sur des différenciations matière blanche / matière grise qui on été récemment invalidées car il existe des connexions). On est incapable aujourd'hui de dire : pour effectuer telle action on doit mobiliser exactement telle partie du cerveau. Éventuellement on peut regarder ce qu'il se passe électriquement avec l'imagerie. Mais ça ne dit pas ce que le cerveau doit faire pour maximiser l'efficacité d'une action, et je doute qu'on en soit un jour capable. En gros tu dis que "la zone" c'est juste une utilisation plus efficiente du cerveau : élargir le nombre de neurones concernés. Comme si en fait on n’utilisait pour marcher que la moitié des circuits prévus à cet effet, pour parler que le quart des circuits dédiés au langage, etc... J'ai du mal à croire qu'on soit si mal faits. Quand le lève le bras je n'utilise pas la moitié de mon bras. Quand je pense, pourquoi utiliserai-je la moitié de mon cerveau ? Ca n'a pas de sens. Pour moi "la zone" ce serait plutôt un état maximal de concentration et d'isolement de soi pour ne conserver que ce qui est nécessaire à l'accomplissement d'une action donnée (ici, jouer au tennis). Comme prérequis il faut un apprentissage moteur des gestes qui soit automatisé et réalisé à un niveau inconscient pour que le cerveau puisse se concentrer uniquement sur la perception de l'environnement de l'action considérée à réaliser. Un joueur débutant tentant de jouer "en zone" ne sera pas impressionnant à regarder car il atteindra alors un maximum tennistique qui est ridiculement bas par rapport à un joueur professionnel : il n'a pas les réflexes gestuels et tactiques pour faire quelque chose de correct.
  23. egucha

    La "Zone"

    Oui, une impression que. Maintenant, tout est dans tout, c'est du concept. Si on veut faire de la science il faut rester les pieds sur terre et commencer par décrire des phénomènes reproductibles à la demande. Ah bon, tu viens de démontrer quelque chose ? Evidemment et pourquoi ça ? Ce qui est inconscient se décrit très bien par des mots courants. Il y a suffisamment de mots dans le langage scientifique pour décrire un phénomène mental. Si on veut ajouter de nouveaux mots, il faut les définir précisément à l'aide de mots que tout le monde connaît. C'est ce que fait le véritable langage scientifique (qui n'utilise pas le point d'exclamation à outrance pour ponctuer son propos). Verbiage inutile et qui te décrédibilise. Tout ça doit pouvoir être parfaitement défini par des mots que tout le monde connaît, afin de vérifier son utilité et sa pertinence dans le discours. En réalité tu donnes l'impression de vouloir asséner une vérité "absolue" et parfaite sans chercher à asseoir ton discours sur des bases sérieuses en noyant tes interlocuteurs avec des mots que tu ne définis pas mais qui ont une consonance mystérieuse et féerique, le tout sur la base d'une promesse de réalisation de soi pleine et entière. C'est du racolage éhonté.
  24. egucha

    Global-Tennis

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