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Posté(e)

avant un match, la veille, ce n'est pas le match : ce qui compte, c'est donc de vivre pleinement ce que tu es en train de faire sans penser au lendemain.

le début du match, ce n'est pas la fin, ce n'est que le coup, même pas le point, que tu es en train de jouer. applique-toi à jouer chaque coup au moment où tu le joues, sans te projeter dans le "et après". apprends à te concentrer, c'est à dire à te centrer sur ce qui doit être l'objet de ton attention : la balle, le placement, le jj...ce que tu veux. mais surtout, en te concentrant tu mets de côté ce qui ne t'intéresse pas ici et maintenant (la liste des courses, le plein de la bagnole...) : par exemple, si tu regardes la balles, sa trajectoire, l'effet imprimé, tu ne te préoccupes pas de la couleur de ton tee-shirt (ou du résultat du match!). pourtant, et la couleur de ton maillot et le résultat du match ont une existence, présente pour l'un, à venir pour l'autre, mais tu les déplaces en quelque sorte de ton champs d'action . Bref, carpe diem en somme...

Posté(e)

C'est exactement ça je mets des plombes a récupérer après un long point

Mais jen reviens au même constat tout le temps si ce n'est pas un automatisme c'est pas facile de mettre en place quelque chose j'espère juste que je vais y penser.

Jai trouve quelques info sur le livre pensez champion mais je vais ça de plus près parce que je n'ai pas du le temps de lire.

  • 7 mois après...
Posté(e)

Je tombe sur ce sujet en me baladant sur le forum : en ce qui concerne le stress je suis championne n°1, ou ex-aequo avec Cathydeuche. Mais là ça a l'air de passer, disons que je transforme la panique qui m'empêche de jouer (effet guimauve) en trac plus dynamique.

Et comment ai-je fait pour effectuer cette transformation ? D'abord j'en ai eu marre, tout simplement. Marre d'aller en match malade de stress, de ne plus savoir jouer comme à l'entraînement, marre de ces matchs où le jeu n'avait aucun intérêt par ma faute (je frappais en reculant -peur- la balle montait très haut, et comme je suis quand même habile elle ne sortait pas mais bon, l'échange était vraiment pourri). J'en ai gagné des matchs en ayant très peur, en jouant très mal…mais je n'avais aucun plaisir et je finissais le tournoi avec une sensation de dégoût total.

A quoi bon jouer si c'est pour garder un mauvais souvenir de ces matchs ?

Alors cet été j'ai passé un cap, je me suis dit "plus jamais ça ou j'arrête la compet"". J'ai préféré perdre des matchs en prenant des risques que d'en gagner en jouant petit.

Résultat : j'ai perdu mais j'ai aussi gagné. Mais comme j'ai pris des risques j'ai progressé et en plus j'ai pris du plaisir. Et le gros mauvais stress est resté endormi :w00t:

Je ne sais pas si le stress de Cathydeuche est encore d'actualité et si mon expérience peut lui être utile...

Bonne continuation en tout cas!

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