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Posté(e)

oki madame la fouine, nous allons donc avoir besoin de cobayes, apparement hellmut est motivé.Donc tu te le tappe pour la science, on le fait jouer deux semaines on note ses résultats, tu commences le travail de prépa mentale, après tu lui fait un truc horrible,style tu te tappes un autre gars et tu le largues pour cause d'anorgasmie, le lendemain on l'envoit en match et on note les résultats.

Après si les résultats sont probant faudra le refaire histoire de valider la théorie. :w00t:

Posté(e)

@la_fouine quel bouquin?

On peut aussi envisager un travail différent sur et hors du terrain. Dans la vie quotidienne méditer en acceptant les problèmes pour les rendre palpables pour les désamorcer. Et un travail sur le court où on cherche un recentrage sur la performance positive.

Dans le 1er cas on fait remonter les problème inconscients vers la conscience, dans le 2ème on fait passer la conscience dans un état inconscient propice au jeu.

Posté(e)

j'ai eu un "tilt" quand mon partenaire m'a dit : "essaie de me mettre en difficulté en jouant sur les côtés". Et là, magie ! J'ai complètement oublié mes histoires de technique pour tenter de viser les côtés, et tout est devenu limpide !

oui c'est ce qu'on fait quand on joue sans enjeu, on joue à viser des cibles et c'est ce qu'il faudrait recréer en match quitte à le faire artificiellement.

Posté(e)

@la_fouine quel bouquin?

On peut aussi envisager un travail différent sur et hors du terrain. Dans la vie quotidienne méditer en acceptant les problèmes pour les rendre palpables pour les désamorcer. Et un travail sur le court où on cherche un recentrage sur la performance positive.

Dans le 1er cas on fait remonter les problème inconscients vers la conscience, dans le 2ème on fait passer la conscience dans un état inconscient propice au jeu.

"the psychology of enhancing human performance. The mindfulness-acceptance-commitment Approach" de Gardner et Moore.

De toute façon le travail se fait en dehors du terrain pour appliquer en match. C'est pas au moment du match que tu vas t'entraîner.

Et comme j'ai dit, pas besoin de faire un travail en amont pour relativiser ses problèmes et compagnie.

Juste qu'au début c'est mieux de faire des séances avec un psychothérapeute/ou préparateur mental spécifié dans ce domaine, qui lui en amont va chercher a comprendre ton type de profil, échanger avec le sportif, le travail qu'il y a à faire par rapport à ça etc. C'est un suivi individualisé, on va pas coller les memes séances à tout le monde.

Posté(e)

Ce fil prend quand même une tournure amusante, si ce n’est pour dire surréaliste :sorcerer:

Je propose qu’on renomme le sujet : "comment gagner des matchs à NC grâce à la mast.. l’onanisme intellectuel" :stuart:

Posté(e)

Bah je disais pas ça pour toi :flowers: mais pour l'ensemble des interventions précédentes.

On parle quand même à la base d'arriver à gagner des matchs à NC

Posté(e)

après 12 ans de tennis, le fait de ne pas gagner à NC c'est forcément psycho (si on élimine les NC qui ont été anciennement 2nde série ).

Après que l'on joue moins bien à niveau inférieur, je pense qu'ici tout le monde à rencontré ce genre de pb , à l'inverse jouer très bien à niveau supérieur ca arrive aussi . Dans le 1er cas car on est crispé , tendu et qu'on veut pas perdre à classement inférieur, et dans le 2nd cas par ce qu'on a rien à perdre , et qu'on se lache (on se met un peu mode "entrainement")

Appréhender les matchs officiels ca s'apprend , en enchainant les matchs.

Posté(e)

Bah je disais pas ça pour toi :flowers: mais pour l'ensemble des interventions précédentes.

On parle quand même à la base d'arriver à gagner des matchs à NC

Après y'a une petite part de talent :lol:

Bah pour gagner un match à NC c'est simple, mettre la balle dans le terrain au moins 5 fois de suite :)

Posté(e)

Bah pour gagner un match à NC c'est simple, mettre la balle dans le terrain au moins 5 fois de suite 3 fois de suite.

Posté(e)

Je reviens sur ce sujet, non pour poser davantage de questions, mais cette fois pour vous remercier ! Vous m'avez fait prendre conscience de pas mal de petites choses, à un moment où je stagnais dans ma progression et où la succession de défaites m'a fait me poser des questions sur mes aptitudes à jouer au tennis. Du coup, j'ai fait une introspection, et j'ai tenté des petits riens sur le terrain, qui m'ont quand même grandement aidé.

Premièrement, la question du mental. Même si je savais que 99,99% de mes soucis venaient de là, ce n'était pas évident pour moi de trouver un moyen autre que ceux que je connaissais déjà pour les résoudre. Respirer, me calmer, ne pas paniquer... Tout ça ne marchait pas en match.

Et puis il y a eu l'idée de penser "positivement" : placer la balle à un endroit, au lieu d'essayer de ne pas la louper. Et en combinant avec "la technique est au service de la tactique", ça marche ! Après quelques matchs amicaux, je réalise que c'est bien plus performant de ne penser qu'à jouer sur les côtés par exemple que de songer avant tout à réussir mon coup droit.

Deuxièmement, l'idée de jouer sur la ligne, et non derrière. Ca a été extraordinaire, car contre des adversaires qui jouent long, je ne me plaçais jamais là de peur ne pas laisser suffisamment de temps à mon corps pour réagir face à la balle. Et au contraire, ça l'a forcé à réagir plus vite ! Du coup, moins de "cogitage", mes frappes partent bien plus facilement à l'instinct et je suis moins tendu. Surtout, parce que j'ai moins le temps de penser au "comment", je pense davantage au "quoi" : donc ça m'aide encore plus à me focaliser sur la tactique.

Ces deux points aidant, et parce que j'ai pu discuter de tout ça sur le forum, j'ai un idée un peu plus claire de ce que je dois réaliser sur le terrain.

Le verdict réel sera donné lors de mon prochain tournoi, en avril. J'ai maintenant hâte de le jouer.

  • 2 semaines après...
Posté(e)

J'ai fait une présentation orale an anglais sur le Flow mercredi dernier, et je fais mon mémoire là dessus entre autre... Donc si je connais ? Oui, un peu, sachant que ça fait 4 ans que j'ai des cours là dessus.

Pourquoi ?

Posté(e)

Mercredi c'était flow in everyday life. Donc pas dans le contexte sportif (individus avec haut degré de névrosisme sont moins enclins à expérimenter l'état de flow) mais sinon mon mémoire c'est dans le cadre sportif.

Posté(e)

Le flow on peut l'appeler communément "la zone". C'est un autre terme pour désigner la même chose. Juste que flow c'est un terme anglais, et que zone c'est un terme français.

Ouais on aborde un peu ça, mais ça me bote pas plus que ça. Après dans mon mémoire je traite du mindfulness (qui a longtemps été confondu avec des techniques de méditation.. bref)

Posté(e)

Vu que j'ai lu une partie des travaux de la fouine, je crois que le mindful c'est plus un état d'esprit basé sur le présent.

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