STEPHW

La vache, 6 cadres ?! Tous identiques ?

Quoi qu'il en soit, si l'adversaire est mauvais...aucun risque, tu gagnes! Mais si tu perds...c'est que tu es plus mauvais que lui encore! Après, ça reste très relatif : bon/mauvais jour, jeu qui te conviens ou pas...stress de la compet', autant de paramètres difficiles à prévoir. Alors sois cool, joue au mieux de tes possibilités du moment, le reste suivra. Et comme me disait il y a très longtemps mon prof de judo "quand tu auras appris à perdre, alors tu pourras commencer à gagner"...

Chouette site Steph. Prix intéressants. Notamment les ASICS Gel Challenger 7 à 76,90 € (90 € chez intersport...)

T'es sûr d'avoir besoin de tout ce fourbi pour aller jouer au tennis ? Surtout la pochette "notes tactiques", ça me laisse...pantois !

Ben c'est le vainqueur qui arrose ! Mais bon, ça arrive parfois, rarement en fait, qu'on prenne racine dans le club house : nos emplois du temps respectifs sont souvent...au couteau. Donc on ne s'éternise pas (épouse, enfants, boulot...nous attendent!)

Toujours idem : - 2 raquettes - papiers du chien, euh non, du véhicule...enfin licence toussa, quoi! - bouteille (1 ou 2) : eau + sirop (menthe, grenadine...) - boite de balle - coudière - bandana : 'transpire à grosses goutte le papy... - casquette - poignet éponge et en compet', en plus : - serviette - ts de rechange - menue monnaie...(au cas où je gagnerais!)

rigolez pas trop les loulous, c'est pas si idiot que ça : en terme de programmation neuro-musculaire et sensorielle on est bien dans ces zones là. Un geste est acquis...quand il est automatisé : or, pour qu'il soit automatisé, c'est à dire qu'il échappe au contrôle cortical (la volonté quoi!) et qu'il soit produit par la voie extra-pyramidale...il faut le répéter de nombreuses fois. Après 1600, 2000 ou 5000 fois, c'est comme le temps de refroidissement du fût du canon : ça dépend! Mais ce qui est certain c'est que l'automatisation d'un processus ne se fait pas en deux coups de cuiller à pot.

Ah, te fais pas d'bile, si tu tombe sur un NC +35 ans qui a arrêté le tennis 10 ans en ayant été 30/1 avant de reprendre NC...tu devrais pouvoir t'amuser!

Je n'ai pas remarqué non plus que les éduc' détestent le slice. Juste, et ça a été dit, ils apprennent aux mômes à remettre la balle avec un max de sécurité...donc ça finit par jouer en cadences. Pour ma part, j'ai appris à jouer dans les années 80...et on choppait la balle en revers. Faut dire qu'on avait des raquettes avec des tamis de nain, alors pour lifter, c'était coton. Bref. Et puis, jouant préférentiellement S/V, j'ai vite adopté le revers choppé comme arme d'attaque : bien "couché sur la balle", bon transfert du poids vers l'avant, ça avance vite mais sans grande sécurité (trop près du filet); ou alors, coup en toucher, tout en douceur, de l'amortie à la balle flottante bien longue. Je trouve d'ailleurs que j'ai plus de facilité à mettre la balle où je veux (enfin ou j'aimerais...) en slice qu'à plat ou en lift. Là, depuis l'an passé, j'ai un peu plus bossé les coups réguliers de fond de court et j'ai un peu perdu en feeling, en "coup de patte". Il faut le temps de tout digérer et être à nouveau capable de varier le rythme et les effets.

Il y a sûrement plusieurs écoles, mais, pour ce qui me concerne, je ne me vois pas coller au filet pour jouer une volée. Théoriquement, quand je monte, j'essaie de faire une reprise d'appuis au niveau de la ligne de carré de service, puis je joue ma volée en avançant et je termine au plus près du filet. Plus tu t'approches du filet, moins tu as d'angle pour jouer et tes éventuels déplacements ne pourront plus être que latéraux. Or, comme tous les coups, la volée se joue je pense en avançant, pas en étant statique. Voila pour l'aspect technique (mais bon, je peux me tromper). Sinon, comme anecdote, en voilà une récente : je jouais en double (15/4-30/1 vs 15/5-30/1), j'étais à la volée et mon adversaire direct me joue un passing-missile...sur le bras gauche. Résultat : Artengo 920 tatoué sur l'avant bras (bon, ok, c'était surtout un bon gros rond rouge!)... @ rage : Je ne supporte pas que mon adversaire m'allume exprès. Non seulement je trouve ça anti-sportif, mais aussi dangereux. Et je peux te dire que si par hasard il me touche, ça se finit mal : je veux bien prendre une balle sur la tronche par maladresse, mais sciemment, crois-moi, le mec ne recommence pas...

n'est ce pas !? plus je suis relâché, et plus ça avance. Et plus je suis relâché, plus je parviens à entrer dans ma filière de jeu habituelle "courte". Le truc, c'est de ne pas jouer en sur-régimé : quand t'es à fond...difficile d'accélérer encore! Bon, c'était une boutade : évidemment que le bras doit bouger. Mais si je me contente de jouer avec le bras...je me fais mal et ça n'avance pas. Finalement, le problème pour moi n'était pas tant un problème de prise que de geste. En gardant ma prise semi-fermée et en modifiant simplement mon plan de frappe, ben c'est le jour et la nuit en terme de jeu.

Ce qui me gonfle c'est quon ne trouve plus de chaussures en cuir à prix corrects : je joue avec des Challenger 7, super confortable pour moi, excellent maintien, légères...mais si tu transpires des pieds, c'est cata !

Tiens, j'avais complètement oublié ce sujet ! Je vais essayer de répondre à quelques "questions" 1. Oui...c'est un pb mental : j'étais lessivé, j'avais mal au bras et plus envie de jouer. Et puis, quand tu es 30, tu ne peux (dois) pas perdre contre un joueur moins bien classé ! Quelle connerie... Tout le monde sait que l'enjeu tue le jeu. 2. Oui, je sais que mes adversaires à venir me proposent autre chose que l'opposition des 4e série que j'ai joué l'an passé. Et je n'ose plus jouer mon jeu habituel. Je joue contre nature et ça aussi, c'est con. 3. J'ai explosé au tennis en une saison comme je n'avais jamais joué auparavant : tout était bonus. Simplement jouer après avoir cru un toubib qui m'avait interdit de toucher à ma raquette parce que j'avais mal au dos c'était du bonus. Cela dit, je ne jouais pas "comme un dieu", juste comme un bon 15/5 (ce qui pour moi est déjà énÔrme...). 4. Oui, je suis un joueur "filière courte" : et je suis bien décidé à retrouver ce jeu que j'aime, quitte à perdre des matchs. Quitte à perdre tous mes matchs cette saison et à la considérer comme une année de transition. 5. Physiquement, j'ai retrouvé du jus : course à pieds 1X/semaine, un peu de muscu bras/épaule, stretching...et je n'ai plus mal nulle part après un match ou un entrainement! 6. Ne plus penser QUE tennis... PS : ah, oui, j'avais oublié de préciser que j'avais aussi changé de matériel en cours de saison (Wilson PS Classic 6.1--> T-fight 295) et que j'avais eu quelques difficultés d'adaptation.

Ok, les marques, on s'en moque...(mais c'est marrant, le ts Nadal, Fed', Djoko et tutti se vendent +++++). Par ailleurs, chez Décath', pour pas trop cher, on trouve des polos spécial tennis en maille respirante. C'est joli, mais ni plus ni moins que certains tee-shirts. Cela dit, je préfère nettement voir Fed' ou Djoko par exemple que Nadal et sa tenue de pirate qui lui colle au fesse (et ailleurs!), ou Agassi à son époque fluo... Cependant, ce qui me gêne, c'est d'invoquer la tradition pour justifier telle ou telle chose : la tradition, par principe, ne peut pas être figée. Elle s'inscrit dans une histoire, vit dans le présent et prépare le futur. Si la tradition était restée figée dans les années 20, les filles joueraient encore en robe longue et les hommes en pantalons...et là, ce serait un dogme(quelque chose d'indiscutable, d'immuable...)! Alors, quelles tenues de tennis à l'avenir ?

Bah, pas sur que le polo truc ou machin fasse la valeur ou la noblesse du tennis. D'autant moins d'ailleurs que le sportswaer se retrouve à tous les coins de rue. Peut être que ce qui donnait une certaine "classe" aux joueurs et joueuses de tennis il y a...50ans, c'était leur différence vestimentaire et aussi (surtout?)sociale vis à vis de leurs contemporains. Perso. je ne porte pas spécialement ceci ou cela : il me faut des fringues dans lesquelles je me sens bien. Et je dois dire que les vêtements techniques de chez Décath' sont vraiment sympa : légers, respirants...pas chers (c'est aussi un critère important pour moi : ce que je reproche aux marques, globalement, c'est leurs prix exorbitants !). Ce qui me fait sourire (pas méchamment hein!), c'est ce que j'appellerais thèse/antithèse : au polo Lacoste, j'oppose un maillot de foot ou un tee-shirt déchiré, à la marque comme étendard la non-marque en réaction. Bref...

Je m'interroge (au kiné de répondre...moi je ne suis formé que depuis peu aux thérapies manuelles et TRES curieux et prudent à la fois) : douleur au coude, puis douleur épaule (sûrement un jour ou l'autre douleur poignet...)est-ce que ça n'évoquerait pas par hasard (à confirmer par un examen évidemment) un petit problème en C2 par exemple... Parce que bon, la tendinite c'est une conséquence, pas une cause : c'est parce que quelque chose dysfonctionne que je me colle une tendinite.

ça fait une paille que dans le tennis, c'est comme dans la vi(t)e...une dure lutte !

Bah, les seules fautes inexcusables sont le fautes de goût. Alors les loulous, arrêtez de le pourrir sur son orthographe : imaginez un instant qu'il soit dyslexique... Il fait sans doute du mieux possible, soyons exigeants certes, mais aussi un peu tolérants (ce serait quand même dommage que des internautes ne viennent plus sur ce forum juste parce qu'ils se sont fait moucher en raison d'une orthographe aléatoire). Si chacun y met du sien...le jeu de jambes n'aura plus de secret pour del potro... ".../...pour le jeu de jambe ses bien de courir en côte et dans le sable. courir en côte permet de travailler la puissance et dans le sable c'est surtout la souplesse des articulations qui est sollicitée. Mais je voudrai savoir si il faut faire du sprint ou du jogging et quaice que sa apporte ? Faire du jogging permet d'acquérir du foncier, la caisse quoi, alors que le sprint développe l'explosivité (on va pas sur une amortie au même rythme qu'on tient un rallie de fond de court. Alors faut travailler les deux mon capitaine...

Merci Rodo et Marie : je ne me décourage pas (ce n'est...que du tennis après tout ), mais c'est vrai que j'ai du mal à me faire violence. Je suis assez...cool de tempérament (pour pas dire lymphatique) et j'ai du mal à me botter les fesses. Mais bon, on n'est qu'en janvier et il reste encore pas mal de possibilités de gagner des matchs. Et puis, je me suis mis à la course à pieds depuis les vacances de Noël alors que j'avais horreur de ça : là, je me fais plaisir, je tiens sans problème 45 mn à 9/10 km/h de moyenne et je sens bien que pour "la caisse" au tennis c'est positif. Reste à bosser un peu la vélocité et ça va l'faire nondidju ! Et puis, il faut que je me mettes dans le crâne que chaque fois que je prends ma raquette, c'est pour gagner, pas pour "jouer au bingo de la FFT" ! @Choum : te prends pas le chou, joue comme d'hab, fais pas comme moi!

Difficile cette question! D'une part on n'est pas sur un court pour pourrir l'ambiance, mais d'autre part on est là pour gagner un match. Et si ça doit passer par une extériorisation "bruyante"...pourquoi pas ? Le problème est multiple : tennis = sport de gentleman, sport de concentration/précision, mais aussi...sport de combat. Reproche-t-on son kiaï au karateka ? Non, parce que là, ça fait partie intégrante du truc, alors qu'au tennis, on s'y attend moins. Et pourtant, de Muster à tant d'autres, le cri au moment de la frappe fait partie de leur jeu. Alors pourquoi pas le "alleeeeeeeeeeeez", "vamos" ou "come on" ? Je me demande si le fait qu'un adversaire se sente agressé dans son être parce que l'autre a dit "allez" sur une de ses fautes n'est pas consubstantiel du fonctionnement, bien plus large, de nos sociétés. Toute expression est vécue comme une agression par l'autre (qui n'est souvent que moi même dans un miroir d'ailleurs), comme le moyen de lui faire perdre la face (comme si on n'avait, les uns et les autres que ça à faire...). Vivrions-nous à l'ère du souspçon généralisé ? Alors moi, qui ai une "grande gueule", j'explique à mon adversaire avant le match que si je fais du bruit, si je jure ou si je m'invective, il ne faut pas qu'il s'inquiète, ce ne sera pas dirigé contre lui mais contre moi. Et la plupart du temps, ça marche...

pas de bobo à l'intérieur du coude (trochlée) en parallèle ? Sinon, des fourmis dans la tranche de la main et/ou les doigts 4 et 5 ?

Cherche voir sur ton pec' si t'as pas des points douloureux (souvent, des points gachettes, sortes de noeuds musculaires qui provoquent des douleurs à distance) : tu palpes du bout des doigts en petits gestes circulaires et si tu trouve un de ces points, ben tu le masses avec une pommade (genre baume du tigre rouge), toujours légèrement et en ronds concentriques (pas comme un bourrin). Quant à la tendinite du sus-épineux, le repos complet n'est pas conseillé : il vaut mieux "dégager" le tendon en travaillant les muscles élévateurs de l'épaule (un petit travail de stretching avec baton serait pas mal du tout).

Ok pour le sprint...mais réserves sur le vélo! J'ai fait beaucoup de vélo (essentiellement de la route) et j'ai par conséquent développé des jambes de cycliste (ok, je suis encore à des années lumières d'Armstrong!). Bref... Et quand j'ai repris le tennis, je ne comprenais pas pourquoi j'avais tant mal aux guiboles! La raison est très simple : vélo et tennis ne font pas intervenir les muscles de la même manière. Au vélo, la souplesse et les déplacement en ligne, au tennis, les coups, les changements d'appuis, l'explosivité et j'en oublie. Alors oui, le vélo c'est nickel pour le cardio, mais pas pour le jeu de jambes. Si tu veux travailler l'endurance, il vaut mieux faire du footing : 45 mn à 9/10 km/h c'est déjà pas mal. Et puis pour l'explosivité, ben travail en fractionné. Sinon, la corde à sauté, ça a l'air pas mal (faut que j'essaie...). PS : pour l'ortho-grave et la lec-dure, ne soyez pas trop durs. La poutre n'a pas fait français 1ere langue...

Disons que je m'échauffe...un peu : je fais quelques tours de terrain en courant, des étirements et puis zou, des balles d'échauffement. Il faudrait sans doute que je pense à faire un petit 1/4h de travail physique avant de jouer... En fait, je crois que je n'ai pas tout à fait le niveau 15/4 : fondamentalement, en termes techniques, j'ai un jeu assez fluide, je dois posséder grosso modo tous les coups "de base", mais je n'ai absolument pas l'habitude de jouer à ce niveau. Je découvre la 3e série puisque je n'ai jamais été mieux classé que 30/1 il y a...une bonne vingtaine d'années! Là, c'est pas compliqué, pour tenir le rythme à 15/5 et après, il faut jouer régulièrement à ce classement, ne pas faire de fautes idiotes, ne pas hésiter à ralentir le jeu, varier les effets et j'en oublie. Quand à 30/2-30/1 tu peux faire le point en 2-3 coups, à 15/5-15/4 (en tout cas ceux que j'ai joué jusque là) il en faut plus du double! Mais je ne me décourage pas! Même si hier j'étais abattu après le match (j'en aurai chialé tellement je me sentais vidé!), je sais que je peux encore progresser. Certains points joués hier me le laissent entre voir.