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Match en compétition libre pour les adultes et 4èmes séries
Alteo a répondu à un(e) sujet de trollix dans Juges-Arbitres
Alors, perso, moi, je ne le prends pas mal. Tu recrutes les bouches-trous dans les autres clubs ou pas ? -
Match en compétition libre pour les adultes et 4èmes séries
Alteo a répondu à un(e) sujet de trollix dans Juges-Arbitres
Je suis assez mitigé sur le sujet des matchs libres. D'un coté, effectivement,, si tout le monde peut gagner librement des matchs comptés comme officiels (même si c'est, heureusement, limité à la 4ème série), ça ne ressemble plus exactement à une compétition, où il y a une sorte de plongée dans l'inconnu, dans laquelle on ne sait pas sur qui on va tomber, un cadrage horaire avec une convocation et un tableau imposé... D'un autre, ça permet à tout le monde de jouer en match avec un enjeu, ça pimente les rencontres amicales, sans avoir à débourser ces 20€ que les perdants du premier tour voient partir en fumée (perso, j'en suis à plus de 1000€, je pense ), ça récompense les joueurs et les joueuses qui font des matchs amicaux dans le but de s'entraîner à la compétition... Et puis, surtout, c'est intéressant pour les mini-tounois ou championnat que certains s'organisent en dehors des cadres d'une compétition FFT. Je pense notamment à des exemples que j'ai rencontrés en club de mini-championnats open non-officiels organisés par un petit groupe d'adhérents, ou au tournoi interne organisé dans les stages UCPA par exemple. Dans ce genre de situation, s'il y a des points à la clé, avec un petit côté "officiel", c'est stimulant. Imaginez, un tournoi Classim 4ème série "semi-officiel" avec une finale qui opposerait le coup droit le plus pourri du forum au service le plus raté... Après, pour ne pas mélanger avec ceux qui s'inscrivent en tournoi, on n'a qu'à créer la 5ème série, de 40/5 à 40/1. -
Le prix est très vite tombé, pour un modèle récent. :) Soit dit en passant, la Pro Staff 97LS v13.0 de Décathlon est passée à 210€ (https://www.decathlon.fr/p/raquette-de-tennis-adulte-pro-staff-97ls-v13-0-noire/_/R-p-X8626160). Je reste sur ma supposition d'une grosse baisse de prix le mois prochain...
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Justement, c'est ce à quoi je voulais faire allusion dans un de mes monologues sans fin d'hier soir, en parlant de ce qui fait qu'on se sent bien sur un court (et qu'on prend du plaisir) :
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Ah, mais je viens de réaliser !!! En fait, c'est normal qu'on n'arrive à avoir aucun numéro 1 mondial ou de vainqueur de Grand Chelem dans ce pays de râleurs qu'est le nôtre !!
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Rigole pas, mais ça, ça me fait penser à un truc (oui, encore... ). J'étais coincé à 40 pendant 8 ans, avec deux victoires à mon actif dans toute ma "carrière". Un jour, je fais un stage de tennis pendant une semaine, et j'y rencontre une fille super, drôle, tenniswoman, bref, la fille parfaite. On commence une relation, je rentre à Paris, je fais un tournoi, et victoire au premier tour. Cette année-là, je monte 30/3 : c'est modeste, mais c'est un gros pas en avant après mes 8 années à 40. Hasard ? Je ne pense pas.... A un autre niveau, Serena Williams, au creux de la vague, est partie se faire un stage de remise à niveau chez Mouratoglou, et elle est redevenue n°1 mondiale. Hasard ?
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Justement, j'étais dans ce cas-là, moi : je râlais quand je ratais mes coups, et en match, quand je perdais face à des gens qui n'ont pas une grosse frappe, je pensais toujours que je jouais mal et qu'il fallait que j'aille m'entraîner. Ce qui me frustrait. Et un jour, j'ai réalisé que ce n'est pas forcément moi qui jouais mal, mais l'adversaire qui jouait bien même s'il n'avait une grosse frappe : il suffisait qu'il envoie la balle hors de ma zone de confort pour que je rate, et jamais je me suis dis que c'était moi qui devais m'adapter. A partir de là, j'ai inversé ma façon de penser : quand je rate, c'est pas de ma faute, c'est l'adversaire, le rebond, le terrain, le slip trop serré et l'adversaire qui n'arrêtait pas de lâcher des caisses (référence sud-africaine inside...)... Ca donne un peu l'impression de ne pas se remettre en question, d'être un peu prétentieux ou de rejeter la faute, mais l'air de rien, c'est en pensant comme ça que j'ai arrêté la spirale du manque de confiance. Et puis surtout, depuis, j'ai arrêté de râler sur le terrain. Enfin... Je pense qu'il ne s'agit pas tant d'être imbus de sa personne et de se voir trop beau que de garder foi en soi-même et admettre que l'erreur ne vient pas forcément d'un coup droit qui serait devenu pourri du jour au lendemain (par exemple).
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Oui, tout à fait. Pour préciser ma pensée, je voulais surtout dire que s'entraîner souvent, c'est bien, mais il n'est peut-être pas nécessaire d'en faire une obsession (ce qui a été mon cas), au risque de tomber dans le sur-entraînement. J'ai cité des exemples à titre d'illustration, mais chacun a ses propres proportions, le tout est de trouver le bon équilibre.
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Tiens, ça, ça me fait - encore - penser à un truc... Un jour, lors d'un stage, j'ai rencontré un gars, 15/4, capable de tenir la dragée haute à des 15/1, et me mettant un 6/0 sur un set sans donner l'impression de forcer (et qui se permet même le luxe de m'encourager pendant qu'on s'affronte). Je me dis que le gars doit être un joueur de club qui écume les courts avec une assiduité inversement proportionnelle à celle d'un député européen à Strasbourg. Que nenni ! En fait, le gars joue juste le tournoi interne de son club et ne fréquente les courts qu'une fois par mois ! Evidemment, on ne parle pas juste d'un mec nonchalant qui ne s'entretient pas, il est sportif et court régulièrement. Mais tout de même : comment un gars qui a mon âge peut me surclasser à ce point, alors que je jouais quasiment 5 fois par semaine à cette époque et que niveau physique, je n'étais pas tant que ça en reste, faisant en plus chaque jour 12km de vélo pour aller bosser ? J'y ai réfléchis, et j'en suis venu à la conclusion qu'il n'est pas nécessairement indispensable de bouffer du tennis tous les jours pour bien jouer. La première chose essentielle est d'acquérir une technique qui nous convient et de la rendre assez naturelle. Mais une fois qu'elle est assez instinctive, elle ne disparaît pas réellement, même si on joue peu. Donc, il suffit de garder confiance dans ses aptitudes, mouvements, gestes pour que ça revienne tout seul, pas besoin d'enchaîner les gammes pour cela. La vraie chose indispensable est d'avoir un physique entretenu, parce que tout est finalement une question de jeu de jambes, de placement et transfert de poids. Donc, oui, plus de matchs et plus de pratique, ça peut aider à garder l'instinctivité, le naturel et les habitudes, mais je pense que l'essentiel est de garder foi en soi. D'ailleurs, en parlant de ça, je repense encore à deux trucs (décidément, qu'est-ce que je pense, moi...) : 1. j'ai dit que je jouais quasiment 5 fois par semaine, mais depuis un an et demi, ça s'est très largement réduit. La faute à un double changement de club (donc, perte de partenaires) et, évidemment, au covid. Et pourtant, même si je fréquente moins mon club, je joue cette année le meilleur tennis de ma modeste vie. Tout est une question de confiance, quoi 2. à propos de l'importance du physique, cette année, en intégrant un nouveau club, j'ai commencé à jouer sur béton poreux, alors que j''étais plutôt un habitué du greenset. Evidemment, les premiers matchs que je joue dessus sont désastreux, c'est une surface que je n'aime pas du tout et sur lequel je ne suis pas à l'aise. Chaque fois que je fais un tournoi sur cette surface, je joue mal. Un jour, je me fais éclater 6/0 6/0 sur un court en béton poreux par un des adhérents, classé 30/1, que je venais de rencontrer, sur un match dans lequel je n'arrivais pas du tout à jouer. Et puis plus tard, je rejoue contre cet adhérent, mais sur greenset, et le gars me propose carrément de prendre un handicap de 2 jeux, suite à sa supériorité écrasante de la fois précédente. Je ne suis pas vexé, mais je refuse, on commence donc à 0/0, et je mène 5/2 sur un set ultra disputé dont on finira par perdre le score (parce qu'on s'est fait interrompre et qu'il y a eu un mic-mac ensuite : moi je pense que j'ai gagné ce set 6/3, lui pense être remonté 5/4 ; je ne vais retenir que ce qui m'arrange ). Pourquoi diable ai-je joué comme un pied sur béton poreux alors que j'ai été Federesque (à mon niveau) sur greenset ? Ma conclusion : ce n'est pas ma technique qui disparaît sur le béton poreux, mais mon placement et mon jeu de jambes qui étaient trop habitués au greenset, dont le rebond est très différent de celui du béton poreux. J'ai donc réalisé qu'il fallait que je renforce ces points pour être capables de m'adapter à tout type de terrain. Et ça a marché : maintenant, non seulement j'arrive à jouer sur béton poreaux, mais en plus, j'aime bien et ça ne m'empêche pas de taper la balle correctement sur d'autres surfaces. Pourquoi je raconte ça ? Parce qu'au final, des fois on perd confiance en soi et en son propre tennis... alors qu'en fait, la faute revient à notre propre état physique. Je vais reprendre les mots qu'un Classimien président de club en Seine-et-Marne (et dont je conserverai l'anonymat ) m'a dit un jour : "ton tennis, tu l'as, c'est les jambes qu'il faut travailler".
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T'inquiète, j'ai les moyens de recentrer le sujet en partant de ça. Parce qu'en l'occurence, ça me fait penser à deux trucs : 1. en match amical, il fut un temps où je perdais constamment mes nerfs et où j'avais aucun plaisir à jouer, et c'était à cette même époque que j'étais à la limite de la dépression tennistique (celle à cause de laquelle j'ai "club de curling région parisienne" dans mes historiques de recherche Google). Mais je jouais quand même, à cause de la routine et parce que je ne voulais pas arrêter le tennis sur un constat d'échec. Néanmoins, il y a une personne contre qui je pouvais jouer sans jamais perdre mon calme et, en plus, en m'éclatant sur le terrain : c'était un très bon ami à moi, un 15/4 contre qui, de toute façon, je n'avais pas la moindre chance de prendre un jeu. Et, admettant que j'allais me faire laminer, je ne me souciais pas du score. Mais surtout, comme c'était un ami, jouer avec lui était aussi un excellent moment entre potes, ce qui fait que j'étais là par plaisir, oubliant toute considération technique ou tactique. Et au final, quand je jouais contre lui, j'étais juste content d'être sur le court, et c'est dans ces condition que je jouais le mieux. 2. en compétition, il m'est déjà arrivé une fois de jouer à côté d'un match du tableau féminin dont l'une des joueuses était canon. En plus de cela, elle jouait très bien, et avait une élégance sur les courts. C'était un tel régal pour les yeux que rien que de la regarder était un émerveillement. Et, au risque que ça fasse beauf, j'avoue que j'étais tellement content d'être sur le court d'à-côté à pouvoir l'admirer que je ai ressenti une sorte d'euphorie annihilant tout le stress et me faisant jouer détendu et relâché. (Bon, après, je n'ai pas gagné mon match parce que j'étais tout sauf concentré, mais c'est une autre histoire.... ) Tout ça pour dire.... D'un avis purement personnel, je persiste à penser que la confiance vient quand le plaisir est là, mais qu'on n'est pas obligé de le chercher uniquement dans le simple fait de taper dans la balle. Je suis d'avis que la fameuse "zone" est un ensemble de facteurs qui font qu'on se sent bien sur les courts, et que ces facteurs peuvent très bien prendre des formes qui s'éloignent du simple contact du cordage dans la balle ou de son état physique et mental, et qu'on peut retrouver dans les petits à-côté sympathiques liés au tennis (l'ambiance du club, la buvette, le ou la coach sexy, la télé qui diffuse PSG-OM, etc...). D'ailleurs, quand j'avais perdu le plaisir de jouer et quand j'ai compris qu'on pouvait le ré-apprendre, je me suis certes auto-persuadé, mais je me suis aussi et surtout focalisé sur le fait de me sentir bien rien qu'en foulant le court de tennis. Et puis j'y suis allé par étape, en jouant d'abord uniquement avec des mecs ou des filles sympas avec qui je m'entendais bien, pour que la venue sur les courts soit d'abord un moment d'échange et de partage. Ensuite, parmi ces mecs et ces filles sympas, j'ai choisi les personnes avec qui jouer des matchs amicaux serait une sorte de rivalité saine et amusante dans laquelle on s'encourageait ou se charrierait gentiment sans malveillance. (Bon... seuls les mecs acceptaient de faire des matchs...) Et à force, la notion de match finissait par s'associer à des bons moments, ce qui fait que j'avais fini par prendre un certain plaisir à la compétition, puis j'ai pu revenir à l'essentiel, c'est-à-dire apprécier le simple fait de taper dans une balle : c'est à partir de là que j'ai pu reprendre goût à jouer dans toutes les conditions, avec toutes les marques de balles et avec n'importe qui. Après, ça ne se fait pas tout seul, et il faut parfois se faire violence. Et ça ne marche donc que si on aime profondément le tennis (non, parce que si l'auto-persuasion suffisait on serait tous capables se passionner pour les visites de musée d'art contemporain à caractère néo-futuriste suivies de conférences bi-partistes sur la place du minimalisme dans la portée des oeuvres du siècle dernier). Mais sans aller jusqu'à dire que je vais dans la "zone" quand je veux, je pense que la notion de plaisir est une des clés pour y parvenir. Et que ça s'apprend.
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Tu veux dire que la moitié des raisons qui t'ont rendu assidu au tennis, c'était les filles (ou les garçons) ?
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Tu as bien de la chance. La seule zone dans laquelle j'ai jamais été, c'est la friend zone, et je m'en serais bien passé.
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Manque d'explosivité spécifique au tennis
Alteo a répondu à un(e) sujet de Mimosa dans Exercices d'entraînements
Très bonne nouvelle, ça !! J'espère que la monture ne le gène pas trop pour jouer. Mais on s'habitue très vite. -
Moi, oui. Mon astuce, c'est de remplacer l'eau de l'indispensable bidon par de la vodka. Alors, oui, je boise 100% de mes frappes, mais je boise relâché. (L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, et surtout la santé mentale, visiblement... ) Sinon, pour avoir été en proie à des difficultés de relâchement moi aussi, je rejoins les propos de Denebola : le relâchement est une conséquence de plusieurs facteurs techniques, physiques, et mentaux. Et j'ajouterais : surtout mentaux ! Donc le relâchement n'est pas le but à rechercher, mais le signe qu'on se trouve dans une situation où tout est idéalement bien aligné. Personnellement, j'arrive à jouer relâché quand je suis confiant et que je prends du plaisir sur le court. Les choses qui peuvent entraver cela sont un physique défaillant, le stress, un élément extérieur (genre, l'adversaire qui n'est pas sympa, des travaux qui font du bruits, des gamins qui se mettent à jouer au foot à côté de ma voiture que je viens de lustrer, le JA qui mange des Toblerone alors que j'ai essayer d'en acheter à Carrefour et que c'était en rupture, etc...). Pour le physique, c'est facile, il faut habituer son corps, et puis c'est tout. Pour le stress, j'ai eu la même idée que toi : chanter sur les courts. Sauf que moi, c'était du Céline Dion, et que ça m'a fait gagner un match, une fois. Mais l'idée générale, c'est d'insérer mon cerveau dans une routine de pensée automatique au travers de laquelle il serait occupé à autre chose qu'à stresser, mais sans monopoliser de la ressource pour cela, de manière à garder assez d'attention dans mon match. Me chanter une chanson a marché, parce que je la connaissais par coeur et que je pouvais la réciter sans réfléchir (et je connaissais une chanson de Céline Dion par coeur le jour de ce fameux match gagné, parce que je l'avais répétée la veille pour la jouer à la guitare avec une amie ; oui, je me justifie ). Pour le plaisir, et bien, en fait.... Ca s'apprend. Si au plus profond de toi tu aimes le tennis, alors tu es capable de l'aimer dans toutes les conditions et quels que soient les défauts et inconvénients que tu peux rencontrer. Un peu comme quand ta femme te prend la tête à t'engueuler parce que, soit disant, tu as - encore - laissé traîner une chaussette sale dans l'entrée (alors qu'en fait, elle est tombée de ton sac sans que tu t'en aperçoives), mais qu'au final, tu l'aimes quand même et tu vas finir ta vie à ses côtés (surtout qu'en vrai, c'est de ta faute). Personnellement, il y eut une année où j'étais écoeuré des matchs et du tennis, et je me forçais à aller sur les courts par routine plus qu'autre chose (j'avais envisagé me reconvertir au curling). Et puis quelqu'un sur Classim m'a dit que le plaisir s'apprenait, alors je me suis auto-convaincu que je prenais du plaisir pendant mes matchs, au point qu'aujourd'hui, je suis motivé pour jouer quels que soient les conditions et les situations, même s'il y ait du vent, s'il fait froid, si l'adversaire joue trop mal, et même si je joue avec des Head Pro !! Je précise qu'avant, je n'aimais pas du tout jouer des matchs amicaux, et que, depuis, je n'arrive plus à m'imaginer sur un court à ne faire que des gammes. Et une fois que j'avais le plaisir sans le stress (et une fois que j'avais réglé les derniers détails techniques sur lesquels je butais et qui me polluaient l'esprit), j'arrivais à me mettre dans un état d'euphorie sur les courts suffisant pour enfin me faire gagner progressivement en confiance, puis automatiquement en relâchement.
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Et j'avoue que j'ai mis du temps à comprendre pourquoi il y avait plus de lumière et pourquoi il faisait plus chaud.
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Les courts de La Faluère tombent en ruine
Alteo a répondu à un(e) sujet de Benav dans Guide du routard tennistique
Ca faisait longtemps que je n'avais pas été à La Faluère (genre deux ou trois ans), et puis j'y suis allé une fois en octobre dernier. J'avais le souvenir que les courts 1 à 8 au moins étaient dans un bon état, donc je réserve le n°4.... où je découvre que tout le plateau (courts 1 à 4) était dans un état inférieur à ce que j'ai connu. Rien d'impraticable, mais clairement, le béton poreux avait quelques trous en plus et la surface avait perdu des couleurs. Après, c'est quand même super qu'on ait des courts accessibles à tous, pour une location horaire relativement abordable. Ailleurs, il faut adhérer à un club ou payer une location horaire plus élevée. (Quoi que... les courts intérieurs sont passés à 19€ de l'heure à l'unité, soit autant que dans un club de banlieue mieux entretenu) Mais je note quand même que ce type d'infrastructure favorise davantage la pratique loisir que dans les clubs (et qu'à chaque fois, mes réflexes de classimien me donne envie de dire à des joueurs "alors, fais gaffe, parce que là, tu n'as pas assez relâché ton coup droit parce que etc....", mais je me retiens ). -
Soleil ? Que signifie ce mot ? A Paris, je n'ai jamais entendu quelqu'un le prononcer... (Attends une seconde... Est-ce que je fais bien de mentionner Paris sur ce fil justement ce soir, moi ? )
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Manque d'explosivité spécifique au tennis
Alteo a répondu à un(e) sujet de Mimosa dans Exercices d'entraînements
La bonne nouvelle, c'est que jouer avec des lunettes, c'est possible. -
J'imagine aussi qu'il est dans le sud. Seul quelqu'un qui ne connaît pas la pluie peut débattre de cette question. Parce que, pour moi, évidemment que des courts couverts sont indispensables ! Ca permet de jouer en cas d'intempérie, et justement, en ce moment, j'aurais bien aimé avoir accès à nos bulles, tant la météo est défavorable. Par contre, quand le choix est possible, je préfère jouer en découvert. Mais je suis plutôt pour l'idée qu'un club dispose de courts couverts au cas où.
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Je vois que ça se passe au Cap d'Agde, et il me vient deux questions : - on a le droit de jouer habillé ? - ça a un lien avec la TennisPro Cup ? Edit : je m'auto-réponds. Oui, ça a un lien avec la TennisPro Cup, puisque ça se déroule dans cette académie.
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Changement de raquette 2021 mon grand test Clash/Vcore/VcorePro/PS97
Alteo a répondu à un(e) sujet de Taupe dans Raquettes compétitions
Pro Staff 97. -
Comparée à une 6.1 BLX, c'est sûr.
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L’entraînement pour les nuls (inspiration N. Osaka #3WTA)
Alteo a répondu à un(e) sujet de GGWAW dans Exercices d'entraînements
Inception. -
Manque d'explosivité spécifique au tennis
Alteo a répondu à un(e) sujet de Mimosa dans Exercices d'entraînements
Ah ? Moi, perso, je trouve son jeu plutôt bien, pour son âge. Bon, certes, sur du panier, il n'a pas beaucoup l'occasion de se déplacer sur le terrain, mais je constate qu'il a un jeu de jambes plutôt bon, un relâchement correct, des appuis qui me semblent convenables, et un certain engagement. T'es sûr que c'est pas le Papa qui est trop exigeant ? -
Manque d'explosivité spécifique au tennis
Alteo a répondu à un(e) sujet de Mimosa dans Exercices d'entraînements
Tu veux dire qu'il n'a aucun jeu de jambes ?