Jolitorax Posté(e) le 11 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 11 octobre 2005 Tout s'améliore au fur et à mesure des classements . Citer
Invité buns Posté(e) le 11 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 11 octobre 2005 Tout s'améliore au fur et à mesure des classements . ← voilà qui est dit. Citer
Jolitorax Posté(e) le 11 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 11 octobre 2005 voilà qui est dit. ← ben faut pas chercher plus loin... Les 4èmes séries trouvent les 3èmes séries injouables. Les 3èmes séries trouvent les 2èmes séries injouables et les 4èmes séries nuls. Les 2èmes séries positives trouvent les négatifs injouables et les 3èmes séries nuls. etc... Citer
Invité buns Posté(e) le 11 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 11 octobre 2005 1er match = tournoi de Dieuze qui débute le 26 novembre ! j'espère faire comme votre 15/5 ← ah ben, c'est tout le mal que je te souhaite !!! de mon coté, pour progresser, va surtout que je me mette à faire de la course à pied. Pcq jouer en marchant, ça marche pas longtemps Citer
Invité buns Posté(e) le 11 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 11 octobre 2005 ben faut pas chercher plus loin... Les 4èmes séries trouvent les 3èmes séries injouables. Les 3èmes séries trouvent les 2èmes séries injouables et les 4èmes séries nuls. Les 2èmes séries positives trouvent les négatifs injouables et les 3èmes séries nuls. etc... ← C'EST PAS FAUX !!! remarque je trouve les 15 jouables moa encore...lol Citer
Invité Pex Posté(e) le 3 novembre 2005 Signaler Posté(e) le 3 novembre 2005 Et si tu ne cherches pas à connaître le classement de ton adversaire avant le match et que tu joues ton jeu, tu peux avoir de bonnes surprises à la fin du match. ← Je suis bien partisan de cette technique, c'est vrai que de ne pas savoir le classement de son adversaire permet d'enlever les complexes et d'imposer son style de jeu Citer
Cley Posté(e) le 13 avril 2014 Signaler Posté(e) le 13 avril 2014 Là l'histoire des paliers, à un moment donné ok mais si tu gagne contre un mec de ton niveau constamment, avec les points tu vas monter mais ça voudra pas forcément dire que tu as le niveau. Gagner beaucoup de match contre des niveaux équivalent ou moins bons c'est possible et ça rapporte aussi même si il faudra plus de matchs mais c'est pas révélateur Citer
bricou51 Posté(e) le 13 avril 2014 Signaler Posté(e) le 13 avril 2014 Posté 03 novembre 2005 - 14:26 Posté 13 Avril 2014, 22:26 Tu as sorti une pelleteuse pour le déterrer ce topic ???!!! Citer
bugfix Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Je joue très peu de matchs officiels mais regulièrement des matchs amicaux entre 30/4 et 15/3 et mon impression est que globalement jusqu'à 30 l'important c'est la régularité, ne pas faire de fautes. Ensuite de 15/5 à 15/3 il y a la regularité mais aussi au moins un coup fort et il faut aller chercher les points, les gagner car le joueur en face ne fait plus de fautes sur des balles sans réelle puissance. J'ai personellement l'impression qu'un des problèmes que je dois régler maintenant est mental à savoir prendre le risque de claquer un coup gagnant ou un coup qui me permet de prendre l'avantage et par exemple de finir à la volée sur mon coup fort (le moins faible devrais-je dire pour rester réaliste ) Je n'ai jamais joué de joueur au dela e 15/3 donc je ne sais pas ... Citer
solmhyrn Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Pour moi, au delà de 15/3, l'absence de point faible est suffisant jusqu'à la 2nde série. Faut pas avoir de coup ou il suffit de jouer dessus pour faire le point. Et faut avoir juste un peu de physique, pas forcément un gros physique, mais faut pouvoir courir un minimum pendant 2h00. Citer
alcyon69 Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Déjà je trouve réducteur d'assimiler une série complète à un niveau de jeu globale ! En 4ème série, en général un 30/5 joue moins bien qu'un 30/1. J'imagine qu'un 15/1 joue également mieux, plus vite, plus fort qu'un 30 ou un 15/5 ? En définitive, et en réduisant à la 3ème série au complet par rapport à la 4ème série, je dirais qu'ils ont : Plus d'expérience et donc plus de matchs que nous autres 4èmes séries ! Du coup, je les vois moins "mouiller" quand ils jouent en contre, non ? Alors que pour ce qui me concerne, étant 30/1, si j'affronte un moins bien classé qui résiste : Je joue crispé ! Evidemment, il jouent à un rythme plus élevé que nous, donc en définitive ont un meilleur tennis ! Ce qui permet d'avoir plus confiance en leur coup et même sous la pression de faire sans doute moins de fautes directes que nous 4ème série. A compléter... Citer
loulou Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 la différence essentielle c'est la confiance je diverge juste sur sa définition, la confiance c'est être capable de ne pas surjouer ou sous jouer alors que en face sur le papier le classement est plus élevé que le tiens. Sur le papier : plus de victoires à des classements plus élevés, donc plus de confiance. Sur le terrain ça se traduit par : je tente moins n’importe-quoi et je brade moins les points. En faisant une généralité (quitte à me faire tirer dessus), ils ont un peu plus compris qu'il fallait déjà jouer dans le terrain, donc ils font ce qu'ils peuvent et sont plus lucides sur leurs propres capacités. Après évidemment pas de grosse différence entre 30 et 30 /1 , mais si je prends 15/5 vs 30/2 , la différence essentielle se situe là, on voit souvent des 30/2 qui ont plus de vitesse de balle que des 15/5, mais quand le mec monte au filet le 30/2 tente un passing de ouf et fait une faute, le 15/5 fait un lob, plus de sérénité. Citer
Iceolo Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 C'est le nombre de faute direct sur des balles qui ne devraient pas être faute pour moi la différence. En 4éme série, même en 3 éme mais moins, si l'adversaire attaque, il faut défendre et essayer de bien renvoyer la balle. En fonction de ton jeux, quand tu as une balle facile tu peux attaquer ou la renvoyer dans une bonne zone avec le bonne effet. Et c'est pareil, une balle poussé, coupé, longue flottante, en cloche... c'est pas une balle facile à attaquer. Le truc que j'aime beaucoup c'est quand je regarde certaines personne jouer. Elle rate 9 fois sur 10 le même coup, généralement une grosse frappe qui sort de 2/3 mètres. Et quand elles le réussissent finalement tu entends: "Tu vois que c'est facile..." Citer
loulou Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 lol témoignage rigolo, je vois effectivement ce genre de joueurs ça me fait poiler. Je reviens rapidement sur le sujet, je crois que la confiance c'est un peu la base de tout dans le tennis, la première fois que j'ai perfé en seconde série c'était à 5/6 (j'avais jamais perfé à 15). Le déclic est venu tout seul sur un point.... je mange, je mange , je mange, je m'accroche et en bout de course je fais un lob (au lieu de tenter passing long de ligne), le mec en face smatch bas du filet... j'étais tout étonné, mais ça a fait tilt, c'est devenu beaucoup plus facil de jouer et de battre des secondes séries, je crois que c'est le même schémas partout quelquesoit le classement. Le mec 0 qui joue a numéroté il fait un non match en mettantque des brins et ils sort satisfait parcequ'il a prit 1 et 1. Le 15/3 qui joue à 15, c'est la même chose, etc... Peu de joueurs sont capables de jouer sereinement lorsque l'écart de classement est énorme, or c'est ça la clef de la victoire, ne pas surjouer ni sous jouer, ça passe par la confiance. Dernier point : si on prend les textes fédéraux, la différence entre un troisième et un quatrième série c'est la maitrise des effets. Citer
solmhyrn Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 +1 J'en ai gagné des matches comme ça, en jouant une balle inoffensive à mi-court dans le "point fort" de mon adversaire, que je voyais revenir à 200km/h mais 30cm derrière la ligne Et j'ajouterais que ce genre de point, ça se provoque. Y a des joueurs à qui il faut donner à manger... Citer
solmhyrn Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 la différence essentielle c'est la confiance. Sur le papier : plus de victoires à des classements plus élevés, donc plus de confiance. Sur le terrain ça se traduit par : je tente moins n’importe-quoi et je brade moins les points. En faisant une généralité (quitte à me faire tirer dessus), ils ont un peu plus compris qu'il fallait déjà jouer dans le terrain, donc ils font ce qu'ils peuvent et sont plus lucides sur leurs propres capacités. Après évidemment pas de grosse différence entre 30 et 30 /1 , mais si je prends 15/5 vs 30/2 , la différence essentielle se situe là, on voit souvent des 30/2 qui ont plus de vitesse de balle que des 15/5, mais quand le mec monte au filet le 30/2 tente un passing de ouf et fait une faute, le 15/5 fait un lob, plus de sérénité. Je suis pas du tout d'accord avec ça. Tu as un tas de mecs en 3è série qui, s'ils étaient plus lucide sur leur jeu, seraient à 4 ou à 3. Un tas de joueurs qui ont un niveau largement au dessus de leur classement, mais qui ne savent pas "jouer" au tennis. Ils savent taper dans une balle, et leur niveau technique leur assure la 3è série (oui, parce qu'à un moment, faut pas me dire qu'on a une bonne technique en 4è série, qu'on joue 15/3, mais qu'on se chie dessus en match, alors on est 30/2, sauf si on fait 3 matches dans l'année), mais ils ne savent pas "jouer". Et j'ajouterais que l'énorme différence ne vient pas de la raquette, de la gestuelle, mais plutôt de l'utilisation des jambes. Citer
loulou Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Pour les jambes tu prêches un converti. .. Pour le reste je suis mitigé, je ne dis pas que c'est faux, je dis qu'il y a de tout, donc ton exemple est juste pour certains faux pour d'autres, je pense cependant qqu'on voit souvent un 30/2 faire 4 double fautes par jeu parcequ'il s'imaginne qu'il faut servir comme une brutte, et rarement... jamais ??? un 15/5. après réflexion le 15/5 me parait plus lucide que le 30/2, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'il est lucide, c'est un degré / niveau de lucidité, il peut avoir assez de lucidité pour obtenir un classement de 15/5 et pas assez pour obtenir un classement de 15/3. c'est le gros souci de ce genre de débat, d'un point de vue strictement théorique on pourrait dire , que les différences flagrantes sont la maitrise des effets et la régularité. le problème c'est que ces paramètres sont fonctions d'autres éléments : les effets : technique / relachement/ nombre de capteurs dans la main / anticipation pour jouer l'effet juste au moment approprié régularité : niveau technique /nombre de capteurs dans la main/niveau de jambe et d'équilibre/coordination/capacité à utiliser une réponse approprié à la situation (anticipation) le niveau de jambes : appuis / déplacements le coup d'oeil : anticipation plus ou moins rapide des trajectoires et j'en oublies, car la liste est très longue. Citer
denebola Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Le coté essayer de sectoriser et hiérarchiser les joueurs en fonction du classement est forcément un peu réducteur car en fonctionnant de cette manière on est toujours sur le coté "un manque à combler" donc une espèce de coté jamais content de ce que l'on a ou encore une formation stéréotypée quel que soit le joueur sans s'occuper de ses attente ni de ses forces et ses faiblesses. Pour progresser au classement à mon sens il y a deux grands pôles distincts (et pardon d'avance si je reprend certaines choses qui ont déjà été dites précédemment car j'ai volontairement pas tout lu pour écrire ce post) : - la connaissance de soi - la capacité à répondre au problème que va poser la balle adverse Sur le premier point, soit la connaissance de soi, il va y avoir plusieurs facteurs : - quels sont ses propres points forts, points faibles (techniques, physiques, mentaux) ? - quel type de jeu est celui que l'on préfère jouer ? Quel type(s) de jeu(x) suis-je capable de jouer ? Ai-je une solution de rechange si mon type de jeu privilégié ne fonctionne pas ? - quel type de jeu me permet d'être le plus efficace ? - quel est mon objectif principal dans le tennis ? - quel(s) investissement(s) je me sens disposé à faire en terme de temps et de moyens financiers pour atteindre ces objectifs ? Sur le deuxième point, c'est à dire l'action de l'adversaire, il va falloir se reposer sur la théorie de l'action motrice : chaque action va suivre le schéma de base suivant : Analyse de la situation => Choix d'une réponse => réalisation de la réponse => analyse du résultats de l'action (feed-back) De ce fait il y a trois grands pôle d'erreur possible : - une mauvaise analyse de la situation ou analyse trop tardive. Cela arrive souvent au tennis lorsque l'adversaire propose une réponse qui va nous surprendre soit par le type de réponse, soit la l'intensité, la vitesse, l'effet ou la zone recherchée. L'important dans ce cas là est de pouvoir jouer contre le plus de partenaires possible afin de développer l'oeil et la capacité d'analyse d'une situation, et même quel que soit le niveau du joueur. - une réponse inadaptée qui peut être soit liée à une mauvais analyse, soit que la balle provoque un chamboulement de la coordination motrice, soit à une mauvaise représentation de la qualité du coup à réaliser. Pour le coté coordination, le joueur doit pouvoir se confronter au plus grand nombre possible de situations motrices afin de développer des automatismes de réponses adaptées au plus de situations possibles. Varier les partenaires, les vitesses de jeu ou varier les situations de jeu permet de travailler dans cet optique. S'il n'y a pas beaucoup de type de partenaires différents, on peut imaginer des "jeux de rôles" ou des mises en situations qui vont permettre de se confronter à des situations différentes. Pour la mauvaise représentations du coup à réaliser, il y a à la fois un problème de représentation de la qualité de l'adversaire qui apparait comme un monstre contre qui il faut faire un coup extraordinaire pour marquer le point, mais aussi un manque de confiance en la qualité de son propre jeu (et là je rejoints loulou sur le confiance en soi). La capacité à jouer son jeu sans avoir à forcer à la fois sur la vitesse, la précision ou encore sur le choix coup à jouer c'est surtout une prise de conscience se ses propres capacités. - pour la mauvaise exécution de la réponse, on retombe un peu sur les deux points précédents avec les soucis lié à la coordination et en particulier la capacité à adapter son geste au temps disponible, une réponse qui ne correspond pas aux problèmes posés par la balle adverse. Un quatrième point est forcément l'aspect physique car avec une plus grande capacité d'adaptation, la régularité et la précision s'améliorent et donc le nombres de balles difficiles jouées lors d'un point également. Il n'y a qu'à voir un joueur à 30/1 jouer avec un seconde série : sa première impression sera d'être fatigué même si l'on est que sur un échauffement en demi-terrain. Un dernier point qui est souvent sous exploité, c'est le coté matériel : une raquette et un cordage adaptés, à la fois à ses capacités techniques mais également à son style de jeu peut permettre de gagner en qualité de frappe et d'exécution. Après, la difficulté pour progresser est que souvent lors des entraînements, il y a une séance pour un groupe alors qu'il faudrait une séance pour chaque membre du groupe afin d'assurer une meilleure progression dans son propre jeu et non pas selon un "idéal" forcément limitant. Citer
Alarue Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Clair, factuel, pas filandreux et pas ésotérique..Merci Citer
makouille Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Clair, factuel, pas filandreux et pas ésotérique..Merci Ouais, et pas une once de physique quantique, ça fait des vacances Citer
alcyon69 Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Nickel Denebola, intéressant et compréhensible comme d'habitude J'allais le dire Citer
loulou Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 je ne pense pas que la connaissance de soi diffère de la lucidité, je pensais que le terme régularité voulait justement dire : répondre au problème que pose l'adversaire, à la vue des réactions ce n'est pas clair pour tout le monde Pour la suite, même combat, Donc c'est très bien d'avoir précisé tout ça en le réécrivant merci ‹ Citer
Omi94 Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Hello, Je me permet donner mon avis étant moi même 15/3. Quelque soit le classement auquel je suis confronté la première chose à laquelle je m'attache c'est de remettre la balle dans le court ! (pas en la poussant non plus mais jamais de risque inconsidéré) D'une part cela me permet de me donner de la confiance et d'autre part cela évite les points gratuits. Cela rejoint un peu ce que j'ai lu plus haut : la lucidité. EN AUCUN CAS UN POINT GRATUIT !!! Ancien footeux malgré mes 38 ans j'arrive encore à faire l'essuie glace. Et même en contre cela ne me dérange pas et aucune honte à cela. On est tous d'accord : c'est bien celui qui remets la balle dans le cours le dernier qui marque le point non ??? Après il est vrai que je suis généralement plus crispé quand je joue en contre mais je m'attache à ne jamais déroger aux fondamentaux : remettre la balle ! L'adversaire doit faire un autre coup de raquette pour marquer le point. Et là on est pas à l'abris d'une erreur même en jouant à 15 dans mon cas... En jouant en perf j'ai moins de crispation mais en aucun cas je n'essaie de surjouer. Et par expérience les 15/1 que j'ai joué aimaient quant il y avait du rythme. Si je joue dans cette filière contre eux, je prend 1 et 1. Dans ce cas, j'arrondis les trajectoires et cela me permet des me replacer plus facilement.... Citer
Omi94 Posté(e) le 13 mai 2014 Signaler Posté(e) le 13 mai 2014 Mais oui loulou : les jambes !!!! les jambes et encore les jambes !!!! Citer
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