réforme - de 12 galaxie tennis et conséquences hypothétiques

[totophe]

Ton dossier ? sur la réforme ?

non celui il est à ma droite sous le coude

[denebola]

[loulou]

euhhh c'est quel club????

et tes joueurs sont des têtes de gondoles???

donc sur le forum, tu n'es pas en mode "pro" c'est bon à savoir, ça signifie que dans tous tes posts, tu ne dis que des inepties?

Très intelligent.

C'est le DTC

Ca veut dire que je dis ce que je pense sans me soucier de mon image, mais apparemment tu ne comprend pas les messages, il faut te les répéter, te les mâchouiller, ça doit pas être facile tous les jours pour toi.

[zap]

C'est le DTC

C'est vrai qu'avec un nom de club pareil, je comprends mieux la perte d'effectif des enfants, les parents devaient vouloir sauvegarder leur progéniture..

[loulou]

C'est vrai qu'avec un nom de club pareil, je comprends mieux la perte d'effectif des enfants, les parents devaient vouloir sauvegarder leur progéniture..

Il y a ceux qui ont cherché et il y a les autres... , j'aimerais bien qu'on arrête avec les messages de provocation gratuite, après on entre dans une spirale, à la fin tout le monde perd du temps, c'est super pour ceux qui n'ont rien d'autre à faire,mais ce n'est pas le cas de tout le monde.Je ne répondrai plus à ce genre de post, pas le temps.

Pour les effectifs féminins, ça varie d'un club à l'autre :

Sur un club on fait + 200 pour cent

Sur le deuxième ça se maintient

Sur le troisième on note une perte de 60 pour cent, le paradoxe :une hausse de 200 pour cent en adulte homme.Le club a peut être pris un virage trop compet, c'est le club qui a le plus de résultats.Les chiffres de ce club sont vraiment étranges, je ne sais ^pas si la situation va évoluer dans les 15 jours à venir.

Il y a une corrélation entre l'effectif femme et l'effectif jeune, les mamans doivent mettre les enfants au tennis, il doit y avoir un lien de cause à effet.

[Rodo]

Il y a ceux qui ont cherché et il y a les autres... , j'aimerais bien qu'on arrête avec les messages de provocation gratuite, après on entre dans une spirale, à la fin tout le monde perd du temps, c'est super pour ceux qui n'ont rien d'autre à faire,mais ce n'est pas le cas de tout le monde.Je ne répondrai plus à ce genre de post, pas le temps.

Pour les effectifs féminins, ça varie d'un club à l'autre :

Sur un club on fait + 200 pour cent

Sur le deuxième ça se maintient

Sur le troisième on note une perte de 60 pour cent, le paradoxe :une hausse de 200 pour cent en adulte homme.Le club a peut être pris un virage trop compet, c'est le club qui a le plus de résultats.Les chiffres de ce club sont vraiment étranges, je ne sais ^pas si la situation va évoluer dans les 15 jours à venir.

Il y a une corrélation entre l'effectif femme et l'effectif jeune, les mamans doivent mettre les enfants au tennis, il doit y avoir un lien de cause à effet.

oui, il y a un lien :

Ce sont les mamans qui choisissent les activités sportives des momes, pas les papas...(qui eux s'en foutent).

Qui se foutent d'ailleurs royalement de la méthode utilisée pour apprendre à jouer au tennis.

Et je confirme : il faut être prof pour se soucier de cela.

Rodo jr commence le mini tennis ce samedi (sur sa demande, j'ai pas poussé du tout) : je vous raconterai

[sean95]

Je crois que pour beaucoup de parents, c'est plus le feeling entre l'enfant et le prof plutôt que la méthode employée.

[sean95]

Régis de Camaret approuve ce post.

Peut-être le curé aussi.

[sean95]

Celui de Camaret.

[Yam]

J'ajouterais que les papas s'investissent de plus en plus dans ce genre de choses. Après 50 ans de féminisme, il fallait bien que ça arrive.

La proportion de garçon à pratiquer le même sport que papa ne doit pas être négligeable non plus. Soit par mimétisme, soit parce que papa force un peu le choix. Nous on voulait mettre junior au judo, mais quand on s'est inscrits au tennis avec mon épouse, il a voulu faire pareil. Va pour le tennis du coup. Mais on ne s'est jamais posé la question de la méthodo. On verra à l'usage, et c'est surtout lui qui choisira de continuer ou d'arrêter.

A vous lire, j'ai l'impression qu'on peut ranger les joueurs de tennis en 2 catégories: Loisir et compet.

A partir de quel âge cette distinction devient sensible? Est ce que les cours sont différenciés pour ces 2 types de public? Est ce que les joueurs sont eux-même capables de se définir comme appartenant à l'une ou l'autre catégorie? Est ce que vous êtes incités à pousser les jeunes vers la compet?

Que les nouveaux rythmes scolaires aient un impact, je pense que c'est évident. Mais la mise en place de ces nouveaux rythmes n'est pas la même partout. D'une ville à l'autre, il y a des différences énormes, qui dépendent surtout de l'investissement de l'équipe petite enfance de la mairie. Chez nous ils ont bien fait les choses (sur le papier en tout cas), alors que dans la ville voisine, il n'y a pas d'activité, juste une garderie. Je ne pense donc pas qu'on puisse généraliser un comportement, ni même tirer de conclusion définitive dès la première année.

[Yam]

Oui, on sait tous que certains parents poussent leurs enfants à la compet. Mais c'est marginal je pense.

La question est plutôt à l'inverse: Est ce que les parents inscrivent leurs enfants en disant qu'ils ne veulent pas de compet? --> Choix du parent pour l'enfant en bas âge.

Et ensuite: Est ce que les enfants sont clairs sur leur choix? Et si oui à quel âge observe-t-on cette distinction chez les enfants?

[Coyote28]

Je ne sais pas à quel âge l'envie de la compétition se manifeste, mais la peur de l'échec, la peur de l'examen ou de la note, ça peut-être très précoce (à 6 ans, ça s'observe déjà chez certains).

Pour ceux là, les formats petits matchs au sein de l'école de tennis peuvent avoir un bienfait thérapeutique.

[Rodo]

La peur de l'exam, elle est transmise par les parents.

ah oui ?

et la peur de l'echec ?

[marie]

Que les nouveaux rythmes scolaires aient un impact, je pense que c'est évident. Mais la mise en place de ces nouveaux rythmes n'est pas la même partout. D'une ville à l'autre, il y a des différences énormes, qui dépendent surtout de l'investissement de l'équipe petite enfance de la mairie. Chez nous ils ont bien fait les choses (sur le papier en tout cas), alors que dans la ville voisine, il n'y a pas d'activité, juste une garderie. Je ne pense donc pas qu'on puisse généraliser un comportement, ni même tirer de conclusion définitive dès la première année.

tu as des mairies qui ont pris les choses en main depuis un an mais qui se retrouvent confrontés à la réalité du terrain. Dans les zones rurales, les bénévoles des associations ne peuvent pas se libérer aux créneaux proposés (dans ma commune c'est 13h30-14h15 en maternelle 4 jours/semaine , 15h-16h30 2 jours/semaine en primaire) et les associations n'ont pas forcément de salarié. Quant aux retraités et autres, ca pose aussi des problèmes de disponibilité, de responsabilité, etc ... Il y a peut-être des mairies qui n'ont pas anticipé le problème mais certaines n'ont pas eu le choix que d'ouvrir une garderie.

[zap]

La peur de l'exam, elle est transmise par les parents.

Pareil.

Un peu "simpliste" comme raisonnement, l'enfant à aussi son propre caractère.

[marie]

Les """meilleures""" mairies c'est celles qui ont fait le choix de ne pas changer les horaires du lundi et jeudi et qui proposent de vraies activités (NAP) sur le vendredi après-midi. Beaucoup moins de problème de temps de trajet vers l'activité, de trouver un/des responsables d'activité..

Sauf que cette solution n'est pas du tout en faveur des intérêts de l'enfant, au contraire : tu leur fais enchaîner deux activités (impossible de faire une animation de 2h45 surtout en maternelle) et tu ne peux pas enchaîner sur des activités artistiques après avoir fait du sport par exemple (concentration, effort physique, etc ...) donc non, ce n'est pas du tout une bonne solution même si c'était effectivement la plus simple pour les mairies en terme d'organisation.

[marie]

C'est étonnant car chez nous, mairie, parents d'élèves et directeurs d'école étaient contre.

[zap]

Je ne comprends pas ce que tu veux dire. Chacun a son propre caractère qu'il construit en fonction du milieu dans lequel il évolue avec ce que ça suppose comme interactions.

Mais si tu veux dire que le caractère des enfants est inné et non acquis, ça me semble assez "simpliste" également.

Il y a une part d'acquis, je ne dis pas le contraire, mais également d'inné. Certains parents n'en n'ont rien a faire que leur enfant perde ou gagne un match de tennis tant qu'il s'amuse, c'est pas pour ça que l'enfant lui s'en foutra complètement, il peut très bien détester la défaite malgré tout.

[Rodo]

C'est étonnant car chez nous, mairie, parents d'élèves et directeurs d'école étaient contre.

contre quoi ?

Chez nous, on a pas vraiment eu le choix... comme un peu partout, pas d'animations mis en place pour les enfants, juste une garderie. Alors bon, 2h dans la cour le midi quand il fait 20°, ca va bien, mais les petits vont moins rigoler en décembre...

dégager le vendredi n'est pas idiot en terme d'organisation, mais pas très cohérent pour le bien être de l'enfant... dont on se moque royalement depuis la mise en place de cette réforme.

[marie]

Contre les 3h de TAP le vendredi après-midi.

[zap]

Mais comment fait un enfant pour savoir ce qu'est la défaite si personne (parent ou autre figure d'autorité) ne lui a expliqué le concept avant?

La question n'était pas là, Evidemment à un moment quelqu'un lui apprend ce que veut défaite, ou exam, mais on parlait de la peur de la défaite ou de l'échec.

Tu peux très bien apprendre à un gamin ce qu'est une défaite, sans lui inculquer le fait qu'il doit en avoir peur.

[zap]

Tout à fait d'accord. Mais ça me semble assez rare dans notre système de valeurs.

Là on est d'accord, cependant dans le domaine du sport je pense quand même qu'il vaut mieux apprendre à accepter la défaite, même si ça fait mal,

Après c'est vrai que pour ce qui est des études c'est plus délicat vu que dans le monde du travail il faut avoir des diplômes..

[mr chocolat]

Très intelligent.

C'est le DTC

Ca veut dire que je dis ce que je pense sans me soucier de mon image, mais apparemment tu ne comprend pas les messages, il faut te les répéter, te les mâchouiller, ça doit pas être facile tous les jours pour toi.

c'est surtout pas facile de lire le tas de bêtises que tu débites! tu es le seul que je ne comprend pas....pourtant tu me dis que je suis intelligent! mais je m’aperçois que tu perds vite tes moyens quand on te chatouille un peu. ça doit être beau le M.T.

[loulou]

J'ajouterais que les papas s'investissent de plus en plus dans ce genre de choses. Après 50 ans de féminisme, il fallait bien que ça arrive.

La proportion de garçon à pratiquer le même sport que papa ne doit pas être négligeable non plus. Soit par mimétisme, soit parce que papa force un peu le choix. Nous on voulait mettre junior au judo, mais quand on s'est inscrits au tennis avec mon épouse, il a voulu faire pareil. Va pour le tennis du coup. Mais on ne s'est jamais posé la question de la méthodo. On verra à l'usage, et c'est surtout lui qui choisira de continuer ou d'arrêter.

A vous lire, j'ai l'impression qu'on peut ranger les joueurs de tennis en 2 catégories: Loisir et compet.

A partir de quel âge cette distinction devient sensible? Est ce que les cours sont différenciés pour ces 2 types de public? Est ce que les joueurs sont eux-même capables de se définir comme appartenant à l'une ou l'autre catégorie? Est ce que vous êtes incités à pousser les jeunes vers la compet?

Que les nouveaux rythmes scolaires aient un impact, je pense que c'est évident. Mais la mise en place de ces nouveaux rythmes n'est pas la même partout. D'une ville à l'autre, il y a des différences énormes, qui dépendent surtout de l'investissement de l'équipe petite enfance de la mairie. Chez nous ils ont bien fait les choses (sur le papier en tout cas), alors que dans la ville voisine, il n'y a pas d'activité, juste une garderie. Je ne pense donc pas qu'on puisse généraliser un comportement, ni même tirer de conclusion définitive dès la première année.

Tout à fait et ce sont deux manières d'intervenir tout à fait différentes.De plus, Il y a deux types de compétiteurs, Pour le premier type de compétiteur, la distinctions peut se faire très tôt, le compétiteur a un état d'esprit, tu le décèle très vite très tôt (parfois 4ans), certains gamins ont ça dans le sang; Pour d'autres ( 2ème type) ça vient plus tard, parfois après 11ans.

Absolument, les chiffres viennent de remonter en flèche je stabilise en jeune, par rapport à l'année précédente. Les emplois du temps n'était pas définitifs à cause de la réforme des rythmes scolaires, les parents attendaient les emplois du temps.

Pour les Nap, il est à mon sens impossible d'établir une règle.Le pouvoir de décision est placé entre les mains des mairies, les NAP n'ont donc rien à voir d'une commune à l'autre. Certaines mairie mettent le paquet et payent des intervenants diplômés, d'autres ont moins de budget et se contentent de personnes non diplômées, moins chers, certaines communes font payer les NAP très cher, d'autres un tarif dérisoire, les dernières sont gratuites, enfin les horaires NAp changent également d'une commune à l'autre.

Pour le développement de l'enfant, il y a une part d'innée et une part d’acquis.

Enfin : la défaite la victoire, le gamin l'apprend très tôt, dans la cours de récréation alors qu'il a 6 ans. Il suffit de dédramatiser la défaite au tennis, c'est pour cela que l'école du tennis fait faire aux plus petits des matchs 'sans enjeu'

[Yam]

J'ai vérifié les NAP chez nous (on appelle ça les TAP). Il n'y a pas de sport à l'extérieur, uniquement des jeux, de l'art plastique, des activités manuelles, du chant et un peu de danse. En plus les gamins changent 2 fois par trimestre d'activité, et n'ont pas le choix de l'activité. Du coup pas de concurrence pour le tennis.

Sinon je souhaite bon courage au coach de mon fils. Il est incapable de finir un jeu (quel qu'il soit: bataille, mille bornes, jeu de 7 familles) dès lors qu'il se rend compte qu'il ne peut plus gagner . On essaie de lui faire comprendre, mais c'est dur.

Il a fait 15 min de tennis en juin avec le coach (il a 5 ans: avec une raquette et un ballon, il fallait marquer des buts contre un adversaire de 6 ans qui avait 1 an de pratique). Résultat: 2 jets de raquette et refus d'aider le copain à ramasser les plots à la fin parce qu'il faisait la gueule.

Je sais pas si la méthodo apprend à gérer les caractères, mais nous on n'a pas encore trouver la clé :/