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spoonnie

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  1. Perso, ça ne me surprend pas plus que ça. D'abord, parce que s'entraîner et faire des matchs, même amicaux, ce n'est pas la même chose. Ensuite, parce que les joueurs qu'elle affronte sont à leur maximum de classement, et même s'il est possible qu'avec plus d'entraînement, ils puissent un peu progresser, ils ont quand même atteint leur pic. Pauline a été mieux classée (elle a été UTR 12,5 de mémoire), donc elle a un peu de marge. Pas beaucoup, mais un peu quand même. Ce n'est pas une critique des choix d'adversaires, je comprends et approuve la logique. Mais si elle jouait contre un 2/6 de 17 ans en pleine forme, qui dans un an serait négatif, elle aurait plus de mal. Idem pour un 2/6 qui ne joue pas énormément de tournois mais maintient son classement au talent, en réalisant de bonnes performances 6 à 7 fois par an, ce serait aussi plus compliqué. Le format est sympa en tout cas, ça change un peu.
  2. Ça dépend de ton classement. Ça m'est arrivé deux fois quand j'étais 15/2 et que la limite était 15/2, puis quand je suis monté 2/6, j'ai fait plusieurs fois la finale directement en étant le mieux classé. Ce n'était pas forcément super, d'autant que j'en ai perdu une contre un ancien -15, et sur le coup, ça m'a fait mal au c... d'avoir payé les frais de tournoi pour un seul match, qui plus est perdu... J'ai aussi joué des finales contre des mecs qui faisaient leur premier match ; de mémoire, ça ne les a pas trop gênés (j'ai souvent perdu ces matchs), en ne passant qu'un tour et en jouant en contre en demi. Après, c'était il y a longtemps, ça a peut-être changé depuis...
  3. La différence aussi, c’est qu’aux États-Unis, tu peux avoir un bye, mais tu rentres dans le tournoi au premier ou au deuxième tour. Pour gagner un tournoi, quel que soit le niveau, il faut généralement remporter 3 ou 4 matchs. En France, tu peux parfois jouer directement la finale, ou avoir un tour de "chauffe" contre un adversaire moins bien classé qui a passé un ou deux tours. C’est assez différent, avec des avantages et des inconvénients dans les deux cas.
  4. UTR 4, c’est faible chez les femmes. NTRP 4, ce serait un tout petit peu mieux. Mais clairement, elle n’est pas WTN 11, elle doit être au moins 30. Il doit jouer 2/6, peut-être un peu mieux mais guère plus. Il est bon, sans être excellent. Tant qu’il prend du plaisir à jouer, c’est déjà l’essentiel.
  5. Oui, il en reste quelques-unes, mais c’est hyper rare. Souvent, elles sont "underpowered" et elles "tricotent" par défaut. Barty ou Muchova, elles utilisaient beaucoup leur slice de revers par choix tactique, pas parce qu’elles ont un mauvais revers. Mon gamin a fait du sparring l’année dernière avec Kostyuk à San Diego (dommage que le tournoi n’existe plus), et elle travaillait beaucoup les montées à contretemps. Si tu regardes la WTA, t’as encore quelques joueuses qui viennent au filet, mais c’est clairement assez rare. C’est fond de court, et rien d’autre.
  6. Évidemment, si tu commences à les embrouiller, elles vont avoir du mal, au moins au début. Puis elles s’adapteront. Le souci sur le circuit WTA, et dans le top 100 en général, c’est qu’il n’y a plus de “tricoteuses”. S’il y en avait plus, les joueuses s’adapteraient. C’est un peu comme les gauchers : c’est chiant parce qu’on n’en croise pas souvent. S’il y en avait 50 %, ce ne serait plus un problème. Le bras de fer permanent s’explique assez bien. Les pros essaient d’exploiter au maximum la filière dans laquelle ils se sentent le plus à l’aise – ou du moins, le croient-ils. Ce n’est pas propre aux femmes. Si tu regardes Monfils, on l’a souvent vu passer deux ou trois tours en jouant super agressif, exploser ses adversaires… puis en quart ou en demi, jouer tout en défense, sans raison apparente. Et perdre le match. Ce que j’essaie de dire, c’est que mentalement, un pro ne peut pas décider de jouer un tennis qu’il ne maîtrise pas, même si c’est la seule façon de battre un adversaire qu’il ne peut pas battre autrement. C’est comme si tu décidais de faire service-volée contre Djoko parce que du fond du court, t’as aucune chance. Avant de croire que ça peut marcher, il faut une bonne tonne de confiance. Sur l’absence d’opposition de style, je te rejoins : c’est devenu un vrai problème. Perso, un Sinner-Djoko, ça m’ennuie. Du ping-pong sur un court de tennis, c’est pas trop mon délire. Si on n’avait pas uniformisé les surfaces, si on n’avait pas cherché à protéger les têtes de série pour qu’elles aillent le plus loin possible, peut-être qu’on aurait encore des spécialistes de terre, de gazon, de dur… et d’autres surfaces bizarres (j’ai déjà joué sur du parquet, super cool !). C’est aussi pour ça que le débat sur le GOAT m’ennuie et me fatigue à mort.
  7. Aux États-Unis aussi, ils ont introduit le WTN, mais ce n’est pas encore au point, ni à jour. J’ai tapé la balle avec une nana plutôt pas très forte, genre UTR 4, et son WTN était de 11 (sic…) alors que mon gamin, qui a un UTR de plus de 11, est à WTN 16… Cherchez l’erreur…
  8. C’est effectivement la différence entre le classement français (qui a ses vertus), basé sur un certain nombre de matchs, et l’UTR, qui repose davantage sur le nombre de jeux gagnés, ou plutôt sur des probabilités et des écarts-types. Je pensais aussi qu’il existait une certaine homogénéité entre les UTR hommes et femmes, mais mon fils me dit que ce n’est pas le cas. Là aussi, ce serait intéressant de comparer. Malheureusement, on ne connaît pas toujours les UTR des adversaires de Pauline, quand ils sont anonymes sur Ten'Up , leurs UTR n’est pas à jour.
  9. Ta fourchette me semble pas mal. Mon gamin a passe un an en france et il a finit l'annee 4/6 avec un UTR de 9.2 de memoire. Donc pauline a 10.60 (avec un max 11.5) est 3/6 2/6. 13.5 chez les hommes c'est deja autour de 800 ATP. (IE Daniel Milavsky, 13.69 UTR, 688 ATP). Chez les femmes, Sabalenka est 13.15.
  10. Donc du coup un 2/6 ca fait quoi en UTR? Plutot 10.5?
  11. Elle est UTR 10.60, en theory elle devrait passer a 2/6 (on verra). Dommage quelle puissa pas jouer contre mon fils, ca serait interressent.
  12. Un 2/6 francais (si il y en a sur le forum) ca vaut quoi en UTR?
  13. Je suis plutôt d’avis inverse. Les femmes ont été celles qui ont exploité les nouvelles technologies le plus rapidement, ce qui explique qu’elles aient été les premières à orienter leur jeu vers des filières courtes (one-two punch), en restant au fond du court et en utilisant davantage la puissance que les angles. Une joueuse du top 10 dans les années 80 ne frappait pas comme 700 hommes. Aujourd’hui, c’est le cas. Et je ne parle même pas des années 60. Tactiquement, c’est assez pauvre parce qu’elles ont standardisé leur jeu bien plus tôt que les hommes. Elles atteignent la maturité plus jeunes, et celles qui y parviennent adoptent presque toutes les mêmes schémas de jeu et les mêmes techniques. Tu n’as aucune joueuse du top 100 qui a un gros service, un gros coup droit, mais pas de revers. Chez les hommes, tu as encore des joueurs avec des faiblesses marquées, comme Berrettini, par exemple. C’est aussi pour ça que le revers à une main a disparu plus vite chez les femmes. Chez les hommes, il y a moins d’écart en termes de puissance. Il y a des différences de taille, bien sûr, mais la grande majorité des pros sont capables de frapper fort. Ils sont donc obligés de trouver des options tactiques s’ils veulent faire la différence. Tu as encore un peu d’oppositions de style, même si ça devient plus rare. Chez les femmes, ce sont plus souvent des confrontations basées sur la puissance : l’une frappe fort et agresse constamment, l’autre défend et contre. Évidemment, en termes tactiques, ça réduit le champ des possibles.
  14. Chez les pro (top 200 WTA), l'ecart c'est reduit avec les hommes. Chez les amateurs, c'est plus ou moins la meme choses a priori.
  15. Interresent ces notes. Je ne les ai pas paye donc pour mois c'etait un no brainer de jouer avec. Je joue pas non plus beaucoup et pas a un gros niveau (mes adversaires sont UTR 8 max) donc pour moi ca suffit. J'ai pas de probleme de regularite, fond de court ou volley, apres si je jouait contre plus fort. Peut etre que je verrais les limites... Tu cherches quoi comme style de raquette?
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