ladreille

Bonne chance.

Tout est dit...Pour être certain, je crains qu'il ne faille matcher encore et de préférence faire une perf à 30 voire 15/5...

Du coup je suis pas certain qu'il faille ajouter de la pression en +. T'en as assez, non ? Vu que tu matches souvent à ce niveau, ça devrait passer. Forge donc... J'aimerais aussi plus matcher à ce niveau, quitte à perdre, pour engranger de l'expérience. Je comptais sur l'intermédiaire de juin pour passer 30 et rentrer plus loin dans les tableaux, mais malheureusement, le tournoi où j'ai perfé jusque 15/5 se termine le 1er juin. Un jour trop tard donc :angry: Bref j'aimerais avoir ton classement...quitte à perdre de manière aussi frustrante.........................euh en fait, non

Le tout c'est de se souvenir des clés mentales pour éviter de déjouer les matchs et points importants. Si tu es capable de te remettre en question dans ces moments là ou après des défaites que tu estimes évitables (c'est le cas manifestement...), alors oui, sans doute tu auras de nombreux hauts. Je suivrai ta fiche à l'avenir pour me tenir au courant. Ca pourra m'aider également.

en lisant le lancement de sujet j'allais répondre puis j'ai lu cette réponse. Je rejoins totalement ces schémas tactiques. Bonne chance.

Félicitations pour tes derniers résultats. Bon courage pour la suite. Le plus dur est à venir...garder le même état d'esprit.

Attention, s'agissant du fait de la promesse de terminer en deux sets, ne va pas te mettre une pression inutile. D'abord, pense-tu avoir mal joué lors des trois balles de break ? Ensuite, n'est-ce pas justement parce que tu t'es dit que tu aurais du gagner que tu as perdu en lucidité, à la fois à la fin du deuxième et pendant le troisième ? Pour en revenir au troisième set, perso, j'avais eu la sensation, alors que je menais 3-0, que les points étaient difficiles à conclure pour moi, quand pour mon adversaire, c'était beaucoup plus simple. Il avais alors pris le parti de monter au filet dès que possible quand moi, je craignais de m'en approcher. C'est peut être le problème de jouer en perf ; c'est au troisième set que l'expérience du niveau au dessus se fait sentir.

Je te comprends. Il m'est arrivé la même chose samedi dernier. Que t'a t'il manqué selon toi pour faire la différence au troisième set ?

Je rejoins aquagreen. Quelque soit ton objectif d'avant match, il faut impérativement t'en détacher une fois sur le court. Si ça tourne dans ta tête et que tu psychotes, reprends simplement les fondamentaux de notre sport : tu ne détaches pas ton regard de la balle et tu visualises l'endroit ou tu veux l'envoyer. La victoire ou la défaite suivra, mais peu importe. De toute façon, ce n'est pas parce que tu veux gagner un match que tu vas le gagner. Il n'y aurait jamais de vainqueur sinon, les deux joueurs partageant le même objectif. Sans développer outre mesure les propos d'aquagreen, ne sous estimes pas l'importance des routines. Pour ma part, ça a été une révélation et un vrai moteur de progression.

Totalement d'accord ; je vais essayer, en match, d'en avoir plusieurs en tête et voir ce qui peut fonctionner le mieux. Le plus dur étant de toute façon d'accepter de gagner moins facilement à niveau quatrième série pour mieux préparer les matchs en troisième série, en automatisant le jeu vers l'avant. J'ai maintenant compris que tactiquement j'y serais contraint si je veux progresser. Par contre je ne prépare pas la prochaine saison ; je prépare d'ores et déjà les prochains tournois, en espérant que les points acquis lors du dernier tournoi seront comptabilisés ce qui me permettrait d'être 30 à l'intermédiaire. Merci pour tes conseils et tes encouragements et bonne fin de saison à toi également.

MERCI BEAUCOUP POUR TES CONSEILS. Le premier conseil me paraît maintenant excellent. Effectivement, en attaquant plusieurs fois de suite le revers adverse, et en utilisant le bon timing je devrais pouvoir bénéficier de volées pas trop difficiles. Surtout que multiplier les attaques de CD sur revers adverses, c'est un schéma que j'ai appliquer ces derniers temps et qui fonctionne très bien. Ca a arrêté de fonctionner à 15/4, avec un vent de folie. Avec cette montée à contre temps, ça peut me donner une arme très efficace. Je te tiendrai au courant pour le rendement de cette tactique surtout à partir de 30. Montée sur le chop long de ligne, sortant le cas échéant, je prends même si ça me donne une volée en deux temps ; L'important c'est que ça me donne pas toujours une première volée ultra compliquée ou un lob. De toute façon pour le court croisé en chop ça me parait pas un coup que je pourrai avoir dans ma panoplie : ce n'est réalisable que si je suis déja dans le carré de service coté revers en faisant une amortie. Ou alors, un bois coup de bol... Pour le retour, c'est pas facile pour moi de monter parce que pour monter il faut que j'y pense avant ....pas encore le réflexe ; et sur service adverse, ben j'ai pas le temps de penser ou alors quand je monte c'est déja trop tard (ex : le temps que je me rende compte que mon retour est gênant...). Et que penses tu de monter sur une attaque profonde en milieu de terrain ? Si je cogne pas mal, légèrement coté coup faible, ça donnerait peu d'angle à l'adversaire....Ca pourrait se travailler non ?

Merci pour tes conseils. En y réfléchissant j'ai quelques interrogations. 1) Si je frappe fort en coup droit long de ligne, je ne peux pas monter à contre-temps. C'est un schéma que j'utilise pour monter (quand je monte, trop rare quand même). Mais la puissance déployée me dessert souvent : pas le temps d'être assez prêt du filet et pour les contreurs, ça donne un passing croisé qui fait mal ; ou pire, une balle très haute. Pour monter à contre-temps, ne vaudrait-il pas mieux que j'imprime un gros lift bien profond ? 2) Je suis incapable de faire un chop court croisé depuis le fond de court, plutôt balle longue. Est-ce que ça vaudrait le coup de monter sur un tel chop croisé ? En long de ligne, souvent, je fais un chop avec un effet sortant, ça pourrait être une piste aussi. A ton avis, derrière je prendrai plutôt un passing croisé ou long de ligne ? (Pour mon positionnement). 3) Derrière le service, surtout pour serrer le jeu, je monte dans les conditions décrites avec plus ou moins de bonheur. 4) Pour ma qualité de retour, elle est correcte ; sauf grosse puissance ou balle très bondissante sur revers (balle coupée moisie, assez longue en général). Je pourrais effectivement tenter montée sur retour dans les pieds. Bonne piste.

Besoin de conseils tactiques. Je profite de ce topic ouvert qui est clairement d'actualité pour moi. En allant un peu tâter le terrain du coté de la troisième série (je précise que normalement l'année prochaine je devrais attraper le classement 30), j'ai conclu à la nécessité de venir au filet conclure. Voici les caractéristiques de mon jeu. Service à plat ou slicé en 1ère balle ; zone du carré choisie pour éviter l'agression d'entrée. Deuxième balle liftée avec possibilité de choisit plutôt sur coup droit ou sur revers. Revers : chop assez rasant ; manque d'ajustement encore pour la longueur ; mais par contre capable en conditions normales de croiser ou décroiser. Sur balle courte possibilité de faire un revers lifté court croisé. Possibilité de lifter sur montée adverse avec peu de réussite toutefois. Coup droit : très puissant, avec prise très particulière ( "berasateguienne") ; lifté ; je peux le croiser ou le décroiser. Volée : Slicée en revers, pas assez en coup droit (douleur au poignet). Pas maladroit dès lors que je suis installé au filet. Smash : possible quand je suis bien réglé (après quelques échecs) Actuellement, je monte surtout lorsque la balle adverse est courte, en jouant fort sur le revers . Problème : ça me donne trop souvent un smash à réaliser. Comme je monte peu, c'est pas évident (voir statistiques échecs). J'ai bien évidemment l'intention de travailler sur la qualité de ma volée en pleine course vers l'avant. Mais j'aimerais en parallèle des conseils sur les montées qui, compte tenu des caractéristiques de jeu ci-dessus, pourraient s’avérer efficaces. Merci d'avance de votre aide.

Salut yoyo 81. Je rejoins ce que dit cohiba. Le problème quand on doute est qu'on est assailli de pensées négatives qui peuvent faire totalement déjouer. Face à ça, il faut que tu te concentres sur un schéma tactique très simple et facile à réaliser vu ta perte de confiance. Jouer quasiment exclusivement le revers y compris au service en est une très efficace. Surtout, si tu ne penses qu'à cela tu éloigneras les pensées négatives et les doutes. C'est ce qui m'est arrivé face à un 30 contre lequel j'étais mené 4-1. Le gars me paraissait jouable mais je me sentais désarmé, je pensais à la victoire, à la défaite. Enormément de pensées parasites qui m'empêchaient de reprendre le dessus. J'ai alors visé que le revers. En frappant d'abord doucement puis de plus en plus fort au fur et à mesure que je marquais les points. Et mon adversaire n'a plus mis qu'un seul jeu jusqu'à la fin du match. Importance de l'esprit au tennis..... Tu ne gagneras pas forcément tout de suite, et tout le temps ; mais au moins ce n'est pas la spirale négative qui t'aura rongé et qui te fera à nouveau douter. En faisant cela, sûr que tu retrouveras le goût de la victoire, tôt ou tard. Crois moi.

1er match cette année à 15/5 ; Victoire 6/2 6/4. fatigué mais ravi. :sleep: Plus de détails sur ma fiche : http://www.tennis-classim.net/forums/topic/37583-ladreille-saison-20122013/page-2#entry1365893 Prochain match à 15/4 samedi...

Bonjour, J'ai cherché avec Google et sur le forum et n'ai pas trouvé de trace du sujet que je lance maintenant. Suivant depuis quelques mois ce forum j'ai l'impression que beaucoup de joueurs notamment en 4ème et 3ème série, cherchant à progresser, essaient d'améliorer leur point faible. Quand ils ne cherchent pas à tout changer ("je défends sur toutes les balles et je cherche désormais à toutes les attaquer")... La question se pose avec moins d'acuité à partir de la seconde série, un cap en terme de niveau de jeu étant clairement franchi. Je lis par ailleurs que pour de nombreux classimiens, le cap à franchir pour accéder à la seconde série est d'avoir un véritable coup fort. J'ai tendance à penser que si parfaire un coup fort peut permettre, à terme, d'espérer monter en deuxième série, cette méthode doit a fortiori fonctionner pour franchir les classements en troisième série. Par ailleurs un coup présenté comme fort en quatrième série l'est déja moins face à un joueur en troisième série et a fortiori en deuxième. Il est donc a priori perfectible... Voila la problématique du sujet que je lance aujourd'hui. Afin de franchir des paliers, vaut-il mieux s'évertuer à améliorer à tout prix son coup faible ou préférer s'acharner à toujours améliorer son coup fort (bras, qualité du transfert, précision, effets... de nombreux points peuvent être travaillés pour améliorer un coup même fort) Malgré l'orientation du texte qui précède, je n'ai pas d'idée spécialement arrêtée...alors j'attends qu'on vienne me convaincre que telle ou telle solution est la meilleure. merci.

C'est justement parce que ce n'est que quand on sent une stagnation, un cap difficile à franchir, qu'il faut alors se remettre en question, qu'au quotidien je crois qu'il vaut mieux parfaire ce qu'on fait déja le mieux. Bref sans jeter le bébé avec l'eau du bain. @ MATJOH entièrement d'accord sur la relative portée des classements ; Il est vrai que ma position est intimement liée à mon ressenti en terme de jeu et à une grande particularité de mon jeu. Je n'ai plus réellement de gros point faible comme il y'a quelques années où après deux frappes en revers la troisième sortait du terrain. Et j'ai surtout un très gros coup droit sur lequel en plus je fais peu de fautes. Ma vision est donc certainement très personnelle. Pour des compétiteurs au jeu plus équilibré ; la position est évidemment différente. après tout, au tennis il y'a autant de jeux différents que de joueurs. C'est le charme de ce sport au combien passionnant.

Ok pour step by step. Mais je n'ai plus perdu en 4ème série depuis 7 matchs, réglés en deux sets, en laissant en moyenne 4 jeux à mes adversaires ; et du coup, j'ai enchainé 4 matchs à 30 (dont trois amicaux) que je n'ai pas perdus ; dernier en compétition 6/4 6/1. Je dois jouer à 15/5 ce soir normalement (enfin continuer match interrompu après le 1er jeu). Je peux donc commencer à regarder du coté du début de la troisième série même si ce n'est pas en me projetant vers ces classements que j'ai lancé le sujet. Le débat concerne à mon sens tous les niveaux, y compris les 4ème séries. ex : pour battre les derniers 30/1 ; le plus simple était-il de chercher à faire plus de mal en revers, en essayant de lifter...ou de simplement choper et allumer vraiment et de manière plus construite et décisive en coup droit ? Je ne regrette pas d'avoir choisi la seconde option. Sur le revers je te rejoins également : d'ailleurs, désormais en gamme, si le lift n'est pas imposé, je fais du chop ; parce que ton exemple est très parlant ; c'est exactement ce que je faisais il n'y a pas si longtemps ; pour ressortir frustré d'un match, même gagné, il n'y a pas mieux... ah mais donc en fait on est d'accord !

Ca m'arrive fréquemment quand je joue en perf (c'est surtout dans la tête donc) C'est comme si les jambes refusaient de répondre à toutes les sollicitations. A cause de ça, j'ai souvent commencé des matchs avec direct 3 ou 4 jeux dans la musette. Ce que je fais et qui a l'air de fonctionner un peu : je sautille entre chaque point jambes tendues 5 ou 6 fois. Et pendant les points je me force à aller sur toutes les balles comme un mort de faim. Je cours, j'en bave et à force les jambes sont chaudes et se remettent correctement en marche. C'est la technique de l'escargot ; plus j'en bave, plus j'avance... Plus sérieusement, il est important de s'échauffer sérieusement pendant une vingtaine de minutes. Ca évite ce genre de désagréments. Mais je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire, surtout si on est un peu fatigué.

Tout à fait d'accord par rapport à la quatrième série. Plus ou moins tout le monde s'accorde pour dire que globalement, à classement équivalent (+ ou - 2), c'est celui qui fait le moins de fautes qui remporte le match. Je crois par ailleurs qu'en troisième série, toujours à classement équivalent (+ ou - 2), celui qui fait peu de fautes directes va avoir un avantage certain sur le résultat de ses matchs. Donc oui, il faut savoir défendre a minima des deux cotés. Mais j'ai la faiblesse de penser qu'à niveau troisième série, les joueurs font de toute façon peu de fautes directes. La différence va alors, d'ores et déja se faire sur, (terme générique), la "qualité de balle" produite (puissance, précision, angle, effet) et la tactique. Avant donc la deuxième série. Je vois mon BE ancien 5/6, actuellement 15/2 -l'âge et les blessures aidant - il ne fait pas de fautes mais surtout, il a un grand sens tactique et de très beaux effets des deux cotés. C'est pour ça que je pense que dès les abords de la troisième série, il faut essayer de faire un travail à grande plus value : En gros, si mon point fort est le coup droit lifté, je peux pour les matchs, au lieu de me reposer sur mes lauriers, apprendre à : - savoir accentuer au besoin la hauteur, la longueur, le lift, prendre la balle plus tôt, tourner plus rapidement sur ce coup, trouver des angles, faire des lobs irratrapables avec effet lifté..... Tout cela est perfectible. Ce travail est assez rapide avec des résultats immédiats (encore faut-il avoir un véritable coup fort, naturel). Pour le coup faible, le travail est beaucoup plus axé sur la régularité. C'est un travail à moyen et long terme. Le coup faible va par nature être un coup de défense. Ciblé par l'adversaire un temps soit peu malin. En plus de la régularité, on peut surtout apprendre à défendre : placement, anticipation, améliorer le lob, savoir reculer et utiliser les diagonales. Mais là encore, ça ne se fait pas rapidement : c'est en matchant, en faisant des points, souvent longs et éprouvants. Juste pour dire que si un travail ne va pas sans l'autre (jamais prétendu le contraire d'ailleurs), les bénéfices à travailler le coup fort se font plus rapidement ressentir (outre le plaisir à améliorer un coup déja bon).

+ 1 Même souci. Même travail sur le revers. Je te rejoins clairement sur la nécessité de travailler des schémas tactiques. Et le mieux pour le faire c'est de baser ses schémas sur les coups les mieux maîtrisés. Pour ma part, ces schémas sont variables et en deux temps : 1 : différents schémas tendant tous vers le même objectif, obtenir une balle à jouer en coup droit jusqu'à 1 mètre devant la ligne de fond. 2 : derrière construction du point par des attaques successives croisées et/ou long de ligne ; Hier (match à 30) l'alternance droite gauche ne fonctionnait pas et me mettait un peu en difficulté (mené rapidement 4/1) ; le schéma qui a fonctionné : Jouer tous les coups sur le revers sauf au moment de lacher le coup qui doit gagner. J'ai pu alors mettre un 12/1 et gagner en deux sets. D'où l'importance de la tactique...qui m'a évité au pire une défaite ; au mieux une victoire éprouvante. Mais l'important c'est que ce que le travail réalisé ces derniers temps autour de mon coup fort (dans l'intention des coups et dans son intégration au sein d'une tactique) m'a permis de beaucoup progressé en l'espace de quelques semaines. Je crois qu'il y'a un mois j'aurais perdu ce match.

Donc toi tu essaies de travailler tes points forts, ici simplement en améliorant la vitesse d'enchainement. C'est la position que je défends ; je pense que tu progresseras plus vite en améliorant tes schémas tactiques lesquels sont construits autour du meilleur de ton jeu (dans ton cas service et coup droit) qu'en essayant de rendre fort un coup faible. Le travail sur les deux plans paie ; mais avec le premier on encaisse plus rapidement je pense.

Ce soir victoire à 30. 6/4 6/1 après avoir été mené 4/1 dans le premier set. Un adversaire coriace, accrocheur qui ne faisait aucune faute directe. Un crocodile en somme. Les attaques en coup droit gauche droite ne fonctionnaient pas, le coup droit adverse étant souvent court croisé me mettait un peu en difficulté. j'aurais peut être pu faire quelque chose en tablant sur un épuisement adverse mais comme moi aussi ça me faisait beaucoup cavaler ça sentait le roussi. Et dans la tête ça cogitait, ça anticipait, ça psychotait... bref à 4/1 j'ai décidé d'utiliser une tactique simple : jouer tous les coups sur le revers. Ca je sais faire, et le revers chopé adverse me paraissait une cible idéale. J'ai donc remis en revers chopé également (parfois 6 ou 7 fois de suite) avant d'avoir la possibilité de frapper un premier coup droit ; systématiquement sur le revers, lifté fort pour provoquer la faute (parfois 6 ou 7 fois de suite également sans jamais ou presque chercher à croiser). Ca a fonctionné d'entrée et je suis remonté progressivement. Pour l'emporter somme toute facilement. L'avantage c'est que ce match m'a permis d'éprouver ma régularité. Etonné de m'en tirer si bien face à ce type d'adversaire contre lequel, 4 ans en arrière j'aurais pris 2 et 2. A l'occasion de ce match une observatrice m'a dit que j'avais un coup droit qui lui faisait penser à BERASATEGUI. Effectivement technique très proche, dans la prise de raquette notamment. En tout cas, j'avais pas entendu ce nom depuis 20 ans... Prochain match à 15/5 ; j'espère...simplement défendre chèrement ma peau.

Nouveau tournoi commencé ce jour. Victoire à 30/2 6/1 6/2. Conditions difficiles : beaucoup de vent, de travers qui plus est. Mais heureusement beaucoup plus gênant pour l'adversaire que pour moi. Objectifs sur ce tournoi : 1) arriver jusqu'à un adversaire classé en 3ème série. Si ce premier objectif est rempli : 2) battre un premier adversaire classé en 3ème série en compétition.

Salut, Je comprends ton prof mais quand ce coté est dans ta nature c'est compliqué, voire très compliqué. Je me suis déja fait cette réflexion... mais bon quand t'es plutôt sympa de nature et que tu as un bon contact avec ton adversaire, je crois que c'est impossible de la jouer comme ça "instinct tueur". Légèrement différent face à un petit c.. ; et encore c'est pas facile quand même. En revanche, il ya une différence entre être sympa et ne pas être concentré à 100 % sur le match. Tu peux être correct voire sympa et plus entre les jeux, avant et après le match ; mais par contre quand tu regagnes ton coté, tu oublies tout ça et t'es là pour faire ce que tu sais faire et du mieux que tu peux ; si c'est faire mal à chaque coup et ben faut presque en rajouter ; si c'est devoir mettre 6/0 6/0 ben tu dois le faire. Ca sert à rien de se la jouer tête de c.. juste pour dire "j'suis un tueur" ; surtout si en fait t'en es pas un. De plus je crois pas que c'est en forçant ta nature que tu parviendras à avoir le relachement qu'il faut pour perfer à 30 ou 15/5. Moi en tout cas ça me fait plutôt l'inverse ; si l'adversaire joue un peu les têtes de con et que on rentre dans ce processus, je suis hyper tendu et perd au moins 20 % de ma lucidité (nécessaire pour les jeux serrés).