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Global-Tennis

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J'ai juste oublié la date :stuart: , le mardi 27 mars sur la journée ou en soirée de 18 à 20 heures (conférence en salle uniquement)

Vous êtes décideur dans un club ebn France, BE ou élu du bureau de votre club, vous êtes intéressé par cette formule conférence animation... Nous pouvons présenter cela gratuitement dans votre club. Merci de me contacter par MP si cette formule vous intéresse !

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DES CONFERENCES DEBATS GRATUITES

Sur le thème :

"Tennis et dynamique mentale de compétition"

La Dynamique Mentale de Compétition pour tout joueur et joueuse, son contenu, ses enjeux, etc

Les relations, parents enfants, l'accompagnement du jeune joueur, comment l'aider à gérer son stress, etc.

L'Expression tennistique de Compétition : Comment gérer le stress en compétition, comment atteindre le surpassement.

La méthode Cyber-Tennis, méthode de préparation mentale typiquement française

Contenu pédagogique, formation des cadres, etc.

Nos conditions :

Notre intervention vous est offerte gracieusement contre le prêt d'un espace de rassemblement (club house par exemple) pour une vingtaine de personnes et la possibilité de proposer des ouvrages et manuels techniques aux participants

Conférence hioer 12 mai au Tennis Club de Poussan (Héraut). Ce qu'en dit la presse locale : http://blog.ville-poussan.fr/?tag=dynamique-mentale-tennis-poussan

Merci de nous faire une petite visite...

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Le lien pour postuler ne marche pas :/

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Je suis très heureux de revenir sur "Tennis Classim" et vous souhaite à tous : le meilleur tennis possible !

Juste pour vous annoncer pour ceux qui seraient intéressés des conférences sur le thème qui vous intéresse : "Tennis et Dynamique Mentale".

Conférences gratuites ouvertes à tous pour peu que le club ou la structure d'accueil, prête un coin de club house et 2 courts couverts pendant quelques heures !

Brochure de présentation

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Le tennis est affaire de mémoires

  • La mémoire gestuelle
  • La mémoire des situations (tactique)
  • La mémoire émotionnelle du jeu

C'est cette dernière qui conditionne toute loi des série :

  • Défaites successives
  • Remontées fréquentes au score
  • Jeu petit bras dans certaines situiations
  • Défaites successives contre un même adversaire que l'on pourrait battre aisément,
  • ETC.

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Les 2 premières mémoires qui agissent sur l'expression tennistique de compétition peuvent être changées assez facilement par les méthodes traditionnelles d'enseignement. Il en va tout autrement pour la mémoire émotionnelle qui demande un travail sur soi important et l'application de règles incontournables comme l'imagination active et la positivation !

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Merci Nath pour ta confiance effectivement, j'essaierai de conseiller chacun de mon mieux !

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Persp j'ai du mal avec le matraquage...

Tous les avis, ici, méritent d'être exprimés !

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Je suis absolument d'accord : la mémoire émotionnelle demande à ce qu'on lui prête une attention toute particulière. Si je sais que j'ai la capacité de faire ceci ou cela (il ne s'agit pas de l'acte lui même mais bien de la capacité, comme le gout ou l'ouïe sont des capacités et ne dépendent pas de ce qu'on goûte ou de ce qu'on écoute), alors il me suffit de l'activer pour la mettre en oeuvre.

Par exemple, je sais que j'ai la capacité à faire du S/V et que ça me procure de la joie en le faisant. J'ai en mémoire de ces enchaînements "magiques" où je claque des volées "à la Edberg" et le plaisir que j'au eu à le faire : chaque match étant différent, je ne pourrai jamais refaire exactement la même volée, le même enchaînement, mais je peux m'appuyer sur le souvenir du plaisir associé au geste pour, en re-vivant ce plaisir, développer mon jeu. C'est, je crois, ce qu'on appelle l'activation du paramètre de prétérisation en sophro. Et effectivement, pour le vivre, c'est efficace.

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OUi, r

Je suis absolument d'accord : la mémoire émotionnelle demande à ce qu'on lui prête une attention toute particulière. Si je sais que j'ai la capacité de faire ceci ou cela (il ne s'agit pas de l'acte lui même mais bien de la capacité, comme le gout ou l'ouïe sont des capacités et ne dépendent pas de ce qu'on goûte ou de ce qu'on écoute), alors il me suffit de l'activer pour la mettre en oeuvre.

Par exemple, je sais que j'ai la capacité à faire du S/V et que ça me procure de la joie en le faisant. J'ai en mémoire de ces enchaînements "magiques" où je claque des volées "à la Edberg" et le plaisir que j'au eu à le faire : chaque match étant différent, je ne pourrai jamais refaire exactement la même volée, le même enchaînement, mais je peux m'appuyer sur le souvenir du plaisir associé au geste pour, en re-vivant ce plaisir, développer mon jeu. C'est, je crois, ce qu'on appelle l'activation du paramètre de prétérisation en sophro. Et effectivement, pour le vivre, c'est efficace.

Oui, c'est très juste ! Elle peut être positive. La mémoire émotionnelle se construit avec le ressenti émotionnel de chaque coup... D'où la nocivité de l'auto jugement négatif sur un coup manqué ! Chez l'enfant cela se voit beaucoup, surtout lorsqu'il se retourne vers son père comme pour s'excuser !!!

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En outre que la mémoire émotionnelle étant inaccessible à la pensée, elle ne peut pas être modifiée par la volonté, mais seulement par l'imagination..... En la travaillant pour qu'elle s'approfondisse !

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J'invite tous classimiens ou classimiennes, de la région aveyronnaise (RODEZ) à la conférence animation : "Tennis et Dynamique Mentale" qui aura lieu le dimanche 20 octobre au comité départemental de tennis de l'Aveyron, à ONET Le Château de 10 à 12 h15
Ceci dans le cadre du tournoi future du Grand Rodez
Merci de partager l'information !

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plutôt qu'imagination, je préfère parler de contemplation senso-perceptive : dans l'imagination, il y a une dimension de vagabondage intellectuel qui de mon point de vue est nocif lorsque la finalité est d'appliquer une technique précise dans un but précis. Je peux imaginer jouer sur le central de RG, imaginer que je suis Nadal...mais je ne suis que (et c'est déjà beaucoup) moi, avec mon histoire vécue, celle que je construis et celle que je me prépare à vivre.

on sort donc du cadre de l'imagination ou du fantasme pour rester dans le domaine du réel : je me nourris de mes expériences vécues, positives de préférence (!) et j'ai conscience que ces expériences sont constitutives de l'essence de qui je suis.

c'est un boulot passionnant qui dépasse évidemment le cadre du tennis. c'est révolutionnaire comme démarche et c'est aussi une forme d'ascèse...

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Désolé, mais je n'y crois pas du tout. Je ne dis pas que cela ne marche pour personne mais certainement pas pour moi.

Notamment: "Oui, c'est très juste ! Elle peut être positive. La mémoire émotionnelle se construit avec le ressenti émotionnel de chaque coup... D'où la nocivité de l'auto jugement négatif sur un coup manqué ! Chez l'enfant cela se voit beaucoup, surtout lorsqu'il se retourne vers son père comme pour s'excuser !!!"

J'ai commencé à progresser quand je me suis mis à détester rater. C'est un grand coach qui avait commencé à me montrer la voie en me trucidant parce que j'avais raté un smash facile en voulant le compliquer à l'entrainement vers 11/12 ans. Je n'avais rien compris à l'époque et si j'avais compris cela là, j'aurais surement été beaucoup plus fort. Quand on rate, ce n'est pas parce qu'on a un ressenti émotionnel négatif, mais c'est parce qu'on n'a pas fait ce qu'il fallait (pas assez attention, mauvais placement, trop d'ambition,...) En analysant les situations, on doit savoir ce qu'on qu'on doit faire, ce qu'on doit éviter et on le met en application. Dans mes meilleurs matchs, je ne rate quasiment rien et je m'engueule comme du poisson pourri si à 6/2 5/1 30/0, je rate une volée que je ne devrais pas rater. Ce n'est pas nocif du tout de s'insulter quand on ne fait pas ce qu'il faut.

Sur les lois des séries:

C'est cette dernière qui conditionne toute loi des série :

  • Défaites successives: c'est plutôt parce qu'on est mal préparé, qu'on ne va pas au combat et que tactiquement on fait n'importe quoi. Quand je perds, tout, je remarque que je fais 2mn en moyenne de plus sur mon parcours de jogging préféré (je ne regarde le temps qu'à la fin), quand je gagne, c'est plutôt 2mn de moins. Quelle coïncidence troublante! J'ai aussi 2kg en plus ou en moins sur mon poids moyen. J'ai souvent aussi des problèmes persos quand je perds et moins quand je gagne.
  • Remontées fréquentes au score: cela m'arrive à chaque fois que mon jeu est posé, que je fais ce qu'il faut. Les remontées viennent naturellement quand on joue bien et pas quand on joue mal. Ce n'est pas plus compliqué que cela
  • Jeu petit bras dans certaines situations. Je joue petit bras pour jouer safe c'est un choix. Parfois c'est le meilleur, parfois, je me plante. La dernière fois dont je me souviens, c'était en début d'année dernière où j'ai balle de match au tie-break du 3ème à 1. Je décide de faire un kick sur le revers sur ma première au lieu de tenter l'ace. Il fait retour gagnant. en tentant l'ace sur les 2 balles, j'aurais peut-être gagné. Je le regrette encore, mais mon choix était réfléchi; le mauvais, mais réfléchi et je referais peut-être pareil.
  • Défaites successives contre un même adversaire que l'on pourrait battre aisément: Ca me fait toujours rire les gens contre qui on devrait gagner facilement mais contre qui on perd. Quand on perd tout le temps contre la même personne, c'est qu'elle est plus forte et donc on ne peut pas gagner aisément. C'est je trouve une réflexion de très mauvais joueur de club qui ne comprend rien au tennis. SI on perd à chaque fois, il y a une raison, technique, tactique, dans l'intimidation. Comme tout le monde, j'ai mes bêtes noires qui sont moins bien classées que moi. Sur le papier, oui, je suis plus fort, mais contre moi, ces personnes mettent en place des armes qui me gênent car ils connaissent la clé de mon coffre fort (expression bradienne!) Pour les battre, je dois tenter autre chose, et cela fonctionne même parfois. Mais quand cela marche, c'est grâce à mon analyse et à se mise oeuvre, ou parfois de la chance et pas parce que j'ai rompu je ne sais quel signe indien
  • ETC.

Le point sur lequel je vous rejoins, c'est qu'il faut être en situation de confiance. Mais cette confiance ne doit pas être basée sur le souvenir d'un jour où l'on jouait sur un nuage. C'est la meilleure façon de surjouer car dans le bon jour, on mettait que des avions qui rentraient. La confiance doit être basée sur le fait que l'on s'est bien préparé, que l'on met les bonnes choses en place et qu'on est capable de remettre les choses en place et de changer en cas de problème. Un peu comme à l'école. Quand on connait son cours par coeur, et qu'on sait faire tous les exercices qui vont avec, on a du mal à avoir moins de 16. Ce n'est pas en se souvenant du bonheur du 20 que l'on a eu par hasard qu'on maximise ses chances.

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plutôt qu'imagination, je préfère parler de contemplation senso-perceptive : dans l'imagination, il y a une dimension de vagabondage intellectuel qui de mon point de vue est nocif lorsque la finalité est d'appliquer une technique précise dans un but précis. Je peux imaginer jouer sur le central de RG, imaginer que je suis Nadal...mais je ne suis que (et c'est déjà beaucoup) moi, avec mon histoire vécue, celle que je construis et celle que je me prépare à vivre.

on sort donc du cadre de l'imagination ou du fantasme pour rester dans le domaine du réel : je me nourris de mes expériences vécues, positives de préférence (!) et j'ai conscience que ces expériences sont constitutives de l'essence de qui je suis.

c'est un boulot passionnant qui dépasse évidemment le cadre du tennis. c'est révolutionnaire comme démarche et c'est aussi une forme d'ascèse...

OUi, c'est passionnant, c'est bien vrai !

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Désolé, mais je n'y crois pas du tout. Je ne dis pas que cela ne marche pour personne mais certainement pas pour moi.

Notamment: "Oui, c'est très juste ! Elle peut être positive. La mémoire émotionnelle se construit avec le ressenti émotionnel de chaque coup... D'où la nocivité de l'auto jugement négatif sur un coup manqué ! Chez l'enfant cela se voit beaucoup, surtout lorsqu'il se retourne vers son père comme pour s'excuser !!!"

J'ai commencé à progresser quand je me suis mis à détester rater. C'est un grand coach qui avait commencé à me montrer la voie en me trucidant parce que j'avais raté un smash facile en voulant le compliquer à l'entrainement vers 11/12 ans. Je n'avais rien compris à l'époque et si j'avais compris cela là, j'aurais surement été beaucoup plus fort. Quand on rate, ce n'est pas parce qu'on a un ressenti émotionnel négatif, mais c'est parce qu'on n'a pas fait ce qu'il fallait (pas assez attention, mauvais placement, trop d'ambition,...) En analysant les situations, on doit savoir ce qu'on qu'on doit faire, ce qu'on doit éviter et on le met en application. Dans mes meilleurs matchs, je ne rate quasiment rien et je m'engueule comme du poisson pourri si à 6/2 5/1 30/0, je rate une volée que je ne devrais pas rater. Ce n'est pas nocif du tout de s'insulter quand on ne fait pas ce qu'il faut.

Sur les lois des séries:

C'est cette dernière qui conditionne toute loi des série :

  • Défaites successives: c'est plutôt parce qu'on est mal préparé, qu'on ne va pas au combat et que tactiquement on fait n'importe quoi. Quand je perds, tout, je remarque que je fais 2mn en moyenne de plus sur mon parcours de jogging préféré (je ne regarde le temps qu'à la fin), quand je gagne, c'est plutôt 2mn de moins. Quelle coïncidence troublante! J'ai aussi 2kg en plus ou en moins sur mon poids moyen. J'ai souvent aussi des problèmes persos quand je perds et moins quand je gagne.
  • Remontées fréquentes au score: cela m'arrive à chaque fois que mon jeu est posé, que je fais ce qu'il faut. Les remontées viennent naturellement quand on joue bien et pas quand on joue mal. Ce n'est pas plus compliqué que cela
  • Jeu petit bras dans certaines situations. Je joue petit bras pour jouer safe c'est un choix. Parfois c'est le meilleur, parfois, je me plante. La dernière fois dont je me souviens, c'était en début d'année dernière où j'ai balle de match au tie-break du 3ème à 1. Je décide de faire un kick sur le revers sur ma première au lieu de tenter l'ace. Il fait retour gagnant. en tentant l'ace sur les 2 balles, j'aurais peut-être gagné. Je le regrette encore, mais mon choix était réfléchi; le mauvais, mais réfléchi et je referais peut-être pareil.
  • Défaites successives contre un même adversaire que l'on pourrait battre aisément: Ca me fait toujours rire les gens contre qui on devrait gagner facilement mais contre qui on perd. Quand on perd tout le temps contre la même personne, c'est qu'elle est plus forte et donc on ne peut pas gagner aisément. C'est je trouve une réflexion de très mauvais joueur de club qui ne comprend rien au tennis. SI on perd à chaque fois, il y a une raison, technique, tactique, dans l'intimidation. Comme tout le monde, j'ai mes bêtes noires qui sont moins bien classées que moi. Sur le papier, oui, je suis plus fort, mais contre moi, ces personnes mettent en place des armes qui me gênent car ils connaissent la clé de mon coffre fort (expression bradienne!) Pour les battre, je dois tenter autre chose, et cela fonctionne même parfois. Mais quand cela marche, c'est grâce à mon analyse et à se mise oeuvre, ou parfois de la chance et pas parce que j'ai rompu je ne sais quel signe indien
  • ETC.

Le point sur lequel je vous rejoins, c'est qu'il faut être en situation de confiance. Mais cette confiance ne doit pas être basée sur le souvenir d'un jour où l'on jouait sur un nuage. C'est la meilleure façon de surjouer car dans le bon jour, on mettait que des avions qui rentraient. La confiance doit être basée sur le fait que l'on s'est bien préparé, que l'on met les bonnes choses en place et qu'on est capable de remettre les choses en place et de changer en cas de problème. Un peu comme à l'école. Quand on connait son cours par coeur, et qu'on sait faire tous les exercices qui vont avec, on a du mal à avoir moins de 16. Ce n'est pas en se souvenant du bonheur du 20 que l'on a eu par hasard qu'on maximise ses chances.

C'est tes expériences et celà est bien, car il y des catégories de joueurs avec qui cela marche. Mais cela dépend évidemment de la psycho de chacun ce qui est vrai pour un émotif ne l'est pas pour un instinctif. Or il me semble que dans ceux qui s'intéressent ici au mental tennistique sont à mon point de vue en majorité des émotifs comme je l'ai été moi même pendant des années ! Mais l'émotion est la plus belle qualité de l'homme lorsque l'on sait la gérer. Et pour savoir la gérer en compétition il faut travailler sur soi, l'imagination est un des outils..... Guy Forget était un émotif cela ne l'a pas empêché d'atteindre les meilleurs mondiaux !

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Je n'ai pas l'impression dans ce que j'ai raconté d'avoir démontré des qualités hyper instinctives. Cela me parait assez réducteur d'avoir une méthode qui ne fonctionne qu'avec les émotifs d'autant plus que je n'ai pas l'impression que la proportion d'émotifs dans le top 100 mondial soit très grande. De plus, quand une méthode ne s'applique qu'à une certaine partie, il faut le dire et pas asséner cela comme la vérité absolue.

Je suis très intéressé par la psychologie du tennis (principalement pour détruire mentalement mon adversaire). Je suis intéressé par toute méthode en particulier celles qui ne me correspondent pas (du premier abord mais pourquoi pas).

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Il n'y a pas d'incompatibilité entre ce que tu écris kramer et ce que je dis. Il ne s'agit justement pas de "rêver" mais d'être pragmatique. En d'autres termes, lorsque je joue au tennis, si je joue bien, c'est évidemment parce que j'ai fait tout ce qu'il fallait pour être bien. Et la notion mentale n'échappe pas à la règle. Nous ne sommes pas un corps d'un côté et un esprit de l'autre mais une association des deux. Je ne dis pas qu'il faut s'asseoir en position du lotus sur son petit nuage pour bien jouer. Je dis qu'il faut avoir confiance en soi, en ses capacités, être en harmonie avec soi et rempli d'espoir (qui n'est encore une fois pas du rêve) d'une vie future pleine de nos valeurs positives (je sais que je peux gagner, parce que je l'ai déjà fait). Ca ne veut évidemment pas dire que tu vas gagner tous tes matchs, mais que tu peux t'enrichir de ta défaite au lieu de la ressasser : le tennis est un sport d'opposition, un sport de combat, et il arrive que l'adversaire soit le plus fort. Seulement si je fais tout ce qui est en mon pouvoir, alors je n'ai pas à rougir de ma défaite. Même si c'est une fessée.

Bref, tu dis "ça ne marche pas"...mais je pense que tu te trompes : ça marche, mais tu ne le sais pas parce que tu n'as pas réfléchi à la question de cette manière. Pour illustrer mon propos, je dirais que lorsque tu regardes une balle de tennis, tu ne la vois jamais dans sa totalité : il restera toujours une zone d'ombre propre qui échappe à la conscience ordinaire (rien de péjoratif dans ce terme). Pourtant, cette zone d'ombre a une matérialité qui ne fait que t'échapper parce que tu ne la vois pas (imagine le rebond si la balle n'était pas ronde...).

Voilà. Je n'ai rien à vendre, je ne fais que partager ce que je sais pour l'avoir appris et expérimenté.

@stuff : ne vaut-il pas mieux maîtriser un truc, fut-il de tarlouze, que de ne rien maîtriser du tout ? :devil:

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Merci Stephw pour cet éclairage que je comprends mieux. Et merci de partager. Je suis dans la même démarche que toi ici. J'avoue que je ne comprends pas tout ce que tu dis mais je me doute qu'il y a beaucoup à gagner en comprenant et surtout en appliquant. Je pensais (et je pense toujours un peu) que la psychologie est un truc de tarlouze, mais au taff, il y a quelques années, j'ai eu la chance d'avoir un n+1 qui m'a montré des trucs et des bouquins de psycho dont je me sers au quotidien avec bonheur pour gérer mes équipes. Depuis, je suis moins catégorique. Je réagissais juste un peu violemment aux propos de quelqu'un qui assène ses vérités sans argumenter.

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Bah, tu sais kramer, la psychologie c'est 80 % de bon sens et 20 % de théorie (dixit à l'époque ma prof de psycho). Et je connais des tarlouzes qui n'ont pas une once de bon sens... :whistling:

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ne vaut-il pas mieux maîtriser un truc, fut-il de tarlouze, que de ne rien maîtriser du tout ? :devil:

et comme a dit Groucho Marx "parti de rien, je suis arrivé à rien, mais tout seul"

plus sérieusement je manque de confiance et je perçois très bien la notion qui consiste à s'appuyer sur les émotions positives ressenties et mémorisées pour se donner la confiance en son coup.

le plus difficile c'est peut être d'évacuer les souvenirs négatifs pour ne pas se polluer le mental (l'espoir fait vivre !)

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Franchement, pourquoi réfléchir à autant de choses compliqué. Pour jouer au tennis, je n'ai pas l'impression qu'il faille être un génie. Je ne vois pas trop ce que cela peut apporter de penser à tout ça.

Peut-être que cela aide les personnes n'ayant naturellement pas très confiance en elles, mais sinon, à quoi sert de se rappeller les coups magnifiques que l'on a déjà fait ?

Je vois 2 solutions, soit on est ce jour là aussi en etat de grâce et là, l'aspect mental est rarement difficile à gérer. Ou bien c'est un jour normal, et alors on va se frustrer en se rappelant d'exploits passé. Je pense qu'il faut s'appuyer sur les armes du jour et pas celle de la veille ou du lendemain. Une fois qu'on est sur le terrain, seul le présent compte, et surtout pas le passé.

Bref, arrêter de réfléchir, penser à la tactique et à comment jouer le mieux possible avec les armes du jours.

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3. Les pièges des sectes

Ce qui attire au départ

La nouveauté, l'insolite, le mystère de la curiosité
- La promesse d'une orientation professionnelle, d'undéveloppement personnel, d'acquisition de pouvoirs
- La promesse d'un mieux-être, d'une guérison hors des voies habituelles
- Le langage pseudo-scientifique, systématiquement encombré de néologismes
- Dès l'abord, un accueil à forte chaleur humaine effaçant provisoirement le sentiment de solitude
- A l'occasion, le don de soi

Ce qui est masqué

- Les méthodes subtiles d'embrigadement progressif changeant la vision du monde
- Les finalités : obtenir une allégeance inconditionnelle renforçant les pouvoirs des dirigeants
- L'exclusivité de "loyauté"au groupe, l'extrême difficulté de rompre

http://www.infos-sectes-midipy.org/comprendre_technique_approche.htm

Alors là on est en présence, et de façon remarquablement exhaustive, de tous les attributs de "ce qui attire au départ" dans le discours de cybten qui revient de façon récurrente à la pêche sur classim pour ses "stages". En espérant que ce qui est masqué n'est pas présent. Pour moi je pense que tout ça s'arrête à du charlatanisme en exploitant les méthodes des sectes mais c'est suffisamment grave pour le signaler de nouveau.

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La mémoire émotionnelle et tout ce que cela implique au tennis découle de deux grands chercheurs Daniel GOLEMAN et son travail sur l'intelligence émotionnelle et Maxwel Maltz, le père de la psychocybernétique qui mit en lumière dans les années 90 l'immense puissance de l'imagination dans la construction de soi.... Les sectes bien entendu utilise ces outils. Mais un marteau ça peut forger ou tuer.... Je suis un farouche opposant de tout conditionnement d'où qu'il vienne. Mes ouvrages sont à la FFT depuis "Tennis et Dynamique Mentale" 1996.... La méthode que je défend à été proposé en analyse au psychiatre officiel de la FFT. Sa délaration, "elle ne peut qu'apprter au joueur, sans contre indication.... Quant à l'auteur de se post précédent je le renvoie à sa glace..... Salir un individu, sans le connaître, sous pseudo, qui plus est, ne serait(ce pas quelque jalousie.... Je me le demande ! Mais je n'ai pas rancune, je suis là pour discuter sur le fond des choses et non pour polimiquer !

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