-
Compteur de contenus
3 810 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par egucha
-
Je pense qu'il y a confusion entre la science et ce que l'homme en fait. Il y a la démarche scientifique et ce qu'on en fait. C'est comme tout. Tu peux prendre une arme pour défendre les tiens ou pour menacer tes voisins... l'arme n'y est pour rien dans l'histoire. Je ne pense pas que la science peut expliquer "la zone". Expliquer n'est pas le bon mot. Déjà, "la zone", je ne sais pas ce que c'est, pour le sens commun. J'ai ma propre définition du phénomène. Je suis juste content que des personnes comme la fouine qui ont une démarche scientifique (mémoire oblige) s'intéressent à la zone, car ça va finir à force par circoncire le phénomène et le décrire suffisamment bien pour qu'un consensus se dégage pour définir ce que c'est. Car avant tout, la science, ce sont des définitions. Tant que la définition n'est pas posée, on parle dans le vide, chacun son interprétation, ça ne mène nulle part... une fois les définitions posées on essaie d'articuler entre eux les concepts et on peut commencer à avancer...
-
temps d'adaptation avec une raquette rallongée?
egucha a répondu à un(e) sujet de lifteur31 dans Conseils personnalisés
Pas trop. Avec ma récente expérience j'ai eu des soucis sur mon revers uniquement, que je ne comprenais pas avant de me souvenir que ma raquette était plus longue que la précédente. J'envoyais la balle dans le couloir sur des longs de ligne à une main, il a fallu travailler un peu sur l'alignement dans le plan de frappe. Globalement c'est plutôt transparent. -
Je ne sais pas ce que tu as contre les trous noirs; documente toi un peu plus. A croire que la non réalité supposée des trous noirs serait une pierre maîtresse de ta vision des choses ! Observer ce n'est pas que voir directement. Je trouve que tu mélanges (au sens premier, de mettre ensemble) pas mal de concepts qui n'ont pas grand chose à voir entre eux et que le tout n'est pas (encore ?) très cohérent.
-
Non, on en détecte aussi les effets. Aussi, la preuve de leur existence est aujourd'hui "quasi indiscutable", "sûre à plus de 99 %"
-
Dans un match récent j'ai joué ce type de joueur. Enfin ce n'est pas la première fois mais depuis quelques mois je suis prêt pour ce genre de joueurs et je les gère assez bien mentalement. En principe sauf pousseur hors pair je ne me fais plus trop surprendre. J'ai perdu cependant la dernière fois car je n'étais pas suffisamment au-dessus (et il était tout de même fort dans son genre). Parfois (souvent, je trouve) ces joueurs sont aussi tricheurs et le font à l'intox, et il faut faire attention à ce paramètre (j'ai perdu à cause de ça entre autre, il a grugé des points importants qui je pense m'ont coûté un set). Je pense que j'avais pris sa mesure après la perte du premier set mais malheureusement il m'a subtilisé le second set au finish sur de l'intox et de la tricherie donc je ne sais pas si j'aurais gagné le troisième. En tout cas ce qui a marché : - jouer mon jeu et ne pas tomber dans le sien; - mettre de l'intensité, mais pas de prise de risque inutile; ne pas se frustrer si ça revient, surtout continuer à en mettre; - ne pas hésiter à attaquer la bonne balle et pas de petit bras à ce moment-là car il n'y aura pas beaucoup d'opportunités par point; - ne surtout pas lui laisser la direction des opérations; - venir conclure au filet le plus souvent possible. Jouer long oui, mais pas que, il y en a que ça ne dérange pas. Jouer avant arrière, j'avoue que ça m'a échappé et peut-être que j'aurais été plus facile en le faisant mais ce n'est pas non plus très simple à faire sans tomber dans le petit bras.
-
J'ai mis dogmatisme entre parenthèses car je ne vois pas bien ce qu'il fait dans la phrase; sans ce mot je crois comprendre ce que tu veux dire mais alors : non le rationalisme (si je comprends ce que tu entends par là, pour moi je l'associe simplement à la méthode scientifique) n'est pas un filtre explicatif, c'est une méthode. Et oui, c'est une méthode qui permet de se rendre compte qu'elle peut donner des explications fausses à posteriori ("on avait tort"), mais justement elle devient crédible car elle permet de s'affiner par corrections itératives. Tant que tu restes dans la méthode tu sais que à un moment donné, considérant tout ce que tu sais, les prédictions sont justes et tu as raison. Jour après jour, ce que tu savais par le passé devient faux au moment présent mais c'est juste que ta connaissance s'affine. Le socle du savoir permet juste de discuter et de se contredire en parlant le même langage. Alors qu'avec le dogmatisme, justement non pas du tout. Tu énonces des "vérités" invérifiables et ça ne prête pas le flanc à la discussion.
-
Le sens de mon message n'est pas de dire que le Chi soit plus ceci que cela; c'était plutôt un témoignage. Je pense que c'est une notion qui a été récupérée par de nombreux mouvements spirituels ou martiaux, et bien malin qui pourra en démêler l'origine exacte, comme souvent avec toutes les pratiques ou philosophies spirituelles asiatiques. Le point commun semble être la notion d'énergie, l'énergie qui vient de soi. Moi non plus je ne pense pas que ça vienne du ventre. C'était sans doute une image simpliste utilisée par un adulte en direction d'enfants.
-
La première fois que j'ai entendu parler du Chi, c'était en pratiquant le judo, j'avais peut-être 8 ans. Le ceinture noire 4ème dan nous expliquait que le Chi était une concentration d'énergie qui venait du ventre. Il fallait l'invoquer pour l'utiliser le moment venu et il était de bon ton de s'aider d'un cri, le kiai. http://fr.wikipedia.org/wiki/Kiai Donc, peu de chose à voir avec l'hypnose, enfin, à première vue.
-
C'est possible. Il doit y avoir des genre de brutes avec la tête tellement creuse qu'il ne peut y subsister que l'instant incarné. Peut-être que la spiritualité et la pratique de la méditation sont une forme de régression pour ceux trop richement dotés en imagination. Blague à part. J'ai expérimenté moi-même la méditation, il y a fort longtemps, de prime abord avec suspicion, et par la suite comme un exercice de contrôle sur soi comme un autre. Ce n'est pas le plus simple. Chacun peut y greffer la cosmogonie qu'il veut; certains en font bien commerce. Il y a des représentations internes qui aident plus que d'autres. Ce qui est sûr c'est qu'il vaut mieux penser à la surface calme d'un lac qu'au choc de deux armées moyenâgeuses. C'est un bon exercice. L'introspection peut être une voie mais ce n'est pas la ligne d'arrivée.
-
Connais toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les Dieux.
-
Ca ne m'est arrivé qu'une seule fois en sept ou huit an de compét, et encore, tout au début parce que je ne centrais pas encore assez bien, j'avais cassé tout en haut de tamis un mono fraîchement cordé. La rentabilité de la seconde raquette est vite calculée... Il y a toujours une vieille raquette dans le sac, un modèle que j'ai renouvelé, ça suffit largement en cas de coup dur.
-
Il n'y a qu'à mettre qu'une seule raquette dans le sac au lieu de deux. Pour ce que sert la deuxième raquette... moi j'ai arrêté de les acheter par paire depuis un moment. Bon ça reste cher.
-
Difference Vitesse/Force
egucha a répondu à un(e) sujet de smoby34 dans Technique - Tactique - Enseignement
Dans l'imaginaire populaire du joueur de tennis classimien il y a la notion de jeu en force qui s'oppose toujours à la notion de vitesse. Jouer en force, c'est pensé comme contracter les muscles, les bander le plus possible pour rentrer dans la balle comme un camion dans un mur, le visage vert Hulk. Jouer en vitesse, c'est pensé comme un jeu relâché, souple et délié, un Federer en tutu et chaussures de ballerine qui pose des lifts tendus en présentant un visage de marbre digne du musée Grevin. Or, il n'y a pas de vitesse sans force. Si on raisonne en terme d'énergie cinétique seulement, dans le cadre de la physique quantico loulesque (US patent #1235.458_4456), on se trouve avec une balle qui arrive dans notre raquette avec une énergie 1/2.m.v^2. Donc, au minimum, il faut lui communiquer la même énergie pour au moins la stopper, plus un chouilla pour lui faire faire demi-tour. Mais plus ce demi tour doit se faire vite, plus ce chouilla doit être grand. Donc, si je veux jouer en vitesse, comme dans l'imaginaire classimien, il faut que j'ajoute plus d'énergie afin que ce v du 1/2.m.v^2 en retour de la balle soit grand. Cette énergie c'est celle de la raquette, qui au contact vaut 1/2Mv^2, avec un M beaucoup plus grand, certes, mais constant. Donc la seule chose à faire c'est d'augmenter le V de la raquette pour que le v de la balle augmente. - "Ah mais alors je dois jouer en vitesse ?!!". - "Oui, mais comment tu vas faire pour faire aller ta raquette le plus vite possible ? Tu dois la faire passer de V =0 à V = le plus grand possible dans le moins de temps possible". - "Ok, mais une différence de V sur un temps donné, c'est une accélération, non ?". - "Tout à fait ! et c'est quoi une force appliquée à un objet ? Eh bien c'est défini comme la masse de cet objet multipliée par l'accélération qu'il subit". Donc tu dois faire aller ta raquette le plus vite possible, pour augmenter la force. Mais pas n'importe laquelle : celle appliquée au centre du tamis au contact de la balle. Et là c'est un jeu subtil. Il faut de la force musculaire, à certains instants, et un peu moins à d'autre. Mais de la force il faut, oui, assurément ! - "Et si je suis gros ?" - "Quoi ? Tu as la main, la raquette, le bras, le buste et les jambes, rigidement liés entre eux? Non. Alors laisse tomber. Contente toit d'avancer dans la balle à la même vitesse que Gilles Simon et ça suffira bien." -
précisions techniques sur l'action du lift
egucha a répondu à un(e) sujet de guillaume80 dans Technique - Tactique - Enseignement
S'appuyer sur la balle tout en la grattant. Si on oublie de s'appuyer (ou si on a peur) ça fait des coups droits de Nadal en huitièmes de Rome (ne passent même pas le filet). techniquement l'intention de s'appuyer se traduit par plus ou moins de flexion du poignet. Mais on peut aussi le faire avec l'avancée du corps, poignet bloqué; question de feeling sans doute. -
Contradictoire. Soit c'est la même intensité soit c'est plus, mais pas les deux en même temps. N'importe quoi loulou. Comme tu ne peux admettre que tu t'es trompé, tu tentes de revenir par la fenêtre en inventant une histoire de mettre plus d'intensité sans le vouloir en fonction du poids du serveur, donc une intensité qui n'en serait pas vraiment une, voyez... Alors pour un gars de 50 kg qui met en sortie de service 100 km/h et 4000 tr/min à la balle, et un autre de 100 kg qui met en sortie de service tout aussi exactement 100 km/h et 4000 tr/min à la balle, tu tentes de nous expliquer que le gars de 100 kg n'a pas fait vraiment exprès quoi. Non, il a mis son corps en mouvement par inadvertance, il a dépensé pour ce faire une énergie plus importante que le gars de 50 kg, tout autant par inadvertance. Et ça ne compte pas du tout comme intensité et effet mis dans la balle, mais alors pas du tout. En tout cas je note à présent que tu admets que seules la vitesse de balle et sa rotation en sortie de service n'ont de sens pour l'impact qu'elle peut avoir dans la balle adverse. Et pour cause, ça devient difficile de soutenir le contraire. Et c'était ça le seul motif de contradiction.
-
Quand on pense que six mois mois avant la Q15 je jouais avec la Black Ace 93, et que je ne jurais que par des profilés fins et des petits tamis... maintenant quand je reprends un cadre fin et de surface maximum 98 je me demande comment je faisais pour jouer avec
-
La Q15 280 pourrait être à considérer. Très arm friendly, avec de la patate et de la stabilité.
-
précisions techniques sur l'action du lift
egucha a répondu à un(e) sujet de guillaume80 dans Technique - Tactique - Enseignement
Je pense que c'est pas mal de le laisser ferme mais de ne pas le bloquer totalement, ce qui pourrait nuire à une bonne pénétration. C'est bien de se poser des question sur le pourquoi du comment car ça aide à se représenter ce qu'il se passe, et on peut intégrer des gestes auxquels on ne penserait pas forcément instinctivement; mais lors de l'exécution, il faut revenir à l'instinctif et se reporter plus sur la balle et l'intention. -
précisions techniques sur l'action du lift
egucha a répondu à un(e) sujet de guillaume80 dans Technique - Tactique - Enseignement
Il faut distinguer action du poignet et action de l'avant-bras. Tout ce qui concerne le lift à proprement parler concerne l'avant-bras (ce qu'on appelle de façon impropre "le coup de poignet"). En ce qui concerne le poignet, il s'agit de le placer en extension ("ouvert", à 90° avec l'avant-bras). Le poignet peut rester bloqué dans cette position pendant la frappe. Le mieux est de le laisser tranquille et de ne pas y penser. Si tu penses à bien prendre la balle devant il sera naturellement dans la bonne position. Ce n'est pas ce que je vois. La raquette est perpendiculaire à l'avant bras, qui pointe vers l'objectif. Le poignet est donc en extension. Après, ça dépend aussi du degré de fermeture de la prise. -
C'est du cybten1 dans le texte. Tu prends pour du mépris le fait que je te mette les yeux en face des trous. Or c'est plus de la sollicitude qu'autre chose car par ailleurs j'aime bien les gens qui cherchent et tu en fais partie. Seulement si je pense que tu cherches dans la mauvaise direction je préfère te le dire. C'est mieux non ? C'est une évidence pour qui a fait des études scientifiques que tu as mal compris quelque chose, s'il est exact que ton pote est agrégé de physique, car ça transparaît dans ton discours, et ça n'est en rien infamant. Tout le monde n'a pas fait de la physique dans ses études. Si tu lis mieux j'ai écrit c'est en contradiction avec la physique donc c'est une illusion. loulou redescend sur Terre, je ne sais pas de quoi tu parles, ni de quel référentiel, mais si veux discuter dans le cadre scientifique tu es obligé de t'y conformer. Maintenant, si ce cadre ne te plaît pas, tu peux raconter ce qu'il te plaira, par exemple à la mode cybten1 en utilisant le jargon scientifique pour rendre sérieux du charabia aux yeux des profanes, et là tu ne me trouveras pas pour entraver ton discours.
-
Je ne cherche pas à te manquer de respect et je suis désolé que tu le prennes comme ça mais comme tu présentes les choses comme si tu présentais ta thèse, je suis obligé de te forcer à de la rigueur. Si tu veux utiliser le langage scientifique, et parler de puissance, la moindre des choses c'est d'utiliser les unités qui conviennent et de ne pas mélanger les concepts. Si tu commences à mélanger physique quantique et classique, puissance et énergie, puissance d'un serveur et puissance d'une balle, on n'est pas rendus. Je ne pense pas avoir été irrespectueux, pour le sur la physique quantique c'était de l'amusement et pas de la moquerie; pour le reste, je pense que quelque chose t'échappe, je ne vois pas en quoi c'est se moquer que de le dire. Si j'ai fait la distinction entre le nous et le t' c'est parce que je pense que certaines choses n'échappent pas à ton pote agrégé mais que tu as du oublier une partie de son discours en le translatant ici. J'en tiens compte. S'il s'agit de ton questionnement sur le fait qu'une balle allant à la même vitesse, sans effets, paraisse plus lourde dans la raquette si elle est frappée par un molosse que par un gringalet, je pense que c'est une observation qui n'engage que toi et pour ma part je ne la considère pas comme pertinente. C'est pour ça que je dis que quelque chose doit t'échapper, ou alors, tu ne poses pas le problèmes en de bon termes ce qui fait qu'on ne sait pas vraiment ce que tu cherches à soulever. C'est ton observation, ton ressenti; c'est en contradiction avec la physique. C'est une illusion.
-
La puissance de quoi ? Là tu parles plutôt d'une énergie ( proportionnel à une vitesse au carré). La puissance ça s'exprime en quantité d’énergie par seconde. Tu alternes sans arrêt entre puissance du service (tes 2000 joules, qui ne sont d'ailleurs pas une puissance mais une quantité d'énergie) et celle de la balle sans précision. La puissance de la balle ça ne veut rien dire en tant que tel. Tu peux parler de la puissance "de la balle" si tu dis par exemple que c'est la quantité d'énergie par seconde qu'elle va communiquer à la raquette adverse. Là oui. Et elle ne va dépendre que de l'énergie de la balle avant de toucher ladite raquette, et des caractéristiques physiques de la balle, des cordes et de la raquette pour savoir quelle proportion d'énergie est réellement communiquée par unité de temps. Si par exemple la balle tourne beaucoup mais que les coefficients de friction balle/tamis sont faibles, la rotation de la balle sur elle-même aura moins d'impact sur le ressenti que si les coefficients de friction sont importants.
-
Dans la puissance de quoi ? Quelle autre chose ?
-
C'est quoi le poids d'une balle ? Une balle pèse toujours le même poids. Elle avance à une certaine vitesse et elle présente une certaine vitesse angulaire de rotation sur elle-même dans un plan donné. "une balle qui pèse 80 kilos mais qui va moins vite" ne veut rien dire du tout. On pourrait admettre ton raisonnement si on simplifiait à l'extrême et qu'on considère que la force ne vienne que des jambes et la vitesse que du bras. Le souci c'est qu'on ne sait pas de quelle force ni de quelle vitesse tu parles. Si tu veux parler de puissance d'une force, il faut considérer la vitesse de déplacement du point d'application de la force. Donc si je suis ton raisonnement, on pourrait parler de la puissance au service en l'assimilant à la puissance de la force appliquée à la balle au point d'impact (le tamis), en considérant à quelle vitesse se déplace la tête de raquette pendant qu'elle est encore en contact avec la balle. Dans cette hypothèse, tu dis que l'amplitude de la force est principalement issue des jambes et la vitesse de la tête de raquette principalement issue du bras. Si on ne peut pas négliger l'apport des jambes ça paraît improbable que toute la force vienne de là. Alors là tu te sers de ton exemple chiffré pour parler de la puissance de la balle, en disant qu'elle est plus puissante alors qu'elle va moins vite. Or, tu parlais de la puissance du service dans ton exemple chiffré. Si tu veux parler de la puissance de la balle, il faut considérer la vitesse du point d'application de la force qui est communiquée à la raquette de ton adversaire par la balle. Comme la balle pèse le même poids dans tous les cas (en dépit de tes 80 kg), le différentiel de puissance ne peut venir que de sa vitesse. Donc la puissance ne peut être plus grande pour une balle qui va moins vite, si tu ne considères que la vitesse, c'est le contraire. Ah oui mais, au fait : Qu'est-ce qu'il y a d'autre que la vitesse de translation de la balle ? J'ai parlé de la vitesse angulaire de rotation de la balle sur elle-même, et c'est là que tu peux créer une différence de sensation pour deux balles qui n'ont pas la même vitesse. Tu peux donner plus de puissance à une balle si tu la fais tourner plus vite sur elle même qu'une autre balle qui aura une vitesse de translation moindre, et au final l'énergie de la balle communiquée à la raquette de l'adversaire pourra être supérieure à celle qui va moins vite vers l'avant.
-
Dans Le truc tactique du jour, il y a de bonnes choses.