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ladreille

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Tout ce qui a été posté par ladreille

  1. Oui c'est effectivement ce double travail que j'ai en tête comme je le disais : travailler en régularité en revers et travailler de manière la plus complète possible le coup droit. Je vais donc quand même privilégier ce coup. et tu as peut être raison pour le coup fort à 30 qui doit être neutre à 15/2. J'avoue toutefois ne pas me projeter dans d'éventuels matchs à 15/2. Déjà jouer et battre des adversaires de ton classement me parait très compliqué (je dois avoir fais un match à ce niveau seulement). Enfin, j'ai des objectifs et j'espère les remplir les uns après les autres. Et ça passera par commencer à gagner à 15/5 à la fin de la saison. Merci à tous pour vos réponses.
  2. Revers une main lorsque on est débordé

    Ouais effectivement. C'est vraiment du quitte ou double. Avec le recul, je me sers de la deuxième main quand je suis grave à la ramasse. Ca n'a d'intérêt que dans ce cas, lorsque je suis contraint de prendre la balle derrière moi ; pas en lift (de toute façon j'y suis jamais arrivé même quand la balle était devant !). Mais à plat essentiellement ou en chop pour éviter d'avoir trop mal au poignet à l'impact. A plat long de ligne, ça m'a l'air pas trop mal. Enfin, à voir sur la durée.
  3. @ Mathieu76. Non t'inquiète, je pense pas à la deuxième série. Même si je l'évoque dans plusieurs posts. Le sujet que j'ai lancé est global, donc j'y intègre des réflexions relatives à des niveaux supérieurs au mien. A vrai dire, déja, je me fais un monde de la troisième série. J'ai fait trop peu de matchs dans cette catégorie. Travailler coup faible et fort c'est évident. Ce que je soutiens c'est que selon moi, il vaut mieux privilégier le travail destiné à automatiser et parfaire le coup fort plutôt que le coup faible. Cela suppose toutefois que le coup faible ne le soit pas trop. Comme je l'ai déja précisé, je ne parle pas du coup faible avec lequel on ne met pas une balle dans le court. Je pense au coup faible par opposition au coup fort. D'ailleurs, avant de me dire qu'il vallait désormais mieux travailler mon coup droit, j'ai beaucoup bossé mon revers (je mettais pas trois revers de suite dans le court) Je suis parvenu cette année à le rendre beaucoup plus régulier. Maintenant, je fais simplement en sorte d'accroitre cette régularité. Mais je n'essaie plus de transformer une Twingo en formule 1. Le coup faible a vocation à le rester. Mon prof m'a conseillé de baser le jeu sur mon coup droit. Et lors des trois derniers matchs en compétition par équipe, j'ai commencé à simplement appliquer un principe simple : ne pas donner de coup neutre sauf cas de nécessité. Ca passait par des coups que je savais faire mais que je ne faisais pas forcément en match : court croisés, coup droit décroisé, balles longues et liftées sur le revers ; ou même simplement viser quasi systématiquement le coup faible. J'ai fait trois matchs d'entrainement à classement 30. J'ai gagné mais au dela de la victoire, je retiens surtout que je ne me suis senti à aucun moment en danger. Et c'est surtout ça la nouveauté. Bref au dela de l'aspect jeu, j'ai la sensation que le perfectionnement du coup fort a un autre effet : donner confiance.
  4. Pour ma part, j'ai plusieurs schémas possibles pour démarrer un match. Celui que j'utilise dépend de mes sensations du moment et de l'adversaire en face. Si je me sens particulièrement bien, confiant et décontracté, je vais alors assurer en revers et bien lifter en coup droit avant d'attaquer la moindre balle exploitable. Pour autant, les attaques ne seront pas de gros parpaings. Mais elles vont quand même souvent entrainer la faute de l'adversaire ou une volée gagnante. S si je suis un peu en dedans, ça m'arrive en perf essentiellement, en coup droit, je vais surtout lifter en sécurité en cherchant des zones chiantes, et en revers me contenter de remettre sans chercher de longueur ou de zone. Car avec le stress, attaquer d'entrée, donne beaucoup trop de fautes de placement et donne trop de points gratuits à l'adversaire. rien de mieux pour lui donner confiance. en revanche, pour le service, je le varie tout le long du match. J'ai de la puissance à plat et je m'en sers 3 ou 4 fois par set, au T. Le reste du temps, c'est service slicé de préférence coté revers lorsque je sers du coté gauche, et alternativement quand je sers coté droit (j'aime beaucoup le service slicé court de ce coté). deuxième balle liftée avec variation des zones encore une fois. La routine pour le coup : je visualise la zone où je vais servir avant même de faire rebondir la balle. Ca évite de regarder l'adversaire et de cogiter pendant la préparation du service. Je fais à peu près une double faute par set.
  5. Modifier je ne pense pas. Ajuster (accentuer les effets, l'intensité, la précision) oui c'est certain. c'est l'adversité qui nous pousse à être meilleurs. Tu as raison, en progressant, je serai contraint de produire des balles de meilleure qualité. Pour autant la technique (en ce qui me concerne, prise fermée, forte accélération du bras à l'impact et gros lift, pour les gros traits) ne variera, à mon sens, que très peu. Si j'estime que je dois changer la structure de mon coup fort pour progresser, c'est, soit que je me trompe (d'autres solutions sont envisageables, comme progresser tactiquement et mentalement), soit que j'ai atteint la limite des possibilités de mon coup fort ; dans ce dernier cas, je considèrerai que ma plus grande marge de progression est désormais sur mon coup faible. En espérant atteindre ce cap au plus haut classement possible. @ EGUCHA, merci. je me sens moins seul... @ RAVEN. Des blocages comme celui que j'ai pu ressentir en revers à deux mains, je pense que de nombreux joueurs le ressentent. A l'entrainement, pour les mêmes, c'est toujours les mêmes défauts qui sont relevés par le BE. Ils comprennent ce qui ne va pas sans parvenir à le rectifier sur la durée. Après tu le dis toi même. Ton revers s'est amélioré....mais il reste irrégulier. C'est là tout le problème. Comme l'a relevé justement EGUCHA, quand tes ressources mentales et/ou physiques seront entamés, ce n'est pas ce coup qui te sortira de la purée. C'est ton coup fort. Celui auquel tu peux faire confiance car le plus instinctif. C'est celui qui permettra de remporter les matchs serrés, tendus...en plus d'un fort mental naturellement. Celui qui pourra être joué en pilote automatique, mode survie. Et plus ce coup sera maîtrisé, travaillé dans des schémas de jeu structurés, plus il sera efficace dans ces moments là. Du moins c'est ce que je pense.
  6. Je vois pas les problèmes de placement, de mise à distance ou de transfert comme des petits problèmes que deux séances de réglage peuvent améliorer. Perso, ces "petits problèmes", que j'avais essentiellement en revers à deux mains ont nécessité une remise à plat complète avec passage à une main, utilisation ultra majoritaire du chop, que je n'avais même pas appris à l'école de tennis. Enfin, j'avais un revers tellement pourri que j'étais peut être un cas à part Pour ce qui est du coup fort encore une fois tout n'est pas basé sur la technique. Tu parles de savoir mettre la balle où tu veux, avec de la puissance....et ce n'est pas suffisant ? quand on sait mettre la balle ou on veut, sans fautes et avec de la puissance c'est juste parfait. Pourquoi changer ? Pour résumer, celui qui sait mettre la balle où il veut, la met-il où il faut ? Peut être que cela pourrait être travaillé avec un max de bénéfs rapides. On ne parle plus de technique mais bien alors de tactique. De choix de zone de nature à mettre l'adversaire en difficultés. N'est-ce pas plus simple à court terme de trouver des schémas tactiques efficaces que de modifier une gestuelle, une technique de frappe ?
  7. Pour la définition du coup faible : Je dirais que c'est le coup avec lequel on ne peut pas faire mal à l'adversaire. on peut remettre, trouver des zones basiques, imprimer un certain effet, mais le coup ne permettra pas de manœuvrer l'adversaire. Au mieux il permettra une neutralisation. Il n'est pas faible au point de faire des fautes un coup sur trois (d'ailleurs atteindre ne serait-ce que le début de deuxième série avec un tel point faible paraîtrait compliqué) Évidemment si le point fort est le coup droit, on ne va pas pour autant faire que cela en entrainement. Mais le travail réalisé au niveau du revers sera simplement de le faire progresser point de vue régularité. Puis en gagnant de la régularité, on parviendra à donner une sorte de "plus value" à ce coup : Chercher et trouver des zones afin de permettre une plus grande neutralisation de l'adversaire. Mon point faible est le revers. Toutefois, désormais, sauf jeu très lifté qui me gêne terriblement, je parviens de plus en plus à choisir vers quel coup adverse remettre la balle. Par exemple, je parviens de plus en plus à viser le revers dans l'échange y compris quand je tombe face à un gaucher. C'est en devenant plus régulier que j'ai pris de l'assurance permettant cela. Pour autant ce modeste travail me permet avant tout de progresser en coup droit, avec lequel je peux, à mon niveau, diriger l'échange. Car j'ai la sensation que j'aurai beau travailler et travailler encore le revers, je ne parviendrai jamais à en faire un véritable coup fort. Je considère donc que mon principal axe de travail est le coup droit. Le revers n'est que l'accessoire de mon jeu. Et je sais qu'il le restera quels que soient mes efforts. Pour Rob 34 : D'accord avec toi sur le principe. Cependant, je ne pense pas que ce profil de joueur présente d'emblée des dispositions pour le service volée. Et donc je crois que ce type de cas se pose peu en réalité. Maintenant, si cela se produit, effectivement je te rejoins, pour progresser, il faudra changer de jeu. Pas par choix mais par nécessité.
  8. Jouer une brute

    J'en suis ravi.
  9. Jouer une brute

    Je suis un peu d'accord avec vous tous. Oui aquagreen, bien évidemment je ne suis pas en deuxième série, et je pense avoir peut être été légèrement enthousiaste sur ce coup. Pourtant mon commentaire était donné en toute humilité. Peut être aussi qu'on s'est mal compris. Ce coup, je le fais bien et dans la plupart des coins du terrain, mais évidemment pas toujours en le cognant. Je ne frappe que quand je me sens en mesure de réussir. C'est pour ça que je me reconnais pas complètement dans le bourrin. Avec l'âge, je n'utilise plus ce coup en frappant sur tout ce qui bouge. en revanche, quand je le frappe, il fait très mal... enfin c'est ce qu'on me rapporte en 3ème série... peut être pas en seconde. pas eu l'occasion de jouer naturellement un partenaire de ce niveau. Puis comme le disent SOLMHYRN et K-MILLE, il ne faut pas juger en fonction d'un niveau absolu. A niveau proche ou égal, on va pouvoir effectivement avoir eu l'impression d'avoir à faire à des mecs qui ont des coups de folie, qui paraitront quelconque à un deuxième série. Mais il en va de même entre un deuxième série et un mec en promotion......
  10. Jeu trop offensif

    ok je comprends. et t'inquiète je l'ai pas pris mal... en fait, j'étais NC en début de saison et je me suis fait reclasser à 30/2 après un 1er tournoi concluant et après m'être fait gronder pour ne pas avoir demandé de reclassement plus tôt du fait d'avoir été un jour 3ème série. + d'infos sur ma fiche puisque ce n'est pas le sujet ici...
  11. Jeu trop offensif

    salut. non t'inquiète je n'y vois pas de condescendance. je partage d'ailleurs également ton analyse relativement au niveau à partir duquel il faut un coup fort. Même si je pense en réalité qu'à partir de 30, il faut surtout ne pas avoir de gros point faible...avant même d'avoir un coup fort. mon véritable problème, avant, c'est que bien que j'ai un coup fort (le coup droit), je n'avais aucune régularité en revers et surtout je n'avais pas d'endurance. j'ai nettement amélioré ces deux points et j'essaie donc maintenant de ne pas faire n'importe quoi avec mon coup naturellement le plus fort. Mon coup droit est difficile à maîtriser pour les personnes avec qui je joue que ce soit en match ou à l'entrainement (niveau de 30 à 15/2). Je cherche donc maintenant, comme quentintennis, à utiliser ce coup à bon escient. Pour cela, je trouve actuellement que la meilleure solution consiste à viser juste et à trouver des zones qui amènent ensuite des coups sur lesquels pouvoir frapper fort, en sécurité. Bref utiliser le coup fort à la fois pour finir un point mais également pour le construire. Je teste cela depuis quelques semaines et j'ai l'impression de progresser. Donc j'essaie de partager cela avec notre ami, malgré la différence de niveau. deux dernières remarques : 1 j'ai déjà été classé 30. sans revers et sans physique. 2 merci pour "terminer 30/2" :angry: , mais j'espère qu'à 33 ans, je peux encore progresser d'un ou deux classements. Salut
  12. Jeu trop offensif

    salut. Je te comprends pour avoir eu à ton âge et pour avoir toujours (un peu moins désormais) les mêmes difficultés. Le problème quand on a un coup très fort, c'est qu'on se sent tellement bien qu'on est presque sur de toujours le réussir. Alors qu'avec le recul et les défaites, on se rend compte que ce n'est absolument pas le cas. C'est pour ça que c'est si difficile de mettre en application les conseils du style : "attendre". Quand on sent si bien un coup, pourquoi temporiser ? Pour ma part, j'ai je pense trouvé une solution qui emprunte un peu au conseil donné par skyman : te servir de ton coup fort pour jouer ...vite et non fort ; mais j'ajouterai également l'utiliser pour placer la balle. Si tu maîtrise ton coup droit comme tu le dis, tu dois être capable d'envoyer des mines permettant le coup gagnant dans des positions inconfortables, mais également de le placer pour te permettre d'avoir, après plusieurs frappes, une possibilité de coup gagnant. Exemples : court croisé très lifté, jeu systématique sur le coup faible dans la plupart des positions, maîtrise de la longueur. avoir un excellent coup droit c'est pas que savoir le frapper le plus fort : c'est savoir tout faire avec, quand tu le souhaites...ou presque. y'en a qui le comprennent à 33 ans...essaie de gagner un peu de temps.
  13. Le mental après plusieurs défaites

    bon conseil. Jouer point après point. même si c'est pas toujours facile. tant qu'on arrive à se concentrer sur cet objectif ça fonctionne ; le hic c'est quand on entrevoit l'avenir (je vais bientôt gagner...) et ça arrive à tout le monde. et ceux qui gagnent sont ceux qui arrivent à chasser ces idées au moment où elles deviennent dangereuses pour leur jeu. Par ailleurs, pour le problème rencontré lié à la spirale des défaites : il faut bien garder en tête une donnée importante. sauf à être classé au plus haut de la limite de classement acceptée par le tournoi, une défaite attend forcément les compétiteurs. y compris pour ceux classés 5/6... il faut donc avant toute chose accepter le principe de cette défaite qui arrivera tôt ou tard.
  14. Commencer les tournois

    Pour le service, je pense que tu n'as pas le choix, il faut en bouffer. solution pour moi : avoir le courage de partir seul sur le terrain avec beaucoup de balles de récup...il n'ya que comme ça que tu pourras prendre des automatismes et rentrer les balles dans le carré. j'ai beaucoup fait ça plus jeune, essentiellement pour les secondes ballesliftées. ça fonctionne, je dois pas faire plus de 2 ou 3 double fautes par match du moins sur deux sets. par ailleurs je choisis facilement, même en seconde balle ou je sers. accroche toi. si c'est la technique qui pêche, que t'arrives pas du tout à enchainer les gestes, il faudra alors régler ça avec un BE....avant d'aller seul bouffer du service...bien entendu. en tout cas, bon courage pour tes débuts dans le monde de la compétition. tu verras c'est cool...passé les premiers temps qui souvent sont consacrés à la gestion du stress et de la frustration.
  15. Beau résumé je trouve. Le nœud du problème est juste là. Affronter quelqu'un est en soi déjà difficile ; mais en plus la défaite est souvent imputable aux erreurs (fautes directes...) qu'on peut commettre. d'où le regard critique sur soi et la frustration.
  16. Jouer une brute

    Je pense avoir un coup droit qui me place dans la catégorie des bourrins. c'est un peu frustrant comme étiquette surtout que je fais énormément d'effort pour moins frapper. Mais apparemment ça se voit pas. Bref... en réalité je suis en demi bourrin. en revers je fais du chop plutot moisi... donc je ne suis pas un bon exemple : pour ma part ceux qui joueront sur le revers auront les meilleures chances de gagner. En coup droit en revanche les différents effets ne me posent pas de problème: les balles au centre sont du pain béni, même liftées ; j'ai un très gros lift ce qui fait qu'au jeu de la moonball je perd rarement... ; les chops bas ne me posent pas non plus de gros soucis. ce qui me pose finalement le plus de problème sont les balles rapides et longues avec de l'angle ; je crois surtout qu'il faut distinguer entre les bourrins. je m'explique : je frappe en coup droit parce que ce coup est ultra naturel. je peux jouer ce coup dans la plupart des positions pour peu que mes jambes suivent. Certains frappent aussi, mais leur coup va peut être moins naturel, moins instinctif ; et là la qualité de balle adverse joue énormément. dans ce cas, les moonball, les chops bas... peuvent être efficaces. Une petite étude statistique s'impose alors pendant le 1er set... si c'est pas le cas, si réellement la qualité de balle ne fait pas déjouer le bourrin adverse, ben il faut admettre de jouer le jeu le plus chiant du monde à base de balles courtes et molles dans le carré et obliger l'adversaire à se rapprocher du filet. C'est à mon sens la seule solution.
  17. Etre prêt pour les compétitions

    salut, Pour ma part je recherche actuellement la même chose : aborder les matchs dans les meilleures conditions. Pas facile. j'ai tenté différentes méthodes. L'une d'entre elles, conseillée par aquagreen, n'a absolument pas fonctionné il y'a quinze jours : me focaliser sur le tennis toute la journée du match. Je suis arrivé tout stressé, j'ai perdu le 1er set sans sentir quoique ce soit (les jambes refusant de bouger comme j'aurais voulu). J'ai commencé à ressentir la balle et mes jambes au milieu du 2ème que j'ai perdu 7-6 (10). même dans le second j'étais hyper tendu. c'était la première fois que je me sentais aussi mal sur un terrain de tennis. J'ai match aujourd'hui, et j'essaie autre chose, je dirai plus tard si ça fonctionne ou pas...pour moi en tout cas.
  18. Revers une main lorsque on est débordé

    je rencontre également de grandes difficultés sur les coups de débordement adverses coté revers. je n'ai jamais été à l'aise de ce coté s'agissant à la fois de la technique du déplacement ou de la frappe proprement dite. j'ai appris à deux mains et suis passé à une main il y'a 10 ans. ça fait plusieurs fois que je me retrouve confronté au problème et actuellement je le résous de la façon suivante, suivant la qualité du coup de débordement que je subis. en aucun cas je ne parviens à lifter à une main. si la balle passe....c'est quasiment toujours point par l'adversaire sauf si celui-ci fait une faute directe... au choix soit je fais un chop qui peut le cas échéant se muer en un lob si je vois l'adversaire monter ; je rejoins beaucoup d'entre vous sur l'efficacité de ce coup qui n'est pas facile à jouer pour l'adversaire et qui permet de s'organiser en défense ; ou bien, et c'est là que j'aimerai éventuellement des avis : je me suis surpris à, de manière purement instinctive, ajouter la deuxième main pour aider la réalisation de mon coup. de cette façon, j'ai réalisé plusieurs chops (avec un effet nettement plus accentué). et j'ai également pu réaliser de véritables contre-attaque à plat (balle à hauteur de hanche) ou en lift (léger) En clair la deuxième main que j'avais mis de coté il y'a 10 ans, faute de savoir m'en servir, est revenue toute seule, mais uniquement pour me permettre de jouer sur ces coups de débordement. J'aimerai savoir si certains jouent les coups de débordement coté revers de cette façon, et aimerai recueillir leurs impressions (avec un peu de recul). par ailleurs si les techniciens pointus du forum pouvaient m'éclairer sur la raison de la réussite de ces coups (en effet, je n'ai pas l'impression d'avoir spécialement plus de force ; serait-ce du à un meilleur équilibre ?...) Merci d'avoir lu ce message...pas du tout trop long...
  19. Etant NC, en année de reprise (meilleur classement précédent 30/3), j'ai perfé à 30. En fin d'année j'ai été classé 30. Y'a 10 ans déja...
  20. Bonjour, Je viens à l'instant de devenir membre. C'est une grande première puisque je n'ai jamais été membre sur aucun site. Rapide présentation tout d'abord. J'ai 34 ans et suis actuellement non classé. J'ai pratiqué le tennis durant toute mon adolescence. A l'age adulte, j'ai arrêté durant les étude, puis repris, puis arrêté à nouveau... J'ai repris l'entrainement l'an dernier et ai entrepris depuis septembre de travailler le cardio, le physique en parallèle, car c'est un aspect de la pratique tennistique que j'ai toujours négligé. Pour ce faire, je me suis mis au kick boxing à raison de deux entrainements de 2 X 2 heures par semaine. Voila mon sentiment : J'ai l'impression que ce sport est un excellent complément pour ceux qui comme moi ont du mal à se faire violence pour s'entrainer au physique en solitaire. En outre, le cardio y est développé essentiellement en mode fractionné. Du point de vue musculation, le travail est axé sur la puissance, la résistance et la vitesse plus que le développement de la masse musculaire. Les déplacements s'effectuent en pas chassés et les jambes souvent fléchies. Je souhaiterais, pour ce premier sujet, que vous me donniez vos avis, remarques, critiques et que vous me fassiez partager votre expérience. Y'a t'il un autre sport qui vous a donné satisfaction et que vous avez analysé comme étant le complément parfait ? Merci d'avoir lu ce message particulièrement long j'en conviens. merci d'avance pour vos réactions
  21. Tout en chop ? Possible !

    Salut, Si le chop est l'effet vers lequel tu t'orientes naturellement, vas y à fond. Maîtrise le à fond, des deux cotés s'il le faut. Ce sera ton fond de jeu. Ce fond de jeu pourra t'amener, si naturellement tu y es suffisamment performant, vers la troisième série. En effet, en quatrième série, c'est généralement celui qui tient la balle dans le court qui gagne. Rien de mieux que le chop pour garder la balle dans le court et ramener les attaques adverses. Quand tu auras dans les pattes de nombreux entrainements et matchs, tu pourras peut être travailler sur un coup à plat ou lifté lorsque tu auras besoin de jouer le passing. Mais je crois que ça ce sera pour plus tard. Rien n'est plus important que de respecter ton fonctionnement interne. Si c'est le chop et ben tant pis (ou tant mieux, ça dépend de quel point de vue on se place). D'autant plus si tu te sens capable de coupler ce type de jeu avec des montées au filet.
  22. Mener, c'est bien, mais...

    Bonjour, Peut-être pourrais tu essayer de ne jouer tes coups liftés qu'à 80 % de tes capacités durant les premiers moments d'un match ou d'un set. Tu mèneras peut-être moins dans les premiers temps mais que tu mènes ou pas tu pourras avoir une marge de manoeuvre positive. Si tu ne mènes pas tu pourras accélérer le jeu pour renverser la vapeur. Si tu mènes, tu pourras accélérer encore pour enfoncer le clou. Tu as une tendance naturelle à modifier ton jeu en fonction de l'évolution du score notamment lorsqu'il tourne en ta faveur. Plutôt que de lutter contre cette tendance, sers t'en pour essayer d'être plus décisif dans les moments clé. Bien sur si en réalité ce qui t'arrive c'est le syndrome du petit bras, ce sera plus compliqué.
  23. Etre 3eme serie, une recette ?

    +10 à SKYMAN 593181 et à KRAMER. En aparté, KRAMER J'ai lu tes précédentes interventions et admire ta conception du Tennis, de même que ta réflexion et ta lucidité. J'ai repris le Tennis cette année avec une approche similaire mais j'avoue que tu as mis des mots là où j'en manquais. Merci encore.
  24. Etre 3eme serie, une recette ?

    Je viens de lire tout ce sujet et je le trouve passionnant. Merci encore à tous les intervenants. Au sujet de la vidéo : j'ai aussi la sensation que le gars classé 2/6 pouvait jouer plus en rythme (parfois il le fait : il sert plus fort, appuie plus son coup droit). Je ne vois pas où est le manque de respect. Doit-on jouer toujours à 100 % ? Si on part de ce postulat on doit considérer que tous les joueurs de Tennis qui, par peur ou crispation, préfèrent faire du pousse baballe, servir moins fort... Ne pas jouer en match comme on le fait à l'entrainement n'est pas contraire à l'éthique du tennis. Je dirai presque que c'est l'essence de ce sport au combien difficile mentalement. Mais je m'égare... Le joueur dont on parle a commencé à jouer comme il le fait le mieux et le plus en sécurité. Il a fait les coups qu'il fallait sans plus. Il a joué tout en variation. Il a bien couru. Si Yusuke avait pu y répondre et se montrer plus dangereux nul doute qu'il aurait modifié sa façon de jouer. Tel n'a pas été le cas. Donc il a continué à appliquer la tactique qu'il avait décidé en début de partie. Pourquoi en changer ? IL A MIS EN APPLICATION CE QUI EST SOUVENT PRECONISE SUR CE FORUM. Avoir un plan de jeu et n'en changer que si ça ne marche plus. Par ailleurs je ne trouve pas qu'il ait joué en marchant. En défense il a des cannes le garçon. Il se replace hyper bien après chaque frappe. Il a un sens aigü du placement et de l'anticipation. C'est un faux lent. par ailleurs, Il trouve les zones qu'il cherche sans faire de faute. Il s'engage dans les balles ; mais peu et tout en sobriété ce qui donne une impression de nonchalance. Tout ça pour dire que avant tout il joue comme le préconise KRAMER : en faisant peu de fautes tout en cherchant à faire mal mais sans prendre trop de risques. Je trouve ça... simplement remarquable.
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