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2 résultats trouvés

  1. Je ne vais pas être original mais ce fil de discussion est né suite aux différentes idées émises sur le sujet créé par Stéro. Je vais tenter d’expliquer comment en 1 an j’ai pu passer de NC à 3ème série dans MON contexte particulier de vie. Cependant, je suis convaincu que cela pourrait servir à chacun dans d’autres contextes à condition de se permettre une ouverture à autre chose que ce qu’il a déjà entrepris sans pouvoir atteindre ses objectifs. Pour certains cela pourrait nécessiter une remise en question totale de son approche jusqu’à présent. Pour d’autre juste une adaptation. Mais comme je le dis souvent, on ne peut pas espérer un résultat différent en effectuant les mêmes choses. Je sais qu’il est possible à la plupart de passer 3ème série en un temps très court respectant certaines conditions que je vais tenter d’énumérer dans ce fil de discussion. Le sujet risque d’être un peu long alors pour ne pas décourager les moins « courageux » je vais communiquer le plan que j’ai choisi de suivre et publier au fil de l’eau en éditant tous les 2 jours voir plus en fonction des débats que chaque chapitre engendrera. 1. Les MOTIVATIONS J’ai voulu commencer par le chapitre Motivations car tout par de là. C’est ce qui va déterminer ton niveau d’implication, de concentration et de du coup ton niveau de réussite. S’agissant d’un apprentissage comme tout autre le processus de mémorisation est le même : La motivation qui amène la concentration qui amène la mémorisation Court Terme puis mémorisation Long Terme (Inconsciente / Reflex). a. Être un support utile pour mes enfants dans la pratique du tennis de compétition Jai inscrit mes enfants au tennis et ayant des gènes de sportif (je vous en dirai plus dans le chapitre suivant), j’ai la conviction qu’ils sont capables d’atteindre le haut niveau à condition qu’ils aiment ce sport. Noah (né en 2007) et Sasha (née en 2009) aiment heureusement ce sport ! Je n’ai pas voulu reproduire l’erreur qu’on faite mes parents lorsque nous avons commencé le tennis ma sur Viviane, mon frère Philippe et moi-même. Nous avions à nos débuts 10 ans et 8 ans Viviane et moi (Philippe n'a commencé que 6 ans plus tard) et de très bonnes dispositions pour le tennis (Ma soeur avait gagné les 2 seuls tournois qu'elle a fait et passé plusieurs tours au tournois régional des petits as) mais aucun support de nos parents. C’est un sport individuel qui coûte cher, qui est mentalement éprouvant et sans support parental autant dire que nous partions de loin. Nous avons eu droit aux entraînements hebdomadaires + les matchs par équipe de jeunes avec un matériel rudimentaire. J’ai commencé avec une raquette en bois de carrefour puis une alu que j’ai eu à mon anniversaire à 11 ans puis une autre un peu plus performante mais toujours métallique à 12 ans. Et enfin ma première graphite d’occasion un Dunlop petit tamis qui m’a forcé à apprendre à bcp mieux centrer ma balle et enfin j’ai acheté avec mon propre argent ma première raquette de compétition graphite que j’ai encore d’ailleurs: une Dunlop Mach 2.3 Pendant tout ce temps nous étions un groupe de gamins habitant dans un lotissement comptant 3 courts de tennis et nous nous tirions la bourre régulièrement en amical. Notre BE (classé 0) de l’époque était convaincu de pouvoir tous nous amener à 0 avec une structure d’entrainement plus orientée compétition++ mais le projet n’a jamais abouti et nous avons tous arrêté sauf Gilles qui était celui qui avait les meilleurs résultats à l’époque (15/5) et qui a été classé par la suite 2nde série (15). Son petit frère Benoit qui avait arrêté environ 20 ans a repris il y a 5 ans en passant de NC à 15/4 la première année puis 15/4 à 15/1 puis 15/1 à 15. Tout ça en 3 ans! A 16 ans j’étais éducateur 2nd degré classé 30/3 (mon meilleur classement jusqu’à cette année 2015) et j’avais pris un groupe de mini tennis qui a suivi un parcours d'élite espoir. Ils ont tous été classé négatifs Eux n’habitaient pas dans notre lotissement mais avaient des parents très impliqués et le club avait changé de BE pour Jean-François qui détectait et entraînait les jeunes à la Ligue. D’ailleurs mon petit frère faisait partie de ces jeunes élites du tennis à la ligue qu’il a intégré dès 6 ans. Et ben vous savez quoi ? Il a arrêté ! Les mêmes causes causant les mêmes effets. Parents absents du suivi de l’enfant J’ai donc repris le tennis pour créer un centre d’intérêt commun permettant de les suivre mieux. b. Comprendre afin de pouvoir transmettre Une autre motivation était de revivre les étapes de l’apprentissage du tennis pour me concentrer sur des sensations, des schémas tactiques et tout autre aspect du tennis à comprendre afin de pouvoir les transmettre à mes enfants par la suite. c. Reprendre le sport de manière durable Une autre motivation très personnelle cette fois-ci est que j’avais arrêté le sport depuis 15 ans sans ne plus rien faire du tout ! Passant de 10 à 15h de sport par semaine à 0 Le sport me manquait et je le ressentais au niveau du stress qui augmentait dans tous les domaines de ma vie, ma tension artérielle qui augmentait tout autant (mon médecin m’avait dit il y a 20 ans de ne jamais arrêter car j’avais une tension trop haute lorsque j’arrêtais le sport). Plusieurs fois j’ai essayé de reprendre le sport « loisir » mais je n’y suis jamais arrivé. J’ai été élevé à la compétition jusqu’à l’arrêt total pour raison professionnelle et je n'arrive pas à pratiquer le sport sans compétition. Donc 15 ans et +40kg plus tard, j’ai compris que sans compétition, je ne reprendrai jamais le sport. C’était donc une motivation supplémentaire de reprendre le tennis en compétition. Ces trois sources de motivations sont assez fortes chez moi pour enclencher le processus d'apprentissage du tennis et progresser de manière significative et durable. 2. L’état des lieux avant de commencer mon périple a. Familial Je suis père de 4 enfants : - Yelena 16 ans en 1ère - Koeurtis 14 ans en 3 ème - Noah 8 ans en CE2 - Sasha 6 ans en CE1 (La petite surdouée très très active) Je suis marié Mes enfants ont une scolarité normale nécessitant juste un contrôle de ma part et de temps à autres un approfondissement. En général, je donne la méthode d’apprentissage et je contrôle ensuite. Mon épouse est au foyer pour le moment et permet je fasse de la compétition. Nous habitons une maison dans un petit village de l’Oise b. Sportif J’ai touché à pas mal de sports. De 5 ans à 11 ans du foot (C’est le sport où mon père me suivait un peu). J’ai joué à un bon niveau où on me promettait beaucoup de réussite mais je n’ai pas trop accroché. Ensuite je me suis inscrit au tennis où j’ai joué tout l’été au moins 1h par jour la première année de notre déménagement à Gières (Isère). Nous jouions avec les raquettes en bois de nos parents (lol) Je crois qu’ils ont joué 1 ou 2 fois en tout et pour tout (c’est un sport un peu difficile quand tu pars de zéro) . Nous avons eu de bonne bases et de nombreuses occasions de jouer en amical. Nous avons également fait énormément de mur à cette époque. J’avais alors un super service et un super coup droit. Pas de revers, cependant… J’ai donnée des cours à 16 ans à l’école de tennis et ça m’a fait me concentrer sur les bonnes pratiques techniques. Puisque le fait d’enseigner fait énormément progresser techniquement. Je n’ai pas dû faire plus de 5 tournois lors des derniers je me souviens avoir accroché des 30/2 dont un perdu à cause d’un 30taine de crampes la veille de mon stage JA à la ligue. En parallèle des courts de tennis que je donnais en tant qu’éducateur, j’ai commencé à faire du basket à un très bon niveau si bien qu’on m’a proposé d’intégrer un sport-étude à l’issue d’un match où nous nous sommes fait massacrer par le CREPS… Je n’ai même pas pris la peine de proposer à mes parents tant le sport était le dernier de leurs soucis. Après le basket, j’ai fait de la boxe pendant 1 an en mi-lourd et j’ai atteint le niveau de vice-champion de France scolaire après quelques victoires en amateurs par arrêt de l’arbitre à chaque fois dont le champion de France scolaire en titre. J’ai ensuite découvert l’Athlétisme sur le tard vers 17 – 18 ans. J’ai commencé par le décathlon pour toucher à tout mais j’avais de gros soucis à la perche et au 110m haies alors je me suis concentré sur mes points forts (lancer de poids et saut en longueur Champion de France à la coupe des lancers par équipe de 4 avec un futur champion du monde de Bobsleigh). Je me suis ensuite découvert des prédispositions pour le triple-saut où j’ai fait mon trou en décrochant quelques médailles aux championnats de France et en intégrant le pôle France catégorie Espoir. J’ai dû arrêter quand j’ai commencé à travailler en 2000. Et donc 15 ans sans sport ! Juste des tentatives toujours infructueuses. c. Professionnel En parallèle du sport, je faisais des études scientifiques jusqu’en licence puis commerciales jusqu’en Maitrise et enfin financières en DESS. Donc j’étais déjà un peu hyper actif à l’époque ! Suite à mon embauche en région parisienne, j’ai arrêté le sport car je n’arrivais plus à m’entraîner et mes performances devenaient trop médiocres à mon goût. Je travaille depuis 2000 comme acheteur et suis donc souvent en déplacement à travers le monde. Il y a 4 ans j’ai décroché un poste chez un équipementier auto en commençant à Bruxelles. Là-bas je me déplaçais moins que d’habitude dans ma fonction (1 fois par mois environ) et j’ai commencé à servir à l’église en tant que responsable du département communication. J’ai également suivi beaucoup d’enseignement biblique et d’enseignement pratiques sur beaucoup d’autres domaines comme l’infographie et l’art d’être un bon manager avec des enseignements sur la gestion du temps par exemple. Je faisais donc entre 40 et 50 h par semaine sur mon lieu de travail et entre 18 et 22h à l’église où je formais également des fidèles à la bureautique, l’enseignement biblique et même le piano. Donc je suis habitué à avoir 70h d’activités par semaine. Depuis l’an dernier j’ai été muté en France et je me déplace beaucoup moins et moins loin. Je travaille environ 40h par semaine et je ne suis plus responsable à l’église. J’ai donc 30h par semaines à combler. d. Personnel J’ai 40 ans (né en 1975) et je pesais 125Kg le jour de ma première visite médicale en Novembre 2014 pour 1m85. Lors de mes meilleures années sportives j’avais un poids de forme de 83kg avec très peu de graisse. Je gagne bien ma vie et je peux donc alloué un budget substantiel pour le tennis. Pendant cette année tennistique j’ai commencé sans BE juste des matchs amicaux et de compétition. J’ai commencé les entrainements en mars il me semble et j’ai pris 3 cours indiv. pour le revers. Je me forme sans arrêt lol. Je continue très peu l’infographie car plus de besoin mais j’ai décidé de me former récemment en programmation informatique et je continue le piano. (1h de piano par jour et 1h de programmation par jour). Je suis depuis 5 ans membres du bureau d’une association caritative qui se réunit en AG tous les trimestres (4 à 6h le dimanche). Sinon chaque matin je donne la douche aux 2 derniers enfants, je les emmène à l’école, je les récupère à 18h à l’école et 11h30 le mercredi, je les emmenais les samedis au tennis de 9h à 10h. Le samedi matin nous passons la matinée avec mon épouse et les petits. Le soir c’est devoirs, piano et jeux de balle + raquette jusqu’à 20h. 3. La dynamique des objectifs variables Le problème quand tu commences (ou recommence pour moi) un sport sans repère c’est que tu ne peux pas facilement te fixer d’objectif. Ainsi lorsque j’ai commencé, je n’avais aucun objectif technique, tactique ou tennistique. Mes 2 seules ambitions étaient de jouer pour retrouver le forme physique avec pour locomotive l’espoir de gagner mes matchs. Avec du recul je réalise que c’est le seul vrai leitmotiv pour progresser lorsque l’on fait de la compétition ! Je ne m’entrainais pas donc je n’avais aucune contrainte technique. Juste renvoyer la balle de l’autre côté et tenter de gagner le prochain point. Ça semble anodin ce que j’écris mais en réalité c’est la base de ma progression. Jouer (me faire plaisir) en espérant gagner (accéder à un autre plaisir). Le plaisir de gagner ne supplantant pas le plaisir de retrouver la forme. Donc mon premier objectif était plaisir + plaisir + plaisir ! Il faut dire que je partais de tellement loin que juste le fait de jouer 30 min sans avoir mal au haut des fessiers était une énorme source de satisfaction. Si je devais hiérarchiser les plaisirs ce serait : 1) plaisir de retrouver la forme 2) plaisir de mieux joueur 3) plaisir de gagner Mon premier objectif était donc de retrouver la forme et tant que je réalisais celui-ci, le fait de jouer me faisait progresser sans pression et parfois je gagnais… Je devais trouver la réponse à « Comment retrouver la forme ? » réponse : « En jouant ». Comment jouer longtemps sans abandonner ? en faisant de la compétition. J’avais une réponse à mes attentes… Une fois que j’ai commencé à pouvoir jouer 1h puis 2h sans avoir les fessiers et lombaires en feu, inconsciemment j’ai eu d’autres objectifs. Je retrouvais la forme, je jouais un peu mieux alors j’ai voulu gagner un peu plus… « Comment gagner un peu plus ? » réponse « en ayant un coup droit un plus académique. En effet, lorsque j’ai repris, mon seul but était de pousser la balle en face pour courir ! Alors je n’étais pas frustré de faire du pousse baballe. Bien au contraire. Mais là ça ne suffisait pas pour gagner et jouer avec un niveau 30/3 environ alors j’ai commencé à vouloir faire un meilleur coup droit et par la même occasion, j’ai commencé à connaitre la frustration technique. J’ai ensuite réussi à faire des coups droits acceptables et mon objectif à encore changé. J’avais un coup droit, un service qui n’est jamais vraiment parti d’ailleurs. Juste assez pour gagner plus de matchs quoi. J’ai donc cherché à avoir des tactiques de jeu me permettant de profiter de mes points forts contre des joueurs qui comme moi restaient des débutants. Une fois quelques tactiques acquises, J’ai encore appris comment me concentrer et surtout sur les points importants. Là je jouais avec un niveau 30/2 environ car je pouvais remettre la balle , en la poussant, 20 fois ! Ensuite j’ai commencé à me poser des questions sur le placement et la gestuelle coups droit, revers et service. Plus j’avance et plus j’ai des objectifs techniques mais moins j’ai de plaisir (plus de frustrations techniques). Il est donc temps que j’ai de nouveau des objectifs qui ne dépendent que de moi et que cela me fasse plaisir. Car le seul vrai objectif c’est la recherche du plaisir. Pour certain ce sera de voir son adversaire dégoupiller, pour d’autre de faire gambader son adversaire, pour d’autre faire des services/volées sans arrêts et étouffer son adversaire, pour d’autre avoir le tennis le plus beau et le plus académique du département ou bien jouer un match hyper serré au scénario digne des meilleurs thrillers… LE seul objectif à poursuivre c’est le plaisir. Si tu joues pour gagner (ce que je fais en ce moment) tu n’as rien compris car tu vas forcément perdre tôt ou tard… Quelques fois contre le court du jeu. J’ai progressé car je me faisais plaisir à partir d’objectifs qui ne dépendaient que de moi. La phase où j’ai d’ailleurs le plus progressé est le temps où je comptais le nombre de fautes par jeu. On a même critiqué cette pratique mais je m’en fichais (je suis têtu parfois). J’étais hyper concentré ! Et c’était plaisant car je jouais, je me tenais en forme et je gagnais… Ce qu’il faut retenir c’est que consciemment ou inconsciemment tes objectifs vont évoluer ils sont dynamiques. Mais il faut aussi savoir qu’un bon objectif dans ce sport qu’est le tennis et dans lequel ton tournoi ce termine 95% du temps par un défaite, est un objectif qui ne dépends pas de ton adversaire. C’est le meilleur moyen de prendre du plaisir et de progresser sans s’en rendre compte. Le piège c’est que plus tu progresses et plus tu te fixes des objectifs (par orgueil certainement) qui dépendent de ton adversaire ou des objectifs qui ne servent pas ton plaisir. Combien cherchent à améliorer leur coup droit pour gagner. Qui a dit qu’il fallait être parfait en coup droit pour gagner ? Aller à plus j’ai des objectifs à refixer ! 4. Le plan d’action : Action palliatives / curatives / correctives vs Actions préventives Lorsque j’ai voulu mettre en place mon plan d’action, j’ai revu mes objectifs afin de bien définir la cible à atteindre. 1 – Me faire plaisir en ayant un fond de jeu le permettant 2 – Comprendre un maximum de choses sur l’apprentissage du tennis et la progression 3 – Atteindre un niveau d’environ 30/2 qui était selon moi le niveau où on commence à jouer correctement 4 – Perdre du poids Mes objectifs étaient clairs et pas trop ambitieux et surtout pas techniques. Puis j’ai fait un état des lieux : Je ne me faisais pas plaisir lorsque je faisais la faute trop tôt. Je ne savais rien de l’apprentissage du tennis car je ne m’étais jamais posé de questions sur le sujet J’étais Non Classé. Je pesais 125kg avec des muscles nettement plus faibles que 17 ans plus tôt lorsque j’arrêtais tout type de sport. Il a donc fallu que je définisse selon moi la meilleure façon de combler les gaps. J’ai décidé de me forcer à remettre la balle dans le court quelle que soit la manière d’y arriver. Je me suis documenté en achetant des bouquins sur le tennis, en parcourant le net et c’est d’ailleurs comme ça que j’ai rejoint la communauté Classimen ! Je me suis inscrit en tournoi avec comme objectif de jouer jouer et encore jouer car je n’avais pas d’entrainement dans mon club et aussi parce que c’était pour moi une bonne source de motivation pour ne pas arrêter. Pour le poids j’ai pris le parti d’attendre de voir combien de kilo je pourrais perdre en jouant seulement (réponse 10 kg) et j’ai pensé que le renforcement musculaire se ferait par la même occasion. Voilà ce qui est des actions palliatives. Cependant il a aussi fallu définir des actions préventives. Le but de ses actions étant d’éviter qu’un risque ne survienne dans le futur : Risque que je me blesse Risque que je prenne des défauts techniques J’ai alors beaucoup capitalisé sur mon passé de sportif pour mieux m’alimenter, arrêter l’alcool, bien dormir, beaucoup boire, etc. Et je me suis lancé à la recherche d’un groupe d’entraînement assez rapidement. Je suis allé au culot en expliquant à mes adversaires ou dans les clubs où j’avais l’occasion de jouer que je cherchais un groupe d’entraînement. J’ai eu 2 propositions d’intégrer un groupe d’entrainement dans 2 groupes différents. L’un me proposais de venir lorsqu’une place dans le groupe se libérait et l’autre me proposais d’intégrer un groupe moyennant une contribution « light » car pris en cours d’année. Je suisallé aux 2 pour comparer et préparer la saison d’après. N’hésitez pas à faire pareil ceux qui hésitent à prendre des courts ! Dans l’idéal, il faudrait même que je me fasse suivre par un diététicien mais je vais essayer de faire seul… Objectifs clairs et mesurables + Etat des lieux humble = Plan d’action efficace A VENIR 5. Les 10 erreurs à ne pas commettre a. Le choix du club b. Le choix du matériel c. La gestion de la planification des matchs d. Se lancer avec un plan d’action ADAPTE e. Se documenter le plus possible f. Échanger, comprendre ou se faire expliquer par une tierce personne le facteur le plus limitant dans notre jeu à l'instant t g. C’est l’objectif court terme dépendant uniquement de moi-même qui détermine ma victoire h. Jouer face à un adversaire (et non pas face à un classement) i. Avoir beaucoup d’autres centres d’intérêt et ne pas penser que nous sommes le résultat de notre match (le détachement) j. Être transparent et franc avec soi-même et avec les autres vis-à-vis de ses objectifs 6. Les 3 T a. Tournois b. Tactique c. Technique 7. La gestion du temps 8. Le budget tennis 9. La détermination et la persévérance 10. Mon corps, mon outil et atout principal pour la réussite Attention, je ne dis pas que c’est LA recette pour passer de NC à 3ème série mais je dis que cela correspond à mon expérience et que ça doit pouvoir aider plusieurs personnes qui débutent dans le tennis de compétition et même certaines qui en font déjà avec une réussite plus ou moins heureuse.
  2. Bonjour à tous, Je ne sais pas s'il y a déjà un topic sur ce sujet (pas trouvé par mot clé)… Je me pose la question suivante: arrive-t-il un moment dans la pratique du tennis (par exemple quand on passe le cap des 40 piges, comme moi ) où l'on ne peut plus progresser, où l'on atteint ses limites? Je détaille: j'ai repris le tennis depuis 4-5 ans après un arrêt de près de 15 ans, je joue en moyenne 4h par semaine, dont 1h de cours avec un BE. Autant au début, j'ai senti une nette progression, tant physique que technique, mais depuis quelques mois j'ai l'impression de stagner et de ne plus pouvoir franchir de "cap". Je continue à jouer sur le même rythme, je pense avoir une bonne condition physique, une technique potable (un niveau 30/3 d'après mon entourage), mais je n'arrive pas à "décoller", notamment à corriger mes erreurs techniques et à être bien présent physiquement et de façon régulière sur le court… Bref, suis-je au bout du rouleau (ou plutôt de la bobine)?? Avez-vous des avis là-dessus? Merci A+
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