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quincophonie

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Tout ce qui a été posté par quincophonie

  1. tendinite talon d'achille

    Je rebondis pour vous donner le fin mot de mon cas qui est à l'origine du sujet : prise de sang ayant révélé un taux d'acide urique légèrement eleve (goutte) formant des cristaux qui se concentrent dans les articulations... Si terrain familial ou picole trop marquée + mal bouffe Ca peut être une hypothèse quant à la recherche des causes.
  2. Yannick NOAH en net déclin

    L'attitude et la présence de Noah vous ont-ils comme moi posé question ? Avec son air de vieux hiboux seul sur sa branche en courant alternatif avec la version reboot Noah 91 qui paraît parfois assez empruntée. J'ai du mal à cerner le bonhomme qui a pas l'air en super état. Sur ces impressions, j'ai lu cet article de l'Equipe qui apporte quelques réflexions intéressantes. Donnez moi votre avis si ça vous inspire ! Comment Yannick Noah a fait évoluer son capitanat en Coupe Davis Publié le dimanche 26 novembre 2017 à 20:26 Déçu par la nouvelle génération, Yannick Noah a dû composer pour retrouver l'enthousiasme de ses premiers capitanats. Mais sa bonne étoile, elle, ne l'a toujours pas quitté. Romain Lefèbvre (avec S. D.), à Villeneuve d'Ascq Partager sur Facebook Tweeter Google+ Il y a comme une évidence qui n'a échappé à personne, aussi bien dans le microcosme que chez la ménagère installée devant son poste de télévision : Yannick Noah a vieill i. Cette certitude a éclaté au grand jour, au cœur de la demi-finale de Coupe Davis France-Serbie, en septembre. Sur la chaise comme en coulisses, on avait du mal à reconnaître Capt'ain Yann, étonnamment privé de son sourire solaire et limité dans ses élans guerriers et sa parole d'ordinaire libre, sans filtre. Le magicien du tennis français, cinquante-sept ans, avait des allures de sexagénaire soucieux, le cheveu de plus en plus grisonnant et le regard perdu, presque « triste », selon certains proches, derrière ses besicles de vieux sage. Comme si les coups reçus ces dernières années lui étaient revenus en pleine poire au moment où Jo-Wilfried Tsonga lui avait fait comprendre, comme Gilles Simon lors de son retour sur la chaise en Guadeloupe, face au Canada en 2016, qu'il n'avait pas besoin de ses conseils en plein match. Les coups ? Versant privé, Noah, anéanti par la perte de sa mère en 2012, puis de son père au début de cette année, a vu également partir l'an dernier Pascal Albuixech, son meilleur ami de ses années niçoises. Autant de terribles chocs émotionnels qui l'ont fortement ébranlé. Versant public, l'ex-champion devenu chanteur à succès, a perdu son statut d'icône consensuelle. Ce Noah-là, qui passe une partie de son temps libre sur son bateau, voguant d'île en île, loin du circuit ou des studios d'enregistrement, a subi de plein fouet le ressac d'une brutale baisse de popularité durant le quinquennat Hollande. Lui qui avait été désigné personnalité préférée des Français à onze reprises, indéboulonnable de décembre 2007 à juillet 2012, ce qui le situait au palmarès derrière le commandant Cousteau (20) et l'abbé Pierre (16) et loin devant Zinédine Zidane ou Jean-Jacques Goldman (6), a payé cher son soutien au futur président de la République durant la campagne en 2012. Son public ne lui aurait ainsi guère pardonné ses prises de position et son dernier album, Combats ordinaires , jugé trop militant et pas assez dansant, n'a pas rencontré le succès des précédents. Écoulé à 100 000 exemplaires, ce qui n'est pas si mal dans la chanson française, l'opus a plafonné bien loin du million d'albums vendu en 1990, et des 750 000 ou 500 000 exemplaires atteints par les suivants, quand il trônait encore en tête des charts. Dans la vie de Noah, les échecs sont rares et d'autant plus douloureux. D'une manière ou d'une autre, et même s'il doit encore un album à sa maison de disque, il lui fallait rebondir ailleurs. Et pourquoi pas là où tout a commencé, dans le tennis, son milieu ? Gonflé d'enthousiasme et de passion à son retour en équipe de France, il a peu à peu déchanté. «Je sais que ça n'a pas été simple pour lui, confie “son petit frère” Guy Forget. On en a un peu parlé et je lisais entre les lignes qu'il était touché. Il y a un décalage entre ce qu'il avait imaginé et ce qu'il a vécu. Je pense qu'il imaginait quelque chose de beaucoup plus fluide.» Là où le courant passait naturellement avec les générations précédentes, il a fallu composer avec les atermoiements de ces pseudo-mousquetaires, trentenaires ou presque, et impossibles à formater selon ses attentes. «Putain, il y a vingt ans, les mecs étaient au garde-à-vous devant lui ! Terrorisés ! C'était Yannick quoi!» - Bruno Rebeuh, ancien arbitre international Si bien qu'en privé, la qualification pour la finale pourtant en poche, Noah confiait à ses proches sa lassitude de voir «ces mecs qui ont tout le temps une excuse pour se défiler. Quand l'un ne peut pas jouer à cause d'une blessure, c'est l'autre qui n'y est pas parce qu'il a un contrôle fiscal sur le dos, c'est chiant...» Même ses amis de toujours ne l'ont pas reconnu lors de son dernier passage à Lille. À l'image de l'ancien arbitre international Bruno Rebeuh, compagnon de sport-études (section foot), il y a quarante ans au Parc Impérial de Nice : «Sur le banc, ça fait un peu de peine de voir qu'il n'a pas le contrôle, comme en demi-finales. Putain, il y a vingt ans, les mecs étaient au garde-à-vous devant lui ! Terrorisés ! C'était Yannick quoi ! Là, t'avais l'impression que c'était lui le petit garçon. Je le trouve, c'est vrai, un peu plus détaché, retranché derrière ses petites lunettes rondes. Il en impose moins qu'avant. Dans la communication, il est moins bon, ou moins à l'aise. Est-ce parce qu'il a vieilli ? Est-ce sa nouvelle approche ? Est-il usé ? Je ne sais pas...» Ce week-end, la version 3 du capitaine Noah a enfin retrouvé une attitude conquérante pendant le double, bien aidé par le scénario du match. À moins que ce soit la seule présence sur le court de Pierre-Hugues Herbert, plus malléable et sensible à son discours, qu'un routard comme Richard Gasquet qu'il laissa dans sa routine au changement de côté. «Il s'adapte, dit Thierry Champion. Vingt ans après, les générations ont évolué. Il est arrivé dans cette équipe avec des idées arrêtées, et puis il a fallu composer avec tous les joueurs. Sur ce double, j'ai retrouvé Capt'ain Yann, celui que je connais. On ne l'avait pas forcément vu depuis la Guadeloupe (début 2016). Son choix était assumé, il n'a pas attendu que ça se passe, il a participé aussi à la victoire.» D'ailleurs, dans le cercle des intimes, on raconte toujours le même leader, infatigable chambreur, capable de débouler de son 4 × 4 dans les rues calmes de Boulogne-Billancourt avant un déjeuner dominical au restau, en interpellant ses potes à grands cris. «Oui il est dur à suivre, il l'a toujours été. Mais les joueurs sont aussi durs à suivre» - Guy Forget «C'est le même homme, dit l'ancien footballeur José Touré. Un type très intelligent, qui a un pouvoir de transmission. Même s'il y a un écart générationnel, avec lui, ça passe. Car il n'est pas dans la certitude. Il n'est pas que dans l'instinct non plus. Il est dans la réflexion. Il sait se remettre en question.» Mansour Bahrami aussi croit toujours en lui. «Quand j'entends qu'un joueur lui dit : “Laisse-moi faire, je ne veux pas que tu me donnes des conseils”, c'est un peu déstabilisant. Mais Yannick fait le job. Il peut te convaincre de l'écouter, tu crois ce qu'il dit. C'est un gourou. Il a quatre ans de moins que moi mais j'ai l'impression que c'est mon grand frère. Il a toujours la même envie de faire des choses. Quoi qu'il arrive, il vit à mille à l'heure. Vingt-quatre heures dans une journée ce n'est pas suffisant pour lui.» Au fil des années, la famille du tennis français s'est élargie. Certains n'ont pas connu le Noah à qui tout souriait et ne voient en lui que les lignes d'un palmarès. Logique donc qu'il fasse moins l'unanimité qu'avant, que son body language sur la chaise en agace certains, jugeant qu'il en fait trop. «Il faut prendre Yannick tel qu'il est avec ses coups de gueule, avec ses excès, sa générosité, sa passion, son expertise, plaide Guy Forget. Oui il est dur à suivre, il l'a toujours été. Mais les joueurs sont aussi durs à suivre.» Et si l'intéressé, tirant les leçons de ces derniers mois, n'avait pas décidé de vivre son aventure plus égoïstement que dans les années 1990? «J'ai cinquante-sept balais et je vibre encore, disait-il la semaine dernière. Je suis revenu avec ce rêve de gagner. Si j'arrive à revivre ça, ça va changer ma vie.» On lui demande si le Noah qui a tant gagné a encore besoin de «tout ça», et il répond du tac au tac: «Demandez à Nadal s'il avait envie d'arrêter au bout du septième Roland-Garros.»
  3. Coupe Davis

    Au temps pour moi
  4. Coupe Davis

    qui plus est ce saupoudrage ne produira aucun effet. 20 euros de réduction sur une licence en région parisienne, autant dire rien du tout. Même les rares heureux élus ne s'en rendront pas compte. Pshit.
  5. Yannick NOAH en net déclin

    Il faut pas se voir trop beau ni trop minable et manifestement c'est pas facile pour nous français. Tout est question de contexte, en effet. Le poids à soulever était bien plus lourd que le classement des joueurs en face. Si on admet ça, il me semble que la gagne était pas "donnée". Cette campagne a été tout sauf simple pour Noah, le staf et pour cette équipe là, après 16 ans de disette et de conflits divers. Ils sont allés la chercher et méritent tous une reconnaissance à la taille du trophée. L'esprit de lose évoqué par Noah est une pièce dont l'envers est cette soif de triomphe total dont tu témoignes Solmhyr. Or avec sa composition, la France a, mis à part époque Mousquetaire, toujours dû trouver une faille où s'engouffrer à défaut d'avoir un top 5 dans l'équipe. La France n'écrase pas, elle bidouille, elle bricole. Elle sort un Leconte de la boite ou une équipe de double improbable. Elle parvient, pas toujours, à produire cette étincelle collective qui lui permet de voir plus loin que ses qualités individuelles additionnées. Il faut accepter ce fait et admirer l'ingéniosité et la hargne d'une équipe qui gagne avec ses moyens. Ca produit pas toujours des matchs homériques mais ce point est finalement presque un détail. Enfin sur le cas particulier de Pouille, il a eu le mérite comme Goffin, de fermer le match au bout d'un set (en gros). Faire ça en 5eme décisif, après son échec en premier match et sa saison en demi teinte, oui, c'est "héroïque".
  6. Yannick NOAH en net déclin

    Puissent nos français être dans le rouge comme ça
  7. Coupe Davis

    c'est très bien les blagues, ça dépend du périmètre de l'auditoire quoi. Pour l'équipe c'était sûrement utile! De là à mettre ça dans la comm' autour de la victoire, c'est un peu gênant comme récup' ce haka. (enfin pas de quoi en faire un fromage).
  8. Coupe Davis

    Ahem, ce haka. finalement mieux vaut peut être regarder le terrain sans trop chercher à regarder les coulisses Si ça fonctionne pour eux c'est parfait, mais comme spectacle ça fait une drôle d'impression.
  9. Yannick NOAH en net déclin

    le père de P2H abonde Comment a-t-il finalement renversé la situation en sa faveur ? « Je ne sais pas ce qui s’est tramé dans le groupe. Je doute qu’il ait gagné sa sélection sur la qualité pure des entraînements, même si ça a compté, bien sûr. J’ai surtout le sentiment que Yannick Noah cherche à créer une dynamique nouvelle. Il y a peut-être des automatismes qui ne lui convenaient pas dans le groupe. Il a sans doute voulu casser les certitudes établies. Ce qui l’intéresse, c’est la motivation profonde du joueur par rapport à une dynamique de groupe. Il ne se base pas sur les résultats précédents, il fait selon son intuition. C’est de cette façon qu’il avait sélectionné Leconte à Gerland en 91. Il faut se méfier des certitudes du circuit ATP. La coupe Davis, c’est autre chose, une autre énergie. » (tiré de https://www.tennismag.com/jean-roch-herbert-pierre-hugues-sest-affirme/)
  10. Yannick NOAH en net déclin

    dans le même registre, Gerra a osé faire la contrepèterie sur "Lucas Pouille". http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/laurent-gerra-imitant-brigitte-macron-et-mes-tailleurs-a-3-000-balles-pretes-par-dior-tu-les-aimes-7791153360
  11. Coupe Davis

    https://www.facebook.com/FFTennis/videos/10156078126668699/ ou l'on peut voir notre président entouré de ses champions, dans un moment de convivialité intense à partir de 5'.
  12. Coupe Davis

    cela dit, le haka dans les vestiaires était un beau moment de gênance (avec Pouille qui avait manifestement un intense et durable problème de slip).
  13. Coupe Davis

    la décence ? l'année 2017 ? non l'explication est générationnelle, ces salauds de jeunes ne pratiquent plus les danses de salon.
  14. Coupe Davis

    z'ont pas osé bousculer les "places réservées".
  15. Yannick NOAH en net déclin

    je redoutais le combo Johnny / Noah.
  16. Coupe Davis

    Pour le spectacle, Goffin poussé dans ses retranchements ça m'aurait carrément plu.
  17. Yannick NOAH en net déclin

    à chaque fin de set, le torse de statue romaine. Poussez-vous vla l'empereur. Gasquet a certainement joué un grand rôle dans le gain du double. Il me semble qu'on l'a pas beaucoup souligné.
  18. Coupe Davis

    Mmmmh. Tsonga était capable d'en rajouter encore et de jouer plus vers l'avant / filet comme il l'a fait en guise de chant du cygne. Le gain du 1er set aurait pu libérer le bras et surtout apporter l'espoir et la folie qui n'ont jamais apporté leur carburant à ce match. Un Jo qui enflamme un public et continue de pilonner à 220 pouvait faire mal. J'aurais bien aimé voir ce second set. ^^
  19. Yannick NOAH en net déclin

    notez quand même que la transgression totale - préférer Leconte qui revient de nulle part - est un peu la signature de Noah qui a fait pareil avec le double. Ka-boom, démerdez vous avec ça. Résultat : tout le monde à la berlue et se sort les doigts du fondement. Clément, pour son malheur, n'a jamais compris qu'une CD se gagne pas caché derrière son petit doigt. A sa décharge, le taf a accomplir était énorme, si on en juge par les rides et les cheveux blancs de Yannick.
  20. Yannick NOAH en net déclin

    Si on prend Lyon comme mètre étalon de la réussite à la CD, c'est mort.
  21. Yannick NOAH en net déclin

    qu'est ce que ça aurait été si la France avait perdu
  22. Yannick NOAH en net déclin

    il s'est quand même pointé sur l'air de "z'allez voir si j'm'y mets". Finalement, il a ramé comme un fou. Mais il a réussi.
  23. Coupe Davis

    Goffin joue sous infiltration depuis des lustres. Paraît qu'il ne risquait pas d'aggravation. On l'a vous jouer, le mec vole sur le court. Vu du canapé - et de son désir de le jouer - il aurait pu se rendre dispo. Il est pas spécialiste du double, GAsquet non plus. Mais avoir la relance de Gasquet nous a été sacrément précieux quand P2H faisait fautes directes sur fautes directes en retour de CD contre Bemelmans. Si on avait eu un Goffin au retour contre P2H, ça aurait été compliqué. Impossible de refaire le match mais c'était clairement une option. La seule contrainte et c'est peut être celle qui a le plus joué, c'est que Goffin voulait jouer avec Darcis. Outre le fait de pas prendre la place des 2 du double (coucou Benet et Mahut qui eux ont fait les frais), est ce que Darcis pouvait enchainer les 3 matchs ?
  24. Coupe Davis

    Goffin a dit en itw qu'ils avaient discuté tous ensemble du double. Lui voulait jouer avec Darcis. Mais a pesé dans la balance le fait que le double a obtenu des résultats sur cette surface et sans doute la volonté de préserver Goffin et Darcis. Qui pourtant n'ont pas eu un 1er match éprouvant.
  25. Yannick NOAH en net déclin

    je conteste pas du tout les résultats obtenus. Totalement en phase avec ton résumé. C'est juste qu'il m'a semblé parfois droopy dépressif, un peu à côté de la plaque... Je me demandais si le grand manitou s'était pas un peu cassé le dentier sur des difficultés qu'il avait pas imaginées, lui rappelant que 83, 91 et 96, c'était au siècle dernier.
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