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Forums Tennis-Classim

Roche

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Tout ce qui a été posté par Roche

  1. Bonjour à tous et à toutes , Depuis janvier un golf elbow ( tendinite interne du coude ) me gène dans la vie de tous les jours ( sensations de bras lourd et vite fatigué ) et bien évidemment dans la pratique de mon sport favori le Tennis . J'ai fait X scéances de Kiné sans ammélioration aucune . Un ostéo me suit régulièrement mais là pour le coup ça ne fonctionne pas non plus . Comme j'aime jouer je le fais de temps en temps mais je retiens mes gestes perds de ma fluidité et par conséquent je me bloque ailleurs aussi ... Si quelqu'un a un conseil je prends bien volontier . merci d'avance.
  2. Quelque chose de familier pour tout le monde !? Toujours dans ma volonté de mieux vivre le tennis en compétition je me suis penché sur ce sujet en me regardant jouer , en écoutant ma respiration et je me suis aperçu que même si je pratique régulièrement des exercices sur le diaphragme ou la respiration en général ,en match , en situation de stress ( ou pas d'ailleurs ) je n'arrive pas à automatiser mon expiration. Au service , oui j'y arrive , c'est un geste qui n'appartient qu'au joueur et donc en y pensant , en le préparant à chaque fois c'est plus facile d'instaurer un rituel de respiration. Au retour aussi , bien que la frappe , même si j'y pense avant , se fait généralement en apnée .. Pas bon ! A l'échange , c'est pire , je vais y penser une voire deux fois , ensuite c'est l'apnée totale! Je m'en rends compte mais c'est très difficile de l'installer naturellement dans mon jeu et par conséquent je fatigue plus vite pour rien... Des études ont montré que sur un match d'une heure trente , il y avait 13 mn de jeu effectif, donc ce n'est pas vraiment le sport en lui même qui fatigue mais plutôt la " gamberge " , l’énergie mentale qu'il faut déployer couplée à la mauvaise oxygénation des muscles qui par conséquent ne récupèrent pas assez bien et vite. J'aimerais connaitre vos avis la dessus - merci.
  3. The inner Game par Tim Gallwey

    j'ai ce livre sous la main et je n'arrive pas à lire plus de 10 pages d'affilée tellement il est riche et ouvre des portes .... Je suis obligé de lire et relire , de prendre des notes et de pratiquer certaines choses pour toucher du doigt les effets ...bref quand on s'attaque à ce livre on est heureux et perdu à la fois.Je m'explique , je pense qu'à un moment donné il faut lâcher la technique ( si tant est qu'elle soit suffisamment correcte ) pour ouvrir les "chakras tennistiques" permettant d'explorer toute l'étendue de son potentiel. Cette démarche passe donc par le mental , l'intérieur , comprendre comment ça marche , comment l'utiliser en compétition et au sens large dans la vie de tous les jours. Très vite dans ce livre , après avoir pris conscience des 2 moi , Gallwey explique que pour tendre vers l'unité mentale , la tranquillité de l'esprit , il faut désapprendre à juger , ne pas accorder de valeur , positive ou négative à l'évènement , au coup, juste le constater tel qu'il est afin de ne pas venir entraver à terme l'expression pure et fluide du moi 2 .. laisser faire , laisser jouer ... Alors je dis oui génial , ça me parle , je veux explorer ça mais comment faire hein expliquez moi un peu comment bordel dans son coin après des années de tennis inappropriées on peut faire pour chercher du bonheur dans ce genre de démarche nouvelle !!?? HELP..
  4. Vos trucs et astuces persos pour démarrer un match , y rester et le finir sans saute d'attention ... Personnellement c'est mon plus gros défaut, suis un cérébral et mon esprit dés qu'il peut se barrer ailleurs que sur le court ne se gène pas pour le faire ! Énormément de mal à rester focus sur l'instant présent ce qui se traduit par des points pas ou mal finis , une volée facile dans les choux ou encore un changement de décision au dernier moment entrainant à 95 % du temps une faute non provoquée par l'adversaire ... Il y a 2 ans j'ai été invité à un stage découverte sur la prépa mentale faite par Sauveur Cuomo, un coach d’Aix en Provence ,et j'en suis sorti avec 2 trucs en tête : regarder les coutures de la balle et respirer pour me calmer par un décompte de 5 je commence à me calmer à 1 je suis prêt pour le point suivant.ça peut paraitre con et évident mais pour moi ça ne l'était pas et surtout je n'y avais jamais accordé toute mon attention au cours d'un match. Me voilà donc en tournoi ( 15/4 à l'époque ), je m'applique à respirer 5/1 entre chaque points et me force à capter les coutures de la balle en permanence ... Je n'attendais rien , ne mettant jamais impliqué dans un processus du genre, je n'en connaissais pas les effets possibles, résultat, les matches s'enchainent , je perf à 15 et je perds à 4/6 en demi ! Waou exploit pour moi vous vous en doutez ... Un deuxième tournoi derrière , j'utilise ce savoir , et bien que moins efficace, bon résultat je perf à 15/1 pour perdre à 15 derrière mais tout en regagnant à 15/2 dans un tournoi parallèle pour reperdre derrière à 4/6. Bref j'ai l'impression d'avoir franchi un cap . Comment j'analyse le phénomène. Comme dit au départ je ne m'attendais à rien, j'essaie, je donne des ordres implicitement permanents à mon cerveau, regarde les coutures et respire. De ma 1ere pef à 15 je ne me rappelle presque de rien, un gaucher qui servait très slicé mais je retournais sans pb , la couleur jaune de mon anti parasite et les enfants qui hurlaient autour du court mais ça ne me gênait pas , mon attention était captée ailleurs. Le tournoi qui a suivi , c'était pas pareil , j'avais déjà " envie " de reproduire cette sensation d'imperméabilité. Sur les 1er tours pas bon , j'étais excité , je voulais , j'exigeais de gagner croyant être devenu un caïd de la terre battue ... je n'ai pu retrouver un peu de calme que dans le tour dur à 15/1 mais plus par la respiration que par mon attention fixée sur les coutures ... la magie commençait à disparaitre ! Par la suite , j'ai réessayé le système mais ça n'a plus eu du tout le même effet ! Mon esprit a du mal à rester sur le point jusqu'au bout et j'ai du envisager d'autres outils de concentration, j'en parlerai plus tard si ça intéresse les classimiens. Tous les préparateurs mentaux le disent , dés l'instant où nos attentes sont trop fortes , le moi 1 , l'ego, celui qui veut tout contrôler et qui juge, empêche l'expression fluide et instinctive du corps automatique ( moi 2 ) . Faire taire le moi 1 est une forme de concentration, je l'ai approché par mon regard insistant sur les coutures de la balle et la respiration pour me recenctrer avant chaque point .... à vous de partager merci.
  5. gros problème de casse ...

    Salut à tous , J'ai un léger soucis de casse intempestive qui me ronge le porte feuille et les nerfs par la même occasion. je joue avec une Wilson 95 S en plan de cordage ouvert 16X15. je suis passé au mono 1.25 chez Luxilon parce que je pétais tous les multis à une vitesse folle, j'ai des frappes assez lourdes et liftées et je bouffais les fils à vue d’œil. A la lecture de différents avis sur les forums appropriés j'ai donc essayé les monos et j'avoue que c’est un régal de puissance , d'accroche certes moins confortables pour le bras mais tellement plus efficaces.De plus , soit disant , les monos sont beaucoup plus résistanst et bien chez moi c'est l'effet inverse , je pose , je joue , je casse le match qui suit !J'ai quasiment essayé toute la gamme luxilon mais pas de résultat probant. Le seul cordage que je tiens un peu c'est un wilson rip spin en 1.25 ce n'est ni un mono ni un multi. Alors si vous avez des conseils ou avis je suis preneur. merci
  6. gros problème de casse ...

    J'ai mis 26 kg .. trop ? C'est du POLY PRO 1.35 de chez Wilson.
  7. gros problème de casse ...

    bon voilà suis monté en 1.35 de wilson style rip spin OUCH le bras et l'épaule ne semblent pas trop apprécier le truc !
  8. gros problème de casse ...

    Le ripspin 1.30 de Wilson, pour le moment dure un peu plus que les autres, souple , ne perd pas trop en tension ça a l'air plutôt pas mal.
  9. Peut on progresser après 40 ans

    Salut à tous et à tous les vieux qui vont rebondir sur ce sujet. Voilà le débat , est il possible de devenir meilleur compétiteur après 40 ans !!?? J'attends vos avis pour lancer la discussion .....
  10. Peut on progresser après 40 ans

    Perso c'est mon année de reprise , je suis globalement re en forme et je compte me lancer dans la compétition pour retrouver mon ancien classement ( 15/2) et le dépasser car , comme tous les vieux , je suis devenu plus "intelligent" plus calme et je relativise beaucoup plus. Rien que ça , en fightant des 35-45 ans je devrais pouvoir m'amuser au moins. Niveau technique j'essaie aussi de mettre moins de rotation , de vissage dans mes coups pour jouer plus en translation , en avançant en coupant les trajectoires vers l'avant pour éviter de faire des matches marathons ! Parce que dans la tranche 35-45 on trouve souvent des mecs biens entrainés avec un gros fond qui n'ont pas peur de jouer 3 heures ... Donc je résume : - maturité - filières plus courtes - respect du corps voilà mon trio pour atteindre mes objectifs cette année.
  11. Peut on progresser après 40 ans

    C'est là l'objet du sujet et c'est là que nous allons répertorier tous les paramètres nécessaires à cette ascension de la dernière chance ...
  12. Peut on progresser après 40 ans

    Pour moi monter 15/3 c'est à la portée de tout le monde pour peut que le joueur soit coordonné un minimum, un physique moyen et une intelligence ( vision de jeu ) correcte. Donc là on , je , ne parlerais pas de progression, je dirais que tu as atteint ton potentiel basique d'être humain en bonne santé qui avait des notions de tennis de manière générale. Là où je parlerais de progression c'est pour aller chercher le 15/2 15/1 15. Le tout après 40 ans .......
  13. gros problème de casse ...

    ok ok ok je dois jouer avec du câble ! Bonjour les sensations que je vais avoir ...
  14. Formation moniteur de tennis

    Si tu peux passer ton AMT par VAE .
  15. gros problème de casse ...

    plein centre @titouess ok pour le test polyfibre je cde je vous dirai le retour que j'en ai.
  16. gros problème de casse ...

    Oui je vais monter en jauge mais je risque de perdre un peu en sensation non!? Le ripspin est un co-ply ce n'est pas pareil qu'un mono il me semble .
  17. Peut on progresser après 40 ans

    Ne pas négliger aussi l'aspect podologue. Allez faire un bilan me semble nécessaire également.Bien souvent nous vivons avec des déséquilibres , accentués par la pratique du tennis sport déséquilibrant par excellence. A l'âge de 30 ans je n'ai pu rejouer au tennis qu'après une rééquilibrage de mes appuis avec des semelles , sans ça je ne pouvais même plus tenir une raquette tellement j'étais perclus de tendinites de toutes sortes .
  18. Peut on progresser après 40 ans

    Certains ( et je suis d'accord) disent que le tennis n'est pas un sport physique ( surtout chez nous les amateurs !! ne commencez pas à citer Nadal / djoko ) - 13 minutes de jeu effectif sur une partie en 2 sets ... des séries répétées de petits déplacements de 4/5 mètres ... Si on apprend à respirer correctement raccordé au fait évident que le stress bouffe aussi de l'oxygène en bloquant le diaphragme donc apprendre aussi à relativiser à ne pas accorder plus de place qu'il ne faut au résultat on devrait pas avoir de pb physique au tennis ... D'ailleurs pour ce qui est de mon cas je dois mettre 2j31h pour un marathon et cela ne m'a jamais empêché de jouer au tennis et , à mon petit niveau 15/2, je n'ai jamais perdu une partie à cause d'un physique insuffisant. J'ai perdu, parce que mon temps de réaction et ma capacité à rester organisé ne suivait plus c'est tout ... Alors plutôt que d'aller courir 3 fois par semaine passé 40 ans ne vaudrait il mieux pas travailler 1 h avec une balle Z par exemple!?
  19. Peut on progresser après 40 ans

    Si on avait fait attention à tout ça plus jeunes, on pourrait certainement pratiquer avec plus de fluidité aujourd'hui encore et ne pas être sans cesse aux aguets quant aux petits bobos éventuels. Je dirais qu'avec l'âge il y a une grosse perte de mobilité du bassin due à une raideur de tous les muscles qui s'y rattachent. Donc on va moins sur les extérieurs, être en appuis ouverts fait souffrir, on descend moins sur les jambes , on pousse moins au service ... Pour moi passé 40 piges il me parait vital d'étirer , de prendre soin des muscles suivants : PSOAS / ADDUCTEURS COURTS ET LONGS / ISCHIOS / CARRE DES LOMBES. Je rajouterais un travail sur la souplesse des épaules par des positions de yoga comme celle de "la vache " par exemple.
  20. Peut on progresser après 40 ans

    dans mon coin j'ai un pote qui est resté 15/3 jusqu'à 35 piges , de 35 à 40 il a progressé et PAF 40 ans 3/6 ! Je le regarde jouer et je ne vois pas de différences pourtant il embrouille des gamins à 2/6 et c'est un matcheur avéré, il fera des lobs s'il le faut pour gagner un match ...
  21. Peut on progresser après 40 ans

    le physique décline certes quoi que ! le problème maintenant c'est la récupération après les matches et l'enchainement en cas de tournoi ... Pour se faire , travailler un petit fond d'endurance , jouer un style de jeu économique et participer à des compétitions dans sa catégorie d'age me semble être une bonne approche également...
  22. Peut on progresser après 40 ans

    C'est encourageant tout ça . Personnellement j'essaie de changer quelques bricoles techniques dans mon jeu. Depuis que j'en ai une approche plus globale, j'ai décidé de faire de mes coups biomécaniquement potentiellement plus amples des coups forts. Avant , pas de service, pas de coup droit , un revers (15/2 perf max 15). Aujourd'hui j'ai bossé vraiment le service et cela devient un coup plus fort j'entends par là un coup avec lequel je peux faire des points faciles ou obtenir une balle courte et attaquer ensuite. Au début j'ai essayé de mette beaucoup plus de rotation dans mon geste , de vissage comme vous dites, et ça a marché, j'arrivais à trouver plus d'angles et à maitriser +/- toutes les zones. Question puissance je pensais pouvoir faire mieux alors j'ai bossé sur la poussée vers l'avant et le respect de la ligne , bras lanceur- épaules - coude (car chez moi c'était un défaut). C'est mieux beaucoup mieux qu'avant même si je n'ai pas encore vraiment trouvé mon geste le plus naturel, j'aime tellement expérimenter des choses que j'en change souvent. Ce qui me guide en tous cas c'est la fluidité , je cherche quelque chose de naturel et fluide où je privilégierai le rythme à la force. Question coup droit, je me pose bcp de questions. J'ai des coups amples de terriens mais comme mon objectif maintenant passé 40 piges est de raccourcir les échanges pour venir au filet plus souvent, j'ai entreprise de travailler un CD plus compact , bras tendu dans lequel le bras ne part pas trop loin derrière. Si parfois j'ai de très bonnes sensations il m'arrive de perdre ma coordination et de ne plus trop savoir que et comment faire!! Niveau tactique je travaille donc les filières courtes à savoir principalement dés que je peux je décale en CD pour attaquer sur le revers adverse puis je monte , ou j'utilise mon bon revers lifté pour envoyer une balle bien haute et lourde toujours sur le revers adverse et je monte toujours. Bref j'essaie de me créer des ouvertures pour m'engouffrer dedans au plus vite. Je pense plus zone maintenant que coups en fait et ça marche pas trop mal. Niveau résultat, 2 ans de blessures , lombalgie , tennis et golf elbow ont stoppé ma "carrière" (15/2 à 40 ans, 15/4 cette année donc). Après toutes ces réflexions et ma reprise cette saison de la compétition , je fais très attention à mon corps à mes dysfonctionnements mécaniques, je nage 1 fois par semaine , je cours 1 fois , je joue 1 fois 1h30 et je fais du yoga 1 fois également, j'espère que cela va porter ses fruits et me prouver effectivement qu'on peut changer à 40 ans passés ...
  23. Et si on parlait un peu de tactique ... Partons du fait qu'avec une même technique mais en rajoutant d'autres aptitudes à la compétition on puisse faire mieux .. ou pas .. Je pars toujours de mon cas parce que c'est ce que je connais le mieux. 15/2 , un revers lifté honorable et rien d'autre. Pas de schéma tactique , pas d'intention autre que de faire gicler ma balle haut sur le revers adverse, bref le vide inter sidéral : portrait moyen d'un compétiteur très médiocre.. Aujourd'hui les choses ont changé, je me suis intéressé à d'autres domaines, on va dire pour résumer à l'aspect global de la pratique du tennis en compétition qui ne s'arrête pas au simple fait de savoir faire proprement un coup droit. Il est intéressant de constater que , je parle de mon cas toujours , j'ai fait des progrès notables lorsque j'ai réussi à raisonner en terme de cibles, de zone à atteindre en donnant des ordres à mon cerveau. Il ne s'agissait plus de je m'applique à faire le plus beau coup droit du monde et peut être je réussirais à mettre la balle où je veux MAIS je choisis une zone et je laisse faire mon bras ( qui possède cela va de soit suffisamment de technique pour faire un geste potable dans son ensemble). Donc la nouveauté pour moi a consisté à ne plus rentrer sur un terrain sans objectif précis. Et, quoi de mieux pour tenir sa concentration de ramener son raisonnement sur chaque point chaque balle en pensant , en visualisant en ordonnant ce que l'on souhaite faire. C'est la première phase ... prendre conscience de son cerveau, apprendre à lui parler pour garder son calme durant une partie .. ne pas se laisser emporter par l'excitation du jeu. D'où le titre de mon sujet . Selon moi la phase de consolidation de cet acquis passe par un apprentissage supplémentaire qui est : la gestion du stress face à l'agression et ou la lutte permanente face à l'excitation bref savoir tenir son calme en toutes circonstances ! Alors autant je commence vraiment à incruster cette façon de me donner des ordres autant je constate , malgré ma volonté de maitriser ça , que je n'arrive pas à conserver mon calme , à prendre du recul avant chaque frappe et par voie de conséquence , je me retrouve en l'air parce que j'en ai trop mis, déséquilibré, mauvais transfert etc etc et mon coup ne prend pas toute l'efficacité que je voulais lui mettre. Je voudrais être capable , par exemple , lorsque j'ai une balle mi-court où je dois rentrer , d'appuyer sur un bouton ralenti et d’exécuter mon coup dans la décontraction la plus totale un peu comme si j'en étais spectateur pour arriver à jouer dans les zones ouvertes avec sang froid et discernement. ça me permettrait de jouer plus juste , de ne pas trop en mettre, de conserver un rythme de bras me permettant 80 % de réussite pour atteindre la zone visée par exemple. Au lieu de ça , même si parfois j'y arrive, j'ai l'impression que dans la zone - de 1 m de la frappe je perds toutes notion de réalité , tout devient flou, je suis sonné, j'exécute certes mon coup mais je reprends connaissance qu'après la frappe. C'est frustrant parce qu'on a toujours l'impression d'être la tête sous l'eau et plus les jeux s'enchainent plus la lucidité fout le camp. Ceci est d'autant plus vrai lorsqu'on joue contre quelqu'un de plus fort qui forcément vous agressera sur toutes les balles mais ne serait ce pas une faculté à travailler à un rythme plus bas pour justement après avoir atteint une maitrise totale à ce rythme , l'augmenter petit à petit pour voir jusqu'où je "dégoupille" et je perds mon sang froid. bref comment travailler ça , ce self contrôle si important à mes yeux pour être performant ....
  24. Heu personne n'a relevé m'a remarque sur l’œil directeur !!??
  25. @loulou : oui quand je disais appuis en ligne je voulais dire appuis dynamiques , cloche pied de préférence pour moi . Deuxième chose l'appui fixation avec pied droit parallèle à la ligne pour traverser et retomber pied gauche comme tu dis c'est facile à comprendre mais c chaud comme la braise pour synchroniser le tout et toucher la balle au bon moment ! Mais revenons au sujet , je reviens d'un petit match d'entrainement et avant d' aller j'ai eu une petite illumination : je me suis dis et si ton problème de black out était lié à ton œil directeur !!! je m'explique. Là où j'ai principalement ce problème c'est sur la volée de CD croisée et les coups d'attaque en CD croisé. Alors aujourd'hui je me suis dis fais l'effort de faire correctement l'enchainement de toutes les dissociations pour finir par tourner la tête à l'impact ( cf Federer) et la garder sur le côté pour tenir mon œil directeur (gauche) le plus longtemps possible sur la balle . Le résultat fut excellent puisque j'ai pu faire un nombre incalculable de volées posées croisées courtes en vraiment gardant ma tête à l'impact jusqu'au bout !!! génial.... en revanche c'est moins évident sur le coup d'attaque croisé de CD encore je dois le bosser. Pourquoi je boisais régulièrement en volée de CD croisée et ou en coup droit d'attaque croisé sur une balle mi-court parce que je pense que mon envie de regarder où va mon coup me pousse à tourner ma tête de face trop tôt et cela me fait sortir de la zone d'impact alors qu'elle n'est pas forcément terminée, je regarde l'endroit plutôt que la balle , je décentre et j'ai cette sensation désagréable de ne plus être dans ma frappe forcément puisque je suis dans le jeu! c'est peut être une explication possible.
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