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À propos de Flamby_1er
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Rang
Revers de coton
- Date de naissance 20/11/1980
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Flamby_1er@hotmail.com
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Lille
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Interests
la sieste ds un hamac, compter les étoiles, manger du flamby
Info Tennis
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Classement
30/3
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Ligue
Flandre
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Club
TC Ronchin
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merci Tib, c est exactement ce ke je cherchais pr faire le point après le match. Je l utiliserai dès ce soir...
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merci evan, trop bon ce dossier !! :w00t: ce ki me plait c'est le § sur la respiration. J'étais un habitué des doubles fautes en séries. On me disait tout le temps que j'allais bcp trop vite entre chaque service. Alors à l'entraînement, je me suis borné à respirer un grand coup avant chaque lancé de balle. Résultat-> je prends tout mon tps pr m'appliquer maintenant, le fait de bien respirer permet de retrouver ma concentration -et d'être cool- et ça même si le point précédent était accroché. Par contre, j'ai tjrs dû mal à respirer pdt les échanges, j ai pris la mauvaise habitude de jouer en apné... :whistling:
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Merci Denys Y a aussi si ça t interesse ds le même genre les articles sur le mental et la tactique. ça fait plaisir de voir que tu es allé chercher ce topic au fin fond du forum technique-tactique. Moi aussi je vais les réimprimer, y a quelques trucs que j'ai oublié. :whistling:
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Moi c'est le très poétique TETE DE FLAN que j'utilise sur les courts...
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Voilà vous pouvez maintenant arrêter votre ordinateur et reprendre une activité normale... :langue: sais tu danser la Carioca ? ce n est pas une fox trot ou une polka, ce n est vraiment pas très compliqué pr la comprendre, suis bien mes pas. Ce n 'est pas un tango ou un tcha-tcha, Encore moins une bossa-nova, Qd t'as goûté à cette danse, là, tu ne peux plus faire que ça... YOUPI, dansons la carioca c'est bien, faisez tous comme moi YOUPI, avec la Carioca, tant pis s il faut dire aux autres danses, au revoir... Voilà je pars déjà en live et ce n'est que le début de la journée... :mdr: :mdr:
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Trajectoire de la raquette Le mouvement de la raquette Un coup de tennis peut se diviser dans le temps en 3 étapes : 1. Préparation La raquette est tirée en arrière en position « armée ». 2. Déclenchement et frappe La raquette part vers l’avant pr frapper la balle. 3. Accompagnement La résultante de la frappe. Préparation La préparation est souvent là où l’on voit le plus « la touche personnelle » d’un joueur. Si le contact et l’accompagnement sont relativement identiques d’un joueur à l’autre, c’est parce qu’il n’y a pas tellement 36 façons de frapper une balle pour l’envoyer de l’autre côté du terrain. (Note Flamby_1er : est le manche alors ?? ;-) ) Au niveau les plus faibles, les joueurs oublient souvent de préparer et attendent que la balle arrive sur eux pr faire un geste étriqué. Au plus haut niveau, les préparations sont plus amples mais très régulièrement les joueurs font des gestes inutiles dans leur préparation. Conseil N°1 : simplifiez au maximum votre préparation. Eliminez tout ce qui est inutile pour préparer la raquette à effectuer sa rencontre avec la balle. Malheureusement, beaucoup de joueurs pros sont de mauvais exemples à ce niveau. Plus la préparation est compliquée et plus vous avez de chances de dérégler votre coup, de décentrer, d’avoir un mauvais timing, etc. Un exemple de joueur avec des préparations simples en coup droit et en revers : André Agassi. C’est un modèle dans ce domaine, pas étonnant que son timing soit si parfait et qu’il soit capable de prendre les balles très tôt. Conseil N°2 : préparez le plus tôt possible. Certains professeurs de tennis préconisent le mouvement fluide, c’est-à-dire que la raquette est toujours en mouvement depuis la préparation jusqu’à la frappe. Certains prétendent que ça donne plus de vitesse à la balle. Peut-être mais regardez Jim Courrier (note Flamby_1er : ça date pas d’hier ces articles !) : des préparations très courtes et pourtant beaucoup de puissance. A vous de juger en testant différentes amplitudes de préparation. Préparez tôt signifie que vous tirez le plus rapidement possible la raquette en arrière et que vous la laissez en attente immobile dans cette position. Vous déclencherez alors la frappe au moment voulu. Plus vous préparez tôt et plus vous allez pouvoir vous concentrer sur d’autres choses plus importantes comme votre placement par rapport à la balle. C’est la clef pour prendre la balle tôt. Retour de la raquette et contact Le rythme idéal de frappe, mis à part à la volée, doit être lent-vite. Vous avez armé votre coup en essayant d’avoir les muscles les plus relâchés possibles. Evitez de nouer les muscles : le tennis est un sport qui demande des muscles dynamiques, il n’existe pas vraiment d’Arnold Schwarzenegger chez les pros. (Note Flamby_1er : Eh Mark Philipoussis alors ? N’est ce pas Markphi… :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: ) A partir de la position d’armé, vous envoyez votre raquette à la rencontre de la balle dans un mouvement d’accélération progressive. Cette accélération -plutôt qu’un mouvement relativement linéaire- va vous permettre de garder la balle un peu plus longtemps dans le cordage de la raquette et donc d’avoir un contrôle accru. Vous pouvez serrer la main un peu plus juste avant l’impact pour être sûr que la raquette ne bouge pas durant l’impact pour l’arrêter juste après l’impact. Des études scientifiques ont démontré que serrée ou pas, la raquette ne donne pas plus de vitesse à la balle après l’impact. Dans son livre « la stratégie du vainqueur », Carlos Goffi parle de la « règle » des trois balles, c’est-à-dire que l’espace de contact de la balle avec les cordes de la raquette devrait faire la longueur d’un tube de 3 balles. Plus la balle reste longtemps en contact avec les cordes et plus vous avez de contrôle sur celle-ci. La clef pour avoir ce contact prolongé avec la balle est de se concentrer sur l’accompagnement. En pensant à votre accompagnement, vous allez « traverser la balle ». En réalité, sur le plan purement physique, l’accompagnement ne sert à rien : une fois la balle hors du cordage, vous n’avez plus aucun contrôle sur la balle. Le fait est que l’accompagnement n’est qu’une résultante. Alors me direz-vous pourquoi se concentrer tellement sur l’accompagnement ? En fait, la durée de contact de la balle avec le cordage ne dure qu’une petite fraction de secondes (entre 4 et 6 millièmes de secondes environ). La sensation est de courte durée. A partir d’un certain niveau, les joueurs sont capables d’être plus attentifs au contact avec la balle, mais pour les débutants par contre, se concentrer sur l’accompagnement permet de « traverser » correctement la balle. Accompagnement Note de Flamby_1er : bon là, y faut imaginer un bonhomme réalisant un bon coup droit. :id: Ici, un exemple d’accompagnement de qualité après un coup droit. Devez-vous vous forcer à avoir la raquette dans la même position que celle préconisée par la photo ci-contre ? Oui et non. Oui, parce que vous pouvez être certain que vous allez diriger la balle plus ou moins correctement. Non, parce que forcer l’accompagnement ne vous donnera pas plus de vitesse : l’idéal est de relâcher vos muscles autant que possible. L’accompagnement ne devrait être que la résultante d’une bonne préparation et d’un bon rythme de frappe. Je vois régulièrement des joueurs de clubs qui, croyant bien faire, forcent leur accompagnement : la balle est frappée, puis ensuite le bras fait le mouvement d’accompagnement. Répétons-le : une fois la balle hors du cordage, l’accompagnement ne donne rien. Bien qu’en théorie, après l’impact il n’y ait plus rien à faire, il est impossible d’arrêter votre mouvement juste après l’impact sans devoir le freiner avant de toucher la balle. Il est probable que si votre mouvement s’arrête juste après l’impact, c’est soit que vous avez concentré votre énergie avant la frappe ou que votre préparation était très courte, ce qui donne en général des coups peu précis et peu rapides (à moins bien sûr qu’il ne s’agissait d’un contre sur balle très rapide comme lors d’un retour de service). Le truc pour avoir un accompagnement naturel est de penser à « traverser » la balle comme si vous concentriez votre énergie sur un point qui se trouve loin après la balle. Résumé - Préparez le plus tôt possible. - Simplifiez votre mouvement de préparation des mouvements parasites inutiles. - Relâchez les muscles le plus possible au moment de la préparation. - Gardez-les relâchés autant que possible (une certaine tension reste toujours nécessaire) durant tout le mouvement. - Accélérez votre raquette progressivement en traversant la balle sur une longueur imaginaire d’au moins 3 balles.
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Ayez tout début a une fin... :judge: Voici la fin de la trilogie des articles parus sur tennis passion. Dédicace à Jean Paul Loth et à tout ceux qui ont participé au topic.
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Héhé, j'ai bientôt fini d'écrire le dernier §, il est long ;-) et intéressant. A vrai dire, je pense le mettre en ligne le jour de mon anniversaire, mais k'en est-ce ke c'est déjà ??? (:
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Les effets Un effet consiste à faire tourner la balle de tennis sur elle-même comme une toupie. La trajectoire de la balle est influencée par cette rotation. Il s’agit en fait d’un phénomène lié à la présence de l’air. Quand la balle de tennis tourne sur elle-même, elle entraîne l’air autour d’elle et crée un effet aérodynamique qui modifie sa trajectoire. Il existe 2 grands types d’effets : le lift et le slice. On parle de lift quand la balle tourne dans le sens de sa trajectoire et on parle de slice quand la balle tourne dans le sens contraire de sa trajectoire. - Le lift (parfois appelé aussi top spin). Donne à la balle une trajectoire bombée et force la balle à redescendre plus rapidement. Son rebond est plus haut qu’une balle normale. Le lift est employé pr frapper plus fort tout en prenant un minimum de risque : on peut passer très haut au-dessus du filet sans pour autant que la balle sorte des limites du jeu. - Le slice (parfois appelé aussi « choppé » ou « coupé »). Ce type de balle rase le filet et donne l’impression de planer. Le rebond est très bas, ce qui est souvent gênant pour l’adversaire. C’est utilisé le plus généralement en revers, mais de moins en mois fréquemment semble-t-il chez les professionnels. - La frappe à plat. Il s’agit en fait d’une balle frappée directement sans effet. La trajectoire n’est pas influencée autrement que par l’aérodynamique (le vent…) et la loi de la pesanteur. - Les effets au service. Comme pr les autres coups, il existe le service lifté, slicé ou plat. Mais en réalité, il s’agit d’effets plus ou moins latéraux. En particulier le slice : il est impossible de passer en dessous de la balle comme on le fait pour un revers coupé par exemple. L’effet slicé est donné en brossant la balle sur sa droite, l’effet est donc en réalité latéral et ça dévie la balle. -Les effets latéraux ou combinés. Un effet latéral dévie la balle vers la droite ou vers la gauche. On peut le combiner avec un lift ou avec un slice.
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Mouais ça me paraît bizarre ce point 7. :soupir: A part Sampras, l'excellence même du serveur volleyeur, je vois pas de joueur ki tombe en déséquilibre vers l'avant.
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10 trucs pour servir avec puissance 1. La flexion des genoux (génuflexion). C’est probablement un des éléments qui donne le plus de puissance si c’est bien utilisé. 2. La rotation des épaules et du tronc. C’est le second élément qui donne le plus de puissance au service. 3. La boucle dans le dos :langue: ( :judge: voir le débat ci-dessus :judge: ) :langue: . La raquette descend très bas dans le dos, comme si vous vouliez vous gratter le dos avec la raquette. ça permet à l’avant-bras et à l’épaule d’avoir le plus d’élan possible pour se déplier. 4. La souplesse du poignet. le poignet n’a aucune force, il est donc inutile de forcer, utilisez simplement sa souplesse comme le bout d’un fouet :scotch: . N’essayez pas de donner la force avec le poignet : tout ce que vous obtiendriez, c’est de décentrer votre balle. 5. Frappez le plus haut possible. Tous les joueurs modernes ont les deux pieds au-dessus du terrain lorsqu’ils frappent leur service. Auparavant, au temps des raquettes en bois, les règles exigeaient qu’un des deux pieds reste au sol durant la frappe. La flexion des genoux vous donne le ressort nécessaire pour « aller chercher » la balle au point le plus haut possible. Notez que vous ne devez pas sauter sciemment, le saut se fait automatiquement si la flexion des genoux a été bonne. 6. Le plan de frappe de la balle. Il doit être bien en avant, le plus possible. Vous devriez être en train de « tomber » vers la balle. 7. Le déséquilibre vers l’avant. Vous tombez quasiment sur la balle. 8. Une prise de raquette souple. Ne serrez presque pas le manche. La souplesse du poignet vue précédemment va ainsi pouvoir se déployer sans aucune contrainte. 9. Les muscle relâchés. Rappelez-vous : vous ne frappez pas une balle de bowling, juste une balle de caoutchouc de quelque grammes. C’est la vitesse que vous voulez obtenir, pas la force. 10. Un rythme de fouet. Vous partez lentement pour accélérer, imaginez un fouet : votre service doit claquer comme un fouet ! Pour que ces dix points vous donnent le maximum de rendement, il faut bien sûr une bonne synchronisation de l’ensemble. La force se transmet du bas vers le haut, d’abord la détente des jambes, puis la rotation du tronc, puis le mouvement du bras.
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le débat sur le smash étant terminé, passons à l'article suivant... :-)
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ah oui c est vrai mais ça c'est une véritable botte secrète !! :mdr:
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Les bases techniques du smash Vous avez une excellente volée, de bons coups d’approches et… malheureusement un mauvais smash ! 8( Comme ça peut être rageant de se voir littéralement voler un point bien construit par un simple lob de défense ! C’est le moment de faire quelque chose pour améliorer ce smash défectueux. Voici quelques conseils pour vous aider à terminer le point que vous avez mérité : 1. La vitesse de réaction et le recul rapide sont essentiels à la réussite du smash, vous devez frapper la balle bien devant vous, si vous vous laissez dépasser c’est presque fichu à moins d’être capable de faire le fameux « Sky Hook » à la Jimmy Connors. 2. Tournez-vous rapidement de profil et déplacez-vous en pas chassés. 3. Préparez votre raquette dans le dos le plus rapidement possible. 4. Utilisez votre bras gauche pour pointer la balle comme si votre bras était un viseur. 5. Ne quittez pas la balle des yeux. L’idéal est de la garder à l’œil jusqu’au contact avec la raquette. 6. Ne frappez pas de toutes vos forces : un bon placement est souvent plus efficace. Essayez de frapper à environ 60-80% de votre puissance maximum. 7. Faites attention aux demi lobs : si la balle est à peine plus haute que votre tête, mieux vaut probablement frapper une volée haute. 8. Sur les lobs très hauts, laissez-les rebondir : tenter de frapper la balle alors qu’elle descend très rapidement à la verticale est très difficile même pour les meilleurs. Reculez d’au moins deux mètres derrière le point de rebond. Vous pourrez avancer ensuite pour frapper un smash après rebond. Il est toujours plus facile de jouer en avançant qu’en reculant. 9. Frappez la balle bien en avant de vous, sinon vous ne pourrez pas développer toute votre puissance et vous manquerez de contrôle.
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Le revers coupé Un coup relativement facile à maîtriser et que tout joueur doit avoir dans sa panoplie même (et surtout) s’il adepte du revers à deux mains. Malheureusement, il est de moins en moins enseigné comme arme principale en revers. Pour le jouer de filet, c’est pourtant une arme de choix. Quand utiliser le revers coupé ? - Dans la montée au filet dans la foulée. Le revers coupé permet de prendre la balle très tôt et d’enchaîner facilement la montée au filet. De plus, la trajectoire de la balle est basse et lente. La lenteur donne du temps au volleyeur pour arriver le plus près possible du filet et le rebond bas force l’adversaire à remonter la balle ce qui donne une volée plus facile. Les volleyeurs aiment particulièrement ce coup qui leur permet de faire du « chip and charge » ;-) (= monter à l’abordage au filet coûte que coûte). - En défense. Permet de jouer et contrôler la balle beaucoup plus loin du corps que dans le cas d’un revers à deux mains. Presque tous les joueurs à deux mains utilisent le revers coupé de défense lorsqu’ils sont débordés (pour autant que l’adversaire ne monte pas au filet car le revers est coupé est totalement inefficace en passing-shot). - Dans l’échange du fond de court. De plus en plus rarement utilisé dans le tennis professionnel, probablement parce que le revers coupé produit une balle assez lente par rapport aux balles liftées. Le rebond est également assez court et bas lorsque le revers coupé est légèrement raté, il donne une balle facile à attaquer par l’adversaire. Il arrive aussi que les joueurs trop habitués au revers coupé ou plus confiants sur ce coup que dans le revers lifté sont assez vulnérable face aux montées au filet de l’adversaire car pour passer, le revers coupé est totalement inefficace. Mis à part le problème du passing-shot (qui peut être facilement réglé en variant plus les types de revers), le revers coupé est un coup excellent pour contrôler l’échange. Il permet de jouer offensivement en prenant la balle tôt et donne beaucoup de précision et de longueur de balle. Exemple de bon revers coupé : Steffi Graf. Elle utilisait presque exclusivement ce coup en revers. Ça la rendait assez vulnérable face aux volleyeuses. Mais cette faiblesse était heureusement minimisée par le fait que c’est souvent elle qui dirigeait le jeu et que les femmes qui jouent au filet sont relativement rares.