kennedy

Encore un coup des lobbies des labos pharmaceutiques. A moins que ce ne soit les illuminatis.

Ouaip...Je me concentre sur la basse.

J'en ai sept. J'arrête là.

Ouaip...déchirure. J'attends l'échographie pour voir l'ampleur des dégâts...

Salut à tous, dans la listes de mes déboires tennistiques de début d'année, je me suis pété le mollet. Plus de précision après des examens. Je peine à marcher, la douleur est vive, même la nuit. S'il m'arrivait d'être interdit de tennis et de "bougeage de jambe" pour plusieurs semaines (mois ?), avez-vous des idées de trucs que je pourrais faire pour ne trop ramollir ? Merci.

Merci de vos éclairages...je clos le truc. BIses

Là je pense que seul le président (capitaine) a triché. Le gusse qui a joué à ma place pensait avoir une licence...Embrouille xxl

Merci pour l'info. Je ne m'intéresse pas à ces calculs.

Euh non, j'ai tout arrêté. Plus de licence FFT. Néant, nada. J'ai pratiqué d'autres sports. J'ai repris le tennis dans un autre club, une autre ville. Quand j'ai décidé de reprendre, j'ai eu un certif par mon médecin...je vois un cardio, je suis sérieux. Pas de complaisance. Pourquoi ?

27-12

Merki. Le gars sans licence a gagné contre un 40. Ça va pas me propulser parmi le gotha de la 4ème série. Mais je ne serai plus NC. Bon, en même temps, je n'allais pas écumer les tournois de la région pour finir les tableaux NC...ça me fait juste chier.

En l'occurrence, le gars qui a joué était plus fort que moi. Donc sportivement, y a à redire. Il n'avait aucune licence d'aucune sorte... Le fait d'être nouveau dans un club t'expose à ce qu'on utilise ta licence parce que tu n'es pas connu. C'est tout bonnement dégueulasse. Depuis que j'ai 16 ans (et j'en ai 50), je suis bénévole dans quelque chose : assos, club sportif.... Je n'ai jamais pensé que le temps que je passais me donnait droit de faire n'importe quoi. L'image qu'on a de moi dans ce club parce que je ne triche pas, je m'en cogne un peu. La triche n'est pas moins grave parce qu'on est des tocards de 4ème série, contrairement à ce qui peut transparaître dans certains commentaires. Sinon, on organise un joyeux brassage des licences et voilà.

C'est ce que je veux faire. J'ai juste peur de pénaliser l'équipe.

J'ai eu les explications, c'est délibéré. il s'agit d'un joueur pour lequel il a oublié de faire la licence. Je répugne à utiliser de tels qualificatifs, mais là, les bras m'en tombent. Tout à fait. Ce n'est pas ma "culture" sportive.

A l'aide ! Après 17 ans de pause tennistique (j'ai arrêté 30/1), j'ai repris une licence et cette année, je voulais la consacrer à me "refaire" avant d'aborder la saison 2018 / 2019 (je n'avais pas arrêté tout sport). J'ai repris une licence dans un p'tit club. Le crétin qui sert de président a fait jouer un gars sans licence en interclub avec mon numéro de licence...Je vais me retrouver l'année prochaine avec un classement. Peu importe lequel, le procédé est contraire à mes principes. Que dois-je faire ?

Tu n'as jamais eu de problème de maintien ?

Ouaip, j'ai cherché après ta remarque.

Nastase http://www.adidasweb.fr/W-basket-adidas-nastase.html Rancho https://fr.wikipedia.org/wiki/Matra-Simca_Rancho

J'me doute...je vois que tu possèdes une Renault Fuego. Moi je kifferais une Talbot Rancho. Blague à part, j'ai l'impression que les chaussures à semelle plutôt plate s'écrasent moins que celles qui ont un creux prononcé sous la voûte plantaire.

La référence à Nastase, c'était surtout un clin d’œil aux anciens.

En fait, je cherche surtout une chaussure qui ne s'affaisse pas rapidement. Je n'avais pas acheté de "tennis" depuis 17 ans. Ma chaussure préférée a toujours été la "Nastase" de chez Adidas. Indisponible. Une honte. Edit: je viens d'en voir sur le site Adadas.

Salut les pousseurs de balle jaune, dans les runnings, on trouve des chaussures spécifiques pronation/supination. Je n'ai pas vu ça au tennis. Faut-il corriger autrement ? J'ai des runnings (Décathlon) qui ne s'écrasent pas sous ma pronation mais les chaussures de tennis que j'ai ne sont pas du même tonneau (Décathlon TS 560, je crois). Question qui va vous faire bondir : est-il envisageable de se passer de chaussures de tennis spécifiques pour jouer au tennis. Merci aux orthopédistes et podologues diplômés ou free-lance qui passeront par ici.

1°) Quelle est votre plus grande frustration en match ? Ma plus grande frustration, je l'ai décrite dans le fil "pétage de plomb". Avoir des balles de match pour maintenir mon équipe et les louper pour finalement perdre, dans un match que je dois gagner 10 fois. 2°) Qu'est ce qui vous empêche de résoudre ces problèmes ? A l'époque, le manque de conscience. Avoir oublié que c'était un jeu. Le jeu auquel j'avais rêvé de jouer toute ma vie. Croire qu'un interclub de 4ème série pèse quelque chose. Comment les résoudre ? => aujourd'hui, plutôt que me projeter dans un futur hypothétique dans lequel je gagne en jouant comme un dieu le tennis que j'aime, je convoque le passé. Enfant, j'allais récupérer avec d'autres camarades les filets et des raquettes en bois vrillées dans la benne du Tennis Club Rupin du coin. On les tendait entre deux caddies "empruntés" à la supérette plus bas et on jouait avec de vieilles raquettes de bois. Il y avait un de ces filets qui servait de hamac dans un cerisier. Sur ma raquette, il était écrit "Tom Okker"...On rêvait de jouer sur des vrais courts. Aujourd'hui, je joue au tennis sur un vrai court, avec de vraies raquettes, et de vrais filets. Quand la pression monte, je me dis :"joue, profite, bouge les jambes, prends du plaisir et le reste suivra". Et la pression descend d'un coup. Qui a l'occase de se dire en pratiquant un sport aussi simple "je fais ce que je rêvais de faire, enfant" ? Peut-être que certains aiment jouer sous pression, moi je préfère jouer cool et relâché. 3°) Quelles peurs ressentez-vous quand vous y êtes confrontés ? Moi, j'ai clairement ressenti la peur de faire perdre mon équipe. Et j'y suis parvenu. Aujourd'hui, je me rends compte que si la descente se jouait sur un match, c'est qu'on n'était pas au niveau. Deuxièmement, le pote avec qui j'ai eu l'occasion d'évoquer ça 10 ans plus tard l'avait complètement oublié. Bref, se concentrer sur l'instant présent, tirer des leçons du passé.

J'ai repris le tennis après ce pétage de plomb interne que j'évoquais en page 1. Entre deux, j'ai pratiqué le foot (je n'aime pas mais c'était pour jouer avec des potes) et l'aïki, j'ai progressé dans la zénitude. Le changement de couple, ça aide aussi. A chaque fois que je suis proche du pétage, je me pose cette question essentielle "que restera-t-il de ce match dans 25 ans ?" Réponse: rien. Poussière. Ça aide à faire tomber la pression. Il faut quand même distinguer 2 cas dans tout ce qui nous est rapporté ici 1) le pétage de plomb contre soi-même. A mon avis, c'est gérable. Je le gère comme décrit ci-dessus. 2) le pétage de plomb "externe" : un(e) adversaire qui gruge ou qui cherche la merde...C'est plus difficile de trouver une stratégie quand tu t'efforces d'être fairplay et bienveillant. C'est tout l'enjeu : être zen avec les salopards. C'est un sacré défi. Mais c'est un défi qui excède bien le tennis.

2 balles de match pour assurer le maintien de mon équipe en interclub => défaite au tie break => 17 ans sans tennis. Pétage de plomb "interne"...