bibundum Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 salut à tous voilà je vous expose mon problème: il m'arrive de temps en temps d'avoir un gros coup de fatigue dût à une mauvais nuit et/ou beaucoup de travail (comme tout le monde j'imagine ) donc quand je joues dans ces cas là, j'ai beaucoup de mal à jouer mon jeu (normal me direz vous) j'ai un jeu très physique: je joue rarement à plus de 50 cm de ma ligne de fond donc je prend les balles très tôt voir en demi volée le gros soucis, c'est que ça demande d'être extrêmement gainé, relaché et de pousser forts sur les jambes, ce qui m'est quasiment impossible à faire que je suis très fatigué dans ces cas là, mon revers reste souvent correcte mais mon coup droit passe difficilement la bande du filet si je frappe à une vitesse de balle habituelle de plus, je suis souvent en retard quand je suis fatigué jusque 30/3-30/2 ca ne me pose pas de problème car la balle va à une vitesse qui ne me gène pas et je peux renvoyer sans faire de faute à la même vitesse mais quand je joue vers 30, j'ai besoin de jouer mon jeu car j'arrive à un niveau où je n'ai pas de marge par rapport à mes adversaires donc quand je suis fatigué, je galère énormement d'où ma question: que faire dans ces cas là? j'ai pensé à plusieurs solutions: A-reculer pour avoir une plus grande marge de manoeuvre et jouer très long en lifte mais beaucoup moins puissant. le problème est que je ne suis pas un très bon défenseur donc j'ai peur de me faire énormement passer par les attaques adverses B-jouer normalement. Le problème est que dès que l'adversaire va taper, je risque de renvoyer dehors ou dans le bas du filet C-essayer de jouer agressif et très long et monter quasiement à chaque point à la volée (je ne suis pas trop trop mauvais). le problème est que je vais manquer de puissance donc je risque de me faire passer dites moi ce que vous en pensez et comment faites vous personnellement dans ces cas là merci beaucoup à tous ceux qui repondront Citer
STEPHW Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Quand t'es pas au top physiquement, je pense qu'il n'y a pas 50 solutions : 1. Ralentir le jeu, quitte à "faire des ronds" et attendre que ton adversaire fasse la faute. Tu n'es pas obligé de jouer des chandelles à 50 m de hauteur, mais juste d'arrondir tes trajectoires...sans pour autant t'endormir. 2. Raccourcir les échanges : chercher le point gagnant à chaque frappe! Mais là, c'est un peu risqué... Ou mieux, chercher sur chaque frappe à mettre ton adversaire en difficulté : inutile de le mettre à 3 m de la balle, 10 cm suffisent. Tu anticipes sur la balle que tu viens de jouer : si elle est longue, il y a des chances qu'elle revienne courte alors prépare-toi à entrer dans le court. A l'inverse, si elle est courte, recule un peu histoire d'avoir de la marge de manoeuvre mais cherche à tout prix à gagner du terrain dès que tu frappes la balle. 3. Reste au lit... Voilà quelques solutions envisageables dans le cas de figure que tu proposes. Citer
Invité Totor Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 dans l'esprit de 2 2' : jouer "vicieux" sans trop de rythme, varier la longueur de balle utiliser differents effets (revers choppé tres pratique pour ca, ne pas hesiter a chopper le coup droit aussi), jouer le placement de ta balle plutot que la castagne qui va te pomper le reste d'energie avec quelques accelerations utiles plutot que systematiques. chercher a ecourter le point sans exageration tout de meme (fautes directes). et surtout faire preuve de persipacite quant a ton adversaire : trouver son/ses points faibles et jouer dessus comme un sadique. implique une relativement bonne maitrise technique. (avec des cloches, tu vas te faire fusiller comme un canard) Citer
bibundum Posté(e) le 2 novembre 2010 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 pour la 3ème solution, ce n'est pas hélas pas possible, l'envie est trop forte et puis si j'ai un match de tournois, ce n'est pas possible sinon tu vient de me donner une bonne idée anticiper les frappes adverses. Si l'adversaire joue tout le temps croisé, je vais directement du coté où il met tout le temps la balle. je risque de me prendre quelques contre-pieds mais ça devrait me permettre d'avoir plus de temps dans la plupart des cas sinon je pensais me placer un petit peu plus loin derrière la ligne de fond et jouer haut et long en lift sur le revers adverse et essayer de monter souvent à la volée ça me permettra de raccourcir les échanges Citer
grosbob Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Mon avis : A-reculer pour avoir une plus grande marge de manoeuvre et jouer très long en lifte mais beaucoup moins puissant. le problème est que je ne suis pas un très bon défenseur donc j'ai peur de me faire énormement passer par les attaques adverses Question de jeu de jambes et de déplacement. Si à 30/1 en jouant très long et lifté tu te fais déborder en 1 frappe, c'est soit que ton jeu de jambes et ton placement sont pas bons, soit que tu joues pas si long et si lifté que ça C-essayer de jouer agressif et très long et monter quasiement à chaque point à la volée (je ne suis pas trop trop mauvais). le problème est que je vais manquer de puissance donc je risque de me faire passer Ouais. Ou alors, si tu veux écourter les points, tu restes sur l'idée de la volée, mais en te démerdant pour faire monter ton adversaire dans les conditions les plus mauvais possibles, en jouant très bas par exemple pour l'obliger à remonter la balle sur son coup d'approche. Mais l'idée c'est quand même globalement d'empêcher de mettre du rythme, et d'obliger l'adversaire à chercher les points en forçant son jeu et en prenant des risques. D'ailleurs, ça peut tout aussi bien être une stratégie même quand on a pas un coup de pompe Citer
solmhyrn Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Il y a une 4è solution. 4] Jouer sans se poser de question. La fatigue, c'est comme le reste, c'est d'abord dans la tête. Si tu te dis pas que t'es fatigué, ben tu l'es pas. La fatigue est relative, comme sur l'autre topic sur la "vieillesse". C'est d'abord un état d'esprit. Moi je me lève à 05h00, je vais jouer à 20h, j'imagine que comme tout le monde je suis fatigué. Mais comme je me dis jamais que je le suis, ça passe. Je ne dis pas que je n'ai jamais de coup de pompe, mais ça se traduite juste par un "petit" manque de peps. Je connais des gens qui sont tout le temps fatigué, et qui te le sortent à longueur de temps. Chaque fois que tu les croises, ben ils sont crevé. Est ce que par hasard ils n'y seraient pas un petit peu moins en arrêtant de toujours le dire ? Citer
Invité Totor Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 tite question : la pauvritude c'est un peu comme la fatique ? Citer
solmhyrn Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 qu'est ce que t'entends par là ? Citer
Invité Totor Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 qu'est ce que t'entends par là ? c'est dans la tete ? Citer
solmhyrn Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 La pauvreté est quantifiable, il y a des chiffres que l'on peut avancer, des seuils. A part le fait de faire des analyses de sang, qui peuvent éventuellement la quantifier, la fatigue est ressentie. La perception qu'on en a est donc le facteur le plus important à mon avis. Mais ça n'est que mon avis. Je me dis juste que si je m'écoutais, je ferais pas grand chose. La fatigue, c'est souvent l'apanage de ceux qui n'y sont pas, fatigué. Je vois, j'ai une connaissance instit, ben elle est tout le temps crevé. Même quand elle est en vacances. Je veux bien que la maternelle ça soit fatiguant (avec une décharge en tant que directrice en plus), mais bon, sans doute pas plus qu'autre chose. Et même en plein mois de juillet, elle est crevée. Alors quand elle te dit ça et que toi tu te lèves à 05h00 (entre 05 et 06h00 pour être précis) tous les jours, ça te fait doucement rigoler quand même. Et il y en a plein des comme ça. Je précise, elle est instit, elle aurait été charcutière ça aurait été pareil. juste pour pas me faire allumer par les instits du forum.... Citer
KaDasS Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Il y a une 4è solution. 4] Jouer sans se poser de question. La fatigue, c'est comme le reste, c'est d'abord dans la tête. Si tu te dis pas que t'es fatigué, ben tu l'es pas. La fatigue est relative, comme sur l'autre topic sur la "vieillesse". C'est d'abord un état d'esprit. Moi je me lève à 05h00, je vais jouer à 20h, j'imagine que comme tout le monde je suis fatigué. Mais comme je me dis jamais que je le suis, ça passe. Je ne dis pas que je n'ai jamais de coup de pompe, mais ça se traduite juste par un "petit" manque de peps. Je connais des gens qui sont tout le temps fatigué, et qui te le sortent à longueur de temps. Chaque fois que tu les croises, ben ils sont crevé. Est ce que par hasard ils n'y seraient pas un petit peu moins en arrêtant de toujours le dire ? Complètement d'accord avec ça, surtout sur la conclusion. A force de se répéter tout le temps la même chose, on finit par y croire, et le problème de trop de personnes c'est qu'ils se répètent des choses ayant un impact négatif uniquement... Citer
hell Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Pour moi il y a deux type de fatigue: mental qui induit un manque de concentration et la flemme et qui est en général présente lorsqu'on manque de sommeil et la fatigue physique où là on a mal physiquement. J'ai bossé deux mois à Decathlon à 35h par semaine, debout toute la journée et travail assez physique lorsqu'on recevait des containers, ça m'empêchait pas de jouer au tennis 4 fois par semaine avec pourtant un jeu très physique. C'est vrai que des fois quand je sortais du travail je n'avais qu'une envie: dormir, mais une fois arrivé sur le court et tapé quelques balles je me sentais en forme et plus du tout flemmard. Par contre des fois la fatigue de mes jambes m'empêchait de jouer à 100% de mes capacités, mais la fatigue mental ça se contrôle, il suffit de vraiment se motiver et se concentrer, ne pas hésiter à bien courir et frapper assez fort dès le début sinon on s'endort vraiment. Citer
hell Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 et je rajouterais que parfois il faut se botter le c** pour aller au sport même quand on est un peu malade il y a deux semaines, super mal de crâne, j'hésite à aller à l'entrainement j'y vais et finalement le fait de transpirer, de bouger .. --> mal de crâne disparu après l'entrainement et la prof d'EPS - mère d'une des jeunes qui s'entraine dans mon groupe - m'a dit que c'est tout à fait normal plutôt que de se "morfondre" devant la tv dans son canap' Pareil j'ai déjà fait du tennis en ayant la grippe et ça fait au moins bouger même si c'est dur (en particulier le nez bouché), du moment qu'on est juste pas en forme et pas à moitié mort ça ne peut pas être mauvais Par contre la chose à ne pas faire est de forcer lorsqu'on a une blessure ou que des douleurs apparaissent sinon on risque d'aggraver la situation. Par exemple aujourd'hui, après 2 jours de tennis mon bras (vers le bas du biceps à la pliure du bras) me faisait assez mal au service, au point de devoir servir à la cuillère on a donc préféré arrêter le match et juste faire des balles vu que je n'avais pas de douleur pour tous les autres mouvements, ça ne nous a pas empêché de courir comme des malades et de s'amuser, maintenant repos 2 jours. Il faut aussi savoir se raisonner, et si on est vraiment fatigué et que même mentalement on n'y peut rien, mieux vaut rester chez soi si ce n'est qu'un entrainement que de jouer sans motivation et comme un pied, c'est le meilleur moyen de se blesser ou de dérégler son jeu en prenant des habitudes de flemmard. Citer
bibundum Posté(e) le 2 novembre 2010 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Il y a une 4è solution. 4] Jouer sans se poser de question. La fatigue, c'est comme le reste, c'est d'abord dans la tête. Si tu te dis pas que t'es fatigué, ben tu l'es pas. La fatigue est relative, comme sur l'autre topic sur la "vieillesse". C'est d'abord un état d'esprit. Moi je me lève à 05h00, je vais jouer à 20h, j'imagine que comme tout le monde je suis fatigué. Mais comme je me dis jamais que je le suis, ça passe. Je ne dis pas que je n'ai jamais de coup de pompe, mais ça se traduite juste par un "petit" manque de peps. Je connais des gens qui sont tout le temps fatigué, et qui te le sortent à longueur de temps. Chaque fois que tu les croises, ben ils sont crevé. Est ce que par hasard ils n'y seraient pas un petit peu moins en arrêtant de toujours le dire ? je ne pense pas être comme ça, bien au contraire je cherche perpétuellement à dépasser mes limites physiques quand je fait du sport et je m'entraine souvent avec une certaine fatigue physique (depuis le lycée, j'ai pris l'habitude de faire 5-6 entrainements de sport par semaine et de ne pas faire de grasse matinée) mais qui ne me gène pas trop car je sais la gérer et d'ailleur je n'y prête même plus attention en dehors je suis étudiant en médecine et j'ai des ptits boulot qui me prennent 20 heures par semaines donc pas vraiment le temps de flemmarder d'ailleur,je suis un peu l'inverse de toi car j'ai plutôt tendance à devoir m'obliger à me reposer car si je suivais mes envies, je m'entrainerais au moindre moment de libre, dans n'importe quel état de fatigue. je suis un genre de psychopate du sport et je pourrais passer tout mon temps libre à en faire si je n'avais pas de risque de blessure je suis du genre à aller gerber mes tripes et continuer l'entrainement plutôt que de m'arrêter (ça m'est déjà arrivé plusieurs fois et lorsque ça arrive quand on fait de la muscu, c'est pas évident de revenir pour terminer la fin de séance) par exemple, la premiere chose que je fait quand j'ai la crêve ou que je me sent vraiment mal, je fait faire du sport car je trouve que c'est le meilleur remède contre la maladie (je sais j'suis un peu timbré) un autre exemple: lorsque j'étais au lycée, il m'est arrivé de sortir plusieurs soirs d'affilé en boite, de rentrer sur les coups de 5-6heures du matin et d'être à l'entrainement d'aviron chaque matin à 9h avec une bonne gueule de bois je peux te dire qu'après ça, allez jouer au tennis même en ayant dormis que quelques heures ne me paraît en aucun cas difficile et la fatigue que tu décrits n'est en aucun cas un obstacle car je n'y prête même plus attention là je te parle de cette fatigue qui t'empeche de courir, qui t'empeche de te concentrer et qui te donne envie de vomir à chaque fin d'effort, du même genre que lorsque tu te tape une grosse crêve et sur laquelle même les plus gros efforts mentaux ne peuvent rien (et ce n'est pas faute d'essayer). la seul énergie que j'arrive à trouver dans ces cas là, c'est celle de la colère car je déteste ne pas jouer à mon niveau et me sentir fatigué. elle permet de réussir à tenir physiquement mais elle ne permet pas de retrouver la lucidité par contre, quand je puise l'énergie de la colère,je finis l'entrainement allongé par terre, à la limite de vomir (mais j'avoue aimer me sentir dans cet état la car je sens que je touche mes limites physiques et ça me donne encore plus envie de m'entrainer par la suite ) Citer
solmhyrn Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Oui bah ce genre de fatigue, ça doit pas t'arriver très souvent j'imagine, ou alors faut chercher vers la mononucléose. Dans ces cas là, je dirais va pas jouer, tu joueras demain... Citer
hell Posté(e) le 2 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Question bête, t'as combien d'heure de sommeil par nuit ? Avec ce que tu racontes ton rythme de vie est assez élevé: déjà être en medecine (si on travaille sérieusement) c'est quelque chose qui demande beaucoup de temps et d'énergie, si en plus tu travailles 20h par semaine et que tu fais beaucoup de sport c'est normal que tu ne sois pas tout le temps au top, les capacités de notre corps ne sont pas illimitées et la fatigue finit par se répercuter, en l'occurrence lorsque tu joues au tennis. Citer
bibundum Posté(e) le 2 novembre 2010 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Oui bah ce genre de fatigue, ça doit pas t'arriver très souvent j'imagine, ou alors faut chercher vers la mononucléose. Dans ces cas là, je dirais va pas jouer, tu joueras demain... le soucis, c'est que ça m'arrive plusieurs fois par moi car j'ai un rythme très soutenu et que j'ai tendance à manquer de fer mais c'est devenue une habitude donc je m'entraine quand même, car j'ai fait des entrainements biens plus difficiles il y a 4-5 ans en étant dans des états encore pire que celui là Citer
bibundum Posté(e) le 2 novembre 2010 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2010 Question bête, t'as combien d'heure de sommeil par nuit ? Avec ce que tu racontes ton rythme de vie est assez élevé: déjà être en medecine (si on travaille sérieusement) c'est quelque chose qui demande beaucoup de temps et d'énergie, si en plus tu travailles 20h par semaine et que tu fais beaucoup de sport c'est normal que tu ne sois pas tout le temps au top, les capacités de notre corps ne sont pas illimitées et la fatigue finit par se répercuter, en l'occurrence lorsque tu joues au tennis. j'ai tendance à ne pas assez dormir, entre 6-7 heures par nuit donc j'ai l'habitude d'être fatigué et de jouer un crans en dessous physiquement mais parfois je suis vriament mal et c'est pour ça que j'aimerais savoir quoi faire dans ces cas là pour essayer de savoir comment essayer de titiller mon adversaire malgré tout sur ce, je vous dis bonne nuit, c'est l'heure de faire dodo !! Citer
solmhyrn Posté(e) le 3 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 3 novembre 2010 Fatigué à ce point là plusieurs fois par mois à mon avis c'est pas normal. Dans cet état, point de solutions hormis celles que tu as toi même énoncé dès le début du topic. Je manque aussi de fer, je dors 6h par nuit.... mais moi, c'est mon rythme, je me sens jamais fatigué au point que tu décris. A mon avis, à part rester chez toi, je vois pas ce que tu peux faire d'autre. Et puis, il faut accepter de temps en temps de ne pas pouvoir faire physiquement ce dont on sait être capable... On peut pas être à 100% tout le temps. Citer
bibundum Posté(e) le 4 novembre 2010 Auteur Signaler Posté(e) le 4 novembre 2010 Et puis, il faut accepter de temps en temps de ne pas pouvoir faire physiquement ce dont on sait être capable... On peut pas être à 100% tout le temps. je pense que je vais aller faire une petite prise de sang savoir où ça en ai c'est vrai qu'il faut accepter de ne pas être à 100% mais j'ai du mal car ca m'énerve de me sentir plus faible qu'en temps normal va falloir que je travaille pour l'accepter et ne pas m'énerver (ça va pas être facile! :angry:) Citer
Taranis Posté(e) le 11 novembre 2010 Signaler Posté(e) le 11 novembre 2010 Si on dort moins, il faut plus manger pour tenir le coup. Au niveau sport, je pense que c'est la même chose. Donc il faut plus manger avant les matchs (2-3h avant), et tu auras la patate ^^ Boire du café, ça peut aussi aider, d'ailleurs. Dans la vie, les seuls moments où j'ai l'impression d'être un peu moins en forme, c'est quand j'ai pas assez mangé. (Et comme mange bien, je vais bien ^^). Citer
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