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la RSA ( repeated sprint ability) appliquée au tennis

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Donc quand j'étais au staps spécialité tennis en prépa physique on m'a appris : pour les jeunes à haut niveau, pas de planif en fonction des competition, une planif sur l'année car on veut du résultat sur le long terme.

c'est au compétiteur de s'adapter à la planif et pas le contraire.

Si on avait de mauvais résultats en fonctionant de cette manière on changerait, mais c'est comme ça qu on obtient les meilleurs résultats sur le long terme. De même commety était anti RSA, donc effectivement on peut trouver des divergences d'opinions.

En attendant en france chez lagardere et chez commety on sort de l'élite avec ce genre de moyens.Si le gamin doit éclore à haut niveau, rien ne sert de le presser. Le fruit murira tout seul et à ce moment il va exploser au plus haut niveau.

Quel est l'intéret de gagner les petit as si c'est pour ne pas éclore par la suite?

En se basant sur les résultats jeunes et en les comparant aux résultats adultes, la plupart des jeunes élite ne percent jamais à haut niveau, il y a des raisons...

Donc je ne pense pas que ce soit meilleur, il ne faut pas griller les étapes. :-)

@ denebola

oui il y a une programmation annuelle avec des phases qui se suivent, ta planif nest qu une question de bon sens couplée à une volonté de protéger ton athlète de la casse.

Ta planif est générale car en dessous d'un certains niveau tu n as pas besoin de l'adapter à un évènement particulier, il faut éviter les amalgammes entre le haut niveau adulte / pro et le haut niveau jeune. Le jeune à haut niveau est en construction la PP est axée sur le futur, l"adulte à haut niveau le joueur ATP est un problème différent.

justement c'est là ou je ne suis pas d'accord , tu ne vas pas travailler le foncier en phase 4 sinon tu vas le casser ton joueur.Chaque chose se fait dans un ordre précis sans retours en arrière possible.Au pire tu remet à l'année prochaine, regarde AThes il est déjà en train de casser, car prépa physique inadaptée, faut pas faire nimportequoi.

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Donc quand j'étais au staps spécialité tennis en prépa physique on m'a appris : pour les jeunes à haut niveau, pas de planif en fonction des competition, une planif sur l'année car on veut du résultat sur le long terme.

c'est au compétiteur de s'adapter à la planif et pas le contraire.

La base de la préparation physique c'est d'amener au niveau optimal le sportif lors de son objectif principal. Si un jeune a pour objectif de faire le meilleur résultat aux championnats de France au mois d'août pour viser une entrée en pôle (simple exemple), je vois mal comment le préparateur physique ne va pas adapter son programme à cet objectif.

Idem en club, si l'objectif principal de saison ce sont les matchs par équipe, le travail va être programmé en fonction...

En attendant en france chez lagardere et chez commety on sort de l'élite avec ce genre de moyens.Si le gamin doit éclore à haut niveau, rien ne sert de le presser. Le fruit murira tout seul et à ce moment il va exploser au plus haut niveau.

Quel est l'intéret de gagner les petit as si c'est pour ne pas éclore par la suite?

En se basant sur les résultats jeunes et en les comparant aux résultats adultes, la plupart des jeunes élite ne percent jamais à haut niveau, il y a des raisons...

Cometti !! ;)

Un jeune qui perce dans les catégories jeune ce n'est pas forcément que lié au physique mais surtout à la physiologie et au nombre d'heures de jeu donc de l'expérience. On a aussi le cas de jeunes (et pas mal d'ailleurs) qui ont gagné ou bien figuré aux petits as pour ensuite faire une belle carrière par la suite.

Pour la préparation physique en France, il faut aussi voir aujourd'hui des jeunes comme Guillaume Rufin très prometteurs mais qui cassent. On pourrait prendre aussi Tsonga ou Monfils qui sont trop souvent blessés ou en deça de la capacité physique qui leur permettrait d'évoluer à leur meilleur niveau..

@ denebola

oui il y a une programmation annuelle avec des phases qui se suivent, ta planif nest qu une question de bon sens couplée à une volonté de protéger ton athlète de la casse.

Ta planif est générale car en dessous d'un certains niveau tu n as pas besoin de l'adapter à un évènement particulier, il faut éviter les amalgammes entre le haut niveau adulte / pro et le haut niveau jeune. Le jeune à haut niveau est en construction la PP est axée sur le futur, l"adulte à haut niveau le joueur ATP est un problème différent.

justement c'est là ou je ne suis pas d'accord , tu ne vas pas travailler le foncier en phase 4 sinon tu vas le casser ton joueur.Chaque chose se fait dans un ordre précis sans retours en arrière possible.

A mon sens, on planifie par bloc avec pour chaque fin de bloc un objectif principal. Suite à la période de repos après la fin de cycle, ça ne me parait pas aberrent de refaire une période de foncier pour préparer les échéances futures, même si la période principale sera effectivement en avant saison.

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La base de la préparation physique c'est d'amener au niveau optimal le sportif lors de son objectif principal. Si un jeune a pour objectif de faire le meilleur résultat aux championnats de France au mois d'août pour viser une entrée en pôle (simple exemple), je vois mal comment le préparateur physique ne va pas adapter son programme à cet objectif.

Idem en club, si l'objectif principal de saison ce sont les matchs par équipe, le travail va être programmé en fonction...

Cometti !! ;)

Un jeune qui perce dans les catégories jeune ce n'est pas forcément que lié au physique mais surtout à la physiologie et au nombre d'heures de jeu donc de l'expérience. On a aussi le cas de jeunes (et pas mal d'ailleurs) qui ont gagné ou bien figuré aux petits as pour ensuite faire une belle carrière par la suite.

Pour la préparation physique en France, il faut aussi voir aujourd'hui des jeunes comme Guillaume Rufin très prometteurs mais qui cassent. On pourrait prendre aussi Tsonga ou Monfils qui sont trop souvent blessés ou en deça de la capacité physique qui leur permettrait d'évoluer à leur meilleur niveau..

A mon sens, on planifie par bloc avec pour chaque fin de bloc un objectif principal. Suite à la période de repos après la fin de cycle, ça ne me parait pas aberrent de refaire une période de foncier pour préparer les échéances futures, même si la période principale sera effectivement en avant saison.

exact ! c'est ma manière de procéder aussi , pour un compétitif ce que je regarde en premier c'est son programme de tournois annuels , puis en fonction des échéances je met en place ma programmation cyclique avec un objectif principal et des objectif(s) auxiliaire(s) ( 60% sur l'objectif principal et 40% sur l'auxiliaire(s) ça me permet de faire tourner et de couvrir les qualités a travailler tout au long de l'année selon ce principe.

le seul bloc figé c'est celui de PPG . Le reste de l'année c'est des combines de qualités qui prennent fin à chaque compet (clôture de cycle de travail) c'est souvent le moment propice pour faire des observations et ajuster les doses .

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La base de la préparation physique c'est d'amener au niveau optimal le sportif lors de son objectif principal. Si un jeune a pour objectif de faire le meilleur résultat aux championnats de France au mois d'août pour viser une entrée en pôle (simple exemple), je vois mal comment le préparateur physique ne va pas adapter son programme à cet objectif.

Idem en club, si l'objectif principal de saison ce sont les matchs par équipe, le travail va être programmé en fonction...

Ca c'est faux, en tout cas en maitrise je n'ai pas appris ça , il y a encore un amalgame entre le haut niveau (type ATP) et le joueur lambda, la base de la préparation physique c'est éviter les blessures due à un corps insuffisamment préparé ou inadapté et améliorer son potentiel athlétique pour pouvoir travailler la technique de manière correcte.

Cometti !! ;)

effectivement désolé d'avoir encore oestropié ton nom Gilles, paix à ton âme. :-) :ermm:

Un jeune qui perce dans les catégories jeune ce n'est pas forcément que lié au physique mais surtout à la physiologie et au nombre d'heures de jeu donc de l'expérience. On a aussi le cas de jeunes (et pas mal d'ailleurs) qui ont gagné ou bien figuré aux petits as pour ensuite faire une belle carrière par la suite.

On en revient au problème de définition de la prépa physique, tu les prépares physiquement pour augmenter le niveau de technique et limiter le risque de casse, donc derrière chaque beau niveau technique se cache un niveau physique plus ou moins inné, plus ou moins travaillé, mais derrière chaque beau jeu il y un niveau physique. :excl:

La physiologie, ca reste du physique :dur: , si tu veux qu'ils aient beaucoup d'heures de jeu, il faut leur donner les moyens de tenir physiquement le nombre d'heure de jeu en utilisant une technique de plus en plus exigente, ils vont ainsi gagner en expérience.

Pour la préparation physique en France, il faut aussi voir aujourd'hui des jeunes comme Guillaume Rufin très prometteurs mais qui cassent. On pourrait prendre aussi Tsonga ou Monfils qui sont trop souvent blessés ou en deça de la capacité physique qui leur permettrait d'évoluer à leur meilleur niveau..

A mon sens, on planifie par bloc avec pour chaque fin de bloc un objectif principal. Suite à la période de repos après la fin de cycle, ça ne me parait pas aberrent de refaire une période de foncier pour préparer les échéances futures, même si la période principale sera effectivement en avant saison.

Ben moi ca me parait abhérent, le temps perdu ne se rattrappe pas, si ça passe pas cette saison, on recommencera à travailler la caisse en phase 1 et 2 l'année prochaine. Si je repasse sur du foncier en phase 3 je vais épuiser mon joueur, augmenter le risque de casse, partir dans le mauvais sens, bref je vais le projeter dans un gouffre. ^_^

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Concernant Tsonga et Monfils, il faut bien prendre en compte leur type de jeu concernant leurs blessures.

Surtout Monfils... :chris:

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Pour monfils je suis à fond d'accord, pour tsonga je pense que c'est un problème de rapport poids / puissance, je pense qu'il est trop musclé pour son squelette, c'est à mon avis une mauvaise prépa. (ou un gars qui ne suit pas parfaitement la liste imposée par le coach.

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En tout cas, Tsonga a attribué sa blessure à Roger Rasheed. C'est vrai que Rasheed c'est un commando quand même

Ça avait l'air d'être une bonne pioche pour Tsonga... :dur:

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Ca c'est faux, en tout cas en maitrise je n'ai pas appris ça , il y a encore un amalgame entre le haut niveau (type ATP) et le joueur lambda, la base de la préparation physique c'est éviter les blessures due à un corps insuffisamment préparé ou inadapté et améliorer son potentiel athlétique pour pouvoir travailler la technique de manière correcte.

Michel Pradet en 1996 : La préparation physique est au service de l'athlète et de l'activité physique pratiquée [...]. Les stratégies qu'il va être amener (note : le préparateur physique) doivent se fondre dans la conception générale de l'entraînement et tendre aux mêmes objectifs : la réussite finale en compétition.

Dans cette définition, la notion de santé en sous entendue puisque si blessure, pas de performance en compétition.

On en revient au problème de définition de la prépa physique, tu les prépares physiquement pour augmenter le niveau de technique et limiter le risque de casse, donc derrière chaque beau niveau technique se cache un niveau physique plus ou moins inné, plus ou moins travaillé, mais derrière chaque beau jeu il y un niveau physique. :excl:

La physiologie, ca reste du physique :dur: , si tu veux qu'ils aient beaucoup d'heures de jeu, il faut leur donner les moyens de tenir physiquement le nombre d'heure de jeu en utilisant une technique de plus en plus exigente, ils vont ainsi gagner en expérience.

Un jeune jusqu'à 12- 13 ans peut jouer sans se blesser musculairement, c'est d'ailleurs souvent le soucis car ils ne comprennent pas le besoin d'un travail spécifique. C'est par la suite que cette absence peut se payer très chère... C'est lorsque la puberté arrive avec sa rigidification musculaire et les tensions accrues du fait de la croissance que les jeunes comprennent l'intérêt. Seulement, c'est souvent trop tard et ils le payent avec des blessures à répétition à l'âge adulte.

Dans le terme physiologie, j'entendais l'âge physiologique. Pour reprendre l'exemple des Petits As, on peut rendre compte qu'entre un enfant tout petit et frêle, et un autre avec la barbe qui pousse, une musculature très développée, et deux têtes de plus, qu'il y a une grosse différence d'âge physiologique.

Ben moi ca me parait abhérent, le temps perdu ne se rattrappe pas, si ça passe pas cette saison, on recommencera à travailler la caisse en phase 1 et 2 l'année prochaine. Si je repasse sur du foncier en phase 3 je vais épuiser mon joueur, augmenter le risque de casse, partir dans le mauvais sens, bref je vais le projeter dans un gouffre. ^_^

En même temps, si la phase un du joueur a été mauvaise et ne donne pas satisfaction, pourquoi avancer dans une autre phase (ce qui risque en passant de provoquer une blessure puisque les objectifs de la première phases n'ont pas été atteintes)... :huh:

En plus, ça veut dire qu'en gros on va limite sacrifier sa saison car il y a un planning et il ne faut pas le modifier ?

Concernant Tsonga et Monfils, il faut bien prendre en compte leur type de jeu concernant leurs blessures.

Surtout Monfils... :chris:

Dans le cas de Monfils, on a un mélange de qualités physiques hors normes, mais de technique (en particulier au service et dans ses courses) complètement traumatiques... Maintenant, si l'on fait liste de ses blessures, il n'y a pas que le genou, il y a aussi l'épaule, le poignet, etc... De plus, il y a toujours des moyens de contourner les soucis de genoux : Nadal ne fait pas de footing depuis plus de 6 ou 7 ans.

Tsonga la morphologie n'aide pas mais il a tendance à se cacher derrière. Dans une interview, il expliquait qu'il ne pouvait pas travailler autant qu'il le souhaiterait à cause de la fragilité de ses genoux. Sauf qu'encore une fois il y a des moyens de contourner les contraintes à ce niveau là. Avec Rasheed, il avait sûrement atteint le meilleur niveau physique de sa carrière.

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On parle de fragilité comme un fait de départ. Maintenant, au niveau alimentation, éducation

physique spécifique, Y a-t-il un moyen d'effacer cette fragilité au niveau des organes eux-mêmes?

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A mon sens, il y a toujours moyen de mettre en place un renforcement musculaire adapté pour soulager des tendons ou encore d'autres soucis comme des problèmes de dos. Après, on peut aussi se poser la question du poids de forme de l'athléte.

Ensuite, sur les méthodes d'entraînement, on peut privilégier le vélo par exemple pour soulager des genoux fragiles, ou encore du vélo elliptique qui vont avoir un mouvement continu et sans rebond au sol.

Enfin, il y a les programmation : un joueur comme Nadal qui passe 10 mois hors des terrain (officiellement) pour une douleur au genoux et qui revient en enchaînant quasiment 10 mois de compétition ininterrompus et qui au final s'étonne de se blesser à nouveau, c'est incompréhensible... Avec ses soucis, il devrait se laisser des périodes de repos importantes, en particulier après des tournées sur surface dure qui sollicite énormément.

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Michel Pradet en 1996 : La préparation physique est au service de l'athlète et de l'activité physique pratiquée [...]. Les stratégies qu'il va être amener (note : le préparateur physique) doivent se fondre dans la conception générale de l'entraînement et tendre aux mêmes objectifs : la réussite finale en compétition.

Dans cette définition, la notion de santé en sous entendue puisque si blessure, pas de performance en compétition.

Je pense que je vais aller porter plainte contre l'UFR qui m a formé ... :dur: (c'est une blague...) .Pourquoi à chaque fois revenir sur des exemples de très haut niveau, alors que nous nous adressons tous à un autre publique ? (qui va du sédentaire qui se remet au sport au jeune négatif.)

Un jeune jusqu'à 12- 13 ans peut jouer sans se blesser musculairement, c'est d'ailleurs souvent le soucis car ils ne comprennent pas le besoin d'un travail spécifique. C'est par la suite que cette absence peut se payer très chère... C'est lorsque la puberté arrive avec sa rigidification musculaire et les tensions accrues du fait de la croissance que les jeunes comprennent l'intérêt. Seulement, c'est souvent trop tard et ils le payent avec des blessures à répétition à l'âge adulte.

Oui c'est pour celà qu'on commence le assouplissements à 12 ans quand on est en cycle gym au collège, quelque part on a quand même du bol en france, car le prof D'EPS qui fait correctement son taf s'occupe personnellement de la souplesse des gamins.Après à cet age là il y a tout un tas de pathologie qui sont plus génétiques qu'autres chose : maladie de sever,ostgood schlater , etc...

En même temps, si la phase un du joueur a été mauvaise et ne donne pas satisfaction, pourquoi avancer dans une autre phase (ce qui risque en passant de provoquer une blessure puisque les objectifs de la première phases n'ont pas été atteintes)... :huh:

En plus, ça veut dire qu'en gros on va limite sacrifier sa saison car il y a un planning et il ne faut pas le modifier ?

En prépa physique tu ne travaille pas un seul élément, tu travaille un ensemble d'éléments avec des interactions. C'est pour celà qu'il y a beaucoup de problèmes, des tas de gars non diplomés en prépa physique s'improvisent préparateur physique alors qu'ils n'en ont pas les compétences. Il n'est absolument pas question de sacrifier une saison pour une qualité qui n'est pas au top, le joueur est un ensemble il ne s'arrete pas à un élément précis. :dur: Encore une fois une préparation physique est un équilibre entre plusieurs éléments, si tu bourres sur un élément précis tu vas déséquilibrer ta programmation.Sur une saison tu dois tout bosser dans un certaine ordre pour arriver à un résultat, c'est scientifique comme protocole, ce n'est pas au petit bonheur la chance.

Bon alors à la fac on a appris à faire des programmation pour obtenir à la fin un résultat concret. Une préparation physique c'est un ensemble d'éléments qui s'emboitent les uns dans les autres.

Je reprend l'exemple du cardio (mais c'est le cas pour beaucoup d'autres éléments)

si je fais mon cycle cardio puis muscu puis cardio , je vais favoriser une prise de masse musculaire chez mon joueur, donc je vais aller à l'opposé de mes objectifs. C'est pour celà que si je veux garder mes joueurs en bonne état je vais respecter ma trame de programmation. De plus moi mon objectif c'est de garder mon joueur en bonne santé, (encore une fois je ne fais pas dans le haut niveau ATP), si je m'amuse à bouleverser les éléments de ma prog, je risque d'obtenir un effet contraire, de la casse et une baisse de performance significative.

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Pourquoi à chaque fois revenir sur des exemples de très haut niveau, alors que nous nous adressons tous à un autre publique ? (qui va du sédentaire qui se remet au sport au jeune négatif.)

Haut niveau ? la définition est plutôt générale est pointe à la fois l'interaction entre l'entraînement "technique" et la préparation physique qui doivent être complémentaire, mais également sur la mise en projet du sportif qui doit avoir à la base une visée compétitive. Après, si l'on parle d'un public un peu plus loisir avec "seulement" une heure par semaine, à la limite, je ne suis même pas sûr que l'on puisse parler de programmation ou de planification puisqu'on rentre plus dans le cadre de séances mixtes qui vont avoir pour objectif un développement général du joueur.

Même pour un projet "santé" en préparation physique, l'objectif de performance n'est pas très loin : je veux que l'athlète soit capable de faire x répétitions sur un exercice spécifique de plus dans de bonnes conditions, je veux renforcer l'épaule pour permettre de servir avec la même qualité durant la totalité d'un match et sans douleur.

En prépa physique tu ne travaille pas un seul élément, tu travaille un ensemble d'éléments avec des interactions. C'est pour celà qu'il y a beaucoup de problèmes, des tas de gars non diplomés en prépa physique s'improvisent préparateur physique alors qu'ils n'en ont pas les compétences. Il n'est absolument pas question de sacrifier une saison pour une qualité qui n'est pas au top, le joueur est un ensemble il ne s'arrete pas à un élément précis. :dur: Encore une fois une préparation physique est un équilibre entre plusieurs éléments, si tu bourres sur un élément précis tu vas déséquilibrer ta programmation.Sur une saison tu dois tout bosser dans un certaine ordre pour arriver à un résultat, c'est scientifique comme protocole, ce n'est pas au petit bonheur la chance.

Tout bosser dans un certain ordre pourquoi pas, mais par contre avec ce genre de choses, comment fais-tu si un joueurs est blessé durant 2 ou 3 semaine ? tu le fais repartir en suivant ton programme ?

C'est la programmation pour moi qui est au service du sportif et non le sportif qui doit s'adapter à la programmation (et d'ailleurs, c'est valable aussi pour la partie spécifique du tennis). Comme le dis Pradet, le meilleur outil pour réaliser une programmation, c'est la gomme et une programmation n'est définitive qu'à partir du moment où elle est terminée.

Bon alors à la fac on a appris à faire des programmation pour obtenir à la fin un résultat concret. Une préparation physique c'est un ensemble d'éléments qui s'emboitent les uns dans les autres.

Je reprend l'exemple du cardio (mais c'est le cas pour beaucoup d'autres éléments)

si je fais mon cycle cardio puis muscu puis cardio , je vais favoriser une prise de masse musculaire chez mon joueur, donc je vais aller à l'opposé de mes objectifs. C'est pour celà que si je veux garder mes joueurs en bonne état je vais respecter ma trame de programmation. De plus moi mon objectif c'est de garder mon joueur en bonne santé, (encore une fois je ne fais pas dans le haut niveau ATP), si je m'amuse à bouleverser les éléments de ma prog, je risque d'obtenir un effet contraire, de la casse et une baisse de performance significative.

Garder un joueur en bonne santé est une évidence, mais de là à ne pas bousculer la programmation sur l'année, j'ai un peu de mal à comprendre. En tennis une saison est faite de tournois de matchs et donc de bilan qui vont être réalisés au fur et à mesure et qui peuvent donner de nouvelles orientations de travail (au sein d'un match ou sur la capacité à enchainer les matchs. Si je fais un parallèle avec le tennis, c'est comme si un joueur venais un jour en disant "j'ai fait un tournoi et j'ai un gros problème sur mon passing de revers" et que l'entraîneur lui répond "t’inquiètes pas, dans ma programmation on va le travailler dans 6 mois..." :huh:

Pour caler avec ton objectif de santé, si ton joueur t'indique qu'après un enchaînement de deux match, il avait très mal aux abdos, tu ne vas pas lui proposer rapidement un travail ciblé sur ce soucis ?

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j'approuve complètement la démarche de denebola , pour vous dire à quel point je reste flexible avec mes séances : mes joueurs quand ils débarquent dans mon cours j'essaye de déceler des indicateurs de formes : regard , attitude puis je pose systématiquement la question : "comment te sent tu aujrdhui ? as tu mal quelque part?" C'est un rituel chez moi et j'hésite pas à alléger si je décèle un manque de forme .

n'oublions pas qu'en dehors des cours physiques les gamins se dépensent et que nous ne sommes pas les seuls intervenants "physiques" dans leurs quotidien .

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Quand tu fais une programmation tu ne raisonne pas sur un an mais sur des années. :excl:

je ne vois pas ce qu'il y a de plus à répondre... ^_^

Vos propos font plus croire au fait que vous bossez au jour le jour :dur:

Pas de programmation, les interactions on ne s'en occupe pas, par exemple on fait de la VMA en fin de saison . Moi je dis : OK :) , lafouine et moi même on a été mal formé. :ermm:

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Planification = trame de progression à suivre

Et s'adapter au jour le jour, selon ce qui se passe à chaque séance, les points faibles à renforcer etc

Faut faire les deux. Planifier, et s'adapter/modifier.

Par contre à bas niveau, toutes les périodes d'affûtage et pics de forme c'est moins utile qu'a haut niveau car les joueurs partent de loin. Rien que le fait d'avoir une séance par semaine ça va créer des adaptations physiologiques. Le but étant de pas les blesser et d'augmenter un minimum leur potentiel physique.

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Planification = trame de progression à suivre

Et s'adapter au jour le jour, selon ce qui se passe à chaque séance, les points faibles à renforcer etc

Faut faire les deux. Planifier, et s'adapter/modifier.

Par contre à bas niveau, toutes les périodes d'affûtage et pics de forme c'est moins utile qu'a haut niveau car les joueurs partent de loin. Rien que le fait d'avoir une séance par semaine ça va créer des adaptations physiologiques parce que les types partent de loin. Le but étant de pas les blesser et d'augmenter un minimum leur potentiel physique.

Merci :-)

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Quand tu fais une programmation tu ne raisonne pas sur un an mais sur des années. :excl:

je ne vois pas ce qu'il y a de plus à répondre... ^_^

Vos propos font plus croire au fait que vous bossez au jour le jour :dur:

Pas de programmation, les interactions on ne s'en occupe pas, par exemple on fait de la VMA en fin de saison . Moi je dis : OK :) , lafouine et moi même on a été mal formé. :ermm:

Ce qu'il ya de plus à répondre , c'est surtout de rester sur un echange d'arguments ,de parler de son propre expérience avec beaucoup de relativité et sans trop charger les mots ;)

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il devient difficile d'échanger à partir du moment ou l’interlocuteur ne fait pas de différence entre le haut niveau et ce qui peut se faire dans un club avec des joueurs lambda.J'ai bien précisé que je ne faisais pas dans le haut niveau.(haut niveau adulte type ATP)

Par exemple personne n'a demandé a lafouine avec qui elle bossait, elle s 'occupe des jeunes haut niveau , a ce niveau elle n a toujours pas à gérer les pics de forme et les périodes d’affûtage.

En dessous de 15 heures par semaine on ne gère pas ce genre de paramètres. Après vous me répondez on est pas dans le haut niveau, ben plus de 15 h semaines ça commence déjà à faire pas mal d'heure on est loin du sportif lambda.

Donc pour moi c'est simple, il y a des diplômes en prépa physique, c'est pas pour rien, et c est sans animosité, aucune ^_^

15 h par semaine c'est un volume horaire classique jusqu'à environs -2/6, donc tu n as pas à gérer le sur-entrainement à ce niveau. (3H par jour avec 2 jours de repos) <_< . effectivement sur ta prog tu peux t'amuser à faire en sorte que le pic de forme se retrouve à un moment précis ( les petits as par exemple) mais ça s’arrête là, tu n'en es pas à chercher un pic de forme sur chaque compet, les joueurs sont loints physiquement, tu es sur un travail de fond. ^_^

Mon argument est simple, une préparation physique se fait sur le long terme, on n'envisage pas une PP ATP comme une PP de joueur de club, la construction du joueur est longue, il faut qu'il puisse enchaîner les saisons sans casser, à l'arrivée au bout de plusieurs années tu aura un monstre physique très solide. Passer sur une PP haut niveau sur un jeune qui n'a pas fait une préparation longue sur de nombreuses années, c'est aller dans le sens contraire d'une PP car c'est augmenter fortement le risque de blessure.

Quand vous me parlez de syndrome de surentraînement sur des joueurs de club ou des gamins qui préparent les petits as, je me dis fatalement qu'il y a fausse route.(oh zut j'ai trop forcé tu as mal partout, ben reposes toi...)c'est que le préparateur a mal géré.

Je ne suis pas virulent dans mes propos, j'essaie d'écrire de manière mesurée, même si dans le fond je suis plus que scandalisé. :wacko:

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il devient difficile d'échanger à partir du moment ou l’interlocuteur ne fait pas de différence entre le haut niveau et ce qui peut se faire dans un club avec des joueurs lambda.J'ai bien précisé que je ne faisais pas dans le haut niveau.(haut niveau adulte type ATP)

Par exemple personne n'a demandé a lafouine avec qui elle bossait, elle s 'occupe des jeunes haut niveau , a ce niveau elle n a toujours pas à gérer les pics de forme et les périodes d’affûtage.

En dessous de 15 heures par semaine on ne gère pas ce genre de paramètres. Après vous me répondez on est pas dans le haut niveau, ben plus de 15 h semaines ça commence déjà à faire pas mal d'heure on est loin du sportif lambda.

Donc pour moi c'est simple, il y a des diplômes en prépa physique, c'est pas pour rien, et c est sans animosité, aucune ^_^

15 h par semaine c'est un volume horaire classique jusqu'à environs -2/6, donc tu n as pas à gérer le sur-entrainement à ce niveau. (3H par jour avec 2 jours de repos) <_< . effectivement sur ta prog tu peux t'amuser à faire en sorte que le pic de forme se retrouve à un moment précis ( les petits as par exemple) mais ça s’arrête là, tu n'en es pas à chercher un pic de forme sur chaque compet, les joueurs sont loints physiquement, tu es sur un travail de fond. ^_^

Mon argument est simple, une préparation physique se fait sur le long terme, on n'envisage pas une PP ATP comme une PP de joueur de club, la construction du joueur est longue, il faut qu'il puisse enchaîner les saisons sans casser, à l'arrivée au bout de plusieurs années tu aura un monstre physique très solide. Passer sur une PP haut niveau sur un jeune qui n'a pas fait une préparation longue sur de nombreuses années, c'est aller dans le sens contraire d'une PP car c'est augmenter fortement le risque de blessure.

Quand vous me parlez de syndrome de surentraînement sur des joueurs de club ou des gamins qui préparent les petits as, je me dis fatalement qu'il y a fausse route.(oh zut j'ai trop forcé tu as mal partout, ben reposes toi...)c'est que le préparateur a mal géré.

Je ne suis pas virulent dans mes propos, j'essaie d'écrire de manière mesurée, même si dans le fond je suis plus que scandalisé. :wacko:

Beh y'en a qui ont un volume horaire très important pour tous ceux qui sont dans le tableau final des petits as, y'en a avec qui il faut faire gaffe. C'est pas parce qu'ils sont petits que tu dois pas gérer le sur entraînement. :D

Les miens s'entraînent tous les jours, et ont 2 séances de PP par semaine en plus, c'est pas énorme. Ils doivent être à 15h de tennis/PP par semaine, donc je risque pas de les casser. Après je fais juste gaffe à pas proposer des trucs trop traumatisants pour leur âge, je fais gaffe à pas faire des choses qui mettent longtemps à récupérer quand ils partent sur les tournois internationaux..

Mon premier pic de forme c'est pour les petits as mais c'est juste à titre indicatif, et le 2e il est fin juin avant qu'ils partent en tournée :)

C'est du haut niveau pour leur age, mais pas du haut niveau dans la réalité. On est loin de tout ça.

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Beh y'en a qui ont un volume horaire très important pour tous ceux qui sont dans le tableau final des petits as, y'en a avec qui il faut faire gaffe. C'est pas parce qu'ils sont petits que tu dois pas gérer le sur entraînement. :D

Les miens s'entraînent tous les jours, et ont 2 séances de PP par semaine en plus, c'est pas énorme. Ils doivent être à 15h de tennis/PP par semaine, donc je risque pas de les casser. Après je fais juste gaffe à pas proposer des trucs trop traumatisants pour leur âge, je fais gaffe à pas faire des choses qui mettent longtemps à récupérer quand ils partent sur les tournois internationaux..

Mon premier pic de forme c'est pour les petits as mais c'est juste à titre indicatif, et le 2e il est fin juin avant qu'ils partent en tournée :)

C'est du haut niveau pour leur age, mais pas du haut niveau dans la réalité. On est loin de tout ça.

et oui....

+1 , c'est rassurant on a les mêmes contenus....

cette discussion me rappelle un pote qui était PP chez mouratoglou, il est arrivé au club et en une journée il a massacré tout le monde, les élèves ont mis entre 3 et 15 jours pour se remettre d'une seule séquence. Après il avait plus personne en PP, et ceux qui venaient le faisait à reculons (pourtant il était diplomé et fort d'une certaine expérience). Le plus rigolo c'est quand il est revenu en disant : on va réajuster ... mdr c'est trop tard le mal est déjà fait, derrière 25 pour cent des joueurs ont finis blessés avant la fin de saison. ( le dos, les poignets, les jambes, c'était beau)

Bref moi j'arrêtte là. ^_^

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il devient difficile d'échanger à partir du moment ou l’interlocuteur ne fait pas de différence entre le haut niveau et ce qui peut se faire dans un club avec des joueurs lambda.J'ai bien précisé que je ne faisais pas dans le haut niveau.(haut niveau adulte type ATP)

Non c'est une question de conception tout simplement qui diffère la mienne c'est que quelque soit le niveau, du moment qu'il y a compétition avec des objectifs prioritaires comme les matchs par équipe par exemple, il doit y avoir la mise en place d'une stratégie pour que les joueurs arrivent dans la meilleure forme possible à cette date... qu'ils soient 30/4 ou -15.

Après le niveau (physique) va déterminer juste le mode d'intervention et le nombre d'heures :

- pour un "débutant" à la limite on a même pas besoin de programmation spécifique mais juste d'assurer durant les séances la plus grande variété de travail possible car un travail d'une qualité physique va forcément interférer de manière positive sur les autres. l'idée va être à la fois de les faire progresser dans les différentes qualité physique tout en assurant de l'intégrité physique. Pour moi on est à la limite du fitness.

- pour un joueur compétiteur qui va avoir un calendrier plus fourni et un meilleur niveau de jeu, on peu commencer à travailler sur des programmations plus spécifiques en adéquation avec le calendrier de tournoi et les objectifs du joueur.

En dessous de 15 heures par semaine on ne gère pas ce genre de paramètres. Après vous me répondez on est pas dans le haut niveau, ben plus de 15 h semaines ça commence déjà à faire pas mal d'heure on est loin du sportif lambda.

A 1h30 de tennis par semaine avec des joueurs de 4ème série perso je gère ce paramètre du pic de forme en fonction des matchs programmés, donc dans ma conception de la PP, ça me parait pas anormal de créer une corrélation avec le calendrier sportif aussi.

Donc pour moi c'est simple, il y a des diplômes en prépa physique, c'est pas pour rien, et c est sans animosité, aucune ^_^

Sauf qu'entre les DU de préparation physique, les différentes universités, il y a une multitude de croyances et de façon de fonctionner. Et perso je pense que je n'ai pas à rougir de ma formation. De plus ce genre de remarques pourrait vite dériver... et sans animosité non plus...

Mon argument est simple, une préparation physique se fait sur le long terme, on n'envisage pas une PP ATP comme une PP de joueur de club, la construction du joueur est longue, il faut qu'il puisse enchaîner les saisons sans casser, à l'arrivée au bout de plusieurs années tu aura un monstre physique très solide. Passer sur une PP haut niveau sur un jeune qui n'a pas fait une préparation longue sur de nombreuses années, c'est aller dans le sens contraire d'une PP car c'est augmenter fortement le risque de blessure.

Quand vous me parlez de syndrome de surentraînement sur des joueurs de club ou des gamins qui préparent les petits as, je me dis fatalement qu'il y a fausse route.(oh zut j'ai trop forcé tu as mal partout, ben reposes toi...)c'est que le préparateur a mal géré.

Il y a une nuance également c'est que ce n'est pas parce que nous adaptons ponctuellement nos contenus avec steadystate pour répondre à un besoin ponctuel ne veut pas dire que nous négligeons l'aspect long terme. :huh:

Le surentraînement peut survenir avec n'importe quel volume horaire car va dépendre aussi de l'activité du jeune en dehors du club : sport à l'école, sport avec les potes et surtout l'école qui est bouffeuse d'énergie. Combien de gamins arrivent proche des vacances scolaires complètement vidés psychologiquement et physiquement ?

Encore une fois c'est un soucis de conception. Chacun la sienne et puis basta. :flowers:

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Beh y'en a qui ont un volume horaire très important pour tous ceux qui sont dans le tableau final des petits as, y'en a avec qui il faut faire gaffe. C'est pas parce qu'ils sont petits que tu dois pas gérer le sur entraînement. :D

Les miens s'entraînent tous les jours, et ont 2 séances de PP par semaine en plus, c'est pas énorme. Ils doivent être à 15h de tennis/PP par semaine, donc je risque pas de les casser. Après je fais juste gaffe à pas proposer des trucs trop traumatisants pour leur âge, je fais gaffe à pas faire des choses qui mettent longtemps à récupérer quand ils partent sur les tournois internationaux..

Mon premier pic de forme c'est pour les petits as mais c'est juste à titre indicatif, et le 2e il est fin juin avant qu'ils partent en tournée :)

C'est du haut niveau pour leur age, mais pas du haut niveau dans la réalité. On est loin de tout ça.

je suis a peu près dans la même proportion de volume de travail avec 3 séances de PP et 5/6 de tennis / semaine , les miens sont âgés entre 9 et 13 ans sur des groupes de travail ,pratiquement tous des têtes de séries dans les tableaux de leurs catégories ( notamment des participations aux petits as pour certains ) . je pense qu'à leurs âges les volumes horaires sont corrects et des gosses surentraînés j'en ai récupéré quelques uns avec des programmes qui vont à l'usure , aucune tonicité , déplacements monotones , et des blocs de bétons à la place des muscles ( la faute aux parents trop exigents ) , en allégeant le volume de travail et avec un travail qualitatif plutôt que quantitatif les résultats sont visibles .

Je vais partir sur des generalitès mais toute action pédagogique doit émaner d'un constat , un recueil d'informations et d'un ajustement permanent , la bible de la pp n'existe pas et malheureusement ,ceux qui prétendent détenir la vérité ultime sont ceux qui s'y connaissent le moins , tous domaines confondus

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Y'en a qui font les petits as cette année des tiens ?

Bah oui c'est possible que beaucoup soient sur entraînés, ça dépend comment se démerde le PP. Après comme les miens ils ont les vacances scolaires etc ils ont toujours 2 semaines tous les 2 mois environ pour se reposer donc ça limite la casse :)

Non y'a pas de bible de la PP, y'a pas de vérité absolue, y'a plusieurs vérités :flowers:

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Y'en a qui font les petits as cette année des tiens ?

Bah oui c'est possible que beaucoup soient sur entraînés, ça dépend comment se démerde le PP. Après comme les miens ils ont les vacances scolaires etc ils ont toujours 2 semaines tous les 2 mois environ pour se reposer donc ça limite la casse :)

Non y'a pas de bible de la PP, y'a pas de vérité absolue, y'a plusieurs vérités :flowers:

nous ne sommes pas en France , et c'est notre fede qui gère les participations de nos élites à l'étranger en fonction des résultats sur les tournois locaux , donc croisons les doigts ! ;)

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