Alteo

Mouais... La gestion des marques, chez Décathlon, ça a toujours été aussi formidablement spectaculaire. Quand Artengo avait été créée pour différencier le golf des sports de raquettes, il y avait une certaine logique même si, derrière, il a fallu s'habituer à une nouvelle marque. Mais tout de même, ça avait du sens : Artengo = sport de raquette. Là où je n'ai pas compris, c'est quand Pongori, Perfly et Kuikma sont arrivées pour le ping-pong, le bad et le padel : je sais pas qui a eu cette idée de tout segmenter à outrance, chez Décathlon, mais il n'a pas dû saisir qu'avec 3 noms totalement inconnus, il allait désorienter la clientèle, surtout dans des sports où Décathlon a un déficit d'image très net et où il aurait été peut-êtrep plus judicieux de conserver un nom déjà bien ancré dans les rayons. Et après avoir multiplié les marques, voilà qu'on les rationnalise... qui plus est en faisant disparaître une marque qui a travaillé très dur pour faire parler de son nom dans le milieu du tennis, à coups de sponsoring de tournoi, de partenariats avec des pros dont un top 100 mondial, de conception de modèles sérieux. Elle était parvenue à quasiment se sortir de son image de produits pour débutants ou loisir, et on gâche ce travail en la renommant Inesis comme au temps du sponsoring de Fabrice Santoro. Incompréhensible... Et encore, l'histoire d'Artengo n'est pas la pire de chez Décathlon : il y a celle des vélos. Quand Décathlon Cycles a décidé de se donner un nom de marque, ils se sont lancés en tant que B'Twin, prenant le nom d'un modèle à très fort succès. Seulement voilà : ce nom était très ancré dans l'imaginaire du public comme celui d'un vélo loisir polyvalent. Résultat : 50% de vente en moins en 2006 sur les VTT, car les clients ont eu du mal à percevoir des vélos marqués "B'Twin" comme des modèles pointus (véridique !). Alors ils ont rendu le marquage plus discret, n'affichant le nom de B'Twin que sur les catalogues et non plus sur les vélos, puis ils ont travaillé la marque pour la transformer petit à petit en nom sérieux pour le vélo. 6 ans plus tard, après un lifting du logo, la sortie de modèles très techniques en VTT et en route, la construction d'un magasin dédié au vélo à Lille sous le nom de B'Twin Village, B'Twin était enfin perçue comme une marque de vélo. Et donc, en toute logique... ils ont gardé ça comme ça pendant 5 ans, avant de décider de segmenter les vélos et de créer des marques spécifiques pour chaque discipline, en abandonnant le nom de "B'Twin". Et aujourd'hui, tout va revenir sous la bannière B'Twin, sauf les vélos de route. Bref, je disgresse.... mais je trouve que ce qui se passe pour Artengo en particulier, et pour tout Décathlon en général, est un véritable cas d'école pour tout ce qui touche à l'identité de marque et l'image : d'abord ils font le mieux à faire, puis ils font le pire. On dirait franchement moi dans un jeu au service : d'abord je fais 3 aces, ensuite je fais 4 doubles-fautes. Heureusement que ce sont des marques vendues uniquement en magasin Décathlon et qu'à ce titre, ils ne perdront pas la clientièle habituelle des pratiquants occasionnels. Mais certains choix me laissent pantois en ce qui concerne la captation du public plus expert.

Tiens tiens... On remarque un truc dans la dénommination que j'avais déjà cru apercevoir sur les balles : finie la nommenclature en deux lettres et 3 chiffres, place à un simple nom indiquant la pratique ciblée. Ces Fast me semblent remplacer les TS590, si j'en crois le prix et la description. J'imagine qu'il y aura un modèle Strong pour remplacer les TS560. Les anciennes sont en soldes, d'ailleurs.

Mais en fait, 18€ la garniture de TGV et 24 pour le X-One, c'était déjà le prix avant la guerre en Ukraine. Les multi chez Tec, c'est cher, mais comme ça l'était déjà, c'est un des rares trucs à ne pas subir l'inflation. Sinon, au vu de la hausse généralisée du cordage (sauf chez Tec, déjà cher, donc), j'ai pris une décision Radical (mais pas chez Head) : je ne mets plus de cordage. Ben oui, à faire des contre-perf à classement -3 en tapant le bois, le cordage devient facultatif.

Ah ? Navré de voir qu'il ne te convient pas... mais c'est ainsi. Par contre, je suis étonné que la raquette de tennis ne puisse pas cohabiter avec celle de padel, puisque j'arrive à y mettre deux raquettes de tennis sans problème, et une troisième en forçant un peu la fermeetutre éclair côté manche des raquettes (sous-entendu : il y a la larqueur pour les trois raquettes côté tamis). Je ne me serais jamais doûté que ça ne passerait pas avec une raquette de padel (mais je ne remets pas ta parole en question, je fais confiance à ton expérience ).

Ben oui, avec Classim, tu peux même commencer à poser une question sur une bagnole que tu te retrouverais à acheter une raquette et un cordage multi-filaments posé en 4 noeuds à 17/16kg, basse tension oblige.

D'ailleurs, j'ai oublié une précision sur l'Artengo BP900 : les bretelles résistent, alors que je trimballe souvent 5 à 7kg d'affaires, entre le PC, le matos, et les antivols. Mes deux précédents sacs Wilson commençaient à avoir des coutures qui lâchent alors que je n'y avais jamais emporté d'antivol (j'ai commencé à attacher mon vélo au bureau après être passé sur l'Artengo, sans qu'il y ait de lien de cause à effet). Et, oui, je trimballe tout ce poids, et pourtant, ça ne se sent pas sur les épaules, parce que le sac est ultra confortable. A noter que je n'ai jamais tenté de prendre un Ouigo avec, parce que, même s'il est relativement compact, je crains que la hauteur du sac ne rentre pas dans les dimensions règlementaires et que le personnel viennent me chercher des poux. En revanche, je l'ai déjà pris en bagage cabine en avion. Cela dit, je pense que ça passerait en Ouigo quand même, mais je n'ai jamais osé tenter...

Je ne trouve pas la coque extérieure moche, sur mon BP900... mais c'est un avis subjectif. Je ne sais pas comment te répondre sur la dureté, par contre... Je dirais que c'est rigide, suffisamment pour protéger les raquettes d'une chute ou d'un coup, mais pas dur au point de pouvoir servir de marche-pied par exemple (ce qui est dommage, parce que j'aurais bien eu besoin de ce genre de fonctionnalité pour récupérer une balle dans la gouttière, tout à l'heure... ). Mais globalement, cette dureté ne me gène pas, ça ne fait pas un sac trop imposant, il reste relativement compact, et au contraire, j'apprécie bien d'avoir un sac où mes raquettes sont à l'abri. Pour l'instant, ça vieillit bien... mais je nuance par le fait que ce n'est pas mon sac principal, donc je ne l'utilise pas tous les jours non plus. Cela dit; plus globalement, je trouve ce sac quand même très qualitatif : par exemple, les coutures des bretelles n'ont toujours pas cédé, là où des sacs Wilson résistaient beaucoup moins. Du côté de la poche pour ordinateur, elle n'est pas énorme, mais il y a peut-être de quoi faire. Mon laptop de 15,4" rentre sans problème sans housse... mais je pense qu'il rentrerait quand même sans problème si j'ajoute une housse pas trop épaisse. Je pense qu'il est possible de coincer une tablette également, mais c'est à tester. cela dit, Pas sûr qu'un PC de 17" passe, car sur mon 15,4", les coins du PC tirent légèrement sur le sac ; il est d'ailleurs difficile de le fermer quand on blinde le sac... mais comme je disais, j'arrive à caser un pantalon, une chemise, un polo, un short, un PC, une chaîne antivol de vélo, une spirale antivol de vélo, un tube de balles, une gourde, et une petite trousse de toilette sans que ça ne pose de problème.. Franchement, si je n'avais pas la volonté d'utiliser mon sac 6 raquettes Wilson pour me donner un air de branleur du tennis, j'utiliserais uniquement le sac à dos Artengo.

C'est trop tard pour répondre à cette question ? Oui ? Bah tant pis, je réponds quand même. J'ai ce sac depuis fin 2019 (ou fin 2020 ? Je ne sais plus... je sais juste que je l'ai acheté avant que son prix augmente). Il complète mon sac Wilson "normal", lorsque j'ai besoin d'emporter mon matos de tennis au boulot, soit dans le métro, soit en vélo, autrement dit, lorsque ma raquette, ma tenue, mes chaussures et mes balles doivent cotoyer mon laptop, mes vêtements de ville, et éventuellement un antivol vélo. Et le truc fou, c'est que tout ça, ça rentre ! La présence d'un comportiment à chaussures en bas du sac le rend moins compact que les autres sacs à dos de tennis, mais en contre-partie, il laisse un espace assez grand pour le reste. Et puis, en vérité, cette compacité en moins ne se fait absolument pas ressentir : il se porte facilement et s'avère hyper confortable. Il possède à l'intérieur une poche pour le laptop et une autre poche pour les petits objets, tandis que se trouvent à l'extérieur une autre poche pour les petits objets et une petite poche pour les cartes sur une des deux bretelles. Dommage toutefois qu'elle soit trop petite pour en mettre plus d'une ou deux... Le gros plus reste le compatiment à raquettes : déjà, parce qu'il protège l'ensemble de la raquette dans une coque rigide, là où les autres laissent le manche apparent. Et surtout, si ce sac est fait pour en contenir deux, il est possible d'en mettre une troisième en forçant un tout petit peu. Je l'avais pris en sac d'appoint, mais je pense qu'il aurait pu tout aussi bien me servir de sac principal. Bref, pour ceux qui se tâtent, je le recommande chaleureusement.

Pour quoi faire ?

Alors, moi, pour les jambes de feu, j'ai un truc : de l'essence, un briquet, et pouf, j'ai des jambes de feu. Avantage : efficace, résultat immédiat Inconvénient : ne fonctionne qu'une fois... Sinon, plus sérieusement, je plussoie l'exercice des escaliers de Didier : quand on m'a fait comprendre qu'il fallait que j'active mon jeu de jambes entre les frappes (avant, j'avais tendance à être attentiste après avoir renvoyé une balle), j'ai commencé à monter les 4 étages de mon bureau marche par marche, en foulée rapide. L'avantage, c'est que ça joint l'utile au désagréable, car au lieu de faire un exo pour faire un exo, j'utilisais un effort que je devais faire pour aller bosser de manière à le transformer en exervice pour le tennis. Au début, je faisais ça 2 à 3 par jour, puis je m'obligeais à sortir prendre l'air pour ainsi ajouter deux séances de montée d'escalier par jour... ce qui, au passage, me poussait à faire des pauses salvatrices pour la productivité au travail. Bref, avec les escaliers, tu joues mieux au tennis, tu économises l'electricité de l'ascenseur,.tu deviens plus énergique, plus motivé, plus productif, ton chef remarque tes nouvelles perfomances au travail et te donne une prime, une augmentation et une promotion, tu gagnes plus d'argent et deviens plus riche, tu achètes une Ferrari, et tu séduis les michtonneuses. Franchement, c'est tout bénèf. (Non, mais sérieusement, monter les escaliers en foulée rapide, c'est efficace, vraiment) La corde à sauter aussi, ça marche bien en principe, si tu arrives à aménager quelques minutes dans la journée pour la pratiquer... ce qui n'est pas trop mon cas, j'avoue. D'où ma préférence pour l'escalier.

Le prix a déjà commencé à baissé, si j'en crois le fait qu'il soit barré.

Ah, je vois ! Je ne connaissais pas cette subtilité. Merci pour l'éclaircissement.

Par contre, un truc m'échappe... Descendre en septembre puis puis remonter dans la foulée, ça me semble normal. Mais descendre à nouveau deux mois plus tard, ça m'intrigue... Je pensais qu'après la montée, on ne pouvait pas descendre avant 12 mois. Comment c'est possible ?

Franchement, oui. S'il redescend dans le mois qui suit, c'est qu'il a passé un an sans réussir à maintenir son classement, donc il me semble logique de le considérer comme classé en dessous. Plus globalement, dans la mesure où on peut monter une fois par mois et ne descendre qu'une fois par an, considérer le classement du mois N+1 me paraît plus équitable.

Encore que la bouffe gratuite, en Ile-de-France et chez les hommes en tout cas, je n'en ai jamais vu la couleur. Sinon, clairement, je ne me serais pas retrouvé à enchaîner un match le ventre vide 1h30 après avoir fait un marathon de plus de deux heures, la semaine dernière. A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faudrait que le classement pris en compte soit celui du mois N+1 : j'ai gagné contre un 30/1 fin décembre qui avait les points pour monter 30 une semaine plus tard, donc dans le jeu, c'est bien un 30... mais il sera compté comme un 30/1. (Bon, c'est pas grave, c'était un match à coefficient 0,6, il n'y a pas une grosse différence comptable, mais pour le principe...)

C'est drôle, mais c'est exactement le point de vue que j'avais sur ces deux raquettes quand je les ai essayées toutes les deux. Au final, j'ai opté pour la 960 parce que je voulais privilégier le plaisir et les sensations à l'impact. Après, j'ai envie de dire que la puissance et le lift, en bossant à fond (et très dur), c'est possible de l'obtenir avec la 960. Alors que le son à l'impact, tu ne l'auras jamais avec la 990. Mais ce n'est qu'un point de vue....

A titre personnel, je ne bois pas de bière dans l'absolu (sauf cas exceptionnels), et je ne prends jamais de Red Bull, qui est une boisson énergisante (donc stimulante) mais pas une boisson énergétique (donc apportant de l'énergie). Côté tennis, depuis qu'on m'a convoqué un jour à 9h un dimanche matin en tournoi, que j'ai tenté de compenser la courte nuit précédente par une bonne dose de café, et que je me suis retrouvé dans un état d'énervement accentué par le stress du match à un point où je tremblais et n'ai rien pu faire sur le court pour m'empêcher de prendre une bicyclette, j'évite de prendre tout ce qui stimule avant un match (amical ou non). Donc, dans ma gourde, il n'y a que de la vodka..... euh... non, de l'eau.

Je les ai vues toutes les deux en magasins, et pour moi, sur le plan de l'aspect, la Control Pro est clairement une Precision avec un nouveau paintjob (et 30€ de plus). A voir sur le terrain, ensuite...

C'est exactement mon cas... Ne me donne pas ce genre d'idée, j'ai encore besoin de corder des raquettes, moi.

Vu les prix que pratique Wilson ces temps-ci, je pense que tu peux même commencer à vendre ta voiture.

Bon, alors, en fait, on la trouve déjà en magasin, cette TR960 Control Pro. Y'a pas à tortiller : elle sort clairemnet du même moule que la TR960 Precision, elle a les mêmes specs sur le papier,, elle a les mêmes joncs, dispose aussi du Soft Feel, et outre le paintjob, les deux seules différences sont l'élastique du grip qui n'a plus le logo Artengo (mais le nom "Artengo") et le bouchon de manche. Bref, à moins que quelqu'un proche d'Artengo nous indique qu'il y a une différence de conception quelque part dans le cadre, pour moi, la Control Pro semble être une Precision avec un nouveau paintjob, un cordage en moins (mais qui va s'en plaindre ?) et 20€ de plus à laisser en caisse (mais qui ne va pas s'en plaindre ?). A tester sur le terrain... Cela dit, je chipote sur le prix, mais à 110€, ça reste une affaire quand même (et il faut se rappeller que les premières TR990, lancées quand Artengo était encore à la poursuite de son image, affichaient un prix de 119€, avant de baisser à 89, vraisemblablement parce qu'elle ne se vendaient pas). Une autre différence rigolote : sur l'espèce d'auto-évaluation en 5 points affichée sur le carton, entre puissance, prise d'effet, précision et maniabilité, les notes sont les mêmes que sur la TR960 Precision, à l'exception près que la précison perd un point, passant de 5/5 à 4/5. Soit le nouveau modèle a été rendu moins précis, soit l'auto-évaluation a été revue pour laisser la version "Tour" afficher une meilleure note sur ce point .

J'avais même pas vu. En plus, juste en dessous, ils mettent en avant leur cordage mono-filament TA960. C'est sûr qu'ils cherchent à former la nouvelle génération à la dure.

D'après la page dédiée à la TR960, il y aura bien une version "Control" tout court (aux côtés des "Tour" et "Pro") : https://www.artengo.com/tr960 Si on suit la logique chez Artengo, je suppose qu'il s'agira d'une version plus légère, à 285g, ce qui serait une première pour cette raquette, puisque la TR960 Precision n'a jamais existé dans un poids inférieur à 300g. Et si cela s'avère exact, je pense que ce sera une excellente chose pour les bras "légers" (notamment les jeunes et les femmes) pour découvrir cette gamme, qui était déjà très maniable dans sa version 300g. A suivre...

Il semble que la TR960 Precision ait réellement été destinée à un remplacement par une gamme nommée "Control", comme le laissait supposer la TR960 Control Tour de Gaël Monfils : voici venir la TR960 Control Pro. https://www.decathlon.fr/p/raquette-de-tennis-adulte-artengo-tr960-control-pro-noir-gris-non-cordee/_/R-p-333332?mc=8650738&c=NOIR Elle s'appelle donc "Pro" pour indiquer son poids de 300g non cordée, à l'instar de la gamme TR930 Spin et de la gamme TR990 Power. Et sur les quelques visuels disponibles ainsi que sur les specs, on pourra fortement imaginer qu'il s'agit en fait d'une évolution de la TR960 Precision. Pour l'instant, difficile de savoir s'il s'agit juste d'une évolution cosmétique, mais en tout cas, on remarque qu'il s'agit déjà d'une forte évolution budgétaire.

Si tu veux rester chez Babolat, je te conseille la gamme Pure Strike. La Pure Strike 100 me paraît la plus polyvalente, avec une appétence pour le contrôle. Mais j'aime à répéter que je préfère les sensations de l'Artengo TR960 Precision, pour une efficacité et une polyvalence très équivalente, et un prix très inférieur. Après, vu que tu possédais déjà une raquette à tamis 98sq.in et que tu as un bagage physique, peut-être que la Pure Strike 18/20 pourrait te convenir : elle est un peu plus lourde, un peu moins maniable et un peu moins polyvalente, mais quand on sait la prendre en main, c'est un régal de contrôle et de stabilité.