STEPHW

Pas sûr que ce soit celles-là alex684...

oui, c'est cool! Surtout au vu de l'état : le type les achetées parce qu'il avait mal au bras, en a essayé une qui ne lui a pas convenu...et les a vendues dans la foulée.

non reste qu'un manche 1 et des 4.

Bon, j'ai renvoyé ma Qtour chez Privilège tennis. On verra bien ce qu'ils me diront... Sinon, j'ai déniché 2Qtour 295 18/20 à 40 bornes de chez moi. L'une est neuve (manche encore sous plastique) et l'autre a servi une dizaine d'heures. Les deux sont donc nickel, cordées et ...payées 150 €!

Hello! Bravo d'abord pour ce parcours : NC-->15/5 ou 15/4 en une saison pleine, c'est chouette. C'est exactement ce que j'ai fait en 2009 : j'avais été au mieux 30/1 étant ado, arrêté le tennis durant mes études, et repris à près de 40 balais. Seulement, c'est après que ça s'est compliqué. En rentrant dans un tournois à 15/4, je n'avais plus de "temps de chauffe". En IC, je jouais systématiquement en n°1 ou 2 entre 15/5 et 15/3. Péniblement, je perfe 1 ou 2 fois l'an à 15/3 et basta. Le pallier pour monter au delà de 15/4 est...énorme. Et je ne parle même pas de 15/3 : s'il faut enquiller 30 matchs dans l'année pour ça, mon physique ne me le permet plus. Bref, si tu as la caisse, fonce! Mais sois conscient des difficultés, pas insurmontables mais réelles, qui t'attendent.

non, non, je ne jette pas mes raquettes !

je l'ai achetée sur privilège-tennis...mais je vais tenter le coup avec eux déjà.

Salut la classimie, Comme l'indique le titre, j'ai cassé une de mes 2 PK Qtour 295 18/20. Sur une volée appuyée, bim, le cadre a lâché au niveau de la ki-mass au dessus du pont. Alors quatre questions : 1. la raquette ayant été achetée neuve en octobre 2014, est-ce "normal" ? D'autres témoignages de mésaventure identique ? 2. à qui m'adresser pour obtenir éventuellement un échange de ce cadre ? 3. Quelqu'un aurait-il une Qtour 295, manche 2, 18/20 à vendre ? 4. Par quoi la remplacer ? Voili, voilou...

pas de problème Alarue : je ne lis aucune volonté polémique dans ton propos. Pour revenir au tennis, évidemment l'objectif reste la performance. Mais comment atteindre un degré de performance optimale si on ne vit pas mieux son tennis ? Moi, je ne peux pas exprimer mon potentiel si je suis crispé, tétanisé par l'enjeu. La sophro me permet d'appréhender la rencontre positivement. Et au final d'être plus performant. Alors certes, je ne vais pas prendre 3 classements juste grâce à la sophro. Toutefois, combien de fois, ici et ailleurs lit-on "je gagne à tel classement en amical ou à l'entraînement...mais je perds mes moyens en match" ? Si je peux gagner à X en amical, c'est bien que j'ai la capacité, ou le potentiel (en tant que capacité latente, encore non activée), de le faire. Qu'est ce qui peut bien m'empêcher de gagner à ce même classement en compétition officielle ? Pour ce qui ME concerne, j'ai la réponse. Ce qui ne m'amène pas à négliger le reste de ce qui constitue le jeu de tennis. Encore une fois, je ne parle que de mon expérience personnelle.

Pour ce qui me concerne, je n'ai pas fait de sophro "pour le tennis" : j'ai fait cette formation (je serai définitivement diplômé en octobre prochain) pour avoir à disposition des outils supplémentaires pour prendre en charge mes patients...et je me suis rendu compte que cette formation impactait positivement ma vie quotidienne. La sophro-tennis n'est venue que dans un deuxième temps. Très simplement, pour jouer correctement au tennis, même à nos petits niveaux, de quoi avons-nous besoin ? Quand les aspects techniques et physiques sont acquis (tout est relatif chez nous qui sommes des compétiteurs du dimanche...), quand le matériel est au point (cordage machin, raquette trucmuche...) ne reste souvent que la dimension mentale ( en résumé) à maîtriser. Chacun fait alors comme il veut/peut/l'entend. Moi je préfère jouer dans l'état d'esprit qui est le mien aujourd'hui plutôt qu'avec celui d'il y à 3 saisons... Qu'on soit bien clair, je n'ai rien à vendre ici. Je me contente de parler de mon expérience.

Moi j'ai trouvé un truc qui marche bien : je me prépare grâce à la sophrologie. Et depuis, même si je perds, je n'ai plus le sentiment de jouer comme une quiche. Depuis que j'utilise cette méthode de préparation mentale, je ne sors plus jamais frustré du court. Je parviens à me concentrer sur MON tennis et je joue chaque coup (même pas chaque point) au mieux de mes capacités. Pour les traqueurs, c'est peut être quelque chose à essayer. A tout hasard, je vous lire ci-après les propos tenus par une ancienne gloire du tennis Français : « « En fin de carrière, j’ai pratiqué la sophrologie. Cela m’a vraiment intéressé. En fait, c’est parti d’un accident qui m’a occasionné des problèmes aux genoux, et que j’essayais de soigner par des méthodes traditionnelles. J’ai beaucoup voyagé pour essayer de me soigner, parce que cela a duré longtemps. Et puis, un jour j’ai rencontré un sorcier au Cameroun qui m’a guéri en cinq minutes. Ca s’est passé très vite, très simplement. J’étais un peu sceptique, et quand j’ai constaté que je n’avais plus mal du tout aux genoux durant les années qui ont suivi, cela m’a ouvert les yeux. On m’avait parlé du yoga mais j’estimais me connaître suffisamment. C’était un peu idiot. En découvrant la sophrologie, j’ai appris beaucoup de choses sur moi, sur ma façon d’être sur le court, et puis cela a bien entendu débordé sur ma vie personnelle. Mais au départ, les résultats sur le court étaient vraiment flagrants. L’expérience consistait à apprendre à se relaxer, à se retrouver en situation. J’avais des images dans la tête. Des choses médiatiques liées à un sentiment d’injustice. J’avais souvent l’habitude d’avoir le public avec moi, et quand je le sentais hostile, je ne me sentais pas bien. Ou alors une faute d’arbitrage, ou jouer contre quelqu’un que j’aime ou contre quelqu’un que je déteste. Chaque fois je n’arrivais pas à jouer pleinement, à donner le meilleur de moi-même. Or quand je me trouvais dans cet état de relaxation – sans aucune pression extérieure – j’intériorisais ces images. J’avais une réaction physique qui était terrible. J’étais tout d’un coup très, très lourd, je commençais à avoir des douleurs au dos, aux genoux… Grâce à la sophrologie, j’ai appris à retrouver la légèreté, la clarté dans la tête et dans le corps. Ca se passe en quelques secondes. Ensuite on anticipe ce qui se passe sur le court. »

j'ai de thuasne de récup' : c'est très, très bien. Sensation de fraîcheur et de légèreté. Par contre, je n'aime pas les porter pour le sport

nous on utilise "balle jaune" depuis 1 an maintenant. Aucun problème.

oui, clairement : je vais avoir 45 ans et ce que j'ai perdu en physique (quoi que...), je l'ai gagné en technique; En même temps, je ne prends des cours avec un BE que depuis 3 ans. Le plus gros problème reste pour moi le risque de blessure et le temps de récupération. Alors pour "tenir", il faut faire du foncier...

c'est une image dragonax13... ça m'est déjà arrivé, mais j'ai un exemple plus récent en tête : lors de notre tournoi qui vient de se terminer un joueur qui avait arrêté le tennis le temps de ses études, reclassé 15/3, passe 5 tours dont les 3 derniers en 3 sets et abandonne au 6 à 15 (ensuite vainqueur du tournoi!) l'épaule en vrac. Alors certes il va être reclassé 15/2, mais je trouve ça triste qu'il n'ait pas pu défendre ses chances à cause de la fatigue accumulée. Bref, si la réforme s'impose, on s'y pliera et c'est tout!

N'oublions pas que nous sommes tous des amateurs, et pour nombre d'entre-nous des sédentaires...qui prenons doucement mais sûrement de l'âge (en senior, le +35 est la règle, le 16/25 l'exception!). Alors certes, en s'entraînant régulièrement on peut jouer 2 h, mais 3 sets, ça reste usant. Et quand il faut enchaîner ensuite en cas de victoire, les traversées de tableau sont rares, les blessures fréquentes (quand tu enchaîne 4 matchs en 3 sets, tu finis très souvent cramé physiquement pour le 5 que tu perds, non pas sur ta valeur tennistique mais sur ta fatigue). Le STB en guise de 3e set ne modifie pas fondamentalement (en tout cas pas systématiquement) la donne au détriment du joueur qui mise sur son physique. Le gros physique sera toujours avantagé s'il sait manier sa raquette en cohérence avec cette qualité (jamais vu de marathonien faire du chip and charge...). La tradition, ce n'est pas de faire toujours la même chose, mais fort de son passé, la tradition consiste à vivre le présent en préparant l'avenir. Alors why not ?

Ben moi, je ne suis pas contre!

Je me demande s'il ne serait pas plus profitable de s'inscrire à un tournoi sans penser d'emblée "résultat". Envisager l'adversaire...et le gain ou non de la partie, c'est le meilleur moyen de prendre une rouste. Pense plutôt à jouer ton jeu : si tu gagnes, SUPER! Si tu perds, en 4e série ou en +35, c'est que ton adversaire aura été plus fort sur CE match particulier.

le plus marrant serait qu'il fasse aussi ses cours en libéral avec les balles du club...

Bon, petit retour sur le nando 1.25 en full : super sensations ...mais mon bras n'a pas aimé du tout Du coup, retour sur mon hybride habituel : sensations...moindres, confort supérieur! J'suis perdu là...

HS : elles ont l'air sympas les nouvelles pompes Artengo !

ouais, celle-là on nous lafaix pas...

Lyon, Strasbourg...la prime aux grandes villes! Si tu peux un jour faire une séance test ailleurs, on peut organiser ça chez moi à Beaucourt (2 courts couverts, club house sympa, joueurs de NC à 15, des gars, des filles...)

@tambouil : sur le nando 1.18 je pars aussi sur 21/19 ?

je vais p.e. procéder comme suit : garder mon montage hybride quand il fait très froid (et dans le grand Est, ça arrive parfois...) et jouer en copoly au dessus de 10°. Ou alors rester sur du nando mais baisser la tension quand les T°C baissent ?