-
Compteur de contenus
3 810 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par egucha
-
Je ne suis pas d'accord avec ça. Si tu dis ce que tu es en train de faire, tu fausses l'objectivité du test; si tu répètes deux fois ou plus le test sur une personne, tu fausses le résultat du second car la personne sait qu'elle doit résister à une contrainte et elle s'applique à faire mieux que la première fois. Il faut un seul test par personne.
-
Mouais déjà ulb a raison il faut absolument conditionner deux objets de façon à ce que personne ne puisse les identifier, sauf par un numéro. Préparation - conditionner le vrai PB - conditionner le faux PB (être sûr qu'il est faux) - les mélanger, ils doivent être indiscernables - mettre un numéro - définir un test d'équilibre mesurable reproductible à l'identique : par exemple on mesure le temps d'équilibre sous contrainte en seconde, il faudra appliquer la même contrainte pour la même posture, ce n'est pas facile à faire - Trouver des personnes à tester Mesure - ne pas dire aux personnes ce qu'on est en train de faire; une expérience, c'est tout (ne pas leur parler d'équilibre ni rien) - choisir n personnes à tester avec le conditionnement numéro 1 : groupe 1 - choisir n personnes à tester avec le conditionnement numéro 2 : groupe 2 - n le plus grand possible - faire le test d'équilibre, une seule fois par personne (si c'est un test d'équilibre il faudra leur dire d'essayer de résiter à la contrainte par exemple, en tout cas il faut dire la même chose exactement à tout le monde) - faire la somme des temps mesuré par groupe - déconditionner les objets numérotés et conclure
-
La proposition est honnête mais pour procéder aux tests en double aveugle que réclame ulb il faudrait au moins un échantillon de 100 testés pour que ce soit significatif; sinon on peut tomber sur une série de quelques personnes présentant un comportement avec un fort écart à la moyenne (notamment si les testés sont tous majoritairement pro BB ou tous majoritairement contre). Il faut donc tester en plusieurs fois, 10 sessions de 10 tests par exemple (enfin je vois mal 100 personnes chez Didier d'un coup). Tout ça c'est la faute à la fouine, qui devra participer aux frais
-
J'ai testé avec une BLX 6.1 95 et ça se superpose quasi parfaitement. Mais de toute façon d'ici qu'on en ait une dans notre sac...
-
Oui. Ca m'a paru un peu louche cette histoire. Pour moi le SW doit être réfléchi quasiment en amont dès la phase de conception de la raquette; on ne peut tout de même pas sortir toute une gamme et puis se dire "Ah tiens, au fait et si on mesurait les SW pour voir ? Ah oups celle-ci fait 380 on la met quand-même à la vente ? ". Il y a aussi une photo qui montre une raquette avec un traitement informatique en miroir (la marque apparaît inversée) qui a été oubliée et laissée sur le site public. Enfin tout ça sont des signes de précipitation, ou à tout le moins d'un certain manque de rigueur.
-
Par contre pour voir j'ai commencé un achat en ligne et le formulaire de renseignement des coordonnées bancaires n'est pas en https C'est louche
-
"A fitting package is included to create the perfect weapon for your game. Includes weight slides, weighted butt caps, key tool, dampener, string, 3 over grips, and stencil (see pictures)." On peut customiser sa raquette et ajouter des masses sur le manche, en tête et sur les côtés.
-
-
C'est peut-être le prix de la qualité. Il faut voir, si pour une fois on a un cadre avec la peinture qui ne s'écaille pas au bout de 10h d'utilisation sans retenue ça peut se justifier. En tout cas sur le papier je suis séduit. Moi qui adore les profilés fins, je suis servi ! Il n'y en a pas tant que ça sur le marché, avec des specs jouables par ailleurs.
-
Mouais. Mais dans ma phrase je peux remplacer "gagner un match" par "pour faire des échanges de plus de 2 coups", et là, on parle bien tennis, non ? Mais c'est vrai que dans le classement actuel il y a la notion de compétition, de victoire, de combat, et il suffit d'être bon dans ce domaine parfois pour être bon au classement tout en déployant un tennis médiocre. Cependant c'est possible jusqu'à mettons 15/2, après, le classement reflète des capacités tennistiques certaines. EDIT : mais tu as raison, j'ai tendance à oublier cette dimension "loisir" du tennis, qui est tout aussi respectable, et qui n'a trop que faire de la dimension tactique, physique ou mentale du jeu ! (mais quel dommage tout de même de ne pas s'y intéresser )
-
Ce système est ok pour déterminer les capacités techniques en jeu statique mais ne prend pas du tout en compte les qualités tactiques, celles d'anticipation et de lecture des trajectoires et effet des balles ainsi que la capacité à jouer en déplacement ou utiliser son mental. Donc on est très éloigné des conditions de jeu réelles, ainsi le classement issu de la confrontation directe, quels que soient ses défauts, est forcément plus pertinent puisque qu'il prend en compte de façon mécanique toutes les qualités requises pour gagner un match.
-
Bonjour, à 47 ans je ne conseillerais pas le RPM blast. Les tendons sont fragiles à partir de 40 ans. Le rpm Blast est un mono filament rigide, certes produisant un bon feeling et un contrôle excellent, mais sur le long terme risque d'être traumatisant. A ton niveau, ça frappe, et ça revient vite... ! A la limite, il est possible de le couper avec un boyau pour le rendre moins nocif tout en gardant ses qualités de contrôle.
-
Oui, quand je dis qu'il n'y a pas de question philosophique à se poser c'est une manière de dire que les motivations sont assez simples finalement, et multiples. Les réponses sont donc variées et les cas de figure aussi, c'est difficile de déceler une vraie tendance et en tirer des conclusions définitives. Pour ma part c'est vrai que c'est l'aspect "tout seul" comme tu dis qui prédomine, puisque j'ai commencé le tennis très tard et que je suis un perfectionniste. C'est donc la progression (technique et tactique, pas au classement mais l'une entraîne forcément l'autre) qui m'intéresse avant tout, et les tournois sont un moyen comme un autre de progresser et d'étalonner cette progression (et j'aime également l'affrontement lorsqu'il y a des règles, j'aime la compétition malgré tout). Le classement pour moi n'est pas un critère de qualité de mon tennis ni un objectif en soi, c'est juste un outil qui permet de fixer les idées, par rapport à une situation donnée, et accessoirement un accélérateur de motivation. Je sais par exemple qu'à partir de 15/5 15/4 le jeu devient plus régulier et commence à nécessiter plus de tactique que de simple technique pour l'emporter; le classement devient donc un objectif à court (j'espère !) ou moyen terme (soyons objectif) pour atteindre les capacités partagées en général par les compétiteurs de ce classement. Ensuite, évidemment, il y a une satisfaction personnelle de savoir qu'on est mieux classé que d'autres, c'est humain, ce n'est pas forcément respectable comme satisfaction mais bon ça dépend surtout de la façon dont on s'en sert par la suite. C'est sûr que si c'est la seule motivation c'est un peu...léger et ça manque de profondeur !
-
Vouloir grimper au classement c'est finalement aussi con que de vouloir arriver jusqu'au sommet d'une montagne. Il n'y a pas de question philosphique à se poser à ce sujet. Il y en a qui grimpent, d'autres qui regardent grimper, d'autres qui descendent, d'autres qui dévissent, certains qui disparaissent dans une crevasse (mais où es loulou ? ) , etc. Ni plus, ni moins !
-
Franchement la magnésie enfermée dans du tissu ce n'est pas sâle du tout. Même la poche ayant contenu le petit sac était quasi nickel à la fin du match. Evidemment il faut pouvoir supporter la présence d'un corps étranger supplémentaire. Par contre je n'ai pas joué dans les conditions les plus dures et je me contentais de serrer la boule entre chaque points dans ma poche, en la tapotant légèrement. Sous un soleil de plomb il est possible qu'en fin de match ce soit un peu plus compliqué.
-
Après si on est vraiment maniaque pour son cadre il est possible d'intercaler une petite rondelle de caoutchouc ou un joint de robinetterie entre la pince et le cadre, pince extérieure. C'est tout de même plus pratique d'avoir la pince à l'extérieur qu'à l'intérieur. Mais bon... je n'ai jamais essayé à l'intérieur non plus ! (mais l'oeillet il doit morfler dans ce cas ?) Et vu ce que prend le cadre sur le court juste après ... (raclûre des joncs, pèts en tout genre) Maintenant je suis d'accord avec le fait qu'il ne faut pas confondre pose personnelle et pose professionnelle. Quand on corde pour les autres, et surtout si on en demande un certain prix, il y a d'autres niveaux de précaution à prendre, si ce n'est par certitude, au moins dans le doute.
-
Oui mais ce n'est peut-être qu'une illusion. Par exemple, deux au moins de mes entraîneurs qui ont vu jouer et gagner Santoro jeune m'ont dit qu'il ne faisait que des ronds au début, et qu'il gagnait facilement à 15 avec ça. Pourquoi s'en priver ? Pourtant il a su faire évoluer son jeu de façon à pouvoir battre des Safin par exemple. Et là ce n'était plus des ronds. Donc impossible de dire que Santoro est en-dessous d'un point de vue tennistique. Cela n'a pas de sens.
-
Ah tu parles de massacre au niveau de la corde ?? Je coyais que tu parlais de massacre pour le cadre. Je n'ai jamais constaté que ma corde soit "massacrée" avec la pince extérieure; mais bon je vérifierai la prochaine fois. En tout cas ça ne m'a jamais frappé.
-
Bof... sans vouloir y mettre de la mauvaise volonté je ne vois pas trop pourquoi une fois de plus Que la pince soit à l'intérieur ou l'extérieur du cadre, la force appliquée sur le cadre est vers l'intérieur une fois le travers tendu. Dans un cas (pince extérieure) c'est la pince qui applique la force, dans l'autre (pince intérieure) c'est le pont de corde, certes moins traumatisant pour la partie de cadre extérieure qu'une pince mais une fois de plus, si la pince a été soigneusement appliquée avant mise sous tension il n'y a aucun souci. EDIT : en réfléchissant il n'est même pas tout à fait sûr que dans le cas de la pince extérieure, la pression soit beaucoup plus grande sur la partie du cadre sous la pince car à force égale, la pression dépend de la surface. Dans le cas du pont de corde, la pression est répartie le long du pont mais ce pont est très mince. Dans le cas de la pince, la pression se répartit sous la partie de la pince appliquée contre le cadre, en gros un segment de droite de longueur la largeur du cadre. En tout cas, je n'ai jamais constaté de déterioration extérieure du cadre au niveau du point d'application de la pince avec cette technique.
-
Je passe sur tes commentaires désagréables et personnels que tu adresses à chacun des forumeurs qui osent défendre une idée différente de la tienne, mais sache qu'ici on débat des idées et non sur les personnes. Si on parle de supériorité tennistique technique intrinsèque, on parle d'autre chose que de classement. Il me semble que le sujet de ce fil est sinon le classement, au moins la capacité à ne pas perdre en contre. On ne parle ni de capacité technique ni de beauté gestuelle. Dans ce cadre il faut bien intégrer dans le niveau de chacun la capacité à gagner, qui passe par toutes les qualités que tu as décrites. Si pour toi, être meilleur que ton adversaire se résume uniquement à la qualité artistique de ton jeu, il faut changer de sport et faire du patinage artistique, où tu seras sûrement moins frustré par certaines défaites.
-
Il y a plusieurs façon de considérer le classement au tennis. Déjà on peut être ou ne pas être compétiteur; le joueur de loisir se moque bien sûr du classement et se concentre avant tout sur le plaisir, le fait d'être dehors, d'échanger un moment sympa entre amis. Maintenant, en tant que compétiteur, il est difficile de s'affranchir du paramètre du classement. Un compétiteur qui prétendrait ignorer ce paramètre j'aurais tendance à dire que quelque part il se voile la face. Le compétiteur recherche l'opposition, le dépassement de soi, la victoire avant tout, sur l'autre ou sur soi-même. Le classement est donc un outil plus ou moins impartial, plus ou moins bien pensé mais c'est le seul à notre disposition qui permette de faire une évaluation extérieure sur notre "niveau" de jeu (ou sur notre capacité à être bon en terme de progression au classement, ce qui peut être parfois différent de la capacité à être bon joueur de tennis). Il permet également de faire une évaluation personnelle, il peut être un moteur de progression, il permet de s'étalonner par rapport aux adversaires et par rapport à la population tennistique en général. Pour les personnes qui aiment le dépassement de soi, c'est agréable de savoir par exemple qu'on fait partie des 25% de licenciés au dessus de 30/1 ou des quelques 4% de licenciés au dessu de 15/1. Ce n'est par rien, ça a une signification et ça peut représenter un accomplissement personnel légitime et respectable. Ou alors on est dans le cynisme et la dérision absolue et on considère que rien ne vaut vraiment la peine d'être fait sur cette Terre, mais c'est un autre débat à conduire dans la section philosophie qui n'est pas encore créée. On peut être compétiteur pour rechercher la diversité des styles et des oppositions, et se moquer du classement mais à partir du moment où on a un certain niveau de jeu on souhaite rencontrer des adversaires du même niveau, et donc il devient nécessaire au moins de maintenir son classement pour cela; c'est inhérent au système actuel. On est donc forcé de rentrer dans le système et de jeter un oeil sur ses rouages pour continuer à pouvoir faire des tournois sans s'ennuyer trop. Quand on fait cela on s'aperçoit que le système de classement actuel est fait surtout pour maintenir le compétiteur le plus longtemps possible à un niveau et éviter qu'il monte trop vite aux classements supérieurs de façon à alimenter la pompe à fric pour les clubs. Je pense qu'il y a moyen de mieux faire à ce niveau, mais c'est sûrement plus facile à dire qu'à faire et ce n'est pas vraiment le sujet.
-
Oui sauf que je ne vois pas les contre-indications de ceci. C'est comme tout, il faut prendre un minimum de précaution à chaque action sinon tout devient contre indiqué, hein ! Si tu prends soin de tirer sur le travers et de placer ta pince contre le cadre avant d'appliquer la tension, il y a zéro problème. Evidemment si tu laisses tomber la pince et que tu appliques la tension comme un chacal en regardant ta pince se coller comme elle peut en catastrophe contre le cadre, il y a contre indication, mais je dirais à la limite que c'est l'action de corder tout entière qui est contre indiquée pour les personnes qui ont de telles pratiques !
-
Je ne vois pas ce qui te permet de dire ça. C'est quoi le tennis pur ? Au tennis, en terme de classement c'est le score qui compte et ce n'est pas du patinage artistique. Tu le dis toi-même : Ca veut dire que ces qualités que l'adversaire a déployé pour te battre t'ont fait défaut, et ce sont des qualités essentielles pour atteindre un certain niveau de classement. Si ces qualités te manquent, cela ne sert à rien de se réfugier derrière une présupposée supériorité tennistique qui réconforte l'égo face à la défaite mais qui est aveuglante pour la progression en terme de classement car elle esquive la remise en cause personnelle.
-
Pour ma part je préfère la pince de départ, je ne vois pas de souci avec ça si on pince sa corde un peu plus loin que la charnière pour ne pas la marquer. En appliquant la tension la tête de la pince vient se loger contre le cadre de façon naturelle et l'extrémité de la pince repose sur le berceau. Avec un noeud de départ on risque de voir le noeud se loger dans l'oeillet et l'endommager un peu, j'ai vu faire il y a un moment sur un de mes cadre et je n'ai pas aimé le résultat.