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STEPHW

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Tout ce qui a été posté par STEPHW

  1. dis donc dora118 (118 Allo ?), si tu baissais d'un ton tu serais gentil. Si c'est si difficile que ça de trouver des joueurs pour les équipes...le club n'engage pas d'équipe épicétou! dans mon club, c'est très clair : les joueurs qui s'entraînent avec le BE (37 *1h30 /saison = 70 € !) doivent en contrepartie au club de jouer en équipe. A chacun de s'organiser en connaissance de cause. Et inutile de pleurer misère avec la vie de famille et patati et patata. Comme l'a justement écrit Sean, la vie est faite de choix. Si c'est trop dur à gérer, on a celui de ne pas s'engager en IC. @ kramer : je n'ai pas tout compris de ce que tu as écrit.
  2. C'est vrai, dans mon club ce sont quasiment les même acharnés qui jouent des +35 au senior, soit 10 rencontres sur l'année. Il faut dire que c'est aussi lié au fait que nous avons peu de jeunes pousses capables de matcher (en tout cas chez les gars, pas de gamin de 12 ans ou +). Quoi qu'il en soit, et Nath l'évoque dans son dernier post, on n'engage pas d'équipe pour faire plaisir au club mais pour que les joueurs se fassent plaisir. Donc qu'ils s'engagent à participer en connaissance de cause.
  3. Intéressant comme réflexion... Mais est-ce le tennis de compétition qui doit s'adapter à nos modes de vie (supposés ou avérés) ou est-ce notre manière de vivre qui doit se modifier ? Question révolutionnaire vous en conviendrez...
  4. STEPHW

    Tournoi par poules

    il y en a aussi quelques uns près de chez moi. D'ailleurs, c'est aussi le principe de notre tournoi interne (homologué) : on fait des poules de NC à 30/4 (ou 30/3) et ensuite on qualifie 1 ou 2 joueurs pour le tableau final. Les joueurs sont contents : il sont sûrs de jouer 2 ou 3 matchs et ça permet (au niveau du tournoi interne) d'allier la convivialité à la compétition.
  5. nous non plus on ne fait pas 100 bornes en général (sauf cas exceptionnel). mais l'idée, au delà de "partir à 5" systématiquement, c'est au moins de constituer une équipe de 5 joueurs et de s'y tenir, histoire d'éviter les jeux de yoyos. Ensuite, libre à chaque capitaine de n'emmener que 4 joueurs sur une rencontre et de faire tourner son effectif. En tout cas, je trouve que ça permet de forger un esprit d'équipe...voire un esprit club. Les mecs qui viennent jouer leur simple et qui se cassent immédiatement après mes les brisent menues!
  6. EN +35 au niveau régional (Franche Comté), c'est 4 simples et 1 double. L'ordre des parties est 4/2/3/1/double. Quant à nous, cette année, pour éviter d'être obligé de puiser dans l'équipe E-1 pour pallier à la défaillance d'un joueur de E, chaque équipe (on en a 2) part à 5 joueurs et ils viennent chacun leur tour pour ne jouer que le double. C'est le seul moment ces IC où les joueurs sont là pour leur club, alors je pense que c'est juste normal. Et puis, ça rend le double intéressant : celui qui ne vient que pour ça n'aura pas envie de le donner... Et quand je vois notamment les poules dans lesquelles nous évoluerons, le double risque d'être décisif plus d'une fois.
  7. STEPHW

    Global-Tennis

    Je pense qu'on fait une erreur en pensant que pour faire ceci, il suffit de faire cela. Etre au top physiquement ne suffit pas pour gagner un match nous le savons tous (enfin, moi je suis rarement au top physiquement...), rester concentré n'est pas la panacée et une technique irréprochable ne permet pas de gagner un GC. La vie est complexe et le tennis n'échappe pas à cette complexité. Je crois que cybten est maladroit dans sa manière de présenter les choses, mais je crois aussi que certains ne lui accordent même pas bénéfice du doute. On peut être un excellent éducateur mais avoir du mal à théoriser sa pensée... Bref, essayons de ne pas lire ses posts en pensant qu'il fait l'impasse sur les éléments techniques, tactiques, physiques, etc... Considérons que ces éléments sont acquis (+/-...) et essayons de voir comment "la concentration" ou le mental peuvent avoir un effet positif sur la pratique de notre sport. @solmhyrn : je pense en effet que Federer n'y est plus autant que par le passé...
  8. STEPHW

    Global-Tennis

    Concrètement, et ça ne vaut que pour moi...puisque c'est de moi qu'il s'agit : je règle d'abord l'aspect technique (position des pieds, distance par rapport à ligne de fond, prise de raquette...) tout en cherchant à réguler ma respiration histoire de faire baisser mon rythme cardiaque (impossible pour moi de servir si mon palpitant cogne à 130 ppm), ensuite je fais rebondir la balle (en général deux ou trois fois) sans m'occuper encore du service en lui même. Après quoi, une fois prêt à servir, je regarde en direction de mon adversaire et je choisis où je veux servir (des fois ça marche...des fois la balle va où elle veut! en même temps, je ne suis pas Federer), je fais le vide mentalement (perso, je me concentre sur mon objet neutre) et je ne m'occupe plus de l'adversaire (il peut faire le pitre, sauter dans tous les sens, se positionner dans le carré de service, ça ne changera plus rien) et c'est parti. Et quand je suis bien dans mon truc, ça me permets de servie ma 2e balle comme si c'était une première, sans risque inconsidéré.
  9. STEPHW

    Global-Tennis

    quand on pose une question, c'est qu'on a déjà commencé à y réfléchir et que les réponses ne sont pas si loin que ça... Sinon, pour reprendre le post de cybten qui parle de la DF par défaut de concentration, je plussoie. Evidemment, si tu viens de te taper un rallye de 45 frappes et que t'as défendu comme un malade en galopant de droite et de gauche...t'as le droit d'être un brin émoussé. Et qui dit émoussé physiquement dit aussi très souvent manque de...lucidité. On va pas s'amuser à faire un cours d'étymologie, mais dans lucidité il y a la racine latine "lucia" = la lumière. Un manque de lucidité, c'est donc un manque de lumière, de clairvoyance, de capacité de jugement (vous voyez où je veux en venir ?). Etre capable de servir malgré la fatigue, le stress etc, c'est être capable de se re-centrer sur l'essentiel : faire passer la balle avec le maximum d'efficacité et avec les moyens du bord de l'autre côté du filet. La DF, c'est 9X10 le résultat de ce défaut de lucidité. Donc de concentration.
  10. STEPHW

    Global-Tennis

    j'en pense tennis-addict que ce que tu pratiques se rapproche de ce qu'on appelle en sophro "l'objet neutre" : en fixant ton attention sur un morceau de musique, tu te mets entre parenthèse, tu empêches ton esprit de vagabonder et ça te permet de rester concentré sur le tennis sans que ce qui n'est pas le tennis interfère avec ton jeu. Ce morceau de musique n'est pas la finalité, c'est le moyen que tu as trouvé pour te mettre en situation de jouer.
  11. STEPHW

    Global-Tennis

    Je vais essayer (sans garantie de résultat...) de préciser un peu comment fonctionne la sophrologie : oui, le travail est centré sur soi et c'est là un aspect fondamental de la méthode. pour faire un peu dans la philosophie facile, il s'agit de s'appliquer le principe socratique "connais-toi toi-même, et tu connaîtras les hommes (ou l'univers selon les traductions) et les dieux". Bon, ceci posé, à quoi ça sert de se connaître soi-même ? Au delà de la question strictement philosophique (qui n'a rien à voir avec de la sodomie de diptère...), il s'agit de connaître au mieux ses forces et ses faiblesses. Jusque là, facile, non ? Par exemple, j'ai une épaule douloureuse, inutile donc d'aller jouer des coups en extension qui majorent cette douleur. Ou encore, je déteste les rallyes de fond de court, je cherche donc à monter à la volée au plus vite. Là, on est sur des basiques il me semble que chacun pratique, en y réfléchissant ou de manière spontanée. Mais, et kramer le rappelle à propos, le tennis est un sport d'opposition et il s'agit de gérer plusieurs facteurs concomitamment : l'adversaire, le terrain, l'environnement, son propre état de forme et j'en oublie, bref...c'est du sport. Or, et je pense que chacun en conviendra, il y a certains facteurs sur lesquels nous n'avons pas de prise et d'autres que nous pouvons gérer : si j'arrive pour un match en IC et que je dois jouer sur TB, je n'y peux goutte et il faudra bien que je m'y adapte, même si je n'aime pas ça. Pareil pour le vent, le soleil, la bruine, le froid, le retard, un vol d'oies sauvages...ou la première balle de ouf, le CD dévastateur ou je ne sais quoi d'autre que me propose mon adversaire. C'est de ma capacité d'adaptation à tous ces paramètres extérieurs à moi que dépendra le résultat de la rencontre. Alors, comment la sophrologie (et je ne parlerai que de ça, ne connaissant pas la méthode de cybertennis) peut-elle m'aider à m'adapter? Brisons d'emblée un fantasme, ce n'est pas la sophro qui me fera monter 15...et c'est bien dommage. Mais peut-être pourra-t-elle m'aider tout de même à progresser. Je pense que nous nous accorderons tous pour dire qu'un élément essentiel pour réussir dans une activité quelconque est l'attention particulière que nous lui portons. Je parle ici d'attention de manière générale et pas de l'acception neuropsychologique (l'attention fait partie des fonctions exécutives et est une capacité cognitive au même titre que la mémoire). Si je vais jouer au tennis et que je passe mon temps à regarder les si jolies filles en jupette sur le court d'à côté, mon attention sera captée par ces filles, les images mentales qu'elles induisent en moi et un peu (beaucoup...) moins par le tennis. Si je veux avoir une chance de jouer correctement, il faudra donc que je sois capable de me re-centrer sur ce pourquoi je suis là (bon, p't' êt' que je suis venu pour mater les gonzesses, ou plus si affinité, surtout qu'avec le nouveau club house, les vestiaires et les douches, tous les espoirs (ou rêves...) sont permis). Et c'est là qu'intervient la notion de concentration : je la définirais comme la capacité à focaliser notre attention sur "l'objet" particulier de notre choix. Au tennis, ça peut être la balle par exemple (regarde la balle et ne t'occupe pas du reste), un schéma tactique (avance pour attaquer/recule pour défendre, sers lifté sur le revers...), un aspect technique (gaffe à ton plan de frappe, arme dès que tu entends le "poc" dans la raquette de l'adversaire...). J'aime bien l'image de la spirale dessinée de l'extérieur vers l'intérieur pour illustrer la concentration : plus je me rapproche du centre de la spirale et plus je m'approche des éléments essentiels sur lesquels fixer mon attention. Seulement, je n'ai jamais réussi à décréter que "allez zou, maintenant je me concentre!". Il y a toujours une petite musique intérieure, des images, bref des pensées parasites que j'appellerais "négatives" (du point de vue du sophrologue le négatif n'est pas le mal ou le pathologique, mais ce qui ne concerne pas le "moi,ici et maintenant"). J'en reviens donc à la sophrologie en tant que méthode permettant de travailler la concentration. Notez qu'elle permet de travailler bien d'autres choses, mais ce n'est pas l'objet de ce post. Si l'on accepte l'idée (et je ne demande à personne de me croire) que la concentration, c'est la capacité à mettre dans l'inactualité le négatif (cf supra), alors la sophrologie, par un travail de réduction (rappelez-vous la spirale : je réduis peu à peu la distance entre le cercle et son centre) me permet de me soustraire aux trépidations du monde (au sens psycholinguistique, le monde c'est tout ce qui est extérieur à moi) de sorte que mon attention puisse capte, et surtout rester fixée sur ce pour quoi je suis là (dans le cadre des troubles attentionnels par exemple, l'un des problèmes les plus fréquemment rencontrés n'est pas l'incapacité à fixer son attention mais la difficulté à la maintenir). Comment procède-t-on concrètement ? La première étape, appelée RDC1 (Relaxation Dynamique de Caycédo 1), permet de travailler la concentration sur ce qu'il y a de plus simple : le corps. On segmente le corps en 5 systèmes (tête/cou-épaules-bras/thorax/abdo-lombaires/partie basse du corps, du bassin aux orteils) et par la seule force de notre volonté, nous relâchons les muscles de ces 5 systèmes (c'est un peu fastidieux à expliquer, mais je peux le faire si vous le souhaitez) les uns après les autres. Ensuite, et c'est là tout l'intérêt de la sophro (et de l'appellation "relaxation dynamique"), on effectue une séquence "contraction douce du corps/inspire -mise en tension- expire/relâchement", ainsi que d'autres techniques visant à nous amener à prendre conscience pleinement des capacités que nous avons à nous mouvoir en fonction de notre vouloir. Je sais, dit comme ça, ça a l'air un peu cul-cul la praline, mais ça marche. Vraiment. Vient ensuite a RDC 2 qui vise cette fois non plus le corps mais l'esprit (spirituel, esprit, ne sont pas à entendre au sens religieux des terme) et ses capacités : un exercice par exemple consiste à évoquer mentalement un objet neutre (non chargé émotionnellement comme pourrait l'être par exemple le vase de la grand mère adorée malheureusement décédée) et encore une fois à se concentrer sur cet objet sans se laisser distraire par quoi que ce soit d'autre. Comme vous le constatez, c'est encore la capacité de concentration qui est activée ici. Et il en va de même pour les niveaux suivant (mais désolé, n'étant qu'élève sophrologue depuis janvier 2013, je ne suis pas encore capable de vous en dire plus sur la suite). Pour conclure ce petit (!) topo, je crois utile de dire que ce n'est pas la concentration en tant qu'objet qui est la finalité de la sophro (on ne vit pleinement que le présent, donc le match d'hier est forcément différent de celui d'aujourd'hui, les gammes en CD que je suis en train de faire ne ressemblent en rien à celles que j'ai faites lors de mon dernier entrainement...), mais la capacité que nous avons à nous concentrer : j'ai conscience que je peux le faire parce que je l'ai déjà vécu et fort de cette conscience je m'attache autant que faire se peut ici et maintenant à activer cette capacité. J'ajoute juste une petite chose : la sophrologie est avant tout une praxis. Ainsi, il est illusoire de vouloir utiliser ces techniques ponctuellement et d'en attendre un quelconque bénéfice. Par exemple, pour ce qui me concerne, je participe à un atelier sophro 1X/semaine en tant qu'élève, je pratique 2 ou 3X/semaine quelques exercices et j'enseigne la méthode (les éléments que je maîtrise) à certains de mes patients (rééducations de voix, certaines pathologies neuro-dégénératives...). Et au tennis, quand je vais en compétition, je me prends 10 mn avant d'entrer sur le court pour me concentrer, c'est à dire entrer dans ma bulle, faire une barrière entre le boulot, la famille, le dernier morceau de musique que j'ai entendu...et le tennis. Ensuite, on joue; Et que je gagne ou que je perde (bon, je préfère quand je gagne hein!), si j'ai réussi à rester concentré sur le jeu, alors je suis content. Je suis content parce que lorsque je suis concentré, je ne me frustre pas : je joue chaque coup en pleine conscience, naturellement, de manière phénoménologique (c'est à dire que j'ai conscience, pas intellectuellement mais de façon essentielle, que chaque coup est unique et que pleurer sur une volée manquée ou faire le paon sur un passing de revers long de ligne n'a pas de sens). Demandez vous pourquoi les grands champions ne font pas les malins quand ils gagnent ou quand ils perdent : ils savent qu'ils ont fait ce qu'ils ont conscience d'être capables de faire et que l'adversaire a fait de même. Ainsi, quel que soit le résultat final, au delà de la joie ou de la désillusion, ils savent...qu'ils ont fait le job! Voili, voilou...
  12. STEPHW

    Global-Tennis

    C'est très simple en fait : se concentrer, c'est se rapprocher du centre du cercle, c'est s'approcher au plus près de l'essence de l'être. A l'extérieur, le tourbillon de la vie, et plus on se rapproche du centre, plus on touche à l'essentiel. Alors au tennis, qu'est ce que l'essentiel ?
  13. STEPHW

    Global-Tennis

    il n'y a rien à croire, que ce soit dans ce qu'expose cybten ou dans ce que je dis. si on se limite à la sophrologie caycédienne, lisez le bouquin du Dr Abrezol "vaincre par la sophrologie". On y apprend entre autres choses qu'Abrezol a bossé avec de nombreux champions notamment des skieurs de l'équipe Suisse; Plus près de nous, Noah a utilisé la sophro durant sa carrière. jetez un oeil à ce blog pour vous rendre compte : http://www.intelligence-emotionnelle.fr/blog/les-outils/la-sophrologie/
  14. STEPHW

    Global-Tennis

    Bah, tu sais kramer, la psychologie c'est 80 % de bon sens et 20 % de théorie (dixit à l'époque ma prof de psycho). Et je connais des tarlouzes qui n'ont pas une once de bon sens...
  15. STEPHW

    Global-Tennis

    Il n'y a pas d'incompatibilité entre ce que tu écris kramer et ce que je dis. Il ne s'agit justement pas de "rêver" mais d'être pragmatique. En d'autres termes, lorsque je joue au tennis, si je joue bien, c'est évidemment parce que j'ai fait tout ce qu'il fallait pour être bien. Et la notion mentale n'échappe pas à la règle. Nous ne sommes pas un corps d'un côté et un esprit de l'autre mais une association des deux. Je ne dis pas qu'il faut s'asseoir en position du lotus sur son petit nuage pour bien jouer. Je dis qu'il faut avoir confiance en soi, en ses capacités, être en harmonie avec soi et rempli d'espoir (qui n'est encore une fois pas du rêve) d'une vie future pleine de nos valeurs positives (je sais que je peux gagner, parce que je l'ai déjà fait). Ca ne veut évidemment pas dire que tu vas gagner tous tes matchs, mais que tu peux t'enrichir de ta défaite au lieu de la ressasser : le tennis est un sport d'opposition, un sport de combat, et il arrive que l'adversaire soit le plus fort. Seulement si je fais tout ce qui est en mon pouvoir, alors je n'ai pas à rougir de ma défaite. Même si c'est une fessée. Bref, tu dis "ça ne marche pas"...mais je pense que tu te trompes : ça marche, mais tu ne le sais pas parce que tu n'as pas réfléchi à la question de cette manière. Pour illustrer mon propos, je dirais que lorsque tu regardes une balle de tennis, tu ne la vois jamais dans sa totalité : il restera toujours une zone d'ombre propre qui échappe à la conscience ordinaire (rien de péjoratif dans ce terme). Pourtant, cette zone d'ombre a une matérialité qui ne fait que t'échapper parce que tu ne la vois pas (imagine le rebond si la balle n'était pas ronde...). Voilà. Je n'ai rien à vendre, je ne fais que partager ce que je sais pour l'avoir appris et expérimenté. @stuff : ne vaut-il pas mieux maîtriser un truc, fut-il de tarlouze, que de ne rien maîtriser du tout ?
  16. STEPHW

    Global-Tennis

    plutôt qu'imagination, je préfère parler de contemplation senso-perceptive : dans l'imagination, il y a une dimension de vagabondage intellectuel qui de mon point de vue est nocif lorsque la finalité est d'appliquer une technique précise dans un but précis. Je peux imaginer jouer sur le central de RG, imaginer que je suis Nadal...mais je ne suis que (et c'est déjà beaucoup) moi, avec mon histoire vécue, celle que je construis et celle que je me prépare à vivre. on sort donc du cadre de l'imagination ou du fantasme pour rester dans le domaine du réel : je me nourris de mes expériences vécues, positives de préférence (!) et j'ai conscience que ces expériences sont constitutives de l'essence de qui je suis. c'est un boulot passionnant qui dépasse évidemment le cadre du tennis. c'est révolutionnaire comme démarche et c'est aussi une forme d'ascèse...
  17. STEPHW

    Global-Tennis

    Je suis absolument d'accord : la mémoire émotionnelle demande à ce qu'on lui prête une attention toute particulière. Si je sais que j'ai la capacité de faire ceci ou cela (il ne s'agit pas de l'acte lui même mais bien de la capacité, comme le gout ou l'ouïe sont des capacités et ne dépendent pas de ce qu'on goûte ou de ce qu'on écoute), alors il me suffit de l'activer pour la mettre en oeuvre. Par exemple, je sais que j'ai la capacité à faire du S/V et que ça me procure de la joie en le faisant. J'ai en mémoire de ces enchaînements "magiques" où je claque des volées "à la Edberg" et le plaisir que j'au eu à le faire : chaque match étant différent, je ne pourrai jamais refaire exactement la même volée, le même enchaînement, mais je peux m'appuyer sur le souvenir du plaisir associé au geste pour, en re-vivant ce plaisir, développer mon jeu. C'est, je crois, ce qu'on appelle l'activation du paramètre de prétérisation en sophro. Et effectivement, pour le vivre, c'est efficace.
  18. Si tu le dis...n'empêche que j'avais cette sensation. Après, je comprends bien que du point de vue de ses caractéristiques physiques, il y a peu de chance que le grip change quoi que ce soit. Mais le tennis n'est pas qu'affaire de vérité mesurable : la subjectivité d'une sensation fait parfois basculer un jeu...
  19. oui, c'est la sensation que j'ai eue : grip cuir + surgrip assez fin. Mais ce n'est qu'une sensation...qui vient du fait que je n'avais plus l'impression que ma raquette "flottait" dans ma main.
  20. oui, j'ai la même chose. sans doute le passage à la nouvelle saison sportive 2014...(qui démarre demain). début du calcul des classements 2014 ?
  21. Bon, retour d'expérience : Ki 5 (280) + grip cuir (HEAD)+ surgrip Pro's pro (medium...)+ hybride Hot Stuff/Discho Poly Premium (25/24), testé en match d'entraînement hier (2 h de jeu) Premières impressions : j'aime bien ! 1. Raquette pesée à...320 g ! (et je la sens plus lourde) 2. Beaucoup plus stable à l'impact 3. ras en maniabilité 4. je "sens" mieux le manche (pas cette sensation d'avoir un truc qui me bouge dans la main) : c'est ferme! 5. confort : on perd le moelleux de la Ki 5 avec son grip d'origine, mais rien de rédhibitoire (pas de vibration perceptible). Bref, pour le moment, c'est positif.
  22. Et puis, c'est pas grave solarius : tu vas jouer en n°1 donc probablement plus en perf' et à l'inter de février, hop, remontée à 15/4! C'est pas beau le tennis ? Merci la Fédékondit...
  23. Ouais, la Fédé merdouille mais c'est pareil pour les IC d'été : tu démarres en mai et tu finis après l'inter' de juin...et tu peux jouer un gars qui est monté mais qui garde son ancien classement. Pas de solution idéale quoi...
  24. quelle délicatesse cette k-mille ! Ma'm'zelle fait dans l'artisanat d'art ?!
  25. Euh stéphane63, on peut tout, y a pas d'interdiction...
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