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Forums Tennis-Classim

Vince RPZ

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Messages posté(e)s par Vince RPZ


  1. Salut,

    J’ai acheté une raquette d’occase sur laquelle est posé un surgrip qui me convient parfaitement.

    Problème, je ne connais ni le modèle ni même la marque de ce surgrip. 

    Parcontre il est assez particulier et je me dit que certainement ici, quelqu’un pourrait le reconnaître. 

    Il me semble que sa couleur bleue est caractéristique du modèle, il est très soft, un peu duveteux et absorbe bien. On ne voit que très peu la superposition de la bande... j’ai conscience que tout ça est un peu courant et susceptible de correspondre à plein de modèles mais il me semble assez particulier pour que quelqu’un qu’il l’aurait utilisé puisse le reconnaître rien qu’avec ces 2 photos. 

    Bouteille à la mer donc !

    Merci déjà,

    Vince

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  2. Les prix de mon club (club à la campagne, 6 terrains extérieurs en TB, 3 terrains intérieurs en TB):

    • Abonnement saison d'été: 135€ (licence annuelle + accès illimité aux terrains du 1 avril au 30 septembre. Il faut ajouter 3€/h si on joue à l'intérieur pour l'éclairage)
    • Abonnement hiver: 300€/h (le même créneau horaire chaque semaine pendant les 26 semaines de la saison d'hiver, d'octobre à mars. Il faut ajouter 3€/h pour l'éclairage). A diviser par le nombre de personnes sur le terrain.

    ...

    Dans mon club en ville

    • été : 250 euros (8 TB ext + 5 TB int) éclairage 8€/h - illimité mais une seule réservation à la fois.

    • hiver : entre 450 et 850 euro par terrain pour 1h répétée chaque semaine.

      Les membres s'arrachent les créneaux horaire. petite précision : les créneaux se réservent par reconduction chaque année, et possibilité de céder son créneau en début de saison tout en gardant la pré-réservation l'année suivante.

      Bref, on s'organise, on réserve tout ce qu'on trouve de libre quand ça se libère - et quand il n'y a de privilégiés qui passent avant les autres - et puis on troque pour essayer d'avoir des créneaux qui se suivent. Mais ça arrive pas souvent... il faudrait presque qu'un décès pour que ça se libère.

    Si tu veux des cours, tu paie le prof en plus du terrain, à partir de 30€/h.

    Et le prix de la bière dans tout ça :biere:


  3. @arno 59

    Désolé mais non, pas du tout.

    Un PB remet toujours haut et mou même s'il n'est pas débordé.

    C'est tout à fait naturel de ne pas savoir retourner une "belle" balle lorsqu'on est débordé.

    Ce qui ne l'est pas c'est de le faire systématiquement en sachant pertinemment bien que son adversaire ne joue pas "petite b@&" et va lui, prendre le risque de construire un point.

    Bref un PB ne met rien en jeu, regarde le match en attendant que l'autre fasse les points et les fautes.


  4. Je comprends toujours pas. L'adversaire ne te met a priori en difficulté sur aucun de ses coups (impossible de prendre des points gagnants sur ce que tu décris), donc ce sont bien tes (ou mes, peu importe) limites techniques qui sont exposés si tu ne t'en dépatouilles pas. S'il remet tous tes trucs, c'est alors frustrant, mais c'est que c'est un défenseur fabuleux. Mais y en a à tous les niveaux, regarde les trucs que remet Nadal. Federer doit être en fureur intérieurement.

    La difficulté n'est pas d'être sur la balle, mais de bien la toucher.

    Le placement en prend un coup quand même, surtout les jours de vent.

    @ Vince

    Le joueur que tu décris, à partir d'un certains niveau il n'y en a pas, j'aurais tendance à trouver ça cool de jouer contre un style comme ça. Pour une fois que je pourrais lui rentrer dedans en prise :P de balle tôt dès la première frappe.

    Alors que ces pouiuty de serveur volleyeur.... :w00t: retours dans les pieds grosse course gros ajustement passing-shot... qu'est ce que c'est lourd....

    Oui, je crois qu'ils occupent la place qu'ils méritent :whistling::rolleyes:


  5. C'est ça que je comprends pas. C'est un régal tout ce que tu décris. Et si on gagne jamais contre ce genre de joueur, c'est qu'on ferait mieux de jouer comme lui. Quand on perd ponctuellement, faut se dire que c'est un accident.

    en fait c'est simple si tu réfléchis un peu. faible jouabilité (je me moque gentiment ;) )

    Jouer des balles courtes au centre, ce n'est pas bien sorcier d'en faire quelque chose.

    Mais lorsque ces mêmes balles ont une vitesse verticale nettement plus élevée que leur vitesse horizontale, - logiquement - tu te retrouve face à des balles que tu n'as pas l'habitude de jouer, et le taux d'erreur augmente.

    Si tous les joueurs adoptent cette tactique, on est pas sorti de l'auberge.

    Comme je l'avais déjà écris, si je perds un match contre un PB, je ne rejette pas la responsabilité de ma défaite sur lui.

    D'ailleurs, je trouve que je m'en sort plutôt bien et je vis ça pas trop mal.

    Mais je comprends ceux qui n'aiment pas du tout.

    Je me rappelle un match contre PB qui au 2 set - sur son service pour remporter la partie - , à commencer à jouer certainement par sursaut d’orgueil.

    Il y a eu 3 sets, il a fini par remporter la partie mais a reconnu qu'il s'était nettement plus amusé à jouer "pour de vrai" durant le 3è.

    Vous faites quand même la différence entre un joueur qui joue son jeu (que ses balles soient molles, en cloche,... n'y change rien) et un même joueur qui n'a pour objectif que de faire sauter le mental de son adversaire en pourrissant le jeu ?

    dites... :flowers:


  6. Pour moi quand on ne met rien en jeu, on ne joue pas.

    Donc anti-jeu.

    Un PB met autant en évidence la carence technique et mentale de son adversaire que la sienne.

    Ce n'est peut-être pas le cas de tous les Pb, mais ce n'est pas ces rares cas qui doiven masquer l'évidence hein.

    Je vois rappelle qu'on est pas forcé d'avoir le même avis.

    Bonne journée les insomniaques ;-)


  7. Je maintien la forme d'anti-jeu. C'est sans appel, de mon point de vue.

    C'est comme si lors d'un match de boxe un des deux adversaire courait pour échapper aux coups, sans en donner un seul à son adversaire, jusqu'à son l'épuisement.

    Et gagner par k.o. sans avoir boxé une seconde.

    Au tennis, l'adversaire ne tente rien. Juste rien.

    Je ne pourrais pas me contenter de ne rien mettre en jeu en jouant au tennis. L'étymologie est de mon côté :D

    Au tennis de table, les fédérations ont changé les règles du jeu pour empêcher les "défenseurs" de continuer à "gâcher" le jeu.

    (Sauf erreur involontaire de ma part et de mémoire, une demi-finale olympique interminable entre deux joueuses qui n'ont pas tenté le moindre point gagnant aura eu raison de cette tactique).

    J'ai eu peu à faire aux PB, mais j'en ai rencontré notamment un, qui lorsqu'il faisait un point gagnant, s'en excusait.

    Si vous trouvez tant plaisant de jouer quelqu'un qui renvoie de balles plus hautes que longues, tant mieux pour vous.

    @ Paz : pour moi, pas de mépris pour la personne, mais peut-être pour le joueur.

    __________

    Édit : source (http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tennis_de_table#R.C3.A8gle_d.27acc.C3.A9l.C3.A9ration)

    Règle d'accélération

    Si une manche dure plus de dix minutes de jeu effectif, on applique la règle suivante : chacun sert alors à son tour, et le relanceur gagne le point s'il remet treize fois de manière régulière la balle sur la table. Cette règle limite de facto la durée d'un échange en favorisant la prise de risque. Elle ne s'applique pas si un total de 18 points ou plus ont été marqués dans la manche en cours avant les dix minutes fatidiques (c'est-à-dire qu'à 9-9 ou 10-8, le jeu continue normalement). Elle a été instituée en 1948[25].

    Cette règle est née à la suite de parties qui duraient plusieurs heures, notamment quand deux adversaires utilisaient le même style de jeu défensif. Les joueuses Ruth Aarons et Gertrude Pritzi se sont trouvées dans ce cas de figure lors de la finale des championnats du monde 1937 qui n'a pu les départager[26]. Actuellement, à la vitesse où vont les échanges, cette règle a rarement besoin d'être appliquée. Elle a cependant été mise en uvre par exemple lors de la finale du championnat de France 2009 en simple dames, mais également aux Jeux olympiques de Londres en 2012 lors de la compétition par équipes dames entre Singapour et la Corée.


  8. Pour revenir aux PB, c'est tout de même une forme d'anti-jeu lorsque ce plan tactique est utilisé parce que l'on sait pertinemment que (normalement) personne ne souhaite jouer de cette façon et par conséquent, rares sont les joueurs habitués à retourner correctement.

    Imaginez un match d'équipe, mettons le football, où les 2 x 11 joueurs restent en défense tout le match durant, en attendant que l'autre équipe prenne un risque.

    Ou une course automobile ou un pilote empêche les autres de le dépasser.

    Je trouve ça pareil au tennis, c'est un jeu sans panache et pauvre en spectacle. Mais c'est tout à fait réglementaire.

    Je ne critiquerai pas le choix d'utiliser ce type de tactique, chacun joue comme il le veut tant qu'il suit les règles.

    Et je ne suis pas partisan du "j'ai perdu de la faute de l'autre"

    Il faut quand même relativiser, il y a pousse-baballe et pousse-baballe. Certains sont abjects d'autres respectables.

    Mais...

    À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.


  9. Je suis loin de cautionner tout squattage ou dégradation, au contraire, ça me révolte(rait).

    Mais il faut se rendre compte que monter sans cesse le ton, ou grimper dans - ce qu'on appelle - la sécurité, ne fera qu'exacerber la situation actuelle.

    Et d'escalade en escalade on en arrive à une crise qui coutera très rapidement plus cher qu'une bonne solution de compromis.

    Je trouve évidemment que c'est un manque de savoir-vivre que d'occuper des terrains ou de les dégrader... mais ça...

    Peut-être qu'il est envisageable de les attendre sur place pour entamer un dialogue constructif, si tu arrive à leur montrer que tu es cool et que tu les comprends, tu as une chance que ça devienne réciproque.

    Si tu essaie n'oublie pas que pour tout dialogue initié, c'est à celui qui vient discuter de se mettre au niveau des autres.

    Le persuasion est un art théâtral ! Bonne chance ;o)


  10. @ Sean : je me doute bien que la structure est plus élaborée que celle d'un club de bridge ^_^

    Y-a-t'il des outils mis en place pour éviter les conflits d'intérêts ou est-ce que ça fonctionne en circuit fermé, en auto-contrôle ?

    Enfin, ne nous prenons pas la tête. Le fait est qu'une fédération n'a pas l'obligation de fonctionner de façon transparente et encore moins de se justifier.


  11. Parce que le JA s'est addressé à la bonne instance sur les reproches qu'il avait à faire à Chaks.

    Si Chaks a de son côté des reproches à faire au JA (ce qui est totalement son droit d'après ce qu'il nous en a dit) il faut qu"il s'adresse à la bonne instance (la commission d'arbitrage) qui est la pour porter un jugement sur les écarts de ses pairs.

    Et dans cette histoire une sanction n'empêchera pas l'autre.

    Voilà, ce n'est pas plus compliqué que ca.

    Si tu as d'autres questions ( auxquelles je puisse répondre) tu n'hésites pas .

    Je ne doute pas que le JA ait fait ce qu'il avait à faire, pareil pour la commission d'arbitrage. Le bienfondé de cette décision-ci m'est tout à fait indifférente et en plus, à moins que l'artiste ne délivre un nouveau chef-d'oeuvre, ceci ne portera pas (trop) à conséquence.

    Ma critique porte sur le fait que l'on puisse, dans le sport en général et dans ce cas-ci en particulier, rendre un jugement non circonstancié et donc sanctionner "à la légère".

    Je ne vise pas les personnes mais le système. Tant que tout va bien ou que l'on ignore que ça va mal, on se dit que le système est bon.

    Les membres de la commission se sont basés sur quels éléments ? Des dires ou des rapports auto-validés, plus que probablement.

    Le minimum aurait été d'avoir la confirmation des faits par un autre JA ou assistant... mais il semble que l'assistante ait été rendue muette.

    Imaginons un instant un débordement qui aurait été plus loin dans les faits que celui-ci et qui serait sanctionné d'une exclusion définitive...

    NB : je n'ai rien contre les JA ou l'autorité, du tout. :flowers:


  12. Qu'est-ce qui te fais dire que le dossier est incomplet ???

    La seule chose incomplète sur ce coup-là est que Chaks a "oublié" de nous mentionner qu'il avait abandonné pour aller faire un autre tournoi. Et c'est la partie du dossier qui a dû peser lourd dans la sanction car écrit en toutes lettres dans le règlement que chaque compétiteur se devrait de connaître.

    Quant au recours il a toujours la possibilité de faire appel devant la commission d'appel des litiges de la FFT, institution totalement différente de la première instance. Mais comme dans tout appel, il risque de voir la sanction atténuée ou....aggravée.

    De ce que j'ai pu lire au fil des pages c'est que tous les éléments n'ont pas été pris présentés (intervention de la femme, témoins, autres éléments ?)

    Dans un milieu professionnel qui se prospecte un tant soit peu, absence de preuve = dossier immediatement classé - point barre.

    Ça apprend deux principes élémentaires aux imbéciles et malhonnêtes :

    Faire perdre du temps aux responsables pour des broutilles est inutile,

    Les exagérations et autres ragots ne sont pas entendus, et tant pis si certains pouvaient être vrais.

    Jusqu'à preuve du contraire tout chose qui ne peut être prouvée comme étant vraie est fausse...

    Comment peux-tu toi avancer que le dossier était complet ?

    ;)


  13. Aucun avis à donner sur le fond de cette histoire.

    Ce que je trouve gênant dans ce genre d'institution, c'est qu'on puisse infliger une sanction à partir d'un dossier incomplet.

    Alors quand la sanction est méritée, c'est efficace et ça touche sa cible. Super.

    Par contre quand on se trompe, ça peut faire des dégâts. La sanction elle-même est une chose, mais l'injustice qui se cache derrière est bien plus perverse, dans le sens oú l'institution autoritaire perd beaucoup de crédibilité.

    J'ai assisté à un jugement pour un autre sport en tant que témoin d'un fait de jeu (comportement grave).

    Le jugement rendu par le "comité" était hallucinant, les cinq vieillards en pantoufle ont réglé l'affaire en 3 minutes-chrono.

    Vous voyez ce que je veux dire, quelle que soit la décision, elle ne peut qu'être mauvaise.

    Et aucun recours bien-entendu.

    Ce jour-là, j'ai perdu toute confiance au travail de ce genre d'autorité.

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