nicodu789 Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 exemple 1 :Une fille papote plus avec le coach , exemple 2 : quand il fait froid ( Oui les salles ne sont pas chauffées ! ) une fille va plus avoir tendance a dire a il fait froid et a joué n'importe comment, genre les mains dans les poches ... exemple 3 : Les gars on souvent tendance a tirer des mines dans le filet. Les fille font généralement moins de faute et cherche plus la précision que tirer des mines. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
solmhyrn Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 Un coach peut dire à un mec "bouge ton gros cul", c'est plus difficile avec une fille... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
DnCkY Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 Je peux pas t'aider, je pars d'un principe simple: les femmes veulent l'égalité, il n'y a pas de soucis, je traite homme et femme de la même façon et avec les même mots/relations. Je dis pas que je ne passe pas pour un co***d sur le coup mais bon c'est honnête et franc au moins Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
sean95 Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 FILLE : il lui est arrivé souvent que les filles lui sautent dans les bras pour le remercier de tout ce qu'il a donné pour qu'elles arrivent à ces résultats. Plus de reconnaissance et d'émotion non dissimulée Tant que ça s'arrête aux bras Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
totophe Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 il faut adapter le vocabulaire on demande pas aux filles si elle sont chaudes mais si elles sont echauffées Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
guizput Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 il faut adapter le vocabulaire on demande pas aux filles si elle sont chaudes mais si elles sont echauffées elle est bonne celle là! (je parle de la blague...) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
denebola Signaler ce message Posté(e) February 10, 2011 A mon sens, on ne peut pas aborder un entraînement de filles comme celui de garçons car il y a de grosses différences sur plusieurs points : - sur le plan relationel dans un premier temps : une fille va avoir tendance à vouloir créer un lien affectif avec son entraîneur, alors que pour les garçon, un lien trop proche peut engendrer des dérives avec un entraîneur plus copain qu'encadrant. Avec les joueuses, il faut faire attention à ne être vexant dans les commantaires, même involontairement et de veiller à l'égalité entre les filles dans les interventions car un sentiment d'injustice peu vite s'installer. Dernièrement, lorsqu'elle rate un coup, la joueuse va très souvent regarder son entraîneur pour avoir une explication, alors que pour le joueur, il faudra aller le chercher afin de lui expliquer le plus souvent. - Sur le plan de la motivation : Une joueuse va être beaucoup plus sensible aux éléments extérieurs au tennis (vie privée) , qui vont rejaillir dans son comportement sur le court. De plus les joueuses sont beaucoup sur de l'objectif de maîtrise alors que les garçon sur de la performance (à tempèrer car plus le niveau est élevé, plus on retrouve cet objectif de performance chez les filles). - Sur le plan technique : Le jeu n'est pas le même entre un joueur et une joueuse, on s'appuie sur des points forts différents : service et coup droit généralement, alors que chez la joueuse, le service va plus s'apparenter jusqu'à un certain niveau à une mise en jeu et que le jeu va être basé en priorité sur un fond de court solide pour éviter les fautes au maximum. Chez le joueur, on va travailler la volée pour aller chercher des points, chez la joueuse, dans la majorité des cas pour éviter d'en perdre lorsqu'on est obligé de monter. Concernant les changements de rythme, un garçon va utiliser sa force physique alors qu'une fille va chercher à prendre la balle tôt pour gagner du temps sur l'adversaire. - Sur le plan tactique : Les joueuses cherchent en priorité deux grands aspects : soit fixation sur le coup faible et attaque dans espace libre, soit une jeu écarté en faisant courir l'adversaire jusqu'à ce qu'elle craque ou donne une balle courte. Chez les joueurs, on est plus sur la volonté d'enfoncer l'adversaire loin derrière sa ligne pour se procurrer une balle courte en utilisant en priorité l'effet lifté. Une fois la balle courte obtenue, deux écoles : terminer le point en une frappe (attaque en force ou amorti), ou chercher à monter au filet pour conclure. C'est une caricature un peu rapide car il y a de nombreuses exceptions, mais à mon sens, on tend de plus en plus vers une ce stéréotype de jeu. - Sur le plan physique : On retrouve sensiblement le même travail des qualités physiques, excepté la force qui si elle est primordiale chez le joueur, l'est à un degré moindre chez la joueuse. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
DnCkY Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Nat m'a grillé sur le ressenti du message. :bravo: Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
denebola Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Je trouve que les 2 premiers points (relationnel et motivation) sont évoqués par denebola de façon un peu caricaturale. En même temps, quand on est sur de la psychologie comme sur les deux premiers points, on est forcément un peu sur, pas forcément de la caricature, mais au moins de la généralisation. Après, ce n'est pas forcément dégradant pour la gente féminine, mais c'est simplement qu'elles ont un fonctionnement affectif différent, que l'on retrouve à tous les niveaux, et à tous les âges. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Mithrandir Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Fin psychologue Denebola analyse trés intéssante, surtout pour moi qui ai 3 filles à la maison Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Frenchlion Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 vous avez oublié un point crucial m'est-avis ! - un garçon n'a pas ses règles (et donc il n'est pas invivable une semaine par mois..) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Manu_ser Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 A mon sens, on ne peut pas aborder un entraînement de filles comme celui de garçons car il y a de grosses différences sur plusieurs points : - sur le plan relationel dans un premier temps : une fille va avoir tendance à vouloir créer un lien affectif avec son entraîneur, alors que pour les garçon, un lien trop proche peut engendrer des dérives avec un entraîneur plus copain qu'encadrant. Avec les joueuses, il faut faire attention à ne être vexant dans les commantaires, même involontairement et de veiller à l'égalité entre les filles dans les interventions car un sentiment d'injustice peu vite s'installer. Dernièrement, lorsqu'elle rate un coup, la joueuse va très souvent regarder son entraîneur pour avoir une explication, alors que pour le joueur, il faudra aller le chercher afin de lui expliquer le plus souvent. - Sur le plan de la motivation : Une joueuse va être beaucoup plus sensible aux éléments extérieurs au tennis (vie privée) , qui vont rejaillir dans son comportement sur le court. De plus les joueuses sont beaucoup sur de l'objectif de maîtrise alors que les garçon sur de la performance (à tempèrer car plus le niveau est élevé, plus on retrouve cet objectif de performance chez les filles). - Sur le plan technique : Le jeu n'est pas le même entre un joueur et une joueuse, on s'appuie sur des points forts différents : service et coup droit généralement, alors que chez la joueuse, le service va plus s'apparenter jusqu'à un certain niveau à une mise en jeu et que le jeu va être basé en priorité sur un fond de court solide pour éviter les fautes au maximum. Chez le joueur, on va travailler la volée pour aller chercher des points, chez la joueuse, dans la majorité des cas pour éviter d'en perdre lorsqu'on est obligé de monter. Concernant les changements de rythme, un garçon va utiliser sa force physique alors qu'une fille va chercher à prendre la balle tôt pour gagner du temps sur l'adversaire. - Sur le plan tactique : Les joueuses cherchent en priorité deux grands aspects : soit fixation sur le coup faible et attaque dans espace libre, soit une jeu écarté en faisant courir l'adversaire jusqu'à ce qu'elle craque ou donne une balle courte. Chez les joueurs, on est plus sur la volonté d'enfoncer l'adversaire loin derrière sa ligne pour se procurrer une balle courte en utilisant en priorité l'effet lifté. Une fois la balle courte obtenue, deux écoles : terminer le point en une frappe (attaque en force ou amorti), ou chercher à monter au filet pour conclure. C'est une caricature un peu rapide car il y a de nombreuses exceptions, mais à mon sens, on tend de plus en plus vers une ce stéréotype de jeu. - Sur le plan physique : On retrouve sensiblement le même travail des qualités physiques, excepté la force qui si elle est primordiale chez le joueur, l'est à un degré moindre chez la joueuse. Belle analyse, assez d'accord avec ce que t'as écrit ! Pour le passage que j'ai mis en gras, je tiens à signaler qu'en effet cela concerne la grande majeure des joueurs masculins, mais qu'il y a des exceptions, comme Gasquet... Richard à la WTA ?? ---------> Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
dragao Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 En règle général les femmes ont moins confiance en elles que les hommes c'est comme ça pour des raisons diverses et variées (on va pas refaire l'autre topic hein ) A partir de là lors d'un entrainement de sportives la donne change un peu. Un coach peut dire à un mec "bouge ton gros cul", c'est plus difficile avec une fille... Il peut toujours lui dire "bouge ton petit cul" ça passe mieux Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
solmhyrn Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Elle risque quand même de le prendre mal. Surtout si effectivement elle a un gros cul. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
solmhyrn Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Je crois que t'as raison, faut éviter de parler de cul sur un court de tennis. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
dragao Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Enfin même si elle a un petit cul mais qu'elle le voit trop gros, ça passera mal Ca me paraît pas mal d'éviter le sujet Je peux toujours lui conseiller l'émission "Belle toute nue" Même pas non... :whistling: Tu as raison alors une fois de plus ou pas ... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
marie Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Sur ces deux points je ne suis pas tout à fait d'accord Justement le tennis est un défouloir donc on oublie les mauvais côtés de la vie quand ils sont minimes quand j'étais mal au taf (c'est fou comme ça ronge ça) bah j'étais mal au tennis Pour la recherche de la maitrise, tout dépend de ce qu'on entend par là Tu te contredis là tu es donc d'accord avec la phrase de Denebola "Une joueuse va être beaucoup plus sensible aux éléments extérieurs au tennis (vie privée) , qui vont rejaillir dans son comportement sur le court" non ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
marie Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Tout a déjà été un peu dit, je ne vois pas trop quoi rajouter de plus à part peut-être qu'il y a sûrement moins de filles motivées par la compétition que les gars donc ca joue aussi sur les entraînements proposés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
marie Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Comme Naelle, je ne me retrouve pas forcément dans le post de Denebola surtout au niveau du jeu Après, je dirai peut-être que les filles sont plus sensibles plutôt que dans l'affectif. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
denebola Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Justement le tennis est un défouloir donc on oublie les mauvais côtés de la vie quand ils sont minimes quand j'étais mal au taf (c'est fou comme ça ronge ça) bah j'étais mal au tennis Pour la recherche de la maitrise, tout dépend de ce qu'on entend par là Pour la première partie, c'est un peu basé sur l'expérience où il m'est arrivé qu'une joueuse n'ouvre pas la bouche de tout l'entraînement... et on apprend la semaine d'après qu'elle s'était engueulée par MSN avec sa meilleure copine, ou s'était fait incendier par ses parents avant de venir sur un problème de mauvaise note à l'école... Un garçon va être moins sensible à ces choses là où du moins on ne va pas forcément le ressentir sur la séance. Pour la recherche de maîtrise, c'est simplement que les filles recherchent plutôt le "faire bien" que le simple résultat (la balle passe), alors que pour les garçons, le résultat importe généralement plus que la manière (objectif de performance)... Perso, je trouve que travailler techniquement est plus facile avec les joueuses car elles adhèrent plus facilement au discours et sont plus en clin à changer leur geste que les joueurs, surtout chez les jeunes qui commencent à bien jouer. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
denebola Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 Il y a tellement de variable qu'il est difficile de répondre, sinon on fait de la généralisation. Le message de Denebola montre des points qu'on remarque souvent chez les deux sexes, mais je ne me retrouve pas du tout dans la descriptions de la joueuse. Comme Naelle, je ne me retrouve pas forcément dans le post de Denebola surtout au niveau du jeu Après, je dirai peut-être que les filles sont plus sensibles plutôt que dans l'affectif. Ce serait intéressant que vous donniez un peu votre ressenti... parce que c'est vrai que de l'extérieur, on ne peut se faire qu'une vague idée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
marie Signaler ce message Posté(e) February 11, 2011 - sur le plan relationel dans un premier temps : une fille va avoir tendance à vouloir créer un lien affectif avec son entraîneur, alors que pour les garçon, un lien trop proche peut engendrer des dérives avec un entraîneur plus copain qu'encadrant. Avec les joueuses, il faut faire attention à ne être vexant dans les commantaires, même involontairement et de veiller à l'égalité entre les filles dans les interventions car un sentiment d'injustice peu vite s'installer. Dernièrement, lorsqu'elle rate un coup, la joueuse va très souvent regarder son entraîneur pour avoir une explication, alors que pour le joueur, il faudra aller le chercher afin de lui expliquer le plus souvent. Pour le lien affectif, ca dépend du prof qu'on a par contre, je vois pour notre BE, il n'hésite pas à nous dire les choses surtout avec la jeune de 12 ans. La dernière fois, il a arrêté un exo parce qu'on était nulles et il nous l'a dit clairement et ma copine 15/3 jouait très bien, il le lui a dit et c'était vrai, on n'était pas jalouses. Pour le coup qu'on rate, à l'entraînement je ne regarde pas mon BE. Par contre, en match, c'est vrai que j'aime bien regarder mon chéri ou ceux qui m'accompagnent pour avoir un peu de réconfort et de soutien. Mais je pense que c'est selon la personnalité, pas forcément une histoire de filles/gars. - Sur le plan de la motivation : Une joueuse va être beaucoup plus sensible aux éléments extérieurs au tennis (vie privée) , qui vont rejaillir dans son comportement sur le court. De plus les joueuses sont beaucoup sur de l'objectif de maîtrise alors que les garçon sur de la performance (à tempèrer car plus le niveau est élevé, plus on retrouve cet objectif de performance chez les filles). Là encore, c'est une question de personnalité. Je pense que ca nous est tous arrivé de venir à un entraînement en étant préoccupé ou énervé Quand ca m'arrive, le tennis est plutôt un défouloir à ce moment là. Mais sur la question du jeu, il ne change pas selon mon humeur. Et j'ai tjrs l'esprit de compétition qui ressort donc qqpart je suis quand même axée performance, je suis assez exigeante avec moi. - Sur le plan technique : Le jeu n'est pas le même entre un joueur et une joueuse, on s'appuie sur des points forts différents : service et coup droit généralement, alors que chez la joueuse, le service va plus s'apparenter jusqu'à un certain niveau à une mise en jeu et que le jeu va être basé en priorité sur un fond de court solide pour éviter les fautes au maximum. Chez le joueur, on va travailler la volée pour aller chercher des points, chez la joueuse, dans la majorité des cas pour éviter d'en perdre lorsqu'on est obligé de monter. Concernant les changements de rythme, un garçon va utiliser sa force physique alors qu'une fille va chercher à prendre la balle tôt pour gagner du temps sur l'adversaire. Notre BE nous axe principalement notre jeu sur l'attaque et le jeu au filet. Ca tombe bien, j'adore ca mais c'est vrai que les autres filles sont réticentes et n'y vont souvent que "par défaut". Après, mon jeu n'est pas basé sur le fait d'éviter les fautes mais sur le fait de faire les points gagnants, ce sont deux tactiques bien distinctes pour moi. - Sur le plan tactique : Les joueuses cherchent en priorité deux grands aspects : soit fixation sur le coup faible et attaque dans espace libre, soit une jeu écarté en faisant courir l'adversaire jusqu'à ce qu'elle craque ou donne une balle courte. Chez les joueurs, on est plus sur la volonté d'enfoncer l'adversaire loin derrière sa ligne pour se procurrer une balle courte en utilisant en priorité l'effet lifté. Une fois la balle courte obtenue, deux écoles : terminer le point en une frappe (attaque en force ou amorti), ou chercher à monter au filet pour conclure. C'est une caricature un peu rapide car il y a de nombreuses exceptions, mais à mon sens, on tend de plus en plus vers une ce stéréotype de jeu. Là encore, ca dépend vraiment de la mentalité de la joueuse et de son jeu. C'est impossible de faire une généralité. - Sur le plan physique : On retrouve sensiblement le même travail des qualités physiques, excepté la force qui si elle est primordiale chez le joueur, l'est à un degré moindre chez la joueuse. Je pense que c'est un point faible encore plus prononcé chez les filles, d'autant plus qu'on ne le travaille pas. Je commence seulement à le travailler depuis 2/3 ans et je suis vraiment en retard je vois les jeunes garçons qui font par exemple souvent foot et tennis, ils travaillent déjà leurs qualités physiques. Et les adultes sont bcp plus attirés par cet aspect que les filles. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
+Tipi Signaler ce message Posté(e) February 12, 2011 Pendant un temps, on a eu une demoiselle avec nous en cours. Elle était du même niveau que nous (il y avait un déficit de puissance au début). On était donc 5 garçons avec elle et le prof réagissait totalement de la même manière avec elle qu'avec nous. Elle ne semblait pas s'en plaindre d'ailleurs. Et bizarrement, en match par équipe, lorsqu'elle ne se retrouvait qu'avec des femmes, elle avait l'air bien plus fragile mentalement et beaucoup moins posée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
sebinnis Signaler ce message Posté(e) February 12, 2011 Elle risque quand même de le prendre mal. Surtout si effectivement elle a un gros cul. eh ben suffit que je m'absente, et on dérive complet , j'ai bien fait de revenir Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
denebola Signaler ce message Posté(e) February 12, 2011 A lire sur le sujet, un dossier édité par la FFT sur le tennis féminin : lien @marie et naelle : merci pour les retours, c'est toujours intéressant de comparer les différences de perceptions que l'on peut avoir. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites