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Le Syndrôme "je passe tout à l'entrainement et plus rien en ma

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Je crois que c'est bien le probleme essentiel de tous tennisman et surtout en quatrieme série. Que de témoignages pour dire qu'on a de beaux coups mais pas assez régulier et qu'en entrainement.

Faut se détacher de l'enjeu et du match pour pouvoir jouer en toute décontraction.

Détachement --> pas d'enjeu --> pas de pression --> décontraction --> efficacité

J'ai une fois entendu thierry tulasne dire à simon de se détacher du match, limite de s'en foutre, pour pouvoir se sortir de cette angoisse du gain.

C'est toujours plus facile à dire qu'à faire mais c'est mon objectif de l'année !!

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Pour moi c'est trop de contraintes justement, tous les conseils que tu donnes sont des conseils de réflexion, or je prône l'inverse : le tennis instinct : Moins tu penses, plus tu joues !

Que dire à part que msk a raison. Dans mon cas, penser à une tactique sur mon service revient souvent à mettre la 1e balle dans le filet, et de jouer petit bras tout le long du match.

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d'acc aussi avec msk moins tu penses mieux tu joues.

Moi j'oublie le fait que je joue un match et généralement quand j'arrive sur le terrain je suis totalement relaché, je rigole de mes fautes et j'extériorise beaucoup quand j'effectue un beau point c'est ma façon de me décontracter et c'est bien plus plaisant de jouer comme ça que de se répéter toute la semaine qu'on joue un match important pour notre classement etc..

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et puis faut avouer aussi que je suis tellement content de sortir du boulot que pour moi faire un match c'est que du plaisir

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Pour être passé par ce stade voici qq petites techniques :

1) Ritualise, cad, fait toujours la même chose avant et après les échanges.Le rituel est l'allié de la concentration. A travailler énormément à l'entrainement.

2) Tu as le droit de penser tactique ou technique entre les points, mais dès que tu rentres dans le rituel, c'est fini. Les plus grands joueurs sont des jusque bouttistes dans les rituels

3) Respire, respire, respire... surtout avant, pendant, après l'échange.Objectif : être calme. Travailles des respirations complètes en dehors de l'entrainement et lors des entrainements tu dois te forcer à respirer en phase avec les mouvements de la la balle

4) Etirements pour se décontracter avant et pendant le match. Surtout au niveau des épaules et du poignet

5) Prends ton temps... la précipitation est l'ennemi du bien au tennis. On a toujours le temps surtout dans les petits classements

6) Fais ce que tu sais faire. Invente à l'entrainement mais pas en match

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Un petit film d'un match en tournoi te feras réaliser beaucoup de choses! et ca crée le déclic pour certains!

Mais y'a pas à dire, plus tu fais de matchs, plus tu viens décontracter sur le cours... :w00t:

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Pour être passé par ce stade voici qq petites techniques :

1) Ritualise, cad, fait toujours la même chose avant et après les échanges.Le rituel est l'allié de la concentration. A travailler énormément à l'entrainement.

2) Tu as le droit de penser tactique ou technique entre les points, mais dès que tu rentres dans le rituel, c'est fini. Les plus grands joueurs sont des jusque bouttistes dans les rituels

3) Respire, respire, respire... surtout avant, pendant, après l'échange.Objectif : être calme. Travailles des respirations complètes en dehors de l'entrainement et lors des entrainements tu dois te forcer à respirer en phase avec les mouvements de la la balle

4) Etirements pour se décontracter avant et pendant le match. Surtout au niveau des épaules et du poignet

5) Prends ton temps... la précipitation est l'ennemi du bien au tennis. On a toujours le temps surtout dans les petits classements

6) Fais ce que tu sais faire. Invente à l'entrainement mais pas en match

Je plussoie ! ;)

Et je rajouterai :

7) Etre détaché de l'enjeu. Relativiser. Perdre un match, surtout à notre niveau, ça n'est pas bien grâve !

En général, on joue mal en tournoi parce qu'on a envie de trop bien faire. On a peur de faire trop de fautes et du coup, on joue "petit bras". Il faut arriver à se dire "tant pis" ! Tant pis si je fais des doubles fautes, tant pis si j'envoie la balle dans la bâche, tant pis si je prend 6/0 6/0. L'important est d'arriver à jouer détendu, à se faire plaisir !

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Pour être passé par ce stade voici qq petites techniques :

1) Ritualise, cad, fait toujours la même chose avant et après les échanges.Le rituel est l'allié de la concentration. A travailler énormément à l'entrainement.

2) Tu as le droit de penser tactique ou technique entre les points, mais dès que tu rentres dans le rituel, c'est fini. Les plus grands joueurs sont des jusque bouttistes dans les rituels

3) Respire, respire, respire... surtout avant, pendant, après l'échange.Objectif : être calme. Travailles des respirations complètes en dehors de l'entrainement et lors des entrainements tu dois te forcer à respirer en phase avec les mouvements de la la balle

4) Etirements pour se décontracter avant et pendant le match. Surtout au niveau des épaules et du poignet

5) Prends ton temps... la précipitation est l'ennemi du bien au tennis. On a toujours le temps surtout dans les petits classements

6) Fais ce que tu sais faire. Invente à l'entrainement mais pas en match

Le 5 découle un peu du un pour moi mais il n'en pas moins important.

Que le 1 est important mais dur à maintenir. J'ai du le faire une fois en match et c'était un vrai effort de toujours faire la même chose. ça commençait par toujours mettre les pieds pareil au service et toujours faire rebondir la balle le même nombre de fois. J'en avais vu les bénéfices mais je ne pourtant pas répété car c'est un long apprentissage.

Que le 3 est important voir primordial mais là encore je ne respires pas vraiment et pas vraiment comme il faudrait alors l'apnée à la longue sur un point c'est sans doute une source d'erreurs mais là encore apprendre à respirer quand on vient pour jouer au tennis on a du mal à s'y tenir :whistling:

Sinon tu as donné je trouve des très bonnes techniques mais pas évidentes à mettre en place mais faudra que j'en essaie une sur la durée pour vraiment voir si ça s'automatise un peu.

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Le 5 découle un peu du un pour moi mais il n'en pas moins important.

Que le 1 est important mais dur à maintenir. J'ai du le faire une fois en match et c'était un vrai effort de toujours faire la même chose. ça commençait par toujours mettre les pieds pareil au service et toujours faire rebondir la balle le même nombre de fois. J'en avais vu les bénéfices mais je ne pourtant pas répété car c'est un long apprentissage.

Que le 3 est important voir primordial mais là encore je ne respires pas vraiment et pas vraiment comme il faudrait alors l'apnée à la longue sur un point c'est sans doute une source d'erreurs mais là encore apprendre à respirer quand on vient pour jouer au tennis on a du mal à s'y tenir :whistling:

Sinon tu as donné je trouve des très bonnes techniques mais pas évidentes à mettre en place mais faudra que j'en essaie une sur la durée pour vraiment voir si ça s'automatise un peu.

Concernant le 1, cela se travail...à l'entrainement. Comme tu n'as pas su du jour au lendemain jouer au tennis, c'est du long terme

Concernant le 3, je suis très surpris de ta réaction. En gros, je résume , tu viens jouer au tennis, tu ne respires pas, tu joues mal et tu es content ??

Petite anlyse du mécanisme : tu joues un point en apnée, pas de pb. Sur le suivant tu continues et tu commences à être essouflé. Et là, ton cerveau entre en scène. Merveilleux outils, qui n'a qu'une idée, le bien être de son corps . Donc tu t'asphyxies petit à petit. Ton cerveau se doit de réagir et il va tout faire pour combatre l'activité responsable de son pb : le tennis...AARGH...comment jouer au tennis qd ton cerveau te dit que c'est mauvais pour toi !!! Donc il faut respirer et cela s'apprend, c'est comme tout.

Petit exercice très simple : lors de ton prochain entrainement , commence les 5 premières mn à jouer en marchant en expirant de manière forcée (gonfle les joues). Exercice extrème mais très formateur.

A noter que l'expiration se fait toujours à la frappe. Eh oui, je donne du combustible à mon corps afin qu'il ait de la puissance

J'attends ton retour

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J'ai moi aussi ce problème j'ai tendance à trop cogiter au moment de faire mon geste (surtout en coup droit)

ma méthode pour palier cela (en + de faire des tournois pour m'habituer au stress) est de me concentrer sur la tactique, sur l'endroit ou je veux mettre la balle avant de frapper et entre les points de bien penser à la reprise d'appui.

A mon avis, il faut absolument éviter de ce poser des questions au moment de la frappe et bien rester fixé sur son objectif

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salut,

Si je peux apporter mon oeil externe au stress du compétiteur (je ne le vis que par l'intermédiaire de mon fils), je dirais que la grosse différence entre le match et l'entrainement c'est qu'en match on a quelque chose à gagner (et donc à perdre). Dès lors chacune de nos actions peut avoir un impact sur le résultat final et le cerveau (bien fait) de l'animal que nous sommes nous pousse à fuir le danger. Je m'explique, si au moment de la frappe on pense que l'on peut faire une faute, qui va nous pénaliser par la suite, l'instinct nous pousse à ne pas s'engager, à ne prendre de risque et c'est souvent ce qui provoque la fameuse faute.

A ce comportement (salutaire en d'autre temps), une seule solution : ne pas penser au match, à la victoire ou la défaite et à ce que cela peut induire (montée au classement, plaisir de la victoire, frustration de la défaite,...). Il faut trouver le moyen de se centrer sur le jeu et le plaisir qu'il peut provoquer (quand on fait un beau point par exemple). C'est malheureusement là que les choses se compliquent car personne ne réagit de la même façon.

Mon conseil, prendre un petit RUM à chaque point :



  • Reprise d'appui, pendant qu'on pense à faire sa reprise d'appui de façon consciente, le erveau ne pense pas aux conséquences.
  • Un point à la fois, chaque point est un match complet. Chaque victoire amène de la confiance et chaque défaite fait partie du jeu sans jugement de valeur.
  • Même pas peur, je joue comme je sais jouer à l'entrainement et pour le reste on verra

c'est beaucoup plus compliqué à mettre en oeuvre que cela ne le parait et il faut se forcer à appliquer ces principes à chaque entraînement. C'est très consommateur d'énergie au début puis ça devient plus simple mais jamais facile. Mon fils applique ce principe et ça marche à condition de faire cet effort en permanence.

A toi de voir si cela peut te servir.

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Bon tout est dans le titre, mais je vais développer.

Edit: Mince le titre passe mal: "je passe tout à l'entrainement et rien en match".

J'ai un gros souci niveau jeu. A l'entrainement, je passe beaucoup de choses. J'ai une très bonne première, je ne fais que rarement des doubles.

Je passe quasi tous mes CD et revers, j'enchaine même les passings. Enfin du bon jeu qui fait plaisir.

Le BE du club me dit même qu'avec un peu plus de foncier (que je travaille) et un mental meilleur, je pourrais monter rapidement en 3° série.

Enfin tout ça pour rien. Car en match qui compte, je suis une chèvre.

Dès que je n'arrive pas à passer un coup qui 2 jours avant passait, je perd le fil de mon jeu.

D'où ma question:

Est ce que des gens ont vécu la même situation et comment vous êtes vous débarrassé de cet handicap?

Travail spécifique à l'entrainement, mise en place d'une stratégie "jusque boutiste" (même si je rate je continu), ...?

Merci

Oui, ce qui t'arrive est arrivé à presque tous les joueurs, pour s'en débarasser ? Travailler, dès l'entraînement, la concentration, l'attention, pour te couper de la pensée... Car c'est la pensée qui amène l'émotion et la mémoire du jeu comme la peur de perdre, par exemple !!!

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Salut, moi hier j'ai perdu contre un 30 2/6 6/2 6/3 alors que je menais 3/0 dans le dernier. En plus j'étais trop en confiance et tout j'avais battu un 30/1 6/4 6/1 la veille et un 30/4 4/6 6/4 7/5 et j'étais mené 5/0 40/15 pour lui et j'ai finalement gagné le match en sauvant 7 balles de match ...

Je suis dégouté à 3/0 je sais pas ce qu'il s'est passé il m'a remonté et tout et moi j'étais même pas stréssé, enfin un peu mais voila je suis dans le meme cas que le créateur de ce sujet, et on trouve du bon dans vos conseils, mais parfois du mauvais. Je joue petit bras comme vous dites, et je me suis meme surpris à voir ma main trembler quand mon adversaire a trouvé un anti-vibreur et me l'a montré :o !

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Ma contribution sur ce thème récurrent, en passant :

Je ne suis pas convaincu par l'approche "plus tu fais des matchs, moins tu stresseras et plus tu joueras avec détachement".

J'y crois même pas du tout.

Ceux qui stressent avant et pendant un match, peuvent faire 100 ou 200 matchs par an celà ne changera rien à leur nature/sensibilité. On ne surmonte pas son stress par l'habitude. On doit vivre avec.

Une fois admis cette idée, on peut essayer de comprendre l'incidence du stress sur son jeu. L'expérience et l'accumulation des matchs doit nous apprendre à mieux nous connaître soi-même.

Après on peut essayer de corriger consciemment les effets du stress dès l'échauffement, ce qui doit permettre une prise de confiance rapide et de jouer plus relaché par la suite, en ne pensant plus aux détails techniques.

Un exemple (c'est le mien) : J'ai un bon revers à 2 mains. Avec le stress je suis crispé et j'ai tendance à ne plus impliquer les poignets lors de la mise à niveau. Je gratte moins le balle, je perds le contrôle et la confiance sur ce coup. Je sais que c'est mon coup fort. Celà entraîne une perte de confiance généralisée et la conséquence est catastrophique.

La solution pour moi est lors des première frappes de l'échauffement d'écarter légèrement la main gauche de la main droite sur le manche. Celà me permet de bien impliquer la main gauche, de mieux contrôler la mise à niveau et de lifter plus facilement, au détriment de la vitesse et de la puissance. C'est tout ce que je recherche en début de match.

2ème exemple : sur le coup droit je m'oblige à accentuer ma préparation = boucle avec la raquette devant et verticale en début de geste style Gasquet, Gulbis...

Donc ma méthode : savoir que l'on sera stressé, identifier les effets du stress du soi, corriger les effets de ce stress par quelques contrôles conscients de sa technique en début de rencontre, le relachement devient possible (et nécessaire) par la suite.

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