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loulou

réforme - de 12 galaxie tennis et conséquences hypothétiques

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Ca ressemble étrangement à ses convictions, ce sont les propos tenus dans son dernier bouquin.

Bouquin que nous avons lu tous les deux :biere: , je ne vois pas ou il y a une différence significative entre ta phrase tip top et les contenus de son dernier ouvrage. :dur:c'est parce qu'il manquait le +1 sous ta citation et quoi elle est pas bien ma phrase pour une fois que je prends le temps d'en faire une :whistling:

Pour le 20 ans que n'as pas entendu ça, soit l'Alsace est vraiment en avance sur d'autres régions, soit tu fais un peu le marseillais lol. Il y a 10 ans dans ma région d'origine, le CTR était revenu au mime et au LJR. Après il y a eu un changement de CTR et on est arrivé sur de l'actif.

La dernière fois que j'ai voulu commander du matos péda en magasin je me suis fais défoncé par un mec du comité départementale car le matos que je demandais ne lui paraissait pas adéquate. Je pense que d'un côté tu as ceux qui ne sont pas à jour, c'est un fait et ils sont nombreux (d'ailleurs ceux là tu ne les vois pas en formation, ils ne lisent pas ne se documentent pas), de l'autre il y a les politiques internes chaque ligue est orchestrée par son CTR, et les CTR ont des avis divergents.

Bref tout ça pour dire ce qui est vrai dans une région n'est pas forcément vrai dans une autre, de plus ceux qui ont eu des résultats avec une autre méthode n'ont pas envie de changer leurs habitudes.

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+1

XD, tu sais pourtant que je n'ai pas de second degré !! enfin :-)

Ta phrase est excellente j'ai même cru que c'était le maitre qui l'avait écrite

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XD, tu sais pourtant que je n'ai pas de second degré !! enfin :-)

Ta phrase est excellente j'ai même cru que c'était le maitre qui l'avait écrite

je suis déçu qui tu aies cru que je sois incapable d'écrire une phrase.

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Je suis déçu que tu sois déçu en croyant que j'avais sous entendu celà.Je te lis attentivement depuis de nombreuses années :comehere: .

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Bon effet comique loupé. :oops:

J'eusses préféré que vous n'ayez pas ce préjugé sur ma remarque, qui il est vrai pouvait prêter à confusion.

Sur ce, je vous prie d'accepter mes excuses pour les désagréments encourus. Je souhaiterais que vous ne vous formalisiez point de cet écueil malheureux, il n'est que le fruit d'une incompréhension mutuelle.

etc,etc,etc....

:sick:

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J'ai du mal à comprendre un truc. Si l'enfant valide son test du format violet, il passe donc donc ensuite en format rouge je crois ?

Mais ça devient compliqué pour la suite de l'année vu que les autres n'auront peut être pas validés le test...

Si sur les 6 élèves, 2 on réussies. Alors les 4 continues de bosser sur leurs formats et les deux autres sur le format suivant ?

On change de groupe l'enfant qui à réussi ou alors on fait la séance avec plus d'individualité par élève ? Pas évident du tout :/

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c'est un peu ça le principe Alexandre, on va dire que jusqu'au format orange et tant que les niveaux sont voisins, ça ne pose pas trop de problèmes, car tu peux faire cohabiter plusieurs formats ensemble sur un seul terrain.Le truc qui est vraiment bien c'est que les formats de jeu ont à la base été crée pour pouvoir donner un niveau à un joueur débutant, c'est effectivement un bon indicateur du niveau de jeu.

Bon ça c'est la théorie, en pratique j'ai testé : faire cohabiter format vert et format blanc sur le même terrain, c'est super compliqué pour l'enseignant.

La méthode marche bien à partir du moment où tu as beaucoup d'élèves sur le terrain (en dessous du format orange).

Tu soulèves un élément de taille c'est que effectivement le gamin qui sera le dernier à valider rouge se sentira bien attristé en voyant ses copains réussir l'examen.

Ce genre de truc ça marche dans les grosses structures, les usines a tennis, c'est beaucoup plus compliqué dans les petites structures où tout le monde se connait.

Ma prise de position est la suivante: Ce genre de truc est pondu par des gens qui n'ont rien compris à la psychologie de l'enfant, il les mettent dans un système proche de l'école alors que le tennis est avant tout une industrie de loisir..

L'enseignement se compose de ce qu'il faut savoir taire et de ce qu'il faut savoir dire, apparemment certains grands pontes ne connaissent pas cette maxime.

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Ca me rassure quand je lis ton point de vue. Moi je suis complétement contre pour la raison que tu as cité...

Il est évident que faire autant de test de balle (bracelet) ma démoraliser certains même si tu leurs explique qu'il y'aura des rattrapages !

Le copain est passé un niveau au dessus et faire comprendre à l'autre enfant qu'il n'est pas encore prêt changer de format, bon courage...

Puis pour l'enseignement, c'est vraiment compliqué si faut faire du cas par cas :(

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Simple direct efficace, je veux bien une explication, je fais l'effort d'expliquer ce que je pense être une limite de ce système.

Si je suis la réforme à la lettre :

terrain blanc ballon de paille = 5 ans et plus le ballon roule , filet matérialisé par une ligne

terrain violet balle petit tennis = 5 ans et plus apparition du filet

première différence de niveau liée à la gestion du rebond = passage CP/CE1

terrain rouge 6 ans et plus balle rouge / terrain orange pas avant 7 ans = deuxième différence de niveau liée à la gestion des espaces clairement établie. passage CE1/CE2

terrain orange pas avant 7 ans / terrain vert pas avant 9 ans = troisième différence de niveau liée à la gestion des espaces clairement établie passage CE2/CM1, etc...

D'un côté il y a un aspect ultra positif pour l'enseignant, les groupes sont homogènes, c'est le but revendiqué de cette méthode, de l'autre, ça sectorise de manière visible les niveaux d'apprentissages ce qui peut être valorisant pour l'élève qui réussit, et dévalorisant pour l'élève en échec.Or les enfants rejettent l'échec c'est une de leur caractéristique.

Voilà le genre de discussion que les gamins risquent fortement d'avoir à l'école de tennis :

Tu as eu ton année de tennis??? ah non moi je redouble, et toi??

Je pense donc que le terme nimportequoi est inapproprié, car on se rapproche bien du système scolaire type éducation nationale. La validation de niveau mène à la classe supérieure, chaque âge correspond au niveau de 'développement normal' d'un enfant moyen (en CP tu as 6 ans, en CE2 tu en as 8).valoriser la réussite c'est aussi valoriser l 'échec.

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J'ai du mal à comprendre un truc. Si l'enfant valide son test du format violet, il passe donc donc ensuite en format rouge je crois ?

Mais ça devient compliqué pour la suite de l'année vu que les autres n'auront peut être pas validés le test...

Valide son test ? Le principe justement c'est qu'il n'y a pas de test, que les niveaux sont évalué au fur et à mesure des séances en situation de match sur le terrain de référence au niveau... Après, il ne faut pas prendre les enfants pour des débiles, ils sont largement capables de savoir sans test s'ils sont meilleurs ou moins bon que les autres copains du groupe, comme à l'école d'ailleurs même si officiellement il n'y a plus de note.

Après effectivement le soucis qui peut se poser c'est avec des groupes où des enfants vont avancer plus vites, mais à la limite on a déjà ce problème et les deux solutions possibles : soit les changer de groupe pour harmoniser, mais encore faut-il que ce soit possible pour l'enseignant et les parents, ou alors, garder le groupe en état en essayant d'adapter au mieux les contenus. L'idéal c'est une école de tennis articulée mais ce n'est pas possible tout le temps.

Sur les pontes de la fédération, autant il y a certains moment où les programmes pédagogiques ne ressemblaient à rien (mais du fait d'une politique désastreuse du DTN) autant, les gens en place actuellement au niveau de la formation on largement fait leur preuves en tant qu'enseignant : quand tu as Alain Solvès (Ancien directeur sportif d'un club qu'il a monté de rien en Seine et Marne jusqu'en N3, et entraineur de son frère Gérard), Marc Renoult (ancien directeur sportif d'un gros club de Seine Saint Denis) et Bernard Pestre (co fondateur entre autre de l'ACTJ avec son frère Claude)... :whistling:

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On verra cette année comment cela se passe, on pourra discuter au moins de Juin de tout ça ;)

Je n'ai pas pris le bon mot pour le " test "

Moi ce qui me gène, c'est les différence de niveau et donc d'objectif pour chacun...

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Absolument.

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On verra cette année comment cela se passe, on pourra discuter au moins de Juin de tout ça ;)

Je n'ai pas pris le bon mot pour le " test "

Moi ce qui me gène, c'est les différence de niveau et donc d'objectif pour chacun...

il y a toujours une différence de niveau dans les groupes je comprends pas tes interrogations

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Oui c'est vrai, mais je vais donner un exemple.

5 élèves format rouge au début de l'année, suite à la première journée jeu et match. Deux ont réussies le passage au format suivant, ce n'est plus le même niveau ok (on le savait), mais surtout plus le même format, donc c'est juste plus galère ensuite pour le prof...

Les tests de balles, raquettes se faisait à la fin de l'année. Du coup, c'était l'année suivante quand pouvait changer les élèves de format enfin on verra bien !

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Valide son test ? Le principe justement c'est qu'il n'y a pas de test, que les niveaux sont évalué au fur et à mesure des séances en situation de match sur le terrain de référence au niveau... Après, il ne faut pas prendre les enfants pour des débiles, ils sont largement capables de savoir sans test s'ils sont meilleurs ou moins bon que les autres copains du groupe, comme à l'école d'ailleurs même si officiellement il n'y a plus de note.

Après effectivement le soucis qui peut se poser c'est avec des groupes où des enfants vont avancer plus vites, mais à la limite on a déjà ce problème et les deux solutions possibles : soit les changer de groupe pour harmoniser, mais encore faut-il que ce soit possible pour l'enseignant et les parents, ou alors, garder le groupe en état en essayant d'adapter au mieux les contenus. L'idéal c'est une école de tennis articulée mais ce n'est pas possible tout le temps.

Sur les pontes de la fédération, autant il y a certains moment où les programmes pédagogiques ne ressemblaient à rien (mais du fait d'une politique désastreuse du DTN) autant, les gens en place actuellement au niveau de la formation on largement fait leur preuves en tant qu'enseignant : quand tu as Alain Solvès (Ancien directeur sportif d'un club qu'il a monté de rien en Seine et Marne jusqu'en N3, et entraineur de son frère Gérard), Marc Renoult (ancien directeur sportif d'un gros club de Seine Saint Denis) et Bernard Pestre (co fondateur entre autre de l'ACTJ avec son frère Claude)... :whistling:

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Le truc c'est que ça demande de la souplesse aux parents, aux enfants et aux enseignants et surtout avoir le courage de "casser" cette barrière de l'âge.

Je m'explique, j'ai deux filles de 8 et 9 ans nées en Décembre 2005 et 2006 . Celle de 2005 est une débutante qui ne voit le tennis que comme un loisir, qui a du mal à voir cela comme une compétition, bref, en dilettante.

Celle de 2006 est une battante, elle cherche toujours à s'améliorer et a déjà pu jouer lors de certaines séances avec des enfants de 11 ans sans être ridicule.

Le fait de quantifier ce niveau par couleur, permettra peut-être de voir différemment la répartition des groupes que par classe d'âge et cela peut être valorisant pour les débutants ou les compétiteurs à condition de ne pas se focaliser sur l'âge.

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Premier état des lieux;

Bon, inscriptions terminées (sachant que logiquement certaines personnes vont se manifester dans deux semaines)

Il est l'heure d'un petit bilan, et franchement c'est ultra mauvais...

Je bosse dans plusieurs clubs.

1 qui a choisit de suivre la réforme, publicité, information, bref on a joué le jeu.Et là truc incroyable. 0 inscrit en jeune...pas de nouveau. Les parents tiennent deux discours : la réforme des rythmes scolaires, les gamins sont fatigués et donc stop les activités sportives le mercredi.Le deuxième discours fait encore plus peur, c'est carrément ah ben il voulait faire du tennis mais en loisir, on ne veut pas faire de lui un compétiteur, donc il fait un autre truc sans compet...

Dans les autres clubs, les présidents se sont opposés à la réforme, les inscriptions jeunes se maintiennent sans pub...

J'espère être le seul dans ce cas...

Vais ouvrir une section loisir sans rassemblement, je peux pas laisser le truc couler.

Ca rejoint ce que prédisait le maître : le maître disait réforme qui fera du mal aux petits clubs, le maître avait raison...

A froid j'émet deux critiques sur la communication

1 le brochures avec écrit en gros le mot ' réforme ' ... Il faudrait peût être se réveiller et se dire que le mot réforme fait instinctivement fuire les gens, ça a une connotation politique, or le tennis est une industrie de loisir. Ce terme envoit un aspect négatif sur l'ancienne école de tennis, il marque une cassure, et les gens n'avaient peut être pas envie que ça change.

2 le mot compétition (même si il est accompagné de l'adjectif : pédagogique), 2 ème mot de trop, preuve d'un manque de réalisme complet sur la situation. Les joueurs loisirs sont majoritaires, ils clament fort et haut leure appartenance à cette caste, leur bananer que leur gamins vont être élevés à coup de compet c'est prendre le risque de perdre les parents et les enfants en même temps.(ou uniquement les enfants)

c'est un manque de réalisme car on ne peut pas faire changer un état d'eprit, même en tentant le passage en force.

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Reforme ou pas les enfants ne sont pas obligésnde faire des tournois,en plus ce sont les parents qui les inscrivent!!

Alors ok il est question de petits matchs au sein des clubs mais c'est non homologué ,se sera bon enfant ,rien à voir avec les vrais tournois.Je pense qu'il faut dire ça aux parents et aux enfants qui parlent de tennis loisir

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@ Nat

Dans celui là, oui, mais il a toujours été blindé.

@ICo

les rassemblements sont incorporés dans l'école de tennis sur les créneaux horaires de l'école de tennis, donc les gamins n'ont pas le choix.

c'est simplement que quelquefois dans l'année ils se déplacent dans une communne voisine pour faire des matchs au lieu d'aller en cours.c'est ce qu'on appelle les 'regroupements.'

Quand tu leur tiens ce discours ça ne les amadoue pas. Eux ce qu'ils veulent, c'est faire des balles avec leurs gamins, même si les matchs sont bon enfant, ça ne se rapproche pas de leur vision du tennis.

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1 qui a choisit de suivre la réforme, publicité, information, bref on a joué le jeu.Et là truc incroyable. 0 inscrit en jeune...pas de nouveau. Les parents tiennent deux discours : la réforme des rythmes scolaires, les gamins sont fatigués et donc stop les activités sportives le mercredi.Le deuxième discours fait encore plus peur, c'est carrément ah ben il voulait faire du tennis mais en loisir, on ne veut pas faire de lui un compétiteur, donc il fait un autre truc sans compet...

Là c'est qu'il y a eu soucis de discours des responsables du clubs auprès des parents car assimiler la réforme à une orientation vers la compétition, c'est un raccourci qu'il est dangereux de prendre. Par contre présenter ça comme une opportunité d'accéder plus facilement à la compétions avec des formats adaptés peu au contraire inciter les jeunes à venir s'inscrire.

Après, il y a aussi quelque chose de révélateur sur l'investissement que sont prêt à mettre les parents dans l'activité de leurs enfants : "si c'est une heure par semaine, c'est ok si on a rien d'autre à faire, mais par contre, on pourra pas les emmener durant les compétitions vous comprenez, on a pas le temps..."

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Pas vraiment, ils ont utilisés les outils de com fédéraux, les affiches et de la pub dans le journal.

mais clairement, c'est hyper révélateur, de ce qu'attendent les 'clients potentiels' (désolé c'est le terme le plus adéquate) d'une école de tennis.Un endroit de loisir sans contrainte.(on peut les comprendre, tout le monde n'a pas le luxe de pouvoir adapter son emploi du temps)

Hagelhauer tappe un superbe discours, avec des chiffres : sur 100 gamins il y en 20 pour cent qui jouent des matchs! (désolé j'ai oublié le chiffre), ce n'est pas 'NORMAL' !, On doit placer le match au centre de notre école de tennis, bla bla bla bla......Force est de constater que non, car ça ne répond pas à la demande de la petite école de tennis de village.

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Petit truc de communication expliquer que le match amical et de compétition participe à la progression et expliquer qu'on progresse plus avec les matchs que sans.

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Pas vraiment, ils ont utilisés les outils de com fédéraux, les affiches et de la pub dans le journal.

mais clairement, c'est hyper révélateur, de ce qu'attendent les 'clients potentiels' (désolé c'est le terme le plus adéquate) d'une école de tennis.Un endroit de loisir sans contrainte.(on peut les comprendre, tout le monde n'a pas le luxe de pouvoir adapter son emploi du temps)

Hagelhauer tappe un superbe discours, avec des chiffres : sur 100 gamins il y en 20 pour cent qui jouent des matchs! (désolé j'ai oublié le chiffre), ce n'est pas 'NORMAL' !, On doit placer le match au centre de notre école de tennis, bla bla bla bla......Force est de constater que non, car ça ne répond pas à la demande de la petite école de tennis de village.

non le constat est plutôt que le turn over est important donc le soucis c'est pas de faire venir mais garder

ensuite les 20% qui font de la compétition restent plus longtemps dans les clubs donc ils espèrent en doublant les jeunes participants aux compétitions réduire le turn over et fidéliser plus d'enfants

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