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Jeje58

Nos graines de champion

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pas mal, t'es mon idole

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tu renaît a chaque fois

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c'est beau, ça me rappelle mr esteves mon prof de philo

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Si le father ne bouffe pas la carrière du fiston. :whistling:

C'est sur qu'à seulement 14 ans il va encore bien évoluer musculairement.

Je comprends pas trop ce que vous avez contre le père (deux ou troisième fois que je lis ça ...). :huh:

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Bon je crois que le nom de son coach n'est pas vraiment un secret :

Reportage intéressant mais par contre 2/3 phrases du père qui me choque ("si ça se passe mal je lui rappellerai pourquoi il est la" ou encore le coup de l'entrainement à 2/3 ans ).

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il faut bien les arroser, après on peut les cultiver en intérieur ou en extérieur. L'extérieur c'est mieux, mais il faut faire attention aux mauvaises herbes, désherber fréquemment, utiliser un engrais de croissance et un de floraison pour une récolte maximale.

En france on a beaucoup de problèmes d'engrais, par exemple Benois Paire on a foiré les dosages sur la croissance, on a voulu compenser en augmentant les doses de floraisons et voilà le résultat.,Sur Tsonga un surdosage d'engrais de croissance, les chimistes continuent leurs recherches...

Les graines c'est bien si on loupe pas sa culture, et puis ce qui est beau c'est qu 'avec deux plantes moches on peut obtenir un superbe bébé ( les lois de la génétique), mais si on avait gardé une bouture de Yannick Noah on aurait peut être des n1 mondiaux,bref c'est un autre débat..

:whistling:

d'Après certains experts Federer ne serait qu'une bouture de Sampras, avec simplement un dosage en engrais différent.

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le coup de l'entrainement à 2/3 ans ).

J'entraine (ou stimule -terme plus approprié et préférable-) mon fils depuis qu'il a 18 mois :alien:. J'ai commencé la motricité fine dès 3 mois.

Chimiste à mes heures (clin d'oeil à loulou), j'ai beaucoup lu avant de me lancer (agassi, nadal, ce qu'on trouve sur les williams...), trié, recoupé les infos... et j'ai essayé de développer ma vision des choses en fonction de mes qualités et défauts, et du ressenti de mon bébé.

J'ai basé le travail sur quatre axes : un pour moi, trois pour lui.

Pour moi :

- Atteindre personnellement le meilleur niveau possible, pour comprendre au mieux le tennis, et l'aiguiller le plus longtemps possible. Etre pour les quelques 5 années à venir, le cobaye de différents essais cliniques (technique, tactique, physique, mental)...

Pour lui :

- L'imagination au pouvoir, sur le fond et la forme des exercices proposés (fondamental à ces âges).

- Le partage avec l'enfant... lui donner la possibilité et les outils de créer ses propres exercices ou variantes, auquel je participe avec le même plaisir.

- La volonté : 1) d'être réceptif à la moindre fenêtre de "travail" qui s'ouvrira (signal de l'enfant)...

2) d'accepter la récurrence de l'échec (un arrêt de l'exercice au bout de 10 à 20 secondes, 3 fois par jour dans les bonnes périodes ou alors ne rien faire du tout pendant trois semaines pour les "mauvaises"), c'est-à-dire avoir la volonté de faire apprendre sans jamais ne forcer l'enfant à rien.

3) de ne faire que le prédisposer...

Donc pour répondre à cette remarque : Je ne pense pas qu'il y ait un mal quelconque à stimuler (intellectuellement et/ou physiquement) des bébés, quand les parents ont la chance (pour de bonnes ou mauvaises raisons) d'avoir le temps et l'envie de le faire. Surtout quand on voit le nombre d'entre-eux qui végètent des journées entières chez leur nounou... ou des parcs dits "d'éveil"...

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Bon je crois que le nom de son coach n'est pas vraiment un secret :

Reportage intéressant mais par contre 2/3 phrases du père qui me choque ("si ça se passe mal je lui rappellerai pourquoi il est la" ou encore le coup de l'entrainement à 2/3 ans ).

Le père a viré son entraineur la semaine suivant les petits as... et c'est un vrai psychopathe du style je lui allume la tête avec une balle s'il fait une faute durant un exo de gammes.

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J'entraine (ou stimule -terme plus approprié et préférable-) mon fils depuis qu'il a 18 mois :alien:. J'ai commencé la motricité fine dès 3 mois.

Chimiste à mes heures (clin d'oeil à loulou), j'ai beaucoup lu avant de me lancer (agassi, nadal, ce qu'on trouve sur les williams...), trié, recoupé les infos... et j'ai essayé de développer ma vision des choses en fonction de mes qualités et défauts, et du ressenti de mon bébé.

J'ai basé le travail sur quatre axes : un pour moi, trois pour lui.

Pour moi :

- Atteindre personnellement le meilleur niveau possible, pour comprendre au mieux le tennis, et l'aiguiller le plus longtemps possible. Etre pour les quelques 5 années à venir, le cobaye de différents essais cliniques (technique, tactique, physique, mental)...

Pour lui :

- L'imagination au pouvoir, sur le fond et la forme des exercices proposés (fondamental à ces âges).

- Le partage avec l'enfant... lui donner la possibilité et les outils de créer ses propres exercices ou variantes, auquel je participe avec le même plaisir.

- La volonté : 1) d'être réceptif à la moindre fenêtre de "travail" qui s'ouvrira (signal de l'enfant)...

2) d'accepter la récurrence de l'échec (un arrêt de l'exercice au bout de 10 à 20 secondes, 3 fois par jour dans les bonnes périodes ou alors ne rien faire du tout pendant trois semaines pour les "mauvaises"), c'est-à-dire avoir la volonté de faire apprendre sans jamais ne forcer l'enfant à rien.

3) de ne faire que le prédisposer...

Donc pour répondre à cette remarque : Je ne pense pas qu'il y ait un mal quelconque à stimuler (intellectuellement et/ou physiquement) des bébés, quand les parents ont la chance (pour de bonnes ou mauvaises raisons) d'avoir le temps et l'envie de le faire. Surtout quand on voit le nombre d'entre-eux qui végètent des journées entières chez leur nounou... ou des parcs dits "d'éveil"...

Enfin la il parle de faire 150 revers et 150 coups droits ! C'est quand même autre chose que de stimuler son enfant :whistling:

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Le père a viré son entraineur la semaine suivant les petits as... et c'est un vrai psychopathe du style je lui allume la tête avec une balle s'il fait une faute durant un exo de gammes.

Et bien voilà :pinch: Je comprends mieux pourquoi certains parlaient du père !

J'espère qu'il y aura une prise de conscience de la part du père parce que le gamin à l'air adorable et pétri de talent ! Ça serait dommage de gâcher un vrai potentiel !

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avez vous un exemple à me donner de champion avec des parents équilibrés??

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Je comprends pas trop ce que vous avez contre le père (deux ou troisième fois que je lis ça ...). :huh:

avec des phrases du style mon fils avait le choix de dire non jusqu'à 10 12 ans par rapport au tennis après 12 ans il a plus le choix c'est moi qui décide. Il est dans l'excès mais bon c'est un autre débat.

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J'entraine (ou stimule -terme plus approprié et préférable-) mon fils depuis qu'il a 18 mois :alien:. J'ai commencé la motricité fine dès 3 mois.

Chimiste à mes heures (clin d'oeil à loulou), j'ai beaucoup lu avant de me lancer (agassi, nadal, ce qu'on trouve sur les williams...), trié, recoupé les infos... et j'ai essayé de développer ma vision des choses en fonction de mes qualités et défauts, et du ressenti de mon bébé.

J'ai basé le travail sur quatre axes : un pour moi, trois pour lui.

Pour moi :

- Atteindre personnellement le meilleur niveau possible, pour comprendre au mieux le tennis, et l'aiguiller le plus longtemps possible. Etre pour les quelques 5 années à venir, le cobaye de différents essais cliniques (technique, tactique, physique, mental)...

Pour lui :

- L'imagination au pouvoir, sur le fond et la forme des exercices proposés (fondamental à ces âges).

- Le partage avec l'enfant... lui donner la possibilité et les outils de créer ses propres exercices ou variantes, auquel je participe avec le même plaisir.

- La volonté : 1) d'être réceptif à la moindre fenêtre de "travail" qui s'ouvrira (signal de l'enfant)...

2) d'accepter la récurrence de l'échec (un arrêt de l'exercice au bout de 10 à 20 secondes, 3 fois par jour dans les bonnes périodes ou alors ne rien faire du tout pendant trois semaines pour les "mauvaises"), c'est-à-dire avoir la volonté de faire apprendre sans jamais ne forcer l'enfant à rien.

3) de ne faire que le prédisposer...

Donc pour répondre à cette remarque : Je ne pense pas qu'il y ait un mal quelconque à stimuler (intellectuellement et/ou physiquement) des bébés, quand les parents ont la chance (pour de bonnes ou mauvaises raisons) d'avoir le temps et l'envie de le faire. Surtout quand on voit le nombre d'entre-eux qui végètent des journées entières chez leur nounou... ou des parcs dits "d'éveil"...

c'est de l'humour?

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en attendant, toujours aucun exemple....

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Je ne sais pas je ne connais pas son histoire, mais je vais essayer de me documenter. Merci pour l'idée doc.

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après quelques recherches :

Dans une interview

du côté de mon père (Didier Tsonga est originaire du Congo-Brazzaville), c'était un petit peu plus difficile. Dans notre famille, il n'y avait pas de gros moyens financiers, l'éducation était assez stricte, du style : « Tu finis ton assiette, tu débarrasses la table, etc. » Mon père me disait : « Par ta différence, on ne te donnera jamais rien. Si tu veux quelque chose, il faudra toujours que tu ailles le chercher.

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avez vous un exemple à me donner de champion avec des parents équilibrés??

Federer ...

@Denebola :

J'ai pas trop envie de rentrer dans la "polémique" mais pour moi, son père est de la vieille école. (Comme mon grand-père, certains profs que je connais ... et caetera ...)

Ex. de personnes qui sont de la vieille école juste au cas ou :

Entretien d'entrée à HEC (ou une autre Ecole/Université, on s'en fout) :

"Mais, c'est bizarre que vous ayez fait Y puis après vous êtes allé dans cette école de seconde zone ..."

Bref, une façon de provoquer pour ... ben pour provoquer en fait (pour mettre au pied du mur les gens et voir ce qu'ils ont dans les trippes pour le dire plus simplement).

Après, je dis pas que c'est bien ou mal, je ne veux pas porter de jugement de valeur ... Bref, je veux pas rentrer dans la polémique.

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0jojo kotto merci pour ton post, malheureusement je ne comprend rien et je ne vois pas ce que denebola vient faire dans l'histoire. :dur: je vais me documenter.

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La deuxième partie ne te concerne pas, je parle à Denebola ... au sujet du père de Rayane, je dis que c'est difficile de porter un jugement de valeur (je parle de l'éducation à l'ancienne et de maintenant).
Bref.

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D'après ce que je trouve : ses parents le considère comme un crétin pas intelligent, c'est un mec colérique insupportable, le petit con dans toutes sa splendeur, qui casse ses raquettes quand il perd, et il devient une légende grâce à des coachs qui lui vissent la tronche...

Je ne trouve pas le tableau idyllique.

la source :

http://www.slate.fr/story/30665/roger-federer

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c'est pas un défi, il doit bien y en avoir , mais force est de constater qu'il y a plus souvent de la déviance que du standard dans l'éducation des champions.je vais jeter un oeil du côté de sabatini...

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Fabrice Santoro

Paul Henri Mathieu

James Blake

Arnaud Boetsch

mickael llodra

edouard roger vasselin

jeremy chardy

...

Bonne recherche Loulou ;)

Disons que la déviance marque les esprits et pas les autres.

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lol outch j'en ai pour la journée ivan, xd , vous voulez pas m'aider ???

sérieusement?? je pensais à yannick Noah...

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