ExCowboy

Le remède miracle : le bonheur Ou, pour les femmes : être enceinte.

As-tu consulté un neurologue pour tes migraines ? As-tu essayé d'autres traitements que la codéine ? C'est apparemment ultra efficace pour la plupart des personnes, mais chez moi ça ne provoquait qu'une légère somnolence sans réduire la douleur. J'ai essayé au moins 5 ou 6 traitements de fond (bétabloquants, nocertone, Seglor, j'en passe), autant de traitement de crises (triptans divers et variés, paracétamol codéiné, prontalgine) Finalement je me suis stabilisé depuis quelques années sur l'absence de traitement de fond et la prise de Ketoprofene en cas de crise, ça bousille l'estomac mais j'ai ainsi trouvé à peu près mon équilibre et je mène une vie (presque) normale malgré cette s...... de maladie. Bon courage à toi. Bien s'hydrater pendant le tennis semble une piste intéressante en tout cas.

Je suis migraineux, et il est reconnu que les migraines sont de manière générale accentuées pas l'effort physique (de même que par la lumière, le bruit, etc.). Par contre si tu n'es pas en crise au moment de débuter ton match, il n'y a pas vraiment de raison qu'une crise survienne lors de la pratique du tennis, sauf par exemple si tu es particulièrement stressée en jouant. Personnellement la reprise d'un sport régulier a contribué à largement diminuer la fréquence de mes crises, ça me détend et équilibre ma vie. Par contre, il arrive que je souffre de maux de tête violents après les matchs, mais qui eux passent, contrairement aux migraines, avec paracétamol ou ibuprofene. Mais bon, les facteurs déclenchants sont tellement personnels... Du coup je n'ai pas vraiment de solutions, car si tu prends tes médocs de crise dès les premières douleurs, s'ils te mettent comme moi un peu dans les vapes (triptans ou même anti-inflammatoires type Biprofenid), t'es mal barrée pour finir ton match...

Pareil qu'Alarue. +1 quoi.

Idem pour moi, c'est une vraie catastrophe : j'ai certainement démoralisé tous les adversaires que j'ai battus, ils n'ont plus gagné un match depuis. Si ça continue comme ça, ils vont tous descendre et je vais rester 30/1 !

Ha ha 15/5 non même pas la peine d'y penser. Déjà j'ai pris conscience de mes limites, même si mes deux derniers bourreaux ont des palmares impressionnants. Et puis, contrairement à ceux qui commencent à peine à se chauffer, ma saison est presque finie. Deux matchs de championnat d'été par équipe et rien d'autre de prévu, avec les vacances, un déménagement et des travaux dans ma nouvelle maison, participer à un tournoi va être tendu. Non vraiment, l'objectif est de sécuriser la montée à 30 et de progresser.

L'observation du joueur adverse se fait plus sur les 2-3 premiers jeux du match qu'à l'échauffement. Là, on peut commencer à déceler des faiblesses techniques, mais ce n'est pas toujours significatif. Qui par exemple va faire l'effort d'aller chercher les balles rasantes dans le carré à l'échauffement ?

Mes volées finissent le point, mais c'est l'adversaire qui le gagne : ce sont quand même des volées de finition ?

et s'il est monté à l'intermédiaire de février, et que je l'ai battu en novembre, quel classement compte ?

Ah ah pareil : après chacune de mes perfs à 30, qui me réjouissent, je m'aperçois qu'ils sont au fond du trou et soit perdent tout soit ne jouent quasiment pas ! Néanmoins, victoires hier sur des joueurs alors classés 30/2 et 30. Selon Classim, si tout le monde se maintient : 288 / 280 pour une montée à 30. Comme on ne descend pas à l'intermédiaire je crois, je devrais donc être 30 en juin ?

Avec un peu de chance je lui fais tellement pitié à le regarder boire qu'il partage avec moi

Oui. Par contre je racle d'abord ostensiblement mes fonds de poche et ne commande rien pour moi histoire de le faire culpabiliser ou qu'il me prenne pour un gros radin, c'est selon. Parfois les jeunes sont trop dégoûtes de la défaite contre un vieux qui fait pas de fautes qu'ils refusent de toute façon et repartent en pleurant (enfin, moi, j'étais comme ça, jeune). Mais pour moi, oui, bien sûr, ça a toujours fait partie de la tradition d'après-match, même si perso, j'ai souvent pas soif et que si ma première phrase était de l'humour, il est vrai que parfois je ne prends rien pour moi.

Pour paraphraser Renaud : c'est pas le cordage qui fait l'homme (le tennisman en l’occurrence), c'est l'homme qui fait le cordage

Si j'avais un conseil supplémentaire à te donner : avant de t'engager en tournoi, et si ce n'est pas déjà ce que tu as fait, joue quelques matchs amicaux complets en condition de match officiel. Car ça n'a vraiment rien à voir avec les entraînements collectifs, évidemment, mais pas grand-chose non plus avec les matchs amicaux en mode cool, où faire des fautes directes n'est pas si grave, où tu peux souffler, rigoler, faire retomber la pression, etc. En match, chaque point compte, et ça peut vite défiler dans le mauvais sens. A ma reprise de la compétition l'année dernière, j'étais complètement perdu à tous les niveaux lors du premier match : intensité physique et psychologique, repères par rapport à la compétition. Avant que je prenne mes marques, j'étais mené 6/1, et complètement à la rue aussi bien dans les jambes que dans la tête.

A mon âge c'est même pas envisageable ce genre de folies , à moins de jouer en marchant et comme dit Cohiba, de gagner le premier match 6/0 - 6/0

Tes conseils sont toujours aussi pertinents et exprimés de manière claire

parce qu'en te positionnant à un classement 'cible' 30/3, ce n'est plus une victoire deux échelons au-dessus mais une victoire à échelon égal... Et si tu vises 30/2 ça devient une victoire à un échelon au-dessous

Je suis sympa je vais essayer de t'aider même si sur le fond je suis d'accord avec Loka, il doit y avoir 480 sujets ici qui traitent du classement, tu peux aussi aller sur le site de la FFT, utiliser des simulateurs de classement (il y en a un sur l'espace du licencié de la FFT, tu n'as qu'à appuyer sur un bouton pour savoir), etc. Règles de base : Le classement est calculé en fonction du futur classement de chacun des adversaires. Un joueur ne peut monter plus haut qu’un échelon au-dessus du classement d’origine (classement avant calcul) de tous ceux qu’il a battus ou, si ce meilleur classement est en 4e série, de deux échelons au-dessus. => dans ton cas, 30/1 max (mais t'en es encore loin je pense) Ensuite, en partant du classement le plus élevé auquel tu peux prétendre (30/1) donc, tu calcules si tu as les points pour te maintenir à ce classement à l'aide du barème (il y a aussi une notion de nombre de victoires prises en compte, mais ça t'as qu'à chercher). Donc à 30/1 : t'as 50 pts (1 30/3=> 20 points, 2 30/4=> 2*15=30), c'est niet à 30/2 : tu as 30 pts pour le 30/3 (1 échelon en dessous) et 40 pour les deux 30/4 +15 pour le 30/5 => 85 pts or il en faut 190 => niet à 30/3 : tu as 60 +2*30 +20 = 140 : il te manque 10 points, une victoire supplémentaire à 40 suffirait. (edit en effet les barèmes ont changé donc ça devrait le faire d'ores et déjà) Tout ça ne prend pas en compte les éventuelles montées ou descentes de tes adversaires... En partant de l'hypothèse que tous tes adversaires se maintiennent, il te manque, sauf erreur, une victoire à 40 pour passer 30/3... (edit en effet les barèmes ont changé donc ça devrait le faire d'ores et déjà) Mais vraiment le site tennis-classim te permettrait de calculer ça automatiquement selon différentes hypothèses sans devoir te faire des noeuds au cerveau

100 % sur la même ligne que solmhyrn Mais lors de ma première période tennistique (enfant et ado) j'étais totalement dans l'esprit 'se lamenter avec des "fait chier, aujourd'hui y a rien qui passe... etc... etc..."' et je sortais de la plupart de mes défaites totalement frustré et dégoûté.

Jouer contre-nature, non. Mais c'est peut-être un peu limité de n'être capable de se tenir qu'à une "nature" de jeu. L'important pour moi en tant que compétiteur est de gagner ou, si le niveau est trop haut, d'éviter la fessée. Si pour une raison ou une autre, mon jeu habituel ne fonctionne pas suffisamment bien, voire pas du tout, je vais forcément m'adapter pour mettre plus de chance de mon côté et prolonger ma durée de vie sur le court. Je préfère mener l'échange et dicter le jeu mais plus le niveau monte et moins je suis en mesure de le faire. Je n'éprouve alors aucune hésitation à changer de tactique, remettre la balle dans le court en attendant la faute de l'adversaire, faire des petits chops mi court, etc. Ca me semble même tout à fait... naturel. Et j'éprouve au final beaucoup plus de plaisir à pouvoir lutter ainsi, à chercher des moyens de m'adapter, qu'à m'obstiner dans une filière vouée à l'échec.

Deux des 30/2 que j'ai battus viennent de monter 30/1 à l'intermédiaire. Bonne nouvelle. Recalcul : à 30/1 : 342/220, maintien assuré à 30 : 208/280 (sous réserve que les 30 que j'ai battus ne descendent pas)

Victoire à 30/2 et 40 en tournoi interne défaite à 30/2. Format bizarre, en 3 jeux gagnants, je crois que le coefficient est de 0.40 mais je n'ai pas de certitude, donc je ne vais pas comptabiliser ces points qui ne devraient pas être significatifs.

Victoire à 30 en match par équipe, 6/3 - 6/4 +90 points => 260/220 si je ne m'abuse => maintien à 30/1 assuré... si mes 30 se maintiennent ce dont je doute. Pour la montée à 30 : 180/280

2 nouvelles raquettes Babolat datant de ma reprise (Xtreme Sweet Spot et C-Drive Ltd, des raquettes de junior) Et toujours la Prince Graphite Lite XB Mid Plus de mon adolescence que je ne peux apparemment pas prendre le risque de recorder si je ne veux pas que le cadre casse (j'ai quand même fini et gagné un match avec l'an dernier)...

C'est dans l'air du temps, c'est gadget, c'est connecté, mais est-ce réellement utile ? Sur la longueur, vous avez vraiment envie d'aller éplucher vos stats, essayer de les interpréter, en déduire des axes de progression ?