ma fille pleure ...

[Invité mimanza]

Bonjour,

Ma fille de 10 ans vient de jouer en inter clubs 11 matchs.

Bilan : 4 victoires et 2 défaites en simple / 4 victoires et 1 défaite en double.

Le problème est qu'elle pleure à tous les matchs quand elle est en difficulté même les matchs ou elle mène.

On a beau lui répèter que ce n'est qu'un jeu et qu'elle est la pour s'amuser, rien n'y fait.

Pourtant dans la vie courante (famille, école, autres sports), elle est gaie comme en pinçon.

On en parlé avec son coach qui le trouve super à l'entrainement.

Avec sa maman, on est à 2 doigts d'arrêter les frais tant son état nous peine pourtant elle nous cesse de repèter qu'elle adore ce sport.

Que faire ?

Merci.

[cybten1]

Bonjour,

Ma fille de 10 ans vient de jouer en inter clubs 11 matchs.

Bilan : 4 victoires et 2 défaites en simple / 4 victoires et 1 défaite en double.

Le problème est qu'elle pleure à tous les matchs quand elle est en difficulté même les matchs ou elle mène.

On a beau lui répèter que ce n'est qu'un jeu et qu'elle est la pour s'amuser, rien n'y fait.

Pourtant dans la vie courante (famille, école, autres sports), elle est gaie comme en pinçon.

On en parlé avec son coach qui le trouve super à l'entrainement.

Avec sa maman, on est à 2 doigts d'arrêter les frais tant son état nous peine pourtant elle nous cesse de repèter qu'elle adore ce sport.

Que faire ?

Merci.

Monsieur !

Le seul ouvrage que je connaisse pouvant vous aider est : "La méthode Cyber-Tennis enfant parents de 10 à 15 ans"

Auteur Sauveur CUOMO

Editeur : Noétique et performance Académie.

Vous pouvez vous le procurer en ligne chez alapage.fr, en FNAC ou chez Auchan

Vous pouvez aussi suivre des stages Cyber-Tennis (Enfants/parents) à cette adresse http://www.camp.cyber-tennis.eu

Une enfant qui pleure à 10 ans a du stress et le tennis pour elle est souffrance. souffrance qui continue au cours des années 10-12-15 pour aboutir quelquefois à la dépression tennistique.... Avec toutes les conséquences sur la vie scolaire et sociale... Vous avez bien raison de vous soucier, maintenant, de celà...

Bravo

[cybten1]

Monsieur !

Le seul ouvrage que je connaisse pouvant vous aider est : "La méthode Cyber-Tennis enfant parents de 10 à 15 ans"

Auteur Sauveur CUOMO

Editeur : Noétique et performance Académie.

Vous pouvez vous le procurer en ligne chez alapage.fr, en FNAC ou chez Auchan

Vous pouvez aussi suivre des stages Cyber-Tennis (Enfants/parents) à cette adresse http://www.camp.cyber-tennis.eu

Une enfant qui pleure à 10 ans a du stress et le tennis pour elle est souffrance. souffrance qui continue au cours des années 10-12-15 pour aboutir quelquefois à la dépression tennistique.... Avec toutes les conséquences sur la vie scolaire et sociale... Vous avez bien raison de vous soucier, maintenant, de celà...

Bravo

Juste un rajout pour le lien qui ci-dessus ne fonctionne pas

http://camp.cyber-tennis.eu

[steph71]

et bien voila surement papa et maman mimanza bien rassurés que leur fille potentiellement depressive et exclue sociale souffre le martyr sur le court , grace a toi nous connaissons maintenant la reponse a la question :

Avec sa maman, on est à 2 doigts d'arrêter les frais

Que faire ?

mes felicitations pour ce diagnostic aussi hatif, lointain que perspicace

[egucha]

cybten1, le vautour des surfaces.

Bravo.

[Invité mimanza]

et bien voila surement papa et maman mimanza bien rassurés que leur fille potentiellement depressive et exclue sociale souffre le martyr sur le court , grace a toi nous connaissons maintenant la reponse a la question :

mes felicitations pour ce diagnostic aussi hatif, lointain que perspicace

Mes félicitations également pour avoir su prendre une partie de votre temps afin de me répondre.

Vraiment n'importe quoi.

[steph71]

Mes félicitations également pour avoir su prendre une partie de votre temps afin de me répondre.

cette partie là n'est pas ma specialité, je n'ai pas l'experience necessaire pour repondre de maniere coherente et simple, mais nul doute que certains ne manqueront pas de faire part de leur experience (nous sommes dimanche, peu de monde sur le forum).

bon courage.

[Jey]

Je ne suis pas spécialiste et c'est bien et normal que tu t'inquiètes ... mais je ne pense qu'il ne faut pas dramatiser !!!

si vous discutez régulièrement avce elle, si hors du court elle est épanouie, si à l'entrainement elle s'éclate "sans larme" alors il faut surtout dédramatiser la compétition ... c'est peut-être tout simplement sa manière d'évacuer la pression ... allons plus loin, certains acteurs vomissent avant de monter sur scène !!! certaines même ici se mettent des coups de raquettes sur les jambes (hein les twin-sisiters ;-)) etc, etc ...

[la_fouine]

Je ne suis pas spécialiste et c'est bien et normal que tu t'inquiètes ... mais je ne pense qu'il ne faut pas dramatiser !!!

si vous discutez régulièrement avce elle, si hors du court elle est épanouie, si à l'entrainement elle s'éclate "sans larme" alors il faut surtout dédramatiser la compétition ... c'est peut-être tout simplement sa manière d'évacuer la pression ... allons plus loin, certains acteurs vomissent avant de monter sur scène !!! certaines même ici se mettent des coups de raquettes sur les jambes (hein les twin-sisters ;-)) etc, etc ...

Ouais c'est pour évacuer la colère

Ca fait du bien de pleurer des fois aussi lol

Tu pleures un bon coup et hop là t'as la rage de vaincre

Ca m'arrive de pleurer après avoir gagné un match ^^

[Mel_79]

C'est vrai que c'est con et que les gens ne comprennent pas forcément mais moi ça me permet d'évacuer la haine et la colère qui surgit lorsque je loupe l'immanquable...

Au lieu de crier et de dépenser de l'énergie inutilement, un coup sur les cuisses ou les abdos... Par contre ca peut faire tres mal des fois, et on peut boiter mdr

Mais bon, je le fais de moins en moins...

[MISSAMPRAS]

Quand j'étais plus jeune je pleurais à chaque défaite,mais j'aimais quand même le tennis,ca me poussait.

J'étais triste sur le coup,mais ca s'en allais très vite,ce qui doit être le cas de votre fille sinon elle aurait arrêté.

Subir des échecs c'est l'école de la vie (la vieille expression clichée excusez moi! )

Au contraire ca la fera grandir.

Et puis un jour,tout comme moi,elle aura le déclic et elle ne pleurera plus.Moi j'essayais de me retenir de pleurer,mais elle doit être aussi émotive que moi alors ca sort tout seul.Chez d'autre la peine est tout aussi grande,mais elle ne se manifeste pas extérieurement,les gens émotifs le montre plus,souvent contre leur grè.

Donc un enfant qui pleure ou pas,la défaite a souvent tout de même le même impact.

[cybten1]

Juste un rajout pour le lien qui ci-dessus ne fonctionne pas

http://camp.cyber-tennis.eu

Oui, la question des pleurs après les défaites chez les enfants est quelque chose de très habituel, et effectivement comme le disent de nombreux classimiens ici, il ne faut, la plupart du temps pas s'inquiéter.... Mai la mémoire du jeu s'établit par les émotions externes...

Une question pourtant, combien d'heures joue cette jeune fille, et depuis combien de temps ?

Depuis quand fait-elle de la compétition ?

Mais, pour ma part, j'estime et je maintien ce que je dis... Les tournois de jeunes montrent une réelle souffrance tennistique chez les jeunes....

L'enfant n'est pas dupe, le bien joué prononcé lèvres serrées et front tendu par le parent accompagnateur ne le trompe pas... Monsieur, une question encore, excusez-moi :

Restez vous sur place pendant ses entraînements ? Pendant ses compétitions ? Après une certaines de ses erreurs en compétition est-ce qu'elle se retourne vers-vous, vous lance un coup d'oeil furtif et contri, se juge-t-elle négativement après chaque coup man,qué ? Les réponses à ses questions pourront nous orienter vers des conseils plus précis....

Voici un article écrit pour le Team daniel Contet International en 2004, il ne s'applique pas forcément à votre situation mais il a été inspiré par le comportement de certains parents au bord des courts....

"LE TENNIS SOUS CONTRAINTE CHEZ L’ENFANT

(Extrait d‘article du magazine du Team Daniel Contet International, auteur Sauveur CUOMO)

« 1. DES MOTIVATIONS DIVERGENTES.

L’une des raisons qui amène l’enfant à vivre le tennis comme une contrainte provient, à mon avis, d’une divergence profonde entre la motivation de l’enfant et celle des parents.

Chez l’enfant, les motivations sont au début ludiques, comme toute chose dans sa vie hors de sa fréquentation scolaire où là il suit souvent, forcé, l’enseignement de l’adulte. Mais voilà qu’au tennis, après un début où il s’implique, viennent vite les jugements parentaux et les appréciations de valeur sur les prestations

Les tu as bien joué, tu as mal joué, alternent selon les jours. Quelquefois même,

quelques conseils techniques, et même quelques cours parentaux contredisant le moniteur sont donnés par ci par là lorsque le petit ou la petite a un moment de liberté…

En bref, si l’enfant commence par s’amuser, souvent, il est trop vite transformé en porteur de grands espoirs, de possibles réussites où le « maman j’ai gagné » est le sésame du sourire familial. Mais hélas, toute défaite alourdit les visages, tend les pommettes et les lèvres desquelles, quelquefois, sortent des paroles tant blessantes, tellement humiliantes pour celui qui, à présent…. ne joue et essaie de gagner que pour… ses chers parents.

En bref, inconsciemment, les parents se projettent sur l’enfant, sa réussite est la leur, elle les grandit, sa défaite est aussi la leur, elle les humilie en titillant leur ego qui se défend comme il peut en blessant, sans le vouloir l’enfant encore psychologiquement faible.

C’est malheureusement souvent dans ce contexte que se crée la mémoire tennistique de l’enfant qui, même s’il est exceptionnellement doué, sera perdu pour le tennis de haut niveau. Une fois adulte, il aura oublié ses victoires comme ses défaites mais son corps, lui, se souviendra de toutes ces souffrances… »

UNE EQUIPE ENFANT PARENTS COMPLICES POUR UN TENNIS HARMONIEUX

Pour l’enfant le tennis débute par un jeu et il peut devenir un merveilleux champ d’expérience et de développement personnel. La richesse même du tennis, ses difficultés techniques, physiques, psychologiques en font l’un des sports les plus formateurs pourvu que l’on laisse… expérimenter l’enfant. Par le tennis, il peut apprendre à connaître ses émotions, les gérer dans les difficultés, dans les compétitions. Par le tennis, il peut accéder à la connaissance de soi, de son comportement, il peut apprendre à se concentrer, se relâcher, bref, à rester maître de lui même. Il peut aussi, apprendre à rester concentré, à produire son meilleur tennis dans la plus grande décontraction, tout comme les joueurs de circuit. L’enfant naît avec la grâce énergétique, c’est l’environnement, la vie telle qu’elle lui est enseignée qui détruit cette harmonie, cette joie originelle dans le mouvement. Dans l’apprentissage du tennis, dans sa restitution en compétition, conservons lui cette grâce, cette facilité et ne nous attachons pas à ses résultats immédiats. Laissons-le aimer le tennis, en faire une passion et là nous sommes sûrs qu’il se surpassera, qu’il ira au bout de lui-même et qu’il mettra tout en œuvre pour atteindre le plus haut niveau possible. Mais restons lucides, veillons à ses études qu’il réussira d’autant mieux qu’il vivra un meilleur tennis… »

[Rodo]

Bonjour,

Ma fille de 10 ans vient de jouer en inter clubs 11 matchs.

Bilan : 4 victoires et 2 défaites en simple / 4 victoires et 1 défaite en double.

Le problème est qu'elle pleure à tous les matchs quand elle est en difficulté même les matchs ou elle mène.

On a beau lui répèter que ce n'est qu'un jeu et qu'elle est la pour s'amuser, rien n'y fait.

Pourtant dans la vie courante (famille, école, autres sports), elle est gaie comme en pinçon.

On en parlé avec son coach qui le trouve super à l'entrainement.

Avec sa maman, on est à 2 doigts d'arrêter les frais tant son état nous peine pourtant elle nous cesse de repèter qu'elle adore ce sport.

Que faire ?

Merci.

Sauveur, j'ai pas l'impression que Mimanza mette bc de pression sur leur fille... !

Au contraire.

J'pense que c'est l'enfant lui même qui se met cette pression lui-même, ss forcement bc de relation avec ses parents (dans ce cas présent).

C peut être juste le passage de l'entrainement à la compet' qui pose soucis, qui est d'ailleurs aussi difficile pour un adulte lorsqu'il débute la competition à ses débuts, sauf qu'il l'exprime de manière moins expressive.

(pas de pleurs, mais plus du "petit-bras" quoi).

[cybten1]

Sauveur, j'ai pas l'impression que Mimanza mette bc de pression sur leur fille... !

Au contraire.

J'pense que c'est l'enfant lui même qui se met cette pression lui-même, ss forcement bc de relation avec ses parents (dans ce cas présent).

C peut être juste le passage de l'entrainement à la compet' qui pose soucis, qui est d'ailleurs aussi difficile pour un adulte lorsqu'il débute la competition à ses débuts, sauf qu'il l'exprime de manière moins expressive.

(pas de pleurs, mais plus du "petit-bras" quoi).

OUi, je le pense aussi, mais, elle me rappelle tellement mon expérience où sans même m'en rendre compte, et tout gentil gentil que j'étais, c'est mopi qui mettait la pression à ma fille... Pourtant je lui disais bien, si tu perds, c'est pas grave, fais-toi-plaisir, etc. Un jour, alors qu'elle avait 10 ans et qu'elle pleurait après une défaite, un membre du club m'a dis faites lui-faire de la sophrologie... J'aurais dû l'écouter... Car l'histoire m'a prouvé que c'est lui qui avait raison...

Elle était 4/6 à 13 ans et a dû abandonner complètement le tennis pour pouvoir se consacrer à ses études... Mais elle n'a jamais opublié cette souffrance et ce n'est qu'à présent, 20 ans après qu'elle recommence, pour le plaisir, quelques parties de tennis de compétition....

Dans un cas comme celui que nous présente Mimanza, il faut évaluer la dépendance de l'enfant, à son comportement en compétition. En tant que parent je puis observer celà par ses mimiques après une erreur. Après une erreur, l'enfant se retourne t-il pour me regarder, comme pour s'excuser ? Si je m'éloigne, est-ce que l'enfant joue mieux, moins bien etc .

Pour moi, je pense que ma présence même, trop pressante et trop proche pendant les entraînements donnait de la valeur, de l'importance à ses résultats. Pourtant dans les paroles comme dans les actes je n'ai jamais enguelé mon enfant, je ne l'ai jamis poussé au tennis. Je ne suis même jamais intervenu dans une partie comme le font certains parents, et pourtant, la pression était là.... L'intérêt même du parent pour le tennis que joue l'enfant établit une pression chez ce dernier....

[la_fouine]

Mon père me suit dans tous mes tournois et ça me gène pas.

Avant si, mais maintenant j'suis plutôt contente ... On a un soutient quand il se passe un been's !

[Invité mimanza]

Un grand merci pour toutes vos réponses.

Je viens d'en parler au téléphone avec son coach et en premier lieu on va essayer de la laisser jouer seul (sans notre présence).

Peut être que notre présence la stresse et qu'elle n'ose pas nous le dire.

Pour ce qui est de ses erreurs, j ai remarqué qu'elle se retournait vers nous quand elle faisait un beau point mais jamais apres un point perdu.

On essaie de dédramatiser au maximum mais bon, sans grand succes pour l'instant.

[cybten1]

Un grand merci pour toutes vos réponses.

Je viens d'en parler au téléphone avec son coach et en premier lieu on va essayer de la laisser jouer seul (sans notre présence).

Peut être que notre présence la stresse et qu'elle n'ose pas nous le dire.

Pour ce qui est de ses erreurs, j ai remarqué qu'elle se retournait vers nous quand elle faisait un beau point mais jamais apres un point perdu.

On essaie de dédramatiser au maximum mais bon, sans grand succes pour l'instant.

Quel est le résultat ! Il serait intéressant de savoir si le comprtement de cette jeune fille s'est amélioré

[mrbond]

J'en ai vu 50000 des filles pleurer pendant un match, même des petits garçons. (certains sont 4/6 maintenant voire plus!) J'espère qu'ils ne sont pas tous en souffrance, sinon on est mal barré! Je le savais, j'aurais dû faire psy c'est porteur! En général, ce sont des enfants talentueux qui n'acceptent pas qu'on puisse les dominer, ou alors frustrés de ne pas pouvoir appliquer ce qu'ils ont appris à l'entraînement. C'est de l'orgueil plus que du mal être. Ca s'appelle l'école de la vie! Donc pour moi c'est plutôt sain même si ça peut paraître insupportable. (je n'aimerais pas que le mien fasse ça un jour, c'est clair, vous ça doit aussi énormément vous gêner.)

Personnellement, lui faire arrêter le tennis n'est pas la solution. Il faut déterminer le comment du pourquoi. si c'est parce qu'elle a perdu, si c'est parce qu'elle n'arrive pas à jouer comme elle voudrait, il peut y avoir plusieurs raisons et chaque cas est différent. Mais ça passera de toute façon, rien à voir avec de la déprime! Ou alors ce n'est pas cybertennis qu'il faut aller voir mais cyberpsy!

Courage en tout cas!

PS: maintenant, j'ai peut-être dit n'importe quoi, je ne sais pas, je ne suis pas expert en la matière! En clair, avis à relativiser!

[Karim]

J'ai la même situation avec mon fils (10 ans) qui au cours des tournois commence à pleurer dès qu'il commence à déjouer.

C'est intenable psychologiquement pour les parents car on ne sais pas que dire ou que faire pour relativiser et surtout calmer. Quels sont les mots justes, la bonne attitude, comment relativiser...

Et c'est vrai que je me pose des questions quant aux conséquences de ces craquements lorqu'il perd ses moyens. On a beau se dire que ce n'est qu'un jeu, on aimerait bien trouver les mots justes pour que cette situation désagréable forge un caractère plutôt que de le casser!

[matjoh]

J'ai la même situation avec mon fils (10 ans) qui au cours des tournois commence à pleurer dès qu'il commence à déjouer.

C'est intenable psychologiquement pour les parents car on ne sais pas que dire ou que faire pour relativiser et surtout calmer. Quels sont les mots justes, la bonne attitude, comment relativiser...

Et c'est vrai que je me pose des questions quant aux conséquences de ces craquements lorqu'il perd ses moyens. On a beau se dire que ce n'est qu'un jeu, on aimerait bien trouver les mots justes pour que cette situation désagréable forge un caractère plutôt que de le casser!

moi j'essaye de lui expliquer que ce n'est qu'une defaite qui lui montre ce qu'il faut travailler pour gagner la prochaine fois (pourquoi tu as perdu? tu a donné tout ce que tu pouvais? services réussis? placement?)

je lui explique egalement que meme les no1 perdent et c'est grace a ca qu'ils sont aussi forts aujourd"hui.

Je lui explique aussi que s'il pense qu'a gagner il risque de beaucoup souffrir au tennis...

lui dire qu'il essaye de jouer avec le sourire...

pas evident mais mon fils est demandeur d'explications alors ca marche pas trop mal

je fais des tournois de mon coté et je l'emmene pour qu'il me voit perdre..(ca, je le fais pas expres...je prefere gagner mais "CE N'est Qu'un MAtch de Perdu", on me coupe pas une jambe)

[cybten1]

moi j'essaye de lui expliquer que ce n'est qu'une defaite qui lui montre ce qu'il faut travailler pour gagner la prochaine fois (pourquoi tu as perdu? tu a donné tout ce que tu pouvais? services réussis? placement?)

je lui explique egalement que meme les no1 perdent et c'est grace a ca qu'ils sont aussi forts aujourd"hui.

Je lui explique aussi que s'il pense qu'a gagner il risque de beaucoup souffrir au tennis...

lui dire qu'il essaye de jouer avec le sourire...

pas evident mais mon fils est demandeur d'explications alors ca marche pas trop mal

je fais des tournois de mon coté et je l'emmene pour qu'il me voit perdre..(ca, je le fais pas expres...je prefere gagner mais "CE N'est Qu'un MAtch de Perdu", on me coupe pas une jambe)

C'est sûr, la chose n'est pas facile car chaque cas est un cas particulier et il est très difficile d edonner des conseils généraux.... Pour ma part j'ai connu deux cas qui ont orienté mon travail en psychologie du tennis....

L'une ma fille, pleurait lorsqu'elle perdait, mais elle était surtout émotive et elle pouvait perdre l'imperdable tout en ayant un physique hors du commun..... dans ses jeunes années elle a gané plusieurs championnats du départemant et a battu, une fois la vice championne de France de sa catégorie, qui elle, pleurait aussi, elle pleurait même lorsqu'elle gagnait et que malancontreusement, elle perdait un point. Mais elle gagnait quasiment tous ses matchs... Car les pleurs la libéraient....

Il n'y a donc pas de règle....

A mon sens, ce qu'il faut observer chez l'enfant, c'est le changement qui se produit vers les onze ans... Avant l'enfant joue d'instinct, à l'intuition, avec son cerveau ressentant.... il ne juges pas ses performances ni ses défaites, tout va bien.... Lorsque l'EGO s'établit plus fortement et que l'environnement club fait ses effets (culture tennistique oblige :angry: )

L'enfant craint la défaite, et ses parents accompagnateurs aussi même si les mots sont rassurants, l'enfant n'est pas dupe ! Il ressent bien le sentiment profond du parent ccompagnateur, lorsqu'il a perdu.....

Que faire ? Car, je le maintiens pour l'avoir vécu, il y a souffrance chez l'enfant lorsqu'il commence à craindre la défaite....

Il faut que le tennis soit son affaire et pas celle de ses parents. Il faut que son jeu, sa technique, sa tactique en compétition soit la sienne et pas celle de son parent.... Le trop grand intérêt du parent pour le tennis de son enfant, qui ne le cachons pas est une sorte de projection... est nuisible, même si, comme je le vois sur des témoignanges précédents, il s'agit de parents équilibrés pleins de bonne volonté.....

L'enfant peut reprendre du plaisir à la compétition, il est peut-être encore temps, mais il ne faut pas lui fixer

des objectifs de prgression mais des objectifs de comportement, de surpassement, en lne e laissant se comparer qu'à lui même.... Lui laisser prendre plus de plaisir dans l'action tennistqiue que dans son résultat, etc.