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Roche

Relation Parents / Enfants Ze Débat ....

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j'aime beaucoup ton approche pour ma part.

merci, ça fait toujours plaisir :-)

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Je n'ai jamais dit qu'il était interdit de pleurer ou de crier , les émotions doivent sortir c'est une évidence, c'est déjà le premier pas vers l'acceptation et la reconnaissance de celles ci. Oui les enfants jouent pour gagner ,c'est dans la nature humaine , mais ILS JOUENT POUR EUX , pas pour le voisin ou papa et maman ! C'est cela même qui change vers l'age de 9 ans ... Apprendre à l'enfant à rester centré sur lui voilà un des multiples rôles des parents et des profs .

Je ne suis pas sûr que ce soit aussi simple que ça. Un enfant même jeune va faire un dessin pour ensuite le montrer aux adultes qui vont s'extasier. Il prend du plaisir dans le fait de recevoir les félicitations. C'est naturel pour un enfant de vouloir que ses parents soient fiers de lui. Dans le tennis c'est pareil, beaucoup d'enfants jettent un regard aux parents restés sur le coté du court durant la séance pour obtenir une approbation lorsqu'il réussit un coup ou un jeu.

Pour Lafaix, il ne distingue pas le corps et l'esprit dans son approche et c'est d'ailleurs ce que j'ai apprécié chez lui : il mêle dans son approche le travail du mental à celui du corps à la fois en renforcement et en relâchement puisqu'une partie y est consacrée dans son livre Soyez Pro. C'est ce qui le différencie justement de Vaillant par exemple qui prône le mental tout puissant.

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Tu peux aussi avoir une approche chinoise, des choses : le ying le yang, le corps et l'esprit ne font qu'un et travailler sur le fait qu'on ne doit pas les dissocier.

L'approche de lafaix/ galway, c'est partir du principe qu'ils sont dissociés et on essaies de les réconcilier.L'approche chinoise c'est partir du principe qu'ils ne font qu'un et chercher à créer une harmonie entre les deux .

j'avoue je voulais une réaction je m'ennuyais :D

Et puis au passage j'ai récupéré un autre gamin formé par un autre prof et ça me file des boutons : le je s=suis super fort j'aurais du gagner mais je pren 0 et 0 à 3 classements au dessus du mien parceque j'ai mal joué...)

Bref perso je les formes des le départ j ai juste une autre approche, plus philosophique, je ne dis pas que c'est mieux, ça marche c'est le principal.

arf je me disais bien que tu avais mal dormi ou bouffé une huitre pas fraiche hier soir , un truc dans le genre ! Cependant tu te trompes sur la définition des chinoiseries .

On Pourrait d'écrire en termes de yin et yang, tout ce qui se trouve :

  • en relation d'opposition, tout en sachant que chacun des deux porte en lui le germe de l'autre
  • en relation d'interdépendance, l'un ne se concevant pas sans l'autre ; l'excès ou la déficience d'un des deux entraîne des conséquences sur l'autre et un déséquilibre de l'ensemble ;
  • en relation d'engendrement et de mutation de l'un en l'autre, par exemple lorsque le jour fait place à la nuit.

J'aime beaucoup le point numéro 2 qui résume en cette simple phrase toute la problématique de la gestion des 2 moi ( le moi 1, celui qui ordonne , qui juge , l'Ego !!! Arghhhhh non pas lui , il revient , vilaine bête va t-en .... et le moi 2 , le corps automatique , celui qui exécute ) .

L'approche de Gallwey ou Lafaix utilise cette définition pour établir les fondements de la paix intérieure, et qu'a t-on besoin d'essentiel dans la pratique de la compétition si ce n'est de calme et de paix intérieure ..... Amen et bon appétit.

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Pour moi (ca n'engage que moi) ça manque de philosophie. Je donne un exemple: j ai un mental d'attaquant moi ce que je veux c'est aller vers l'avant claquer des volées, je veux aussi gagner es matchs. Le problème c'est que j'ai un corps de défenseurs. Si je vais d'un côté ou de l'autre je vais créer une situation de déséquilibre entre mon corps et mon esprit. ----> frustration

Pour trouver un équilibre, je peux utiliser un compromis, par exemple , je défends un point sur deux et j'attaque un point sur deux, ainsi je crée une situation d'équilibre entre mon corps et mon esprit.

justement c'est là que je ne suis pas d'accord, si tu prends comme exemple mac enroe, c'est un joueur qui se nourrit de ses colères, si tu commences à faire du zen sur un mac enroe tu risque de le projeter dans un gouffre. Sa colère a des effets bénéfiques sur son tennis et sur son influx nerveux.

Les excès sont dangereux : trop de zen = baisse du niveau d'activation = baisse de la performance, bref c'est à mon avis un équilibre à trouver, mais cet équilibre n'est pas le même pour tout le monde, chacun doit faire avec ce qu'il est sur le plan corporel et sur le plan de son esprit.

Les travaux que vous décrivez partent du principe qu'il existe un état d'esprit adapté à la pratique compétitive, ce que je trouve totalement faux.Il n' y a pas un état d'esprit, il y a des états d'esprits qui correspondent à un niveau d'activation maximum pour chaque joueur, cet état d'esprit est corrélé directement à la biologie (corps ) du joueur.

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Je ne suis pas sûr que ce soit aussi simple que ça. Un enfant même jeune va faire un dessin pour ensuite le montrer aux adultes qui vont s'extasier. Il prend du plaisir dans le fait de recevoir les félicitations. C'est naturel pour un enfant de vouloir que ses parents soient fiers de lui. Dans le tennis c'est pareil, beaucoup d'enfants jettent un regard aux parents restés sur le coté du court durant la séance pour obtenir une approbation lorsqu'il réussit un coup ou un jeu.

Pour réellement savoir l'origine du truc , il faudrait se trouver devant le premier dessin de l'enfant qui, si les parents ne s'étaient pas extasiés devant le bonhomme à 5 jambes et 8 yeux du chérubin, n'aurait pas marquer d'émotion particulière. Tu vois on en parlait ailleurs mais voilà où intervient le jugement ! c'est pernicieux , on montre , on apprend à l'enfant que c'est bien de rendre fiers ses parents ! Te rends tu comptes de la perversité et de complexité de notre rôle de parents à travers cet exemple !! On va demander ensuite à un enfant d'être détaché des émotions de prendre du recul en compétition alors que dés les premiers jours de l'existence on tend à tout rattacher à quelque chose en l’occurrence à l'émotion , dans l'exemple du dessin , à celle d'être reconnu dans le regard de ses parents ... Ceci est incompatible avec le tennis en compétition !

D'ailleurs un enfant ne regarde pas ses parents uniquement quand il fait bien un coup , je dirais même qu'il regarde plus en cas d'échec et je rajoute qu'il regarde presque méchamment ses parents , l’œil noir , en disant , si l'enfant avait la maturité et le recul pour le dire , mais pourquoi bordel tu m'as élevé dans cet univers où tout doit être jugé , où tout est soit bon soit mauvais .... Voilà pourquoi avant tout les enfants regardent les parents sur le bord d'un terrain.

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Moi je vous conseille d'arrêtter les bouquin de tennis et de prendre une soirée pour regarder

The wall de pink floyd.

c'est un grand moment à passer et il y a une critique très juste de l'éducation. (certes un peu caricaturale mais tellement vrai...)

Pour en revenir à nos moutons : tous ceux qui ont éclaté au plus haut niveau ont un état d'esprit en adéquation avec leur corps et ses capacités. Mac enroe et son esprit colérique combiné à un jeu de colérique, Noah et son esprit fantaisie combiné à un tennis fantaisie, fed et son état d'esprit de petit con combiné à un tennis brillant, Edberg homme classieux au tennis rafiné, chang son état d'eprit de travail de rigueur et son jeu défensif etc....

Donc pour moi il n'y a pas de formule magique juste un équilibre à trouver pour obtenir une performance max.

Pour certains élus l'état d'esprit et le corps sont entièrement corrélés c'est beaucoup plus simple pour être performant, pour d'autres ils sont diamétralement opposé, ça devient plus compliqué d'être performant.

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Pour moi (ca n'engage que moi) ça manque de philosophie. Je donne un exemple: j ai un mental d'attaquant moi ce que je veux c'est aller vers l'avant claquer des volées, je veux aussi gagner es matchs. Le problème c'est que j'ai un corps de défenseurs. Si je vais d'un côté ou de l'autre je vais créer une situation de déséquilibre entre mon corps et mon esprit. ----> frustration

Pour trouver un équilibre, je peux utiliser un compromis, par exemple , je défends un point sur deux et j'attaque un point sur deux, ainsi je crée une situation d'équilibre entre mon corps et mon esprit.

justement c'est là que je ne suis pas d'accord, si tu prends comme exemple mac enroe, c'est un joueur qui se nourrit de ses colères, si tu commences à faire du zen sur un mac enroe tu risque de le projeter dans un gouffre. Sa colère a des effets bénéfiques sur son tennis et sur son influx nerveux. - Là on parle d'autre chose. Il s'agit des particularités de focalisation des individus ( Mc enroe joueur à focus externe , Nadal aussi , Federer , Sampras, joueurs à focus interne ) Les joueurs à focus externes sont en général des joueurs "émotifs, sensibles" qui ont besoin de sortir le trop plein afin de mieux se focaliser sur l'objectif point qui arrive mais je répète c'est un autre sujet.

Les excès sont dangereux : trop de zen = baisse du niveau d'activation = baisse de la performance, bref c'est à mon avis un équilibre à trouver, mais cet équilibre n'est pas le même pour tout le monde, chacun doit faire avec ce qu'il est sur le plan corporel et sur le plan de son esprit. Là encore on ne parle pas d'excès de zen attitude ! La dualité existe il faut juste accepter ce moi imposant et juge extrême et lui dire ok l'ami tu es là je te vois mais fais moi confiance ensemble on peut réaliser de belles choses!

Les travaux que vous décrivez partent du principe qu'il existe un état d'esprit adapté à la pratique compétitive, ce que je trouve totalement faux.Il n' y a pas un état d'esprit, il y a des états d'esprits qui correspondent à un niveau d'activation maximum pour chaque joueur, cet état d'esprit est corrélé directement à la biologie (corps ) du joueur.

Ensuite , allongez vous sur le divan Monsieur , ce qui serait intéressant dans ton cas c'est d'aller chercher pourquoi , le créateur instinctif poussé vers l'avant a développé un exécutant à l'opposé de son être profond .....

Peur de l'échec, peur de décevoir les parents, charge émotionnelle trop lourde ayant déviée l'individu, peur du jugement des autres .... Tout ça fait qu'on joue à l'envers j'en suis convaincu, ça crée des non sens dans la biomécanique du corps , dans la tête et ça pète un jour ou l'autre .... Il arrive même qu'on en vienne a en avoir plein le dos et à développer des maux difficiles à guérir.

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Pour réellement savoir l'origine du truc , il faudrait se trouver devant le premier dessin de l'enfant qui, si les parents ne s'étaient pas extasiés devant le bonhomme à 5 jambes et 8 yeux du chérubin, n'aurait pas marquer d'émotion particulière. Tu vois on en parlait ailleurs mais voilà où intervient le jugement ! c'est pernicieux , on montre , on apprend à l'enfant que c'est bien de rendre fiers ses parents ! Te rends tu comptes de la perversité et de complexité de notre rôle de parents à travers cet exemple !! On va demander ensuite à un enfant d'être détaché des émotions de prendre du recul en compétition alors que dés les premiers jours de l'existence on tend à tout rattacher à quelque chose en l’occurrence à l'émotion , dans l'exemple du dessin , à celle d'être reconnu dans le regard de ses parents ... Ceci est incompatible avec le tennis en compétition !

D'ailleurs un enfant ne regarde pas ses parents uniquement quand il fait bien un coup , je dirais même qu'il regarde plus en cas d'échec et je rajoute qu'il regarde presque méchamment ses parents , l’œil noir , en disant , si l'enfant avait la maturité et le recul pour le dire , mais pourquoi bordel tu m'as élevé dans cet univers où tout doit être jugé , où tout est soit bon soit mauvais .... Voilà pourquoi avant tout les enfants regardent les parents sur le bord d'un terrain.

Ou inversement, le fait de ne pas avoir de réaction de ses parents suite à son premier dessin lui aurait peut être fait abandonner cette activité car il n'en aurait pas tiré de satisfaction particulière.

Pourquoi être détaché de ses émotions en compétition ? Au contraire, il faut qu'il vive ses émotions pour pouvoir s'intéresser à l'activité qu'il pratique et même plus pour vivre car à mon sens, la vie d'un individu est régie par ses émotions : rechercher l'agréable et fuir le désagréable. Après, la nuance va être de rester dans le niveau optimal d'activation mentalement en fonction de soi. :huh:

Pour en revenir à nos moutons : tous ceux qui ont éclaté au plus haut niveau ont un état d'esprit en adéquation avec leur corps et ses capacités. Mac enroe et son esprit colérique combiné à un jeu de colérique, fed et son état d'esprit de petit con combiné à un tennis brillant,

Je suis d'accord sur le fait que le contrôle des émotions du joueur doit dépendre de son besoin à la fois psychologique et biologique.

Pour Mac Enroe, il faudrait savoir si ses colères étaient plus pour le motiver lui ou au contraire faire sortir l'adversaire de son match. Quelques uns de ses plus grands matchs, il les a joué sans bronché quasiment en particulier la finale de Wimbledon perdue contre Borg. Pour Noah, lorsqu'il gagne Roland Garros en 1983 on est loin du showman qu'il est devenu par la suite vers la fin de sa carrière.

Enfin pour Federer, c'est justement à partir de 2002 lorsqu'il prend conscience de son comportement sur le terrain qu'il exploser littéralement. On pourrait dire la même chose d'Agassi qui est passé du statu de joueur fantasque à celui de joueur "sérieux" pour gagner des grand chelem. C'est justement le paradoxe de ces joueurs : ils ont atteint le haut niveau voire le très haut niveau parfois puis ont modifié leur comportement pour atteindre leur sommet personnel.

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@Un enfant à 4 ans ne dessine pas pour " en tirer une satisfaction " Voyons quand même!Un enfant de 4 ans n'est pas intéressé et ne né pas intéressé , il le deviendra comme je l'ai expliqué , mais originellement il n'est pas intéressé tu me fais bondir sur ma chaise roulante là !!

@ émotions : Détaché de ses émotions afin qu'elles ne deviennent pas envahissantes et ne conditionnent pas ton comportement voilà ce que je veux dire. Les constater , telles qu'elles sont et ne pas y accorder une importance démesurée que ce soit dans la tristesse ou dans la joie ça ne veut pas dire les nier et les faire taire loin de moi cette idée.

@loulou ... pour les pink floyds ok si t'as des bières et une cheminée c'est quand tu veux !

@Pour en revenir à nos moutons : tous ceux qui ont éclaté au plus haut niveau ont un état d'esprit en adéquation avec leur corps et ses capacités. Non , ceux qui ont éclaté au plus haut niveau ont un esprit libre , libéré , qui permet à leur corps de s'exprimer en toute fluidité sans contrainte ni crispation aucune.

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Ensuite , allongez vous sur le divan Monsieur , ce qui serait intéressant dans ton cas c'est d'aller chercher pourquoi , le créateur instinctif poussé vers l'avant a développé un exécutant à l'opposé de son être profond .....

Peur de l'échec, peur de décevoir les parents, charge émotionnelle trop lourde ayant déviée l'individu, peur du jugement des autres .... Tout ça fait qu'on joue à l'envers j'en suis convaincu, ça crée des non sens dans la biomécanique du corps , dans la tête et ça pète un jour ou l'autre .... Il arrive même qu'on en vienne a en avoir plein le dos et à développer des maux difficiles à guérir.

Bon dans mon cas mes parents s'en foutaient royalement de mon tennis, donc j en ai souffert docteur. :mdr: Je n'ai pas connu une seule défaite de 6 ans à 10 ans, j'ai gagné 10 fois le championnat départemental, et si il n'y avait pas eu un certains Olivier Muits dans ma région je n'aurais pas connu la défaite avant les petits as. Bref.... dans mon cas jouer au tennis c'était plus s'opposer aux parents que leur faire plaisir, ils ont réagis 20 ans plus tard. ( oh mais en fait tu étais très fort quand tu étais jeune). Dans ma famille si tu as un pas un doctorat t'es un loupé, donc le sport ça leur passe au dessus de la tête.

Bref pour en revenir à nos moutons, pourquoi je n'ai pas joué l'attaque plein pôt ? lol c'est très simple parceque je n'ai pas le corps pour ça, je suis assez petit, donc le service à 220 le je peux pas faire, monter à la volée en deux cpoups de jambes c'est pareil je peux pas faire, mes segments ne sont pas assez longs pour ça, smatcher sur un lob qui monte à 4 mètres : idem.

Donc à un moment j'ai fais un choix en me posant ce que je considère être les bonnes questions : qu'est ce que mon corps me permet de faire ? petit gabarit assez rapide et explosif avec un certains talents pour les effets et un coeur qui pulse naturellement à 55 (que j'ai pu faire descendre à 45 par la préparation physique).

la réponse est simple, j'ai un corps de crocodile/ limeur.

Donc soit je joue un jeu d'attaque pur je fais plaisir à ma tête, mais je perds

soit je fais avec mon corps et je gagne mais ca devient frustrant

j ai donc crée un compromis, la plupart du temps je lime et sur les points importants je joue un service volée, je tente un coup gagnant. Ca me permet de surprendre l'adversaire, de nourrir un peu la soif d'attaque de mon esprit tout en restant compétitif . :-) . Donc c'est par mon propre jugement que j'ai dessiné ce jeu et pas par rapport aux autres ;)

Pour les floyd ca peut se faire pendant les vacances l'année prochaine lol.

@ denebola

Je suis cent pour cent d'accord sur le fait que refréner les émotions c'est mauvais on fait avec ce qu'on est . ;)

Pour fed , ce que tu dis est juste, mais pour moi Fed joue un jeu hyper ultra audacieux, on pourrait appeller ça du tennis champagne, il faut à mon sens une estime hyper élevée de soi même pour jouer un tel tennis. C'est un jeu que je qualifie de 'gourmand'

Il faut vraiment que je me décide à publier , le problème des émotions c'est :

Tout le monde n a pas la même capacité à ressentir les émotions et à les réfreiner.

Quand tu fais le choix de réfreiner une émotion, tu utilises de l'énergie pour celà, et une certaine croyance populaire (vrai faux à voir) veut que l'émotion réfreinée aillee se loger directement dans les muscles diaphragme et psoas iliaque.Donc tu réfreines mais quelque part tu te bloque musculairement.De plus réfreiner constamment tes émotions sur un match complet peut s'avérer être un désastre en matière d'énergétique.

Bon je répère : ce n'est que mon avis, c'est simplement mon regarde sur cette situation. ;)

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@loulou : Santoro n'était pas un géant , pas un surpuissant mais il a joué un tennis magnifique inspiré et vers l'avant toute sa vie . Si tu me le permets pour aller plus loin dans l'analyse , on pourrait aussi dire que tu t'es crée une moitié de jeu , pas trop risquée,pas trop vers l'avant , mi figue mi raisin , mais système dans lequel tu existais en tant que compétiteur. Affronter véritablement la peur , ses peurs , aurait été de dire , ok je suis peut être pas taillé pour ça ( quoi que, Autre Exemple de " petit physique " : Mc Enroe .. fin , nerveux , pas spécialement grand et pourtant maitre absolu tu tennis inventif et inspiré ) mais j'accepte de ne pas avoir la certitude de réussir mais merde après tout qu'est ce que je risque , je décide foncer dans ma filière et de devenir un santoro à ma manière ... pourquoi pas on ne le saura pas mais moi, si j'avais été ton père, pour recadrer sur le sujet de base rapport / parent enfant , je t'aurais encouragé à explorer ta voie , ton style à fond.

@ Je suis cent pour cent d'accord sur le fait que refréner les émotions c'est mauvais on fait avec ce qu'on est .

Et on fait d'autant mieux si on comprend pourquoi on est ce que l'on est devenu !

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@loulou : Santoro n'était pas un géant , pas un surpuissant mais il a joué un tennis magnifique inspiré et vers l'avant toute sa vie . Si tu me le permets pour aller plus loin dans l'analyse , on pourrait aussi dire que tu t'es crée une moitié de jeu , pas trop risquée,pas trop vers l'avant , mi figue mi raisin , mais système dans lequel tu existais en tant que compétiteur. Affronter véritablement la peur , ses peurs , aurait été de dire , ok je suis peut être pas taillé pour ça ( quoi que, Autre Exemple de " petit physique " : Mc Enroe .. fin , nerveux , pas spécialement grand et pourtant maitre absolu tu tennis inventif et inspiré ) mais j'accepte de ne pas avoir la certitude de réussir mais merde après tout qu'est ce que je risque , je décide foncer dans ma filière et de devenir un santoro à ma manière ... pourquoi pas on ne le saura pas mais moi, si j'avais été ton père, pour recadrer sur le sujet de base rapport / parent enfant , je t'aurais encouragé à explorer ta voie , ton style à fond.

@ Je suis cent pour cent d'accord sur le fait que refréner les émotions c'est mauvais on fait avec ce qu'on est .

Et on fait d'autant mieux si on comprend pourquoi on est ce que l'on est devenu !

Santoro vers l'avant?? :blink: c'est de la défense entrecoupée de phases d'attaque, c'est un jeu très proche du mien, j'appelle ça un jeu de tacticien, mon objectif en match c'est de compter les appuis ouverts que je fais faire à mon adversaires, et je sais que si j'arrive à lui en faire faire un certains nombres ça va craquer physiquement, le jeu va ralentir il y aura plus de déchet et àa ce moment je vais avancer.

Avancer dès le début du match je peux pas faire, je n'ai passez d'armes pour ça, je dois déjà le gratter physiquement.

Mes parents s'en foutaient royallement de mon tennis, ils n'assistaient pas aux matchs ne m'inscrivaient pas en compet,on ne parlait pas de tennis à la maison.... C'est les parents des copains qui se déplaçaient pour me déposer. lol, et les antrainements j'y allais en vélo...

Je n'ai pas arretté l'attaque par peur,j'ai arrétté l'attaque parceque je n'avais pas un corps efficace dans cette filière de jeu. Mac enroe il fait 1M80 gabarit fin et léger , pas moi... lol

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@Un enfant à 4 ans ne dessine pas pour " en tirer une satisfaction " Voyons quand même!Un enfant de 4 ans n'est pas intéressé et ne né pas intéressé , il le deviendra comme je l'ai expliqué , mais originellement il n'est pas intéressé tu me fais bondir sur ma chaise roulante là !!

Un enfant de 4 ans et peut parfaitement être intéressé et agir dans le sens de son intérêt et ce dès le plus jeune âge et la recherche première pour lui va être la notion de plaisir : par le jeu, par les compliments et donc par le comportement des adultes à son égard en fonction de ce qu'il fait... et on retrouve le même comportement sur le terrain de tennis en particulier sur le mini tennis.

vous conseillez a tous vos jeunes de faire de la compétition (quitte a les degouter et en perdre une partie) ou vous adaptez sur mesure ?

Ca dépend de l'enfant, ça dépend de l'âge. Avant 10 ans perso non mais je ne m'oppose pas s'il y a une demande. Par contre à partir de 10 ans, je trouve que ça donne du sens à l'entraînement mais il faut faire attention à comment l'enfant va aborder la compétiton pour ne pas le traumatiser effectivement. Il faut essayer à mon sens de valoriser l'effort qui a été fournit pour aller joueur même en cas de défaite.

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de toute manière un gamin si il est talentueux, il ne perdra pas donc il ne sera pas dégouté.

Gasquet à 12 ans il mettait des 0-0 à des adultes et ne devait pas perdre bcp de matchs dans la saison.

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Je vois pas trop le rapport entre des champions adultes ou un prof adulte et le lien parents enfants loisir. nous sommes tous des enfants devenus grands et en parlant de nos expériences on parle aussi forcément des relations parents enfants de l'époque.

Roche : ne pas lancer les gamins en compétition trop tot et les préparer puis les suivre, yes. Les trucs d ego, yin yang et méditation pour des enfants ou ados, danger.

A nouveau attention a respecter le profil des gamins et leurs phases de développement. Les approches un peu psy par des non pros et sur des enfants ou ados ca peut faire bcp de mal. , entre rien faire , rien dire , ce qui représente la majeure partie des cas, et les non pros psy , comme moi , qui cherchons à dénouer des diaphragmes , je préfère le second cas .

Deneb et loulou : vous conseillez a tous vos jeunes de faire de la compétition (quitte a les degouter et en perdre une partie) ou vous adaptez sur mesure ?

Dans mon club, 2 enfants du groupe demon fils n etaient pas chaud pour les matchs. Prof et parents ont poussé... et les 2 ont mal vecu et arrêté.

Sinon, quels retours avez vous des nouveaux formats de compétition enfants : plus de plaisir moins traulatisant ? pour le tournoi que nous avons organisé en club, je dirais oui plus de plaisir car 3/4 matches dans la journée donc plus de jeu, pas de vainqueur déclaré juste des poules donc pas " trop" de frustration , pas d'écart de niveaux trop importants donc pas de fracassages, pour moi excellente expérience.

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Pour recentrer le débat et revenir sur le rôle parent / enfant, s'appuyant sur l'expérience de loulou ou la mienne qui s'en rapproche beaucoup ... Très petit vers 5 ans j'étais déjà un entrepreneur, je prenais beaucoup d'initiative, j'avais une certaine logique des choses. Mes parents n'ont pas su voir ça et me donner les outils pour développer ces aptitudes " naturelles ". Je me suis donc retrouvé dans un circuit scolaire pas fait pour moi complètement restreignant et limitant, j'y ai galéré et cela ne m'a strictement rien apporté. Ce n'est que plus tard par les errances de mes expériences que j'ai pu revenir sur mon chemin "originel" et là bizarrement les choses sont allées très vite et j'ai pu construire la vie que je souhaitais vivre. Une vie faite d'opportunité , de rencontres , de décisions , de choix , de risques, d'adaptation, de montées au filet .... etc etc ... C'est pareil pour le tennis . Je n'ai pas le même parcours que loulou mais je reste persuadé que si l'enfant qu'il était , créatif et instinctif, avait été poussé dans ce sens , construit dans ce sens ,il aurait gagné les petits as !

Tout ça pour dire que le rôle des parents c'est de déceler les aptitudes naturelles des enfants et de leur donner les outils nécessaire à l'exploration complète de leurs talents ...

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Tout ça pour dire que le rôle des parents c'est de déceler les aptitudes naturelles des enfants et de leur donner les outils nécessaire à l'exploration complète de leurs talents ...

Oui c'est exactement cela à mon sens le role de parent, pour le tennis et le reste...

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Je vois pas trop le rapport entre des champions adultes ou un prof adulte et le lien parents enfants loisir.

Roche : ne pas lancer les gamins en compétition trop tot et les préparer puis les suivre, yes. Les trucs d ego, yin yang et méditation pour des enfants ou ados, danger.

A nouveau attention a respecter le profil des gamins et leurs phases de développement. Les approches un peu psy par des non pros et sur des enfants ou ados ca peut faire bcp de mal.

Deneb et loulou : vous conseillez a tous vos jeunes de faire de la compétition (quitte a les degouter et en perdre une partie) ou vous adaptez sur mesure ?

Dans mon club, 2 enfants du groupe demon fils n etaient pas chaud pour les matchs. Prof et parents ont poussé... et les 2 ont mal vecu et arrêté.

Sinon, quels retours avez vous des nouveaux formats de compétition enfants : plus de plaisir moins traulatisant ?

Comme deneb, je conseille la competition dès le plus jeune âge, mais je ne force personne, je tiens ce discours : Pour progresser il faut matcher, rien ne remplacera jamais le match officiel. Si l'enfant ne souhaite pas faire de match si ça ne l'intéresse pas je le laisse en paix.

Après la suite se fait de manière naturelle, ceux qui matchent progressent plus vite, les groupes changent, sont reconstitués, à la fin on obtient des groupes loisirs et des groupes compet. Sur les groupe compet j'essaie de demander un minimum de match, après si le gamin ne veut pas matcher je ne vais pas en faire un fromage.

De manière générale les gamins ne sont pas fan des matchs officiels avec déplacement , 10 matchs par an ça leur suffit, moi je conseille 30.

Je n'ai pas de point de vue sur les compet, car je ne participe pas aux rassemblements les compet sont intraclubs, ça se passe bien les gamins veulent matcher, ils sont contents.

@ roche

je n'aurais jamais eu le niveau pour ça, j'ai bénéficié d'une croissance rapide donc j 'ai survolé les compétitions jeunes, et puis après j ai arrétté de grandir.. eux ils ont grandi... :-) mais c'est gentil d'y croire ;)

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Tout ça pour dire que le rôle des parents c'est de déceler les aptitudes naturelles des enfants et de leur donner les outils nécessaire à l'exploration complète de leurs talents ...

Il y a un risque tout de même avec cette formulation davoir des parents qui poussent trop leurs enfants dans un domaine.

A mon sens ce nest pas aux parents de déceler mais par contre de rester à lécoute de ce que leur disent les professionnels pour accompagner au mieux leur enfant dans sa progression par leur investissement financier ou temporel.

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Et justement, comme au tennis, l'investissement financier et temporel est important, la question de l'implication des parents est récurrente. Un problème supplémentaire mais lié aux autres est l'investissement spatial (un grand terrain/des installations coûteuses pour ne faire jouer que deux enfants à la fois) qui constitue une autre particularité du tennis. Est-ce la même chose dans les autres sports (tennis de table par exemple)?

Mais d'un autre côté, est-ce normal de pratiquer un sport d'opposition directe sans participer, sous une forme ou une autre, à une compétition? À l'origine du jeu (de tennis), je suppose qu'on a dès le début compter les points, tandis que la recherche de l'amélioration technique, l'entraînement, etc, sont venus après. Donc c'est normal de vouloir amener les enfants à jouer (au sens de gagner ou perdre).

Après, comment les accompagner en tant que parents, je pense que denebola a raison, c'est aux professionnels de bien communiquer avec les parents et les enfants (définir les capacités, fixer des objectifs, expliquer les contraintes, etc.). Parce qu'un pro passe sa vie à voir défiler des gamins tandis qu'un adulte n'est parent que d'un ou deux joueurs pendant une durée limitée. ll peut donc appliquer à la pratique du tennis par son enfant les principes éducatifs/moraux auxquels il croit mais il ne connaît pas forcément les particularités de ce sport.

Donc, écoutons les professionnels (tout en veillant en tant que dirigeants/responsables de club à ce qu'ils ne fassent pas trop passer leur intérêt personnel avant celui des enfants...)

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Il y a un risque tout de même avec cette formulation davoir des parents qui poussent trop leurs enfants dans un domaine.

A mon sens ce nest pas aux parents de déceler mais par contre de rester à lécoute de ce que leur disent les professionnels pour accompagner au mieux leur enfant dans sa progression par leur investissement financier ou temporel.

C'est de la paraphrase tout ça. Je parle au sens large du terme. Bien évidemment que les parents , d'autant plus s'ils ne jouent pas au tennis , doivent écouter les avis des professionnels qui encadrent leurs petits dans la pratique sportive.

Je parle de déceler les talents dans leur globalité, déceler les aptitudes le mot est plus juste.

Mais franchement combien de parents ne font pas ça , combien forcent les gamins à rester par exemple dans une filière scolaire longue alors qu'ils rament sans but et seraient plus épanouis dans le technique ( vous avez vu billy Elliot ) !!??

Autre exemple , lors justement du plateau - de 12 , j'ai vu un gamin avec un magnifique tennis instinctif vers l'avant , attaques , vollées , smash , tout était là pour briller , et le gamin même s'il prenait des passings ou ratait quelques fois était heureux de jouer comme ça. Derrière le court , son père et le prof : " Arrête de faire n'importe quoi , recule, fais des ronds etc etc ah non j'oubliais mon mot préféré : ASSURE ..." Assure mon cul ! à 10 ans un petit qui joue comme ça je lui dirais perso allez mange le filet, tente , crée des choses ... Bien entendu le rôle de l'éducateur va être de construire cet enfant dans cette filière là, poser les bases de l'attaque , la tactique qui va avec , puis plus tard le travail musculaire spécifique qui va avec etc etc ..... Mais surtout pas contrarier une nature si inventive! Qu'importe s'il perd ou s'il met plus de temps à poser son jeu efficacement que les autres mais allons au bout , voyons ce que ça peut donner à la fin...

Regardez gasquet / federer en 2003 je crois à monté carlo , le bitterois 15 ans avait à cette époque un jeu très instinctif , très inspiré , sur sa ligne et qui ,à cette époque , mettait Fed à 3 m de la balle !!?? Après on a contrarié sa nature on l'a fait reculé résultat ( même s'il fait une belle carrière ) il n'a jamais confirmé et exploité son potentiel à fond .

Connaissez vous le parcours de Dominique thiem et comment il a accepté de réformer son tennis pour se retrouver enfin. Des galères ,une grosse remise en question, de la patience mais regardez aujourd'hui où il en est !

Tout ces exemples pour dire que le parcours est certainement moins balisé, moins rassurant , mais que parfois ça vaut le coup de donner les moyens à un enfant d'explorer son propre univers. C'est même un devoir que l'on a. Les conventions, la société , le jugement et les attentes hélas freinent ce genre d'élan.

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C'est de la paraphrase tout ça. Je parle au sens large du terme. Bien évidemment que les parents , d'autant plus s'ils ne jouent pas au tennis , doivent écouter les avis des professionnels qui encadrent leurs petits dans la pratique sportive.

Je parle de déceler les talents dans leur globalité, déceler les aptitudes le mot est plus juste.

Mais franchement combien de parents ne font pas ça , combien forcent les gamins à rester par exemple dans une filière scolaire longue alors qu'ils rament sans but et seraient plus épanouis dans le technique ( vous avez vu billy Elliot ) !!??

Autre exemple , lors justement du plateau - de 12 , j'ai vu un gamin avec un magnifique tennis instinctif vers l'avant , attaques , vollées , smash , tout était là pour briller , et le gamin même s'il prenait des passings ou ratait quelques fois était heureux de jouer comme ça. Derrière le court , son père et le prof : " Arrête de faire n'importe quoi , recule, fais des ronds etc etc ah non j'oubliais mon mot préféré : ASSURE ..." Assure mon cul ! à 10 ans un petit qui joue comme ça je lui dirais perso allez mange le filet, tente , crée des choses ... Bien entendu le rôle de l'éducateur va être de construire cet enfant dans cette filière là, poser les bases de l'attaque , la tactique qui va avec , puis plus tard le travail musculaire spécifique qui va avec etc etc ..... Mais surtout pas contrarier une nature si inventive! Qu'importe s'il perd ou s'il met plus de temps à poser son jeu efficacement que les autres mais allons au bout , voyons ce que ça peut donner à la fin...

Regardez gasquet / federer en 2003 je crois à monté carlo , le bitterois 15 ans avait à cette époque un jeu très instinctif , très inspiré , sur sa ligne et qui ,à cette époque , mettait Fed à 3 m de la balle !!?? Après on a contrarié sa nature on l'a fait reculé résultat ( même s'il fait une belle carrière ) il n'a jamais confirmé et exploité son potentiel à fond .

Connaissez vous le parcours de Dominique thiem et comment il a accepté de réformer son tennis pour se retrouver enfin. Des galères ,une grosse remise en question, de la patience mais regardez aujourd'hui où il en est !

Tout ces exemples pour dire que le parcours est certainement moins balisé, moins rassurant , mais que parfois ça vaut le coup de donner les moyens à un enfant d'explorer son propre univers. C'est même un devoir que l'on a. Les conventions, la société , le jugement et les attentes hélas freinent ce genre d'élan.

Je fais pas dans le haut niveau, donc j'ai pas d'avis. ( si sur les championnats régionaux, j'aime pas l'attitude de certains profs) . Mais je trouve ça rigolo de sortir du top 4 régional alors que le gamin a une heure de cours collectif depuis 2 ans en gros 60 heures de tennis. Je trouve ca rigolo quand il poutre des jeunes qui eux ont une heure d'indiv, 3 heures de collectifs + les matchs : AHAHAHAHAHAHAHA.

Ca peut faire réfléchir... ou pas :-)

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Roche ça tourne à l auto glorification.

Et je persiste sur le danger d une approche type psy par quelqu un qui n y est pas formé.

Avoir lu qq livres ne fait pas de toi un praticien et risque d apprenti sorcier.

Loulou certes tous les champions ont été des enfants mais l immense majorité des enfants ne deviendront jamais des champions et trop les pousser peut créer de gros dommages.

@ mat

tout d'abord je suis très heureux de voir que tu participes à nouveau à la vie de ce forum, c'est avec plaisir que je lis tes posts . ;)

Pour la petite phrase me concernant : tu prèches un converti, mais je pense que c'est une espèce de cercle vicieux, entre les volontés des parents (conscientes et inconscientes) les volontés des enfants (conscientes et inconscientes) il est difficile de faire la part des choses.

Moi j'ai une très mauvaise image du haut niveau, donc je suis très mal placé pour en parler, je ne suis pas objectif sur le sujet... Le haut niveau a ruiné ma santé, je vais donc privilégier le jeu le plaisir pour mes élèves.

Je pense que le haut niveau c'est un état d'esprit, tu l'as ou tu l'as pas, en fait à mon avis rien ne sert de pousser, c'est le jeune tout seul qui fera le chemin (ou pas). Et comme tu le dis très justement , la plupart des jeunes ne seront pas des champions, il faut à mon avis éviter de donner trop d'espoir.

Plus l'espoir est grand plus le désespoir est profond.

Une vie d'enfant doit à mon sens être faite d'amour( l amour du sport, de la compétition, de ses amies, de sa famille, etc...) et certainement pas de contraintes.

(mais bon là encore mon jugement est éronné, c'est du à mon passé :-)

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@mathieu : auto glorification !? tu peux expliquer là je comprends pas . tout comme le " quote " de loulou et sa réponse d'ailleurs !

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