Valerant

Derrière tu dois avoir un solide bagage tactique et une capacité d'anticipation de folie. Jedi ? Ton taux de midichlorien est à combien ?

27kg... Swingweight à 360, cadre à 372 grammes, je joue cinq minutes avec, mon épaule se décroche et mes tendons s'auto-désintégrent.

Un grand bravo à @pierrotdu77. Je déterre mais là, je ne pouvais pas garder le silence. C'est de l'art ! Ce relâchement, y'a beaucoup de tendons et de ligaments qui tiendraient pas le coup. Du coup, c'est quand le concours du service le plus moche du forum ?

Effectivement, tu peux changer de club...

Tu vois @nat54, tu ne sépares pas les bagarres comme Moïse sépare les eaux (c'était dans son guide lui sans doute), mais tu guides quand même le peuple du tennis vers une Terre pure et sans accrocs. C'est presque pareil.

Tu tiens ces propos de ta fille ou tu as pu discuter avec l'encadrement par toi même ? Difficile de juger, on ne connait pas ta fille, son niveau, son état d'esprit, et celles qui jouent en simple, l'ancienneté dans le club, etc... Il y a tellement de facteur. De plus, c'est le fait que ta fille ne puisse jouer en simple pour le moment qui coince, pas forcément l'ensemble du jeune tennis féminin. D'autant que tu le dis toi même, les clubs environnant font tourner les effectifs... c'est donc un soucis ponctuel, à l'échelle de ton club.

En effet j'ai dû mal m'exprimer. En fait, il est évident que je ne demandais pas de faire partie du bureau, étant encore inconnu au bataillon et statutairement c'est impossible. Quand je parlais d’étanchéité du bureau, je parlais de l'aspect général. Au demeurent sympathique, les membres sont plus distants, voir fuyants, quand on leur témoigne un fort intérêt en vue d'aider le club ou de participer d'une façon ou d'une autre. Je l'ai compris, au fur et à mesure des questions que je posais, quand on me répondait de plus en plus : "C'est un vieux fonctionnement, on est comme ça et ça nous va bien". Ce que je veux dire c'est que c'est loin des clubs que j'ai connu il y a plus de dix ans, ou on intégrait et appréciait énormément le volontariat et les membres du bureau étaient ces gens qu'on adorait tous pour leur sympathie et leur amour du tennis. Mais c'est très personnel comme expérience, je ne fais aucune généralité. De plus je crois vraiment que la géographie joue beaucoup sur ces faits. Etant en IDF maintenant, la démographie faisant qu'un club doit avoir un mode de fonctionnement plus commercial et plus strict qu'un club de campagne. Dans mon club actuel, il y a 9 terrains et je peux vous dire qu'il y a du monde... ça tourne.

Je lis ce topic depuis le début et le trouve plus qu'intéressant. Ça perce un véritable accès dont on est tous conscient plus ou moins, lorsque l'on aime un minimum notre sport. Merci @STICKMAGASSI pour cette initiative d'ailleurs. Je regrette de n'avoir pas grand chose à apporter, mais quand je ne sais pas je ferme ma gµeule. Question de bon sens. Je rebondis juste sur l'intervention de @tennisantico pour donner une petite expérience personnelle très récente. Je me suis inscrit dans un club il y a deux semaines après une longue pause forcée de tennis. Ma volonté de m'investir dans ce sport, tant dans le jeu que dans un club, est totale et aussi grande qu'à l'adolescence. Il m'est impossible de détacher amour du sport et amour de ce qui gravite autour, dont l'organisation des tournois mais aussi du club. Bref, je me suis inscrit au club et fait comprendre que j'étais tout à fait disposé à m'investir dans mon temps libre. Et là, je peux vous dire que j'ai senti une étanchéité assez nette. J'ai tout de suite compris qu'on entrait pas au bureau comme ça... et c'est assez nébuleux voir tentaculaire. J'ai même perçu que ça interloquait les gens qu'un nouveau puisse vouloir s'investir sans retour dans le club. Ca ressemble à une vieille équipe qui a ses habitudes et ses entrées. Et d'ailleurs, l'Open du club m'a montré que ça ressemblait justement plus à club de consommateur de tennis que de passionnés et les organisateurs ne regrettent pas du tout cet état d'esprit. Ils l'encouragent. Ils préfèrent les gens qui parlent peu, paient et se cassent que les gens qui veulent rester, discuter, causer tennis voir vouloir apporter sa contribution au club. Ça m'a un peu coupé dans ma volonté de bénévolat. Pourtant j'en avais très envie. Et c'est seulement parce-qu’il n'y a pas de club autre plus proche, sans quoi j'aurai proposé mes « services ailleurs.

Ça m'arrive dans des situations extrêmes où je produis vraiment le pire. Mais ça reste dans ma tête. L'idée que les gens puissent se dire « il a raison » quand je m'insulte, c'est pas possible. Je préfère donner l'impression, surtout à mon adversaire, que je suis impassible. Alors ce n'est peut-être pas mieux car je garde tout en moi, mais je donne pas trop d'indice. Quand ton adversaire craque, hurle et s'insulte, tu sais qu'il est dans une situation d'extrême manque de confiance et ça te fait grimper la tienne.

C'est juste incroyable le NOMBRE de joueurs qui s'insultent au tennis... A l'OPEN de mon club, en jouant tranquillou pendant deux heures l'autre soir, la majorité des terrains étaient pris par le tournoi. Et, je n'ai fais que entendre des hurlements de rage, d'autoflagellation et des insultes incroyables à plein poumons. « Bordel ! Je suis vraiment qu'une m**** ! » ; « Mais quel c** ! » ; « Donne lui le match abruti ! ». Quand je jouais gamin, pareil, j'ai l'impression que c'est majoritaire comme comportement.

Encore faut-il réussir à duper cette partie de soi qui nous dit : "Ouah... j'en ai vu des matchs de merde, mais là, je joue vraiment comme la pire des daubes" et lui disant " Mais non, allez, tu sais que ça passe, le prochain on en claque une bien, sans pression, bien détendu". Ça, chez moi, c'est absolument pas efficace. Déjà c'est trop chronophage intellectuellement. J'ai besoin de circuit court (et pas de court circuit hein...). « Okay. Frappe adverse, check > tactique choisie, check > fixation de la balle à l'extrême, check > frappe, check. Ça, chez moi, ça marche. C'est vraiment propre à chacun. Il y a des grands piliers, mais concrètement, sur le terrain, c'est vraiment individuel. On est tout seul.

C'est quand la prochaine rencontre Classimienne ? Dans un club de préférence, qu'on fasse des doubles avec une équipe @Meetcho et @nat54. En analyse du mental on aura un vrai cas à traiter. De mon côté, quand je m'efforce d'être positif, ça ne fonctionne pas. J'ai trop difficilement l'empire sur mes pensées. Mon unique moyen de canaliser tout ça, c'est de revenir à l'essence du tennis. La sensation pure et fixer la balle comme si je voulais la faire fondre avec les yeux. A CHAQUE FOIS, que je fais ça, j'améliore immédiatement ma qualité de frappe. Et les émotions négatives se dissipent aussi tôt. Mais si j'entre en dialogue avec moi même, je ne gagne pas le débat.

Je teste d'autres raquettes pour m'éviter l'achat compulsif. On est grave quand même...

Bien chef ! Je teste tout ça bientôt.

Ultra basique, mais ça rejoint en définitive tout ce que l'on peut lire dans les ouvrages références dans la matière. Plaisir, positif, instant présent...

Pardon, je reprends le fil. @Alteo disait plus haut que la PS LS était une bouffeuse de cordage (dû à son plan de cordage fait pour le spin) et qu'elle manquait de stabilité. Pour contourner le problème, je me disais que la version L, avec un plan de cordage conventionnel gommerait déjà l'écueil du rongeage de cordage et pour la stabilité, c'était peut-être aussi une affaire de bon centrage à la frappe et de solidité dans le poignet ?

Donc on devrait régler le problème de rongeage de cordage avec la L qui a un plan de cordage traditionnel... Reste la stabilité... Je dirais, au hasard, avec un bon centrage et un poignet solide ?

Bon quelque part ça me rassure... Je garderais potentiellement mes sous... Pour la CV Qu'est ce qui explique que ça use le cordage plus vite que d'autres cadres ?

Si tu avais bien lu justement le post, tu aurais vu mon alternative...

Pourtant, c'est assez réfléchi ce qu'il dit. Et évident. Biologiquement, le lait n'est qu'un substitue temporaire à la nourriture solide. En outre, l'humain (qui fait partie du règne animal hein), devrait boire le lait de sa mère, et s'en sevrer très jeune. Tout à fait naturellement, comme tous les mammifères. Sauf qu'on a rendu le lait de vache buvable (après traitement, encore que tout le monde ne le digère pas ce qui est normal) pour faire des sous. Avec le lobbying qui va avec. Les études du Docteur SuperFort qui a ses parts dans l'industrie laitière et qui nous explique qu'on va avoir des os solides et péter la forme, etc... un classique dans tous les domaines. Je ne connais pas beaucoup d'autres espèces qui consomme le lait d'une autre espèce à nouveau. Bon là c'est immature. D'autant que si tu lis bien le poste de @RHCP59, il n'y a rien d'insultant... on respire un bon coup et on passe à autre chose.

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Tu n'as pas des vieux cadres qui trainent chez toi ? J'ai eu un BE qui gardait des vieux vieux cadres rincés en stock quand j'étais ado. Quand, en cours, on faisait n'importe quoi et qu'on pétait les plombs, il les sortait et on les éclatait sur un rebord en béton près du terrain. Ça faisait du bien et ça préservait nos cadres persos. A voir pour toi si ça devient récurrent...

Ah... j'ai compris. Il n'y a pas que le cadre en lui même qui a craqué... le self contrôle aussi. Dur... Bon courage dans ta recherche... j'espère que tu n'étais pas trop attaché à tes deux cadres hein...

Comment tu as fait ça ?