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Dionysos

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Tout ce qui a été posté par Dionysos

  1. Voilà un petit lien sympa qui propose une analyse technique des différents coups du tennis avec pas mal d'illustrations qui pourront vous servir. D'ailleurs je viens de me rendre compte en lisant ce document que l'éminence hypothénar n'est pas ce que j'imaginais lol. http://www.staps.uhp-nancy.fr/analyse_techn_jeu_tennis.pdf
  2. T'es passé d'un plan de cordage 16*19 à un 18*20 donc la technique de lifte n'est plus tout à fait la même. Tout comme moi à l'époque, tu vas devoir apprendre à jouer ton coup droit avec plus d'allonge... tu vas en baver bon courage
  3. Je me souviens avoir connu le même type de problèmes après avoir changé de raquettes. Principalement sur le CD, le revers je m'y suis fait très vite. En fait j'étais passé d'une raquette destinée aux joueurs ayant un swing court à une raquette destinée aux joueurs ayant un swing long. Il a fallu que je modifie considérablement ma technique de CD pour retrouver de la longueur (moins de lifte et plus d'amplitude). Mais finalement je m'y suis fait et ça m'a permis de corriger pas mal de défauts dans ma technique de CD. T'es passé sur quelle raquette là ?
  4. Je saurai pas te dire, j'ai pas fait attention au nom du cordage. Je sais juste que c'était un technifibre et qu'il était jaune. Si tu joues avec, tu vas pouvoir me dire ce que ça vaut en terme de résistance alors. En fait j'ai jamais osé en faire monté un sur ma raquette parce qu'il m'a semblé très tendre comme cordage et donc très peu résistant.
  5. MDR :w00t: Oui, c'est T-feel pardon. Et la T-fall, qu'est ce que ça a donné ? Ca doit être top au niveau des sensations mais elle ne doit pas être très tolérante avec les frappes décentrées... Et en plus, elle doit faire un vrai bruit de casserole, lol
  6. J'avais testé une T-fell (mais je sais plus exactement quel modèle) et c'est vrai que je l'avais trouvé agréable à jouer, surtout en lift. Par contre j'étais un peu perturber dès que je tentais des chops ou des amortis. Mais je dois admettre que je ne l'ai tester que pendant 4 heures. Si je ne me trompe pas il s'agit là des premiers modèles proposés par la marque, et le moins qu'on puisse dire c'est que pour un coup d'essai c'est plutôt réussi. Je pense que d'ici quelques années on verra beaucoup plus de raquettes technifibre sur les courts et dans les magasins. PS : je ne sais pas quel cordage il y avait sur les modèles que vous avez testé, mais le cordage technifibre de couleur jaune qu'il y avait sur la mienne était très bon, on avait la sensation que la balle collait sur le tamis, vraiment agréable à jouer.
  7. Oui, ça aussi j'ai eu l'occasion de m'en appercevoir en testant différents modèles de raquette (pour ce qui concerne le plan de cordage). Plus t'as de cordes et moins ça lifte. Mais moins t'as de cordes, et plus ça casse,
  8. J'ai testé pas mal de cordages et pas mal de modèles de raquettes ces derniers temps. J'ai moi aussi tendance à beaucoup lifter mes balles et je casse assez souvent mes cordages donc ce que je recherche dans un cordage c'est avant tout la résistance (ce que je pense avoir trouvé dans le Wilson extreme polylast). Mais ce que je tenais à te dire, c'est que c'est plus le modèle de la raquette qui influe sur la qualité du lift que le cordage. Pour ma part, en changeant de modèle de cordage, je n'ai pas vraiment ressenti de différence dans la qualité de mon lift, en revanche j'ai bien senti que certains modèles de raquette étaient plus destinés aux lifteurs que d'autres (le modèle Babolat Pure Drive entre autres). Enfin, ce n'est que mon point de vue. Tu peux toujours demander conseil auprès d'un fournisseur compétent ou de ton coach.
  9. Bin alors Granville, qu'est-ce que ça donne le coup droit ? Si ça ne fonctionne toujours pas comme tu le voudrais, n'hésites pas à nous expliquer en détail ce qui cloche, histoire qu'on puisse cerner ton problème.
  10. C'est parce que t'as bien travaillé avec ton élastique ce week-end ça... :w00t:
  11. Merci Greg, très intéressant ton article. Si t'en as d'autres comme celui-là, n'hésites pas. PS : Si t'as un scan, rien de tel que ABBYY Finereader pour la reconnaissance automatique de texte. téléchargeable ici : http://www.01net.com/telecharger/windows/M...ches/13573.html
  12. Ha oui, j'ai oublié de préciser (mais je pensais que Nat54 s'en chargerai ) : - Transfert du poid du corps vers l'avant
  13. Quelques conseils que tu peux essayer de mettre en application : - préparation précoce (surtout valable sur surfaces rapides) : dès que tu vois la balle partir de la raquette de ton adversaire et que tu sais que tu vas devoir effectuer un coup droit, prépare. - Pense à bien allonger : prépare derrière et allonge bien devant. Accompagne ton geste le plus loin possible dans un premier temps. Traverse ta balle sans chercher à aller trop vite avec le bras (si la traversée est bonne, ça doit partir sans que t'aies à forcer). - frappe la balle devant toi. - Garde coude et poignet fermes au moment de la frappe. - Insiste sur la rotation du bassin : épaules perpendiculaires au filet en début de geste et parallèles au filet en fin de geste. - Si tu as une prise CD très fermée essaies de casser ton poignet dès la préparation. - Fléchis les jambes
  14. Dionysos

    Préparation de coup droit

    Si si, c'est une technique qui a été mise au point par les soviétiques durant la seconde guerre mondiale en vue de la rencontre qui les opposait à l'équipe Nazi de coupe Davis. Cf le livre de J.C. Baluchon "Histoire du tennis soviétique pendant la seconde guerre mondiale : de la propagande appliquée à l'intimidation de l'ennemi."
  15. Dionysos

    Servi ce lifté

    Exactement, ils n'ont pas encore inventé de camescopes assez puissants pour saisirs toute la subtilité de notre jeu de jambes.
  16. Dionysos

    Préparation de coup droit

    Jouer avec une balle dans la main gauche, c'est la grande classe. Ca lui donne un côté "joueur loisir" je trouve !!! Genre : mon adversaire est tellement en dessous de mon niveau que je peux me permettre de jouer comme à l'échauffement... En fait, c'est une technique d'intimidation très efficace à ne pas sous-estimer.
  17. Dionysos

    Préparation de coup droit

    Une balle dans le grillage, ça arrive à tout le monde. Sauf qu'en général on évite de montrer la photo,
  18. Dionysos

    Préparation de coup droit

    lol, sur cette photo (avec le pied décollé) j'ai un peu l'impression que tu vas prendre ta balle par en dessous et donc qu'elle va partir dans le grillage, je me trompe ?
  19. Aucun homme ne peut prétendre savoir ce que veulent les femmes, les femmes elles-même n'en ont pas la moindre idée...
  20. ça c'est bien vrai !!!!!!!!!!!!!!!! :w00t: ←
  21. Pas bête ça. Je vais organiser un petit casting au sein de mon club dès demain...
  22. Bon bein mon développement des capacités visuelles ne doit pas être au top alors. Dès que je commence à regarder les jolies demoiselles qui me regardent jouer au tennis, je suis plus du tout dans la partie et en général je perds mes moyens . Même chose quand de jolies jeunes filles en tenues légères jouent sur le court d'à côté, tu peux être sûr que je serai complétement hagard et que mon temps de réaction sera considérablement ralenti... Ha décidément, ce qu'on est faibles et vulnérables, nous les hommes...
  23. Le gros orteil du pied gauche :w00t: (en tout cas, c'est à ce niveau là que je fais des trous dans mes basquettes, lol)
  24. Une bonne alimentation permet d'accroître les perfomances du sportif et contribue par conséquent à une préparation efficace avant l'effort. Je vous propose donc un texte sur le sujet extrait du livre "échauffement du sportif" écrit par les docteurs G. Pasquet et Ph. Potier... Bonne lecture à tous. • L'Alimentation du sportif Il n'existe pas de recette universelle, mais un principe immuable pour l'alimentation et l'hydratation du sportif : mettre en réserve, diffuser rapidement et enfin reconstituer. Quelques pistes peuvent être proposées. En Compétition, quelques principes généraux peuvent ainsi être retenus, à moduler selon la spécificité de l'activité pratiquée et de son environnement . AVANT UN EFFORT PROLONGE Une semaine avant La limite d'un effort intervient lorsque les réserves en glycogène musculaire (sucre complexe) sont épuisées. Les méthodes visant à augmenter les réserves musculaires en sucres de l'organisme avant, par exemple, une course, sont souvent privilégiées. Cette hypothèse est à l'origine du régime dissocié Scandinave, exemple désormais obsolète. Ce régime Scandinave était mis en œuvre environ une semaine avant une épreuve. Associant l'alimentation à l'entraînement, il se décomposait en deux phases successives: - pendant la période la plus éloignée de la compétition (-7 à -3 jours), l'athlète s'imposait des entraînements longs et difficiles afin d'épuiser ses réserves en sucres. Dans le même temps, l'alimentation était essentiellement composée de lipides et de protides (graisses et viandes). À l'issue de cette phase d'épuisement des stocks musculaires intervenait la phase de mise en réserve, - trois jours avant la compétition, les athlètes mangeaient uniquement des aliments composés de glucides (pâtes, riz, pain...) tout en allégeant considérablement leur entraînement. Les muscles « engrangent » alors plus de réserves que dans le cadre d'une alimentation équilibrée. Les taux de glycogène peuvent alors être multipliés par deux ou trois par rapport aux réserves habituelles. Comme tout excès a son revers, ce régime est à l'origine de nombreux problèmes. L'entraînement intense, sans alimentation adaptée, épuisait complètement les sportifs. L'absence de glucides dans la ration pouvait amorcer des « empoisonnements acides » de l'organisme. Enfin, le retour à une alimentation abondante entraînait également des troubles digestifs (diarrhées, vomissements...). Actuellement, il est simplement conseillé aux coureurs se préparant à une compétition importante de réduire leur entraînement dans les dix derniers jours et d'augmenter la ration de glucides (pasta party) dans les trois derniers jours sans pour autant se surcharger. Quelques heures avant l'effort L'objectif de l'alimentation qui précède l'exercice est d'apporter des calories qui seront ingérées progressivement jusqu'à l'effort sans engendrer de troubles digestifs. L'athlète gagnera à prendre un dernier repas au moins quatre heures avant l'exercice. Pour parvenir à associer apport d'énergie et digestion facile, un repas essentiellement à base de sucres est conseillé. L'ingestion concomitante d'aliments gras ou peu digestes peut allonger les délais de digestion bien au-delà des quatre heures habituelles. La digestion d'un repas copieux peut dépasser les 8 heures. Ce type de repas doit donc être évité (pas de sensations de ventre lourd). Dans l'heure qui précède la course, avant qu'intervienne réchauffement, un apport massif de sucres n'est pas conseillé. En effet, ceux-ci provoquent une entrée massive de sucre dans le sang. L'organisme réagit alors en sécrétant de l'insuline qui a pour effet de capter ce sucre et de le mettre en réserve. Ce phénomène peut provoquer une diminution transitoire de la glycémie (taux de sucres dans le sang : hypoglycémie réactionnelle passagère avec sueurs, palpitations, vertiges). D'autres sucres tels que le fructose sont à préférer. L'effet « hypoglycémiant » de l'effort est considérablement réduit si l'athlète est déjà échauffé. Ainsi, n'est-il pas gênant de croquer un sucre ou de prendre une boisson sucrée après avoir fait quelques minutes de footing. AVANT UN EXERCICE INTENSE ET COURT Après un exercice intense et court, l'objectif est de réduire le plus rapidement possible l'acidité de l'organisme. Il peut être proposé de boire, dans les minutes qui suivent l'effort, une boisson à haute teneur en bicarbonates. Après cette première phase, une nouvelle absorption d'eau plate est conseillée afin d'éviter une aérophagie... En résumé Une alimentation riche en électrolytes (potassium, sodium...), en vitamines et en aliments glucidiques est à privilégier. Respectivement, des aliments comme les bananes, oranges, fruits secs, légumes, bouillon (électrolytes et vitamines), pâtes, riz (glucides) permettent de répondre à ces besoins. La proportion de protides (viandes) ne doit pas être trop importante. Leur dégradation conduit à des composés uriques nocifs qui s'ajoutent à ceux provoqués par l'exercice musculaire. • Hydratation Concernant l'hydratation, l'objectif est de procurer à l'organisme un « niveau » liquide lui permettant de retarder, le plus possible, la survenue d'une déshydratation sans pour autant l'obliger à s'arrêter pour uriner pendant l'effort. - Le premier conseil pour parvenir à cet équilibre consiste à éviter l'alcool et le café qui favorisent la déshydratation, - le deuxième conseil consiste à boire souvent des petites quantités de liquide pendant l'heure qui précède l'exercice. Le total des prises ne devra toutefois pas dépasser un litre. La nature de la boisson ingérée est également importante. Pendant l'effort Lors d'une activité, en particulier de longue durée, l'alimentation (aliments et boissons) du sportif doit permettre de : - éviter la déshydratation, - éviter l'hypoglycémie et l'épuisement complet du glycogène musculaire, - compenser partiellement les pertes en électrolytes, vitamines, minéraux, - ne pas provoquer de troubles digestifs, ce qui suppose une absorption facile. La boisson de l'effort Le sportif devrait concilier les trois impératifs suivants : -S'hydrater, mais en quelle quantité, quand, à quel rythme? Inutile de préciser qu'il est préférable de boire pendant les courses dont la durée dépasse une heure et qu'il devient indispensable de le faire quand l'effort se prolonge au-delà de deux heures. Il est important de boire dès les premiers ravitaillements même si l'envie ne se fait pas sentir. La soif apparaît quand la déshydratation est déjà bien entamée. L'absorption de boissons gagnera à être fréquente. Il est recommandé de boire souvent de petites quantités, plutôt qu'une grande quantité de temps en temps. L'organisme n'est pas capable d'absorber plus de 0,4 à 0,5 litre d'une traite (environ 1 à 1,5 litre par heure, voire moins en ambiance tempérée). En outre, plus l'apport est réparti dans le temps, meilleure est l'hydratation. Des ingestions de 10 à 15 millilitres (1 verre d'eau) répétées tous les quarts d'heure sont les bienvenues. La fragmentation de la prise de liquides réduit les difficultés de digestion et augmente l'absorption du liquide. Les progrès accomplis dans les ravitaillements permettent de s'approcher de ces valeurs. - Absorber une boisson enrichie en fonction de l'activité L'objectif est de prendre une boisson présentant des caractéristiques proches des liquides corporels. Le système digestif n'ayant pas à gérer des différences de concentrations importantes, l'assimilation des éléments nutritifs sera améliorée. Dans l'état actuel des connaissances, le consensus le plus général s'oriente vers les valeurs suivantes: - sucres avec une concentration de 6-8g/l pour éviter les inconvénients, - électrolytes: environ 200 mg par litre de sodium et de potassium, - minéraux : leur apport n'est pas nécessairement utile pendant l'effort et peut même s'avérer néfaste. - Absorber une boisson à température adaptée En dépit de controverses récentes sur le sujet, il apparaît que les liquides frais sont absorbés plus rapidement dans l'organisme. La zone de température idéale s'approche de 10 °C. Un quart d'heure après l'ingestion, le quart des liquides se trouve au niveau intestinal. Après un effort prolongé, la réhydratation prend plusieurs heures. Or, la sensation de soif s'estompe beaucoup plus rapidement. Il importe donc de se souvenir de boire régulièrement par petites doses. Une recette pratique d'un litre d'une boisson prête à l'emploi en vue d'un effort futur : - Prendre une bouteille d'un litre, la remplir à moitié d'eau, - presser une orange ou deux citrons. Verser le jus dans la bouteille, - mettre une pincée de sel (1-2 g) dans le liquide, - ajouter 3-4 cuillerées à café de sucre en poudre (il est possible de délayer le sucre séparément dans un bol avec un peu d'eau en remuant avec une cuillère puis de verser le tout dans la bouteille), - ajouter de l'eau pour compléter la bouteille, - refermer, remuer énergiquement et placer le tout au réfrigérateur (pas trop froid). Des boissons sucrées et légèrement salées permettront d'allier l'apport de glucides à la reconstitution des stocks de sodium. ► En résumé Les dix commandements nutritionnels du sportif, par le Dr Jean-Pierre de Mondenard* : - Point d'énergie tu n'attendras du repas pris précédemment. - Aucune nourriture tu ne prendras avant l'effort immédiatement. - Certains aliments tu éviteras pour digérer plus facilement. - Ta force musculaire tu n'augmenteras par la viande excessivement. - Des vitamines tu n'abuseras, et surtout pas artificiellement. - À l'exercice souvent tu boiras pour t'hydrater correctement. - De boissons sucrées tu te dispenseras, sauf à l'effort naturellement. - La fringale à l'effort tu éviteras en t'alimentant régulièrement. - Toute forme d'alcool tu banniras sous peine d'en pâtir sévèrement. - Maigrir par le sport tu n'espéreras, même en transpirant abondamment.
  25. Dionysos

    La volée amortie

    Disons que sur les surfaces très lentes ça peut-être utile. Peronnellement, lorsque je joue en extérieur sur des surfaces bien lentes et avec du vent, mes volées "claquées" ne font pas toujours le point du premier coup tandis qu'une petite volée déposée derrière le filet se révèle parfois plus efficace. Mais j'avoue ne pas être un spécialiste de la volée.
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