Aller au contenu
Forums Tennis-Classim
Wilsoncolas

Peut on s'améliorer mentalement ?

Recommended Posts

Salut , effectivement c'est une défaite amer.Et je vais être amer, bien que tu dises : 'j'aurais du gagner' , tu as perdu, elle est là la réalité, si tu as perdu c'est qu'il a un truc en plus que toi.

Je pense qu'il faut dans un premier temps que tu comprennes une chose capitale, qui est de plus en plus vrai au fur et à mesure que tu progresse dans la hiérarchie tennistique :

Personne n'aime perdre.

Ainsi quand tu mènes sur la fin d'un match tu dois te dire : Bon, là ça va être chaud bouillant, je dois aller chercher les points parce-que le mec ne va pas me les lâcher.

Ca commence sur le banc au changement de côté 

Quand tu t'assoies sur ton banc : fais le vide , souffle calme toi, prends ton temps, pense à boire et à manger, ne bacle pas cette étape capitale, car c'est le plus dur du match qui se profile à l'horizon.

Si tu as la chance de jouer un mec défaitiste (celui qui envoi des avions sur le dernier jeu). Dis toi : 'ah ben c'est cool, c'est gentil ça, il brade, mais combien de temps avant qu'il ne redevienne un guerrier combatif?

Quand tu es en fin de match, au moment présent, le mec a la tête dans le sac, logiquement il va se débattre, à toi d'avoir la main ferme pour refermer le sac, le plus dur n'est pas de mettre la tête dans le sac c'est de le refermer . ;).

sur le dernier jeu : prends ton temps entre les points, car le temps joue en ta faveur, souffle, relâche toi mentalement en cherchant la réussite, comme dit précédemment cherche tes zones, reste dans le jeu.

Pars dans cette optique et ça se passera bien, tu auras alors le truc en plus qui te permet de battre cet adversaire. ;)

 

  • Like 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ou pas ...

Cette idée m'est venue samedi en allant me présenter pour servir pour le match. Je l'ai vite chassée de mon esprit.

C'est joueur-dépendant.

Se dire qu'il ne reste que 4 points c'est déjà se projeter dans le futur.

Idem, je trouve que ca peut être une source de frustration parce qu'il suffit que tu rates le 1er point, il te reste toujours 4 points à prendre et si tu continues sur cette lancée, la peur au ventre va commencer à s'installer ou alors on risque aussi d'avoir un discours défaitiste : "il ne me reste que 4 points pour gagner et je n'y arrive pas, je suis vraiment trop nul" :P

  • Like 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

J'allais demander quelque chose mais finalement j'ai déjà lu pas mal de réponses ;) 

je m'explique quand même vite fait, ce fameux match ou, contrairement a notre ami fred42, je mène dans la dernière manche mais au lieu de me dire c'est gagné, je me dis "je ne peux/dois pas perdre". Par exemple hier je gagne un match 5/7 6/2 6/1, mais il m'a un peu donné son match en dégoupillant dans la 3e manche, mais malgré tout j'étais pétrifié dans cette même 3e manche, les jambes tramblantes ,mais surtout en pensant énormément qu'il allait revenir dans le match et que du coup ça allait encore plus me stresser , que j'allais jouer encore plus petit-bras, que donc j'allais perdre avec énormément de frustration et de haine, etc (ça a du m'arriver 6/7 bonnes fois, aussi bien il y a 5 ans que récemment).

Rien de pire que de perdre ce genre de match, ça me met hors de moi, ça me dégoute du tennis et de la compet, j'ai peur du regard des autres aussi (les "mais c'est pas possible de perdre alors que tu menais 4/0", j'ai déjà entendu), alors que j'adore plus que tout jouer au tennis.

Pour conclure, cette peur de la remonté adverse me stress beaucoup trop et enlève le plaisir de jouer en compet, ce qui est dommage.

Plus important encore, cette victoire à sonné comme un soulagement: c'est ça pour moi le problème, je devrai juste être heureux, pas soulagé....

PS: j'ai lu plus haut des éléments de réponses déjà que j'essayerai d'appliquer, comme penser a la zone, à ce qu'on va faire, mais étant stressé  je n'ai pas les jambes pour faire service-volée par exemple :), mais c'est une piste.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ainsi je me suis rendu compte que j'ai toujours ce même problème qu'en début de topic :)

donc je vais bien relire et noter vos conseils déjà donné, pour essayer d'adopter un tennis plus cérébral, plus tactique, parcouru d'objectifs à attendre et de tactiques pré-définie, et ainsi voir ce que ça pourra donner au prochain match ^^

par contre le côté soulagement je dois le faire partir, c'est une étape clé, mais je ne vois pas comment faire

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Jouer moins crisper, que c'est dur parfois.

ce soir je fais 1h de tennis et je me dis tu joue comme si ce que tu fais est simple et qu'en face c'est faible.

Ben aussi con que ça puisse paraitre (bon à retenir c'est pas officiel, donc plus simple à réaliser dans ce cas de figure) j'ai fais de supers trucs.

Peut-être par ce que je suis malade alors j'avais pas envie de me prendre autant la tête que d'habitude, mais franchement j'ai fais des revers à une main d'une précision assez rare...

Juste énorme. Je vais méditer sur cet état d'esprits.

  • Like 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Il faut chercher à jouer par amour. Se faire plaisir c'est faire ce qu'on aime faire. Le plaisir vient de la liberté. Il faut s'affranchir de la peur qui est l'opposé de l'amour (Et non pas la haine car la haine c'est l'amour la tête à l'envers comme le dit Osho dans son livre "le Courage"). 

Il y a un tas de choses qui sont là pour te détourner de cet objectif de plaisir. Il faut les identifier et surtout identifier ce qui te fais plaisir au tennis. S'il y a une chose que tu aimes plus que le fait de gagner un match alors c'est ça qu'il faut défendre. Moi par exemple, j'aime frapper fort sans retenir mon bras. J'ai découvert que pour y arriver je dois me concentrer un maximum sur la balle et sur ma respiration. Lorsque je respire par le ventre sans hyper ventiler alors je suis bien et mon bras part tout seul. En fait pour m'en rendre compte, j'ai constaté que j'étais en hyper ventilation lorsque je souffrais émotionnellement. Du coup sur un court je veux être libre pour regarder la balle, libre pour respirer posément et par conséquent libre pour mettre des sacs sans juger ce que je fais. Je le fais juste parce que ça me procure du plaisir... Si je perds un match où j'ai fait ça, c'est que mon adversaire était meilleur mais j'ai pris mon pied alors aucun regret. Souvent on joue avec le cerveau en ébullition et surtout au moment où l'on doit frapper la balle. En fait, plus c'est le cas et plus tu es dans la peur, le jugement et mille autres sentiments néfastes. Lorsque tu te concentre sur une seule chose qui ne dépend que de toi (pas de l'adversaire) et que tu n'es plus dans le jugement (mental en mode off et tous les sens ouverts pour recevoir un max de plaisir) alors la peur n'est plus et l'amour fait des miracles! C'est mon leitmotiv désormais! 

  • Like 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Jouer moins crisper, que c'est dur parfois.

ce soir je fais 1h de tennis et je me dis tu joue comme si ce que tu fais est simple et qu'en face c'est faible.

Ben aussi con que ça puisse paraitre (bon à retenir c'est pas officiel, donc plus simple à réaliser dans ce cas de figure) j'ai fais de supers trucs.

Peut-être par ce que je suis malade alors j'avais pas envie de me prendre autant la tête que d'habitude, mais franchement j'ai fais des revers à une main d'une précision assez rare...

Juste énorme. Je vais méditer sur cet état d'esprits.

Le problème c'est que tu ne vas pas tromper ton inconscient avec ça car si en face ce n'est vraiment pas faible (comme c'est souvent le cas) il y aura gros bug dans ton cerveau et une réaction menant à la peur...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bon moi je viens de gagner ce soir à 30/1 mais.... en 3 set et je n'ai pas pris plaisir du tout.

Explication: après avoir fait la lecture de tous les messages je pensais que tout allais très bien se passer.

Je stresse un peu la veille (moins que d'habitude) 

et je pense quasi pas au match de 16h pendant mon job.

Je me dis super je suis détendu c'est top.

16H arrive et je rentre sur le terrain. Et d'un seul coup en préparant ma raquette le stress m'envahie.

L'échauffement je n'ai plus de sensation et la je commence à paniquer comme cela ne met jamais arrivé.

Pendant le premier set je tremble comme une feuille et j'ai le souffle court. Du jamais vu chez moi à ce point.

Je remporte le premier set malgré tout 6/4

deuxième set et la plus de jambe et je me sent pas bien du tout tellement je stresse. Je me répète je n'ai jamais vécu cela.

Le pire c'est que je joue à mon classement donc je pensais vraiment être détendue et c'est l'inverse qui se produit.

Je perd 5/7 le deuxième sans aucune sensation en me posant bcp de question sur ce qu'il m'arrive (pourtant avec toute cette lecture j'étais à fond)

Le 3eme set je n y comprend plus rien tous va mieux (enfin plus de tremblement et de meilleur jambes)  en changeant un élément: le temps de pause entre chaque changement je le fait rapidement et debout.

Je remporte le match sur un 6/3 en 2h14

Please expliquer si vous le pouvez ce qui met arrivé; Je suis perplexe 

Match horrible, sans aucun plaisir même après avoir gagné car je n'explique pas mon comportement.

 

  • Like 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

S'échauffer avant le match ? Le fait d'aller mieux en enchainant sans réel changement de coté peut aller dans le sens d'un besoin d'énergie.

L'autre possibilité c'est un coup de stress qui peut expliquer les tremblements et le souffle court, peut être le fait de te prendre en pleine figure le fait d'arriver sur ton match sans y avoir réellement pensé avant.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

En ce moment je pense bcp a ne pas perdre.

objectif 30 et au final je me met une pression de folie.

pour le moment je ne joue que des 30/1 ou 30 et je suis sous pression.

je me demande le résultat de mon niveau psycho en contre. Lol 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

En moins pire, mais j'ai souvent ce phénomène en début de match, jambes tremblotantes, souffle court, alors qu'en ce moment je base beaucoup de chose sur mon physique.

Heureusement ça passe rapidement quelques jeux quand même. Donc je sais qu'il faut que je tiennes le jeu coûte que coûte avant de me sentir mieux.

Sinon je fais comme toi même sur un match très long 2h45 l'autre fois je ne m'assoie jamais aux changements de côté... 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

En moins pire, mais j'ai souvent ce phénomène en début de match, jambes tremblotantes, souffle court, alors qu'en ce moment je base beaucoup de chose sur mon physique.

Heureusement ça passe rapidement quelques jeux quand même. Donc je sais qu'il faut que je tiennes le jeu coûte que coûte avant de me sentir mieux.

Sinon je fais comme toi même sur un match très long 2h45 l'autre fois je ne m'assoie jamais aux changements de côté... 

Au contraire, tu devrais t'asseoir et prendre le temps de respirer par la bouche en inspirant bien profondément par le ventre (en étant très à l'écoute de ce qu'il se passe en toi à ce moment précis) et ne te lever que lorsque le calme est revenu. 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Au contraire, tu devrais t'asseoir et prendre le temps de respirer par la bouche en inspirant bien profondément par le ventre (en étant très à l'écoute de ce qu'il se passe en toi à ce moment précis) et ne te lever que lorsque le calme est revenu. 

Peut être, il faudrait que j'essaie, mais j'ai l'impression que ça me casse le rythme et les jambes. Après respirer profondément etc je le fais mais debout...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Peut être, il faudrait que j'essaie, mais j'ai l'impression que ça me casse le rythme et les jambes. Après respirer profondément etc je le fais mais debout...

Il faut un retour au calme.

L fait d'être poser permet vraiment de se concentrer sur ce qu'il se passe à l'instant à l'intérieur...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

pr ma part le mental ne se travail pas vraiment (il y avait un entraineur d'equipe pro qui disait qu'il preparait ses joueurs a fond physiquement et techniquement et ensuite le mental est la)

le mental và un peu de paire avec le temperament

et surtt avec la confiance en soi et en ses qualités/capacités (quand on sait et sent que peu importe la difficulté à un moment on peut voir doit y arriver...sentiment d'invicibilité)

 

apres ce n'est que mon avis

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Si on joue sur les mots, le mental ne doit absolument pas se travailler. Le mental est un menteur et un froussard...

Ce qu'il faut travailler c'est le fait de mettre son mental en off à volonté...

Mais ça se travaille c'est clair!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

et il faut faire beaucoup de matchs ce qui diminue l'importance de la victoire...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

pas d'accord, le mental il se boss comme un muscle.

L'an dernier, j'avais pitié du gars contre qui je gagnai, et je jouerai plus "cool" et souvent, dernière je perdais. Je me suis entrainer mon changer et enfoncer le clou

  • Like 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

si on a un bon mental mais pas de confiance en son niveau au moment de par exemple faire un match en compet (qui vient des sensations à l'entrainement et aux matchs precedents) comme moi en ce moment quoi! ^^ ça ne garanti en rien une victoire ... ;)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

si on a un bon mental mais pas de confiance en son niveau au moment de par exemple faire un match en compet (qui vient des sensations à l'entrainement et aux matchs precedents) comme moi en ce moment quoi! ^^ ça ne garanti en rien une victoire ... ;)

si on a un bon mental c'est qu'on a confiance en soi et en son niveau pour produire le tennis qu'on souhaite 

Avec un bon mental et ne pas avoir confiance en son niveau est pour moi un peu paradoxal 

Modifié par Wilsoncolas

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

wilsoncolas je vais te donner un petit exemple d'actualité

serena williams qui perd sur kerber en final de l'open d'australie si tu as deja vu jouer serena je pense que son mental ne peut etre contesté par personne pourtant la confiance au cours du match ne semblait pas etre veritablement installée notamment en coup droit

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

wilsoncolas je vais te donner un petit exemple d'actualité

serena williams qui perd sur kerber en final de l'open d'australie si tu as deja vu jouer serena je pense que son mental ne peut etre contesté par personne pourtant la confiance au cours du match ne semblait pas etre veritablement installée notamment en coup droit

Tu parles du caractère et non pas du mental ou non-mental. Le caractère ne se travaille pas effectivement. Vivre dans l'instant présent ou chassez toute pensée négative en se concetrant sur ici et maintenant se travaille. S'améliorer mentalement c'est chasser le mental et ça se travaille.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

je parlais effectivement de temperament si c'est ce que tu appelles caractere j'ai pas bien compris ce que tu as expliqué "s'ameliorer mentalement c'est chasser le mental"

en gros on est pas bien clair voir d'accord sur ce qu'est le mental

et si vous dites que ça se travaille (je ne vais pas contredire) il doit certainement dans ce travail avoir des choses a faire pour trouver de la "confiance" ;)

 

Modifié par STICKMAGASSI

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

je parlais effectivement de temperament si c'est ce que tu appelles caractere j'ai pas bien compris ce que tu as expliqué "s'ameliorer mentalement c'est chasser le mental"

en gros on est pas bien clair voir d'accord sur ce qu'est le mental

et si vous dites que ça se travaille (je ne vais pas contredire) il doit certainement dans ce travail avoir des choses a faire pour trouver de la "confiance" ;)

 

Je veux dire que le mental n'est pas ton ami. Toutes ces pensées parasites appartenant au mental sont là pour te sortir de l'instant présent. Le stress, la peur, etc... Ca vient de l'égo. Pour s'améliorer (mentalement) il faut mettre le mental en mode off.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

et si vous dites que ça se travaille (je ne vais pas contredire) il doit certainement dans ce travail avoir des choses a faire pour trouver de la "confiance"

;)

Le soucis au niveau du mental c'est de vouloir l'isoler car il est interdépendant de tout le reste : technique, tactique, physique mais également contexte plus général du joueur et du match. Un renforcement technique et/ou physique, ainsi  peuvent influencer positivement le mental car va renforcer la confiance en soit. Inversement, le travail sur le lâcher prise peut permettre à un joueur de ne plus impacter négativement sur les autres pôles.

Après, il y a aussi la notion de difficulté de la  tache perçue qui est importante dans l'aspect mental pour permettre une réponse optimale des différents pôles, et ce que ce soit avant ou pendant le match. Si le niveau la tâche est jugée trop faible, il y aura peu d'investissement et donc un niveau de jeu qui va s'en ressentir. Idem si le niveau du joueur adverse est jugé trop fort pour avoir une chance d'espérer. Un grosse partie du travail sur le mental est déjà de relativiser le niveau de cette tâche perçue pour la rendre accessible et digne d'investissement.

Ensuite, il y a aussi tout le contexte du joueur ou du match qu'il faut gérer pour éviter une dérive de la centration de la tâche à réaliser vers autre chose. C'est pour cela que l'équilibre extérieur d'un joueur quel que soit son niveau est primordial, ainsi que sa capacité à gérer les éventuels éléments "perturbateurs" de la concentration durant le match comme une mauvaise annonce, une remarque, le public, mais également les conditions climatiques, le matériel, etc...

Dans l'aspect mental, il y a aussi la connaissance de son niveau d'activation : certains joueurs doivent rester calmes pour exploiter leur potentiel, d'autre au contraire ont besoin d'être dans un état nerveux proche de l’excitation. Un match Federer / Nadal, ou encore un Borg / Connors de l'époque sont de bons exemple des différences possibles. De plus, certains joueurs ont besoin de se sentir lésés pour  joueur leur meilleur tennis (Mc Enroe pas exemple).

On a également le coté prise de décision, gestion du stress, etc qui peuvent faire l'objet d'un travail spécifique.

Enfin, l'apect mental recouvre également la préparation à l'effort en essayant de prendre un temps avant le match pour permettre de rentre progressivement dans l'affrontement : échauffement physique mais aussi pour l'aspect mental par un moment de mise au calme, de la visualisation positive, etc...  en gros être capable de mettre en place une routine pertinente par rapport à soi.

 

 

  • Like 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant

×