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Alteo

Comment apprendre à prendre plaisir en match ?

Recommended Posts

Le livre de Girod te ferait du bien car ca reprend l'état d'esprit de jeanfils et c'est assez concret.

Je conseil aussi de lire "Le courage" de Osho

J'en ai d'autres mais pas encore lus alors je ne recommande pas encore...

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Je me retrouve bien dans ta problématique. 

Cela vient du fait pour moi que je suis un amoureux du beau jeu avant d'être un amoureux de la victoire.

J'ai lu le bouquin de Brad Gilbert et... Je ne m'y retrouve pas ! Gagner mochement n'est pas mon truc et je mise sur la progression sur le moyen-long terme plutôt que la victoire "moche" immédiate. 

Apres c'est à chacun de composer avec le "qui je suis", je conçois parfaitement que certains préfèrent la gagne à tout prix au détriment d'une technique propre. 

En tout cas un débat très intéressant !

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  J'ai lu le bouquin de Brad Gilbert et... Je ne m'y retrouve pas ! Gagner mochement n'est pas mon truc et je mise sur la progression sur le moyen-long terme plutôt que la victoire "moche" immédiate.

C'est assez surprenant cette lecture du bouquin de Gilbert qui est faite généralement car pour moi au delà du titre provocateur en référence aux critiques réalisées à l'époque sur son jeu, c'est plutôt une ode à "jouer intelligemment". :huh:

Quand on prend son exemple sur la façon de battre Becker, on ne peut pas dire que c'est jouer mochement, c'est créer du jeu pour monter au filet mais en jouant long sur le coup droit de Becker car il joue quasiment à chaque fois le passing long de ligne donc très facilement anticipable. Et pour les autres exemples, c'est souvent comment renverser un match en remarquant un détail, en changeant une petite chose qui peut faire sortir l'adversaire de sa zone de confort.

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C'est assez surprenant cette lecture du bouquin de Gilbert qui est faite généralement car pour moi au delà du titre provocateur en référence aux critiques réalisées à l'époque sur son jeu, c'est plutôt une ode à "jouer intelligemment". :huh:

Quand on prend son exemple sur la façon de battre Becker, on ne peut pas dire que c'est jouer mochement, c'est créer du jeu pour monter au filet mais en jouant long sur le coup droit de Becker car il joue quasiment à chaque fois le passing long de ligne donc très facilement anticipable. Et pour les autres exemples, c'est souvent comment renverser un match en remarquant un détail, en changeant une petite chose qui peut faire sortir l'adversaire de sa zone de confort.

Je n'ai pas relevé mais je partage ton avis. C'est un parfait bouquin pour compéter son jeu en plus de la seule technique souvent privilégiée par les joueurs (débutants surtout) au détriment des autres aspects du jeu... Super bouquin au demeurant.

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Donc le soucis vient peut être de là : ta motivation est plutôt axée sur la maitrise gestuelle (faire de bons coups et donc par dérivé avoir un beau jeu) plutôt que sur le résultat du match ce qui crée forcément un conflit au sein du match...

Oui, voilà. Mais pour être plus précis, ma motivation est axée sur la maîtrise gestuelle mais aussi sur la capacité à envoyer la balle dans le terrain adverse. S'il manque l'un des deux, je n'ai une demi-satisfaction. Car, quand même, si je fais faute directe dès la première frappe, même en ayant centré, en étant relaché, et en ayant les bons appuis, ça m'ennuie.

OK j vois mais techniquement es-tu déjà capable de faire à l'entraînement ce que tu veux faire en match? Il y a beaucoup d'aspects là... Appuis + centrage de balle + relâchement. C'est beaucoup de chose et nous sommes nombreux à ne pas maîtriser tout cela... Pas simple de se concentrer sur ces 3 choses à la fois. Parmi ces 3 aspects, lequel te procure vraiment une énorme satisfaction. Si j'étais toi je me concentrerais sur appuis et centrage. Le relâchement c'est bien mais tu pourras le bosser dans un second temps. Les appuis c'est primordial et ça devrait t'aider à centrer la balle si tu la regardes vraiment. 

Placement + centrage serait la victoire que je convoiterais en match. Juste ça! Mais toi que préfères-tu?

Alors... Techniquement, oui, j'en suis capable, même si tout n'est pas parfait. Il me manque des fois du relâchement ne coup droit, par exemple. Mais en entraînement, quand ça arrive, j'y fais fis et me règle au fur et à mesure. En match, ce n'est pas - toujours - le cas.

Après, ma plus grande satisfaction vient, je dirais, du centrage de la balle (à condition qu'elle est bien renvoyée dans le terrain adverse). Mais bon, si je suis mal placé et/ou mal relâché, il m'est difficile de centrer.

Je vais suivre son conseil et me focaliser sur placement + centrage dans un premier temps.

Je me retrouve bien dans ta problématique. 

Cela vient du fait pour moi que je suis un amoureux du beau jeu avant d'être un amoureux de la victoire.

J'ai lu le bouquin de Brad Gilbert et... Je ne m'y retrouve pas ! Gagner mochement n'est pas mon truc et je mise sur la progression sur le moyen-long terme plutôt que la victoire "moche" immédiate. 

Apres c'est à chacun de composer avec le "qui je suis", je conçois parfaitement que certains préfèrent la gagne à tout prix au détriment d'une technique propre.

J'étais comme ça, avant, moi aussi. On avait beau me dire de jouer comme le font tous les NC ou 40 qui me battaient, et que c'est eux qui avait raison, j'avais un peu de mal à l'admettre et j'arrivais pas à m'empêcher de jouer  avec sécurité (donc, selon moi, mochement). Puis ce livre a été une révélation, dès que j'ai lu... le titre. :)

Voir un bouquin qui mettait en valeur le jeu moche, c'était comme si j'avais eu la confirmation que cette manière de jouer est une vraie manière de jouer.  Du coup, je l'ai acceptée et j'ai commencé à prendre pied à jouer ainsi en jouant ainsi. Mais je reste quand même un adorateur du "beau" jeu. ;)

Dans tous les cas, c'est vrai, c'est à chacun de se trouver son style.

Le livre de Girod te ferait du bien car ca reprend l'état d'esprit de jeanfils et c'est assez concret.

Merci pour la suggestion ! Je vais me renseigner sur ce livre.

 

Après, pour apporter quelques précisions supplémentaires, j'ai fait deux matchs amicaux depuis que j'ai ouvert ce post (un lundi et un mardi), post qui faisait suite à un match de trophée Philippe Chatrier que j'ai perdu et où j'ai réalisé réellement ma propension à me démotiver inconsciemment par flemme de l'effort.

Dans le match de Philippe Chatrier, j'ai perdu le 1er set 6/3 après avoir raté deux ou trois balles de 4/3 en ma faveur. Remonté, je prends direct le premier jeu du second set et puis.... je me "dé-concerne" jusqu'à en perdre les 6 jeux suivants. Score final : 6/3 6/1.

C'est à ce moment que j'ai pris conscience véritablement (je le savais déjà, mais ne le disait pas "officiellement") de ma tendance à abandonner l'effort facilement en match. Soit c'est trop dur/chiant, et j'abandonne (au premier set, je me suis dit inconsciemment que, bon, il a pris l'avantage, alors je lui donne le set et me rattraper sur les autres) ; soit ça semble facile et j'y vais coulant (sur le second set, je mène direct 1/0, donc je me dis - inconsciemment toujours - que ça va être facile de faire la course en tête). Dans les deux cas, je ne suis plus concerné par le match.

Dans les deux matchs amicaux du début de semaine, j'étais un peu vexé de la défaite au trophée Chatrier, et j'ai donc joué avec un sursaut d'orgueil. Je me suis motivé, me persuadant que jouer ces matchs allait être cool, que j'allais m'éclater, que me battre sur tous les points allait être génial, etc... Je me suis même forcé à être chaud bouillant en étant à l'initiative des matchs.

Le pire, c'est que ça a marché... au début. :D

J'ai perdu le match de lundi en un set 6/4, et celui de mardi, 6/2 6/0. Mais j'ai réalisé un truc : dans les deux cas, je commence la partie plein de conviction. Ensuite, comme je vois que ça fonctionne bien (les échanges sont disputés, j'arrive à réussir mes objectifs techniques, et je mène au score), je suis rassuré sur mon niveau de jeu et mon corps décide alors d'abandonner l'effort : plus la peine de travailler, puisque le niveau est là. Résultat, je joue sans conviction et me prends une tôle.

Donc, que j'ai l'avantage ou que je ne l'ai pas, je me démotive en plein match !

Dans les deux cas, j'ai quand même pris plaisir à jouer. Mais il y a des "sursauts" de démotivation qui sont fatals.

C'est grave, Docteur(s) ?

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Je vois juste que tu penses trop... :rolleyes:

Un vrai thriller dans ta tête
 

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Ben écoute... On ne m'appelle pas "le Christopher Nolan du tennis" pour rien, hein !

"Inception", c'est inspiré d'un de mes matchs. :P

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Par contre, je vais peut-être attendre de gagner au loto, pour l'acheter, ce livre. Sur le site de la Fnac, il est à un prix tel que je pourrais m'acheter une matinée de stage de Mouratoglou à la place. :D

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ne pas tout donner en match c'est une façon de se trouver des excuses

"ok j'ai perdu mais je n'ai pas tout tenté parce que"

c'est une excuse et une façon de se rassurer "si je faisais les efforts je ne perdrais pas"

Aaaah ! C'est tout à fait l'exactitude précise de l'origine avérée de mon problème ! :)

C'est LE point noir que j'ai identifié : je ne donne pas tout, tout le temps. Soit je donne ce que j'ai au début, et en voyant que tout va bien, je lève le pied par flemme de poursuivre l'effort ; soit je ne donne rien et en voyant que rien ne va, je n'essaie qu'à peine de renverser la vapeur par manque d'envie d'être dans la situation inconfortable de courir derrière le score.

Dans les deux cas, c'est une sorte de fainéantise. Et mon caractère est que je ne suis fainéant que quand je ne me m'éclate pas et/ou que je perds la motivation.

D'où la grande question que je me pose : mais pourquoi donc est-ce que je ne m'éclate pas en match, que je mène ou que je sois mené ?

Ca rejoint la suite de ton message, notamment :

essaye de te mettre en mode combat. quand tu sens que tu commences à chercher des excuses, souffle, refuse le et recentre toi sur le point à venir.

et perdre en ayant tout donné est au final bien plus riche en expérience et en lucidité.

bref, je te suggère d'essayer de "bien perdre", c'est à dire de perdre (ou gagner) mais en laissant un minimum d'excuses venir te perturber, l'idée c'est qu'à la fin tu dois pouvoir te dire "j'ai mis tout ce que j'avais ce jour là".

Là dessus, tu as raison. Je dois fixer ma concentration sur le match et sur chacun des points que je vais disputer, un à un. Je vais (essayer d')arrêter de penser à tout ce que je dois encore réaliser pour terminer le match (car c'est sûrement ça qui entraîne la flemme).

Je pense que l'idéal serait que je me dise à chaque service : "on va commencer un échange, et je vais m'éclater à lui renvoyer la balle", au lieu de "bon, on continue le match, il reste encore x jeux à gagner pour avoir le set". Non ?

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alteo dans le girod que tu as eu il y a le "moi, ici, maintenant"

tu reliras le passage mais en synthèse c'est un avertisseur

Mais oui, bon sang ! C'est ça !

Bon, en fait, je n'ai pas encore le bouquin, mais il m'intéresse de plus en plus, là. A vrai dire, j'ai aussi trouvé sur le forum le post de quelqu'un qui faisait un résumé du livre, et il mentionne le même passage. Et c'est hyper-intéressant.

Car, effectivement, j'ai la manie de laisser mon attention vadrouiller un peu (même si c'était pire il y a à peine deux ans). Quand je mène en amical contre ma bête noire de collègue, je pense à ce que je vais dire à mes autres collègues qui me charrient à cause de ma série de défaite ; quand je mène en tournoi, je pense au message que je vais envoyer à mes potes qui m'encouragent... et à ce que je vais mettre sur Classim, en effet. :)

Mais plus négativement, je pense trop à ce que je dois faire pour aller au bout du match, que je sois meneur ou mené, et je le vois comme un long chemin de croix. D'où le côté "corvée" qui fait que je ne m'éclate pas.

A l'inverse, je devrais me focaliser sur chaque point à me dire "Je vais faire ce qu'il me plaît le plus, à savoir jouer au tennis".

Comme tu le dis si bien ensuite :

Ca c'est à toi de choisir en fonction de ce que tu sais faire, de ce que tu as envie de faire et de ce qui est efficace.

moi j'adore monter à la volée mais je me fais trouer dès que c'est un bon passeur, donc je le fais que quelquefois, sinon je fais ce que je fais le mieux c'est à dire "travailler" l'adversaire en lui faisant jouer un coup de plus jusqu'à la faute et en insistant sur le point faible. Ca me fait pas autant plaisir que jouer à la fédérer mais ça gagne et j'aime la dimension "combat" du match que ce soit amical ou compétition.

Et je suis bien d'accord avec tout ça. :)

 

Donc, conclusion : si je veux enfin que les matchs soient des parties de plaisir, il faut que j'arrête de les voir comme un ensemble de tâches à accomplir. Il me faut donc prendre chaque point individuellement, me concentrer sur chaque balle que je vais frapper, et uniquement penser au fait qu'à chaque coup droit ou revers, je vais faire LA chose qui me plaît : jouer au tennis.

Je vais essayer ça aux prochains matchs, amicaux ou non. Enfin... Je sais bien que ça ne sera pas gagné tout de suite, c'est compliqué de forcer son mental comme ça, du jour au lendemain. Mais dès que je commence à percevoir des résultats, je vous tiens au courant. ;)

Merci pour toutes vos indications et pour votre aide !

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Bonjour bonjour !

J'ouvre un énième sujet sur le mental, en posant une question simple : comment apprendre à prendre du plaisir en match ?

Je vous explique le contexte : je suis actuellement dans une spirale de la défaite, avec une victoire seulement (sur abandon) depuis 18 mois et les causes sont multiples, entre le stress, le manque de relâchement, etc, etc... J'ai lu un message de Loulou sur le post "Peut-on s'améliorer mentalement ?" de Wilsoncolas dans lequel il définit 3 types de stress : "fuite", "inibition", "lutte". Je suis clairement dans le type "inhibition" : je perds toute combativité.

J'ai donc cherché à contrôler ce stress, en me calmant, en essayant de faire le vide dans la tête, en évitant de trop réfléchir à la technique... J'ai lu vos posts (intéressants, au demeurant) sur le sujet, comprends les mécanismes et les axes de travail. Mais rien n'y fait (évidemment ! Sinon je ne serais pas en train de taper ce message :p).

Et puis, lors de mon dernier match (ma dernière défaite, donc), j'ai réalisé un truc que je savais au plus profond de moi et que j'admets enfin volontiers : je suis un fainéant. :)

Non, bon, je vais le décrire autrement : je ne rechigne pas à l'effort pĥysique quand je n'ai pas à réfléchir, que tout va bien au niveau du stress et que je sais que je peux arrêter quand je veux (conditions d'entraînement). En revanche, dès qu'il y a un objectif à atteindre, une contrainte supplémentaire voire l'optique d'une session qui s'éternise (conditions de match), j'ai la flemme de me bouger, mentalement comme physiquement. Et là, je réalise qu'en fait, je ne prends aucun plaisir à jouer des matchs (amicaux ou en compétition), parce qu'il y a trop de contraintes.

Mon souhait n'est pas d'éliminer le stress (impossible !) ni de chercher un nouveau moyen de le contrôler (j'ai fini par admettre que ça fait partie du jeu). Il s'agit de dire à mon p$&#%€ de cerveaux que le match est un pur plaisir de jeu, et transformer ainsi le stress en stress positif, du genre à me donner envie de jouer, plutôt que me la couper.

C'est possible, selon vous ?

Merci par avance pour vos réponses !

Bonjour Alteo ! J'ai lu ton post, très intéressant ! Comme j'ai pu le dire dan d'autres réponses, le tennis est enregistré sous plusieurs formes de mémoire, dont la mémoire émotionnelle. El la, tu as dû ùémoriser tes défaites de manière négative. Et bien entendu chaque fois que le match est difficile, la partie mémoire émotionnelle qui est inconsciente te tirera vers la défaite quoi que tu fasses ! Et même pire, plus tu essaieras de t'en sortir par la volonté, plus cette partie de toi-même (l'image de soi pour certains spécialistes), te pécopitera vers l'échec.... En tennis comme dans tout acte de vie, l'imagination est 100 fois plus puissante que la volonté.... J'en vient donc à la conclusion... Le plaisir de joueur doit être généré en imaginant ton engagement dans le match, ton ressenti de la frappe de balle, etc. Mais surtout ne te mets pas en contrainte de résultat, joue juste pour le ressenti du jeu de manière globale, sans t'impliquer dans le résultat.... Joue le tennis pour le vivre et non pour son résultat, alors, et alors seulement, tu GAGNERAS !

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Mais oui, bon sang ! C'est ça !

Bon, en fait, je n'ai pas encore le bouquin, mais il m'intéresse de plus en plus, là. A vrai dire, j'ai aussi trouvé sur le forum le post de quelqu'un qui faisait un résumé du livre, et il mentionne le même passage. Et c'est hyper-intéressant.

Car, effectivement, j'ai la manie de laisser mon attention vadrouiller un peu (même si c'était pire il y a à peine deux ans). Quand je mène en amical contre ma bête noire de collègue, je pense à ce que je vais dire à mes autres collègues qui me charrient à cause de ma série de défaite ; quand je mène en tournoi, je pense au message que je vais envoyer à mes potes qui m'encouragent... et à ce que je vais mettre sur Classim, en effet. :)

Mais plus négativement, je pense trop à ce que je dois faire pour aller au bout du match, que je sois meneur ou mené, et je le vois comme un long chemin de croix. D'où le côté "corvée" qui fait que je ne m'éclate pas.

A l'inverse, je devrais me focaliser sur chaque point à me dire "Je vais faire ce qu'il me plaît le plus, à savoir jouer au tennis".

Comme tu le dis si bien ensuite :

Et je suis bien d'accord avec tout ça. :)

 

Donc, conclusion : si je veux enfin que les matchs soient des parties de plaisir, il faut que j'arrête de les voir comme un ensemble de tâches à accomplir. Il me faut donc prendre chaque point individuellement, me concentrer sur chaque balle que je vais frapper, et uniquement penser au fait qu'à chaque coup droit ou revers, je vais faire LA chose qui me plaît : jouer au tennis.

Je vais essayer ça aux prochains matchs, amicaux ou non. Enfin... Je sais bien que ça ne sera pas gagné tout de suite, c'est compliqué de forcer son mental comme ça, du jour au lendemain. Mais dès que je commence à percevoir des résultats, je vous tiens au courant. ;)

Merci pour toutes vos indications et pour votre aide !

Slut Altéo

On peut voir le problème sous un angle différent.Peut être que tout ce qui t'arrive est généré par un problème d'ordre proprioceptif est kinesthésique.c'est une idée qui a germé dans mon esprit en te lisant.

L'idée serait de traiter le sujet différemment. 

Partons du principe que le mental = tout ce qui nécessite l'intervention du conscient (je nie donc l'intervention du ça et du surmoi dans ce système, et je me place donc très loin de ce que j'ai appris ou lu sur le sujet).

On pourrait imaginer que chaque joueur arrive sur le terrain avec une hotte remplie de mentale, chaque intervention consciente piocherait de l'energie mentale dans cette hotte, jusqu'à épuisement des réserves.

En soulageant les prises d'informations conscientes, on permettrait au jouer de puiser moins souvent dans sa hotte.

C'est peut être là qu'il y a une carte à jouer.

Alors quelles sont les prises d'informations consciente que nous pouvons enlever par l'entrainement?

question 1 : (kinesthésie pure)

Comment ressens tu le fait de tenir une raquette de tennis dans les mains? As tu l'impression de tenir un objet ou arrives tu à faire le lien entre la raquette et ton corps ? (dans ce cas la raquette est plus ressentie par le joueur comme un prolongement de la main que comme un objet)

Si ta réponse est est ' je tiens un objet' , commence déjà par plus te familiariser avec l'objet , jongle avec ta raquette amuse toi , fais tourner le manche rapidement dans tes mains, main droite , main gauche, fais la tourner , tu peux aussi ajouter une balle, etc... Je trouve ça intéressent car ce sont des choses que tu peux faire chaque jour chez toi.

Question 2 : ( proprioception)

As tu une conscience exacte de l'alignement de tes segments dans l'espace?

Ferme les yeux mets toi face à un miroir raquette en main,place la raquette à l'horizontale, ouvre les yeux et regarde dans le miroir histoire de vérifier si l'image que tu ressens de toi est conforme à la réalité. (bien évidement, varie les positions et jette un coup d'oeil à chaque fois, sur un pied sur deux pieds, etc...)

Question 3 : 'relier technique et 'mental'

Quand tu joue au tennis, arrive tu à faire un lien entre ta raquette et la balle ? Techniquement parlant il y a quelques astuces à connaitre pour créer ce lien entre le corps et la balle. Une fois ce lien solidement crée c'est le mouvement de la balle qui crée le mouvement de la raquette et celui du joueur, tout le reste se fait de manière inconsciente.

Je fais ce post car je trouve qu'on a tendance à sacraliser le mental, or c'est à mon avis un point qu' il est certes nécessaire d'aborder à partir d'un certains niveau de pratique, quand le joueur maitrise déjà certains fondamentaux d'ordre : technique, tactique, physique, coordination, équilibre, proprioception, kinesthésie.

Voilà c'est juste une autre approche ;)

 

 

 

 

 

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Est ce que qq'un vend le livre (papier) d'Antoni Girod sur la préparation mentale au tennis? car il n'est plus commercialiser chez les revendeurs. 

Il faut que je lise ce bouquin, apparemment chacun en tire parti !

 

 

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Non malheureusement il es en rupture il reste quelques exemplaires sur d'autres sites marchands mais en version broché et le prix est a partir de 50€ ( un peu trop cher pour moi !) Il t'a apporté beaucoup dans l'approche mental avant les matchs ? 

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Non malheureusement il es en rupture il reste quelques exemplaires sur d'autres sites marchands mais en version broché et le prix est a partir de 50€ ( un peu trop cher pour moi !) Il t'a apporté beaucoup dans l'approche mental avant les matchs ? 

Tu l'as en ebook sur son site (bas de la page) : http://www.tennismental.com/index.php

 

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Avant le match pas forcément. Plutôt pendant le match.

 

Si tu veux des pistes, regarde sur mon site. Le lien est dans ma signature et dans le mega dossier il y a plusieurs parties extraites du livre de GIROD.

Ok merci j'ai parcouru ton dossier il y a effectivement des pistes intéressantes tiré du livre .Merci Nat

Tu l'as en ebook sur son site (bas de la page) : http://www.tennismental.com/index.php

 

Merci Denebola mais je cherchais en version papier ( j'ai vu qu'il etait dispo dans certaines bibliotheque dont la BU de Caen proche de chez moi) 

Si je veux l'avoir tjs sous la main je prendrais alors la version pdf ^^

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Salut Alteo, j'ai moi-même eu une période de défaites où je prenais peu de plaisir (de 2 mois seulement mais c'était bien pénible quand même).

Et maintenant c'est bon, je gagne pas beaucoup plus, mais je prends encore plus de plaisir qu'avant cette période, donc au final c'était un mal pour un bien.

Et comme je suis très sympa, je vais te dire ce qui m'a aidé. Je vais pas classer chronologiquement, mais sur l'efficacité que cela a eu ;) !

Alors tout d'abord, réduire ton temps de jeu hebdomadaire. Je ne pense pas qu'arrêter 2/3 semaines soit utile, mais en jouant juste 1 heure par semaine pendant 3/4 semaines, ça m'a permit de prendre un peu de recul, et même si je ne jouais pas super bien pendant cette heure-là (je ne faisais pas de match...tu peux faire des gammes ou juste des balles), comme c'était un peu "l'évènement" de la semaine, je prenais automatiquement plus de plaisir.

Ensuite, jouer avec quelqu'un de beaucoup plus faible m'a aidé. Tu peux faire des balles ou un match (si t'as envie de faire rentrer ton partenaire en bicyclette ^^, perso je l'aime bien donc j'ai juste fais des balles XD ). Faire cela m'a permit de dicter le jeu pendant une heure, ça m'a totalement décoincé et j'ai retrouvé de très bonnes sensations ! D'ailleurs mon revers n'a jamais été aussi bon que maintenant et c'est grâce à cette heure où je refusais de concéder le point (même si c'était juste des balles) à cause d'une faute de revers.Mais tout compte fait,  je ne suis pas sûr pour le match, car si tu as du mal contre un adversaire que tu sais bien moins fort que toi, ça risque plus de t'enfoncer que de te donner confiance !

Enfin, ce qui me fait prendre tant de plaisir maintenant, c'es ma "nouvelle conception du tennis" (ça vend du rêve, mais tu vas être déçu ^^). Elle se base sur le syllogisme (raté d'ailleurs) suivant:

Les gens aiment les matchs soit de haut niveau, soit marrant.

Les matchs opposant deux nuls sont très marrants.

Or les 4S sont tous nuls !

Donc les gens aiment les matchs de 4S, vu qu'ils sont marrants !

Alors, dis comme ça c'est un peu spé mais c'est très simple ^^.Pendant un match contre un pote d'un niveau similaire au mien (il est donc mauvais si t'as suivi ;) ) où il y avait pas mal de vent, je l'ai regardé...et j'ai explosé de rire en regardant sa technique et en le voyant faire comme il pouvait pour tenter d'anticiper le rebond de la balle ( elles étaient toutes molles en plus, c'était vraiment pas facile de jouer). Puis je fais de beaux ratés également, et là c'est lui qui explose de rire. Le match a monté d'un niveau par la suite (on était semi-nul) et on ne faisait que peu de fautes, mais les échanges duraient longtemps et on explosait de rire à chaque échange un peu serré quand on regardait l'autre essayant de faire le bon geste pour attaquer et qu'à cause du vent (et de notre niveau) cela envoyait juste une balle molle au milieu, que l'autre n'arrivait pas à attaquer bien évidemment ! On était donc mort de rire (j'ai pleuré plusieurs fois pour te dire ^^')et on continuait notre jeu médiocre (je te parle pas des services, j'ai cru que ma vessie allait exploser à certains moments). Puis le vent s'arrête, et on devient moyen-nul, pendant 1 ou 2 jeux, les balles sont longues et les échanges plutôt intenses (pour des 4S bien sûr), même les services sont bien claqués ou grattés, on termine les points, peu de fautes directes, bref, du beau jeu(tout est relatif après ^^) ! Bon après le vent revient et c'est le même cirque que tout à l'heure.

Tout ce pavé OSEF sur ma vie pour te dire que lorsqu'on réfléchit un peu, les 4S sont très marrants car ils tentent de faire des trucs, ils se concentrent au max, certains ont même leurs petites manies tout ça pour mal jouer en enchaînant les immanquables, les doubles etc...Et en pensant à ça, j'ai une approche beaucoup plus simplifiée du tennis et dès que je rate un point, je rigole en repensant à quel point ça devait être ridicule et ça me permet de me relâcher, d'augmenter significativement mon seuil de régularité et surtout de me renforcer mentalement. 

Ah aussi un p'tit conseil pour les fainéants (j'ai connu cette sensation et maintenant je défends pas trop mal), bon c'est valable juste pour les nuls comme moi, mais dîtes vous juste qu'à notre niveau, personne ne sait réellement terminer un point, et lorsque j'ai fais ce constat avec mon partenaire, on est devenu plus tenace et on va chercher des balles que l'on aurait considérée comme perdues il y a quelques temps, et en faisant l'effort (que l'on fait inconsciemment juste en ce disant que ce n'est jamais perdu) on se rend compte que très peu de coups adverses sont gagnants, surtout que si l'on refait jouer celui en face, il y a pas mal de chances vu nos niveaux qu'il fasse la faute, ce qui me ferait rire un bon coup( à haute voix avec mes potes, mais intérieurement en tournoi ;) ) en voyant sa superbe technique, suivie du "ET MERDEEUUH" habituel de celui qui avait le point un coup plus tôt XD !

Je pense que je vous ai montré mes qualités de synthétisation ;) !

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Merci Cybten, Loulou et Tennich pour vos réponses ! Ils m'apportent des éléments supplémentaires bien précieux !

Prémièrement, la mémoire émotionnelle évoquée par Cybten est un point intéressant. Il est vrai, et je l'avoue, que dernièrement, je ne me sentais pas "bon joueur", dans le sens où rien que le fait de m'imaginer faire un coup droit ou un revers simple (par exemple quand mon neveu de 9 ans me demande  de tapoter la balle avec lui) m'apparaît comme une corvée et/ou une action insurmontable. En fait, je réalise que mes multiples enchaînements de coups droits boisés de ces derniers jours ont développé une appréhension.

Pourtant, et j'aborde là le point de la kinesthésie, je tiens ma raquette "naturellement". Je la perçois comme le prolongement de ma main, la ressens bien quand je fais des gestes à vide, notamment quand la tête tombe. Il est effectivement possible que j'ai eu mal à relier mental et techique, car il me faut toujours un petit moment après le début d'une séance pour vraiment sentir que mes coups partent : c'est le temps qu'il me faut pour prendre la mesure de la balle et engrender de la confiance en mes frappes.

En match, cette confiance vient difficilement ou ne vient pas du tout.

Autrement, il y a deux points de Tennich que je trouve intéressant dans mon propre cas :

Alors tout d'abord, réduire ton temps de jeu hebdomadaire.

C'est vrai ! J'y avais déjà pensé, et effectivement, ça a eu son effet !

Il faut dire qu'avant, je jouais tous les jours ou presque : plus je ratais mes frappes ou mes matchs et plus j'avais envie de recommencer pour corriger mes fautes et gommer mes doutes.

Mais le problème, c'est que je me suis rendu compte que je ne prenais alors pas assez de recul et, surtout, que je risquais la lassitude... A ce moment-là, je fuyais les matchs amicaux comme la peste, parce que ça ne m'amusait plus d'enchaîner les défaites.

Du coup, comme je n'arriverais de toute façon pas à me limiter à une ou deux séances par semaine, j'ai commencé à ne jouer "que" 3 ou 4 fois dans la semaine. Et ça a eu un petit effet ! J'ai pris du recul, j'ai mieux digéré les mauvaises séances et mieux intégré les bonnes. Mon revers est "revenu", ainsi.

(Et en plus, j'ai pu à nouveau jouer de la guitare :D)

Ensuite, jouer avec quelqu'un de beaucoup plus faible

Ca, c'est extrêmement intéressant, et je dis ça à la lecture même de ton post !

En faisant de la sorte, on pourrait penser qu'il y aurait (au conditionnel) l'aspect "confiance", du fait de la perspective d'une victoire facile... mais je n'irai pas sur cette voie, car ça manquerait cruellement de respect envers mes partenaires. Je ne considère aucun match comme facile et gagné d'avance.

Non, par contre... Il y a un truc dont je me rends compte, là : je joue assez souvent contre des adversaires supposés plus faibles (débutants, pratiquants loisir, ou autres), mais à aucun moment ne me vient l'envie de matcher. Pire que ça, j'évite complètement la confrontation, n'y trouvant aucun plaisir, et préfère travailler mon toucher de balle contre ces personnes qui n'envoient pas de missiles.

En fait, en y repensant, si je ne prends pas plaisir à jouer un match contre supposé plus faible, ce n'est pas par ennui prévisible, mais... par peur ! Je suis capable de perdre contre n'importe qui, et ça je le sais. Et je le sais peut-être un peu trop bien, car dès lors que je joue un débutant, j'ai peur de perdre. Et pourtant, comme je l'ai dit, je respecte l'adversaire, et tant mieux s'il gagne ! Mais mon subconscient m'envoie des messages selon lesquels je ne devrais pas perdre, et du coup, je flippe.

Contre plus fort que moi, par contre, je n'ai pas peur du résultat, car même une bicyclette serait normale, et j'arrive à me désinhiber.

De fait, jouer contre supposé plus faible me permettrait, je pense, d'apprendre à mon subconscient le respect que j'ai à tout adversaire qui se présente face à moi et d'apprendre à jouer avec cette peur de l'échec. C'est en ça que je trouve l'idée intéressante.

 

Pour finir avec ce post déjà un peu long, j'aimerais revenir sur les dernières semaines depuis que j'ai ouvert de fil de discussion (pour lequel je suis reconnaissant de toutes les réponses qui ont été apportées).

J'avais commencé ce sujet parce que, suite à un match de Trophée Perrier Philippe Chatrier que j'ai perdu alors que je sentais l'adversaire prenable, j'ai réalisé qu'en fait, je ne prenais pas de plaisir en situation de compétition, car le stress, la peur, et l'incertitude de la durée font que, étant fainéant, je n'avais pas l'envie de me bouger et de me battre.

Suite à vos interventions, j'ai commencé à centrer mes envies sur uniquement mon jeu, et à ne chercher qu'à réaliser ce que j'avais envie de faire, à savoir renvoyer la balle de l'autre côté du terrain, sans tenir compte de ce qu'allait faire l'adversaire en face. En parallèle, je me suis "forcé" à aimer les matchs : je me suis auto-perduadé que j'avais envie de jouer des matchs, contre n'importe qui, et qu'une séance de tennis aboutirait toujours - ou presque - sur une confrontation.

Et vous savez quoi ? Ca a marché ! Ou presque (bis)... :)

Ca a marché d'abord, dans la mesure où cette auto-persuasion a fait que je proposais très naturellement à mes partenaires (et parfois à leur grande surprise) de matcher, alors qu'avant cela, je me contentais souvent de faire des gammes en refusant les jeux. Ca a aussi marché si on prend en considération le fait que j'avais un partenaire que je battais en match avant et qui a fini par me battre si systématiquement que je n'avais plus envie de jouer avec lui : aujourd'hui, non seulement j'ai retrouvé mon envie de jouer avec lui, mais en plus, je n'ai plus peur de me prendre des vestes.

(Comme quoi, l'auto-persuasion, ça fait parfois des miracles)

D'ailleurs, en parlant de vestes, j'ai aussi fini par ne plus - trop - m'agacer quand je perdais des points bêtement (enfin... ça, en fait, j'avais commencé à le travailler bien avant, mais aborder la notion de plaisir m'a aidé à progresser dans ce sens).

Enfin, ça a aussi marché dans le fait que je sens qu'il y a une marge de progression, et que je suis donc sur la bonne piste. Ce qui est motivant.

Ca aurait pu être parfait si ça avait été suivi d'effet en compétition. Malheureusement, mon dernier match de tounoi s'est soldé par une défaite contre un nouvel adversaire à priori prenable. Le côté négatif de ce match, c'est que je n'ai absolument pas pu m'empêcher de tomber dans mes travers, à savoir la peur de l'échec et de l'humiliation : après avoir gagné les deux premiers jeux facilement, j'ai perdu pied et l'ai laissé gagné le premier set de justesse (7/5), avant de sombrer littéralement au second où je me fais mener 5/0 !

Le côté positif, c'est qu'à partir de ce 5/0, j'ai réussi à retrouver du calme et à me reprendre pour emporter 3 jeux d'affilée... mais il était déjà trop tard. Je n'ai pas pu éviter la défaite, mais j'ai entrevu des possibilités rassurantes que je vais m'efforcer à travailler. Surtout, j'ai réussi - enfin ! - à inverser une spirale négative, même si j'aurais préféré le faire plus tôt (ou ne pas à voir à le faire :p).

Je pense que ma prochaine étape va être de trouver des nouveaux adversaires,  pour m'habituer à jouer face à l'inconnu : car, en effet, quand je joue contre une nouvelle tête, comme je ne sais pas à quoi m'attendre et que j'ai envie que mon partenaire du jour ne me prenne pas pour un nullos, j'ai un peu de stress. :)

(S'il y a des volontaires, n'hésitez pas ! Mais sinon, je vais tester CanalMatch.com, pour voir... :))

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Ayant decide d'investir massivement dans ma carrière tennistique, je me suis mis a la recherche du bouquin de Girod ( celui avec Nadalito on the cover..): 

Primo: dur a trouver.........Deuxio: en occaz sur Amazon: $ 503.75 ....:wacko:....WTF !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Heu si il le vends a ce prix, vous pouvez m'appeler Georges Clooney.

En bon rat de la web, j'en ai trouve un d'occaz a 40 tunes ( Price minister )...

Quelqu'un aurait une explication sur la ( relative )rareté, et le $$$ délire $$$  de certains sur ce bouquin ????????....

Et maintenant notre bulletin météo: grand ciel bleu et 27 degrés......Faut que j'aille m'entrainer.

:biere:

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Autre solution, tu fumes un gros splif avant le match. :ph34r:

Ou tu vas dans une bibli.

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le meilleur livre à lire c'est ''toi même'' trouve la clé

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A priori, le livre de Girod n'est même plus disponible en e-book. J'avais essayé de l'acheter, ça m'a indiqué que j'allais recevoir des instructions par mail pour procéder au paiement et au téléchargement (le truc qui fait un peu spam :D) et je n'ai jamais rien reçu.

Depuis, le lien vers le livre semble mort...

Dire que j'avais acheté une liseuse exprès.... :P

(Nan, bon, ma liseuse ne servira pas que pour Girod, quand même)

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Il y a 4 heures, titouess a dit :

le meilleur livre à lire c'est ''toi même'' trouve la clé

C'est l'évidence même :)

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Salut Alteo, as-tu fais un bilan de ce que tu sais faire et comment ? Au plan technique, physique, mental, points forts/moyens/faibles. Avant d'envisager une façon de faire, un état des lieux s'impose. D'autant que s'auto-évaluer précisément est super difficile. Quand tu as une vision d'ensemble tu peux établir 1 ou 2 objectifs précis (pas plus) et te poser la question de comment y parvenir. ça c'est dans tous les livres de mental, quel que soit le sport. Sans se regarder le plus objectivement possible, sans objectif, le plaisir est impossible car on part dans tous les sens. Le plaisir se cache souvent dans la simplicité.

Après questions livres, Girod bien sûr...  mais il n'est pas le seul à écrire des choses intéressantes sur le mental au tennis . Plus récents et disponibles, il y a S CUOMO, E MEDAETS (beaucoup moins connu), R LAFAIX. Tous 3 proposent des éléments pratiques à mettre en place avec un peu d'investissement personnel. L'intérêt de ces trois approches est l'intégration d'outils concrets durant les entraînements comme les compétitions.

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